Chapitre 3 ELLE OFFRAIT SON CORPS POUR PAYER SON BIEN-ÊTRE

« Loa ne se plainait jamais vraiment »

"Des souvenirs, des regrets « Sur ce cliché en noir et blanc, une photo avec sa mère son père n'y était pas là, il avait tout effacer avant de partir et tout brûler.

On chercher le visage de ce père, qui a tout prit même nos souvenirs avec lui, ses quelqu'un instants de bonheur, l'homme ne sait plus aimer, le bonheur pour lui n'est plus nécessaire, les pauvres restent ensemble pour vivre dans leur misère, et les gens qui ont et peu, chercher l'amour très parfait.

"Après ce jour que je ne saurais comment expliquer que je ne me souviens plus exactement, je ne l'ai jamais revu".

Ses blessures d'enfance " Elle est à la fois famille, et en même temps, il ne l'est pas du tout.

Chez son père. À l'âge où j'aurais vraiment pu avoir une relation proche avec lui, il était en Indochine".

"Comment comprendre que votre père se débarrasse de vous quand vous n'avez pas encore l'âge de voler de vos propres ailes ?"

Vous vivez avec votre mère qui est malade comme dans un pensionnat, enfermer de l'aider à s'en sortir, vous mettiez votre vie entre parenthèse.

Et votre père, il vit une vie de richesse, "Quant à son père, après la mort de sa mère il voudrait davantage être présent à la fin de sa vie [...] Mais tout ça ne rattrapera pas ce que je n'ai pas eu dans mon enfance, ce qu'on ne m'a pas donné, l'amour de mon père."

Alors on fouille dans nos souvenirs, un peu nostalgique, nourrissant parfois des regrets..."

« On lui disait qu'elle finirait bon à rien...

Lao "Je me sentais hors de mon propre corps immense de tristesse" Elle avait également mis des pierres dans ses poches pour faire fuir les mauvais esprits cette malchance que l'on peut porter en soi, avant d'entrer dans la rivière "Je ne savais pas si j'avais déjà pensé au danger de mourir, je pensais que j'étais tellement en elle."

Elle ne dormait jamais, parlait comme un moulin, s'ennuyait avec ceux de son âge, vue qu'elle avait une autre vie.

Une expérience qui lui a permis de faire le bilan sur sa propre vie.

Son teint pâle et sa chevelure blonde lui décrochant le cruel surnom de "M.T.".

Malgré l'adversité et les difficultés qu'elle éprouve à s'intégrer avec les autres élèves, "Elle avait proposé de la rendre plutôt que de lui imposer la vie que de le lui reprendre.

"J'avais compris tôt ce qu'était la rupture, l'abandon et la solitude auprès de cet homme que je ne voulais plus voir mon père ce lâcher qui est partir après les coups dure, ma mère malade et moi qui suis-je dans cette vie de misère au on respire la mort et non la joie, on rêve on voudrait obtenir le parfait, cet homme on le voudrait mais son cœur ne battrait pas pour nous ; il ira cherche le parfait de son cœur et là on voit notre rêve s'effondre à la poussière de notre corps...".

"Tant qu'on ose se battre, même si on essuie des échecs, on est digne de respect."

"J'avais très peur d'être estampillé. J'étais comme une conne dans chaque vie intérieure que je devrais combattre sans savoir si j'allais y atteindre mes objectives, car avec le recul, j'aurais dû prendre les risques dans certains domaines, sans laisser mes peurs me bloquent et ce manque de confiance en soi que j'avais était dure à gère.

"Au bout d'un moment, on se rencontre et la meilleure façon de se rencontrer, c'est d'enregistrer ensemble"

Elle « Pleurait tout au long des repas, quand t'elle était avec sa mère, il y avait plus d'enfant, elle avait vite grandir, se mettre en adulte. »

Seul le travail comptait pour elle, avec sa mère. C'est ce qui l'avait sauvé dans la vie qu'elle pensait être si seule. Les récompenses, les critiques peuvent rendre dingue.

