Chapitre 1 Prologues

Ciel ensoleillé, signe d'espoir et d'avenir recouvrait Seattle, les rues assaillies de jeunes adultes nous rappelaient que nous étions à la période des rentrées scolaires les rues, bondées d'étudiants, de lycéens et collégiens sans pour autant oublier les différents professeurs qui déjà s'imaginaient les devoirs et examens qu'ils offriront comme cadeaux à leurs élèves pour les heureux tandis que les traumatisés appréhendaient déjà vivre une mauvaise année si ils devaient encadrés ces étudiants un peu particuliers, qui leur donnait du fil à retordre.

Dans tout se mirage d'excitations et de tristesses, Andrianna Bellou venait tout juste de finir son premier cours de la journée. Ça faisait maintenant deux semaines qu'elle avait repris les cours pour valider sa deuxième année en baccalauréat en science économique à l'Université de Washington.

Originaire de Grèce et vivant en France, elle avait décidé de venir vivre avec son frère Alessandro neurologue à Seattle après l'obtention de son diplôme d'étude secondaire. Une vie modeste mais paisible, famille soudée et attentionnée voilà l'environnement dans lequel notre chère Anna a vécu jusqu'à ses 18 ans. Jeune femme souriante, agréable et extravertie pour les intimes parce que oui, la timidité dont elle faisait preuve en dehors était surprenante, mesurant un mètre soixante-dix, longue chevelure noir, yeux couleur noisette, lèvres pulpeuse rosie avec un arc de cupidon en V, chaque trait et aspect de son visage a été fait avec délicatesse. C'était pas une grande beauté mais avec sa silhouette en sablier et cette aura de gaieté de souplesse qui l'entouraient, les regards elle attisaient.

-oh merde, ça fait plus de vingt minutes que je marche...souffla-t-elle désespérée

Andrianna, bon Anna pour les proches tournait en rond depuis un bon moment, accoudé dans un des nombreux corridors de l'université. Décider à demander son chemin à un passant. Elle s'approcha d'une étudiante,

-S'il vous plaît, je__, a-t-elle pu lâché avant que cette dernière s'en aille sans un regards vers elle. Même pas une minute de plus, un étudiant passait près d'elle, l'arrêtant

-Bonjour, euh je suis perdue je cherche le pavillon Claire Mclincolm!

-Oui, bonjour pour aller au pavillon Mclincolm faut prendre """""""""""""

Pendant qu'il parlait, elle prit la peine de mieux l'observer. C'était un jeune homme dans la vingtaine, grand il devait faire une tête de plus qu'elle, un beau visage aux pupilles bleu, cheveux tombant sur les épaules de couleur dorée, tous ses traits était élégamment tracé jusqu'à sa carrure d'athlètes. Et avec ce sourire qu'il arborait en ce moment état dévastateur "et devrait-être interdit" cria sa conscience. Perdue dans sa contemplation, elle s'est pas rendue compte que le bel inconnu agitait sa main droite devant son visage depuis quelques minutes déjà.

-Est-ce que ça va Madame? Devrais-je vous conduire à l'infirmerie?

-Quoi? Venait elle de dire sortant de sa Rêverie qui une minute de plus l'aurai fait virer à des pensées pas très catholique.

-Oh non ça va ne vous inquiétez pas

-Si vous le dites, ça va pour l'indication?

Elle le regardai ébahie, se demandant de quelle indication elle n'avait rien entendue

-Mmm...je.. "La direction qu'il t'indiquait quand tu le déshabillait du regard" se moqua sa conscience.

Le jeune homme se mit à souris de plus belle, voyant le visage de la jeune femme.

-J'y vais comme ça___

-On peut y aller alors? Ensemble? Le coupais-je

-Bien sûr

Anna se décala sur le côté, afin que le bel inconnu montre le chemin.

Tout au long de la marche, Andrianna n'arrivait pas à détourner son regard de l'homme qui se trouvait devant elle. S'était peut-être de dos, mais juste cette partie de son corps suffisait à faire rougit la jeune femme qui le suivait. Quand d'un seul coup, il s'arrêta étant distraite par ses pensées elle cogna sa tête plus précisément son nez à un torse ferme.

-ça va, je savais pas que vous me suiviez de près...a-t-il dit inquiet de l'avoir sans doute fait mal

Se frottant le bout du nez

-Non ça va, ricana