"On s'en fou." Tout est éphémère dans ce monde , rien n'est acquit les moments de bonheur que vous alliez y vivre, faites-le ; ne t'en prive pas.

Sur cette terre ; tout le monde voudrait sa part de gain de bonheur, l'argent est le bien comme le mal qui attirer le cœur de l'homme parfois à l'excès du péché à vouloir plus et tout détruire en se disant c'est ma propriétaire.

J'ai eu une vie particulière mouvante avec des plaies sur mon corps qui avait touché mon cœur et qu'il fallait que je guérisse, ce que je voulais et que je refusais de voir était la réalité du cœur qu'un homme, qu'il pouvait m'offrir: vie ou mort sans atteindre mes 90 ans plus tard, pas aussi glamour que ce qu'on pourrait imaginer !

Mais elle me convenait au départ, le paradis n'était plus c'étaient les ténèbres que j'avais y vivre comme une esclave, sans jamais savoir si un jour elle aura sa liberté un jour, je n'avais jamais envié celle des autres, parfois envie la vie que ces stars vous montrent tout beau est souvent aussi chaotique que ce que nous vivons. Même si je me suis toujours sentie différente des autres avec leurs vies, après le reculer : je ne regrette plus ma vie avec ma mère c'était ma plus belle expérience et c'était aussi ma plus belle chose. On se fait une fausse idée de la vie des artistes, eux aussi ont des coups dure les plaies sont pareils que ce que les simples sans notoriété avions.

Loa évoque aussi sans fard le revers de la gloire : la pression des réseaux sociaux et parfois l'envers du décor, de reste parfois silencieuse dans je me tais, ou je parler. En effet, si les succès se sont enchaînés depuis trois ans, elle a également dû composer avec une pluie de commentaires négatifs de la part des haters, la poussant à mettre sa santé mentale au premier plan, même son physique sera mise à rude épreuve.

Une "angoisse permanente", "une charge mentale énorme"

Les gens veulent se mettre en couple et être marier pour des mauvaises raisons faire plaisir. "Solitude ne veut pas dire l'isolement. Ce n'est pas parce qu'on est seul qu'on est mal."

Comment se reconnaître dans ce miroir si on perd son identité.

Mais cette gloire va se transformer en cauchemarder.

C'est une histoire qui s'enracine et qu'ils espèrent sans fin.

La liberté avant tout. Celle d'honorer le passé tout en se construisant un futur.

Loa était sous antidépresseurs, refusait de prendre de la droguer pour aider sa mère qui a été touché par la maladie d'Alzheimer.

Honnêtement quant à la maladie de sa mère, elle se confie à cœur ouvert : "Le pire, c'est la perte de mémoire immédiate. Elle fait une chose et, cinq minutes plus tard, elle a oublié", a regretté Loa, qui devrait le vivre toute seule, sans aucune famille à l'épaule.

« ... Sa douceur, son intelligence, son regard sur la vie qui l'ont touchée, elle a les yeux de chat, nez fin et bouche généreuse...

Son visage atypique et sa silhouette longiligne lui ont permis d'accéder au statut de "super model" Il s'était écoulé quatre mois avant qu'on voie qu'elle n'allait pas bien, qu'on l'embrasse, elle n'arrivait pas à ce qu'on puisse la toucher même pas une caresse sur son visage alors son corps c'était pire, elle fuyait les regards des gens parfois elle allait se cacher dans les toilette pour attendre que les gens partent, mais quand elle sortait de cette cachette qu'elle se rendait compte que ces gens étaient encore là, si elle pouvait avoir un pouvoir pour faire disparaître toute ces personnes qu'elle ne souhaiterait pas voir et qu'ils ne puissent chercher à savoir pourquoi elle avait disparu des écrans, mais sauf sa mère qui est son soutient de rester debout sans elle, Loa ne pouvait avancer son bâton de force qu'elle avait si seulement sa mère était là.

Table rase du passé, un nouveau départ était une femme fatale comme Loa, presque malgré elle. Aucun homme ne lui aura résisté.

Quiconque rencontrait Loa comme nous l'avons fait, s'exposait à tomber sous son charme irradiant. On pouvait avoir envie de se défaire de sa banalité.

Elle avait un mélange de réflexion profonde, de spontanéité et d'assurance que l'âge ne pouvait effacer. Avec elle, la vie ne pouvant rester dans son ordinaire, il fallait s'attendre à la voir sortir de son cours convenu pour offrir une myriade de perspectives...

Quand une personne, par son charisme, suffit à porter l'autre dans une dimension différente c'est qu'elle est une source d'inspiration. Certains la qualifiaient de muse, d'icône ou d'égérie. D'autres virent en Gréco son corollaire de cœur, la passion.

« C'était une grande séductrice au sens le plus noble du terme (...) Quand on séduit une grande séductrice, ça vous donne une aura extraordinaire. » Loa a la voix de velours traîne tous les cœurs après elle.

Avait pour elle un style, celui des vêtements masculins qu'elle récupérait parce qu'ils sont moins chers et des fulgurances. Ne sont pas très loin de ses escarpins.

Elle a de la patiente « son petit copain avait feint d'ignorer que sa copine sanglotait ». Ce témoin ajoutait : « Je n'ai pas compris pourquoi elle ne s'est pas levée et n'a pas quitté la table. J'en ai conclu qu'elle voulait que sa tristesse se voit ».

« J'étais submergée par différentes émotions à cause des rumeurs, la tension était trop forte, je n'ai pu retenir mes larmes. Et j'ai continué à pleurer malgré moi quand j'ai réalisé que le monde entier était en train de me voir pleurer. »

Elle portait des grands vêtements qui la rendait comme un animal camoufle dans une cage. Cela fera un an en octobre maintenant que cet enlèvement qu'elle avait subi lui été arriver... »

Se dévoile, s'affirmant en jeune femme moderne, fan de balades dans le désert et de baignades, mais aussi très impliquée dans les causes humanitaires et surtout elle était plus impliquée dans viole, enlèvement et des abus sur le corps qui a été abîme.

Les hlm les avaient virés de l'appartement, pour en arriver là, il faudrait commencer au début de cette descente aux enfers de Loa et sa mère malade.

Loa a eu une enfance très difficile, un père qui avait tout pris dans la l'appartement et vide les comptes pour suivre sa nouvelle maitresse, au bout du monde, en laisser sa fille Loa et sa mère dans une galère sans fin.

La mère qui était dans un bonheur de vie avec cet homme, qu'elle croyait qu'il allait l'amène jusqu'car la fin de leur vie à la tombe, elle n'avait pas fait attention aux projets.

Ils ne voulaient aucun arrangement, ce qui tuant Loa, qui ne savait pas où, elle et sa mère allaient dormir à cause d'un père qui n'avait pas de conscience à regarder le mal qu'il avait mis et laisser dans cette maison qu'il avait commencé à bâtir.

Loa était allé voir les hlm pour comprendre ces relancer de factures qui non pas été régler par son père.

Une dame de l'agence lui disant, le loyer n'a plus été payer depuis 13 mois, dans sa totalité, si vos parents ne cherchaient pas à faire une réconciliation à paye cette dette, nous serions dans l'obligation de vous mettre à la porte.

Loa ; ma mère ne peut pas paye cette dette, si par exemple on vous payait dans le loyer un peu un peu sa vous diriez ?

Pour la première fois Loa allait voir une assistance sociale, qui n'était pas vraiment à son écouter, elle lui répétait qu'il fallait ses parents pour demande de l'aider.

Loa aurait beau expliquer que sa mère n'était pas dans l'incapacité à être à l'écouter, et on lui demandait son père vu que c'est lui qui est sur toute les factures, l'appartement est à son nom, c'est comme si vous vivez dans un appartement qui n'est pas là votre et que vous squattez.

Loa montrait les photos, l'acte de mariage de ses parents, tout, c'était vous avez pu faire des faux documents, ça ne nous peut pas qu'il est votre père.

Cette assistance sociale les avait plongés plus dans la merde que de les trouver une solution, elle rédigeait une lettre à la caf, ce qu'elle pensait de situation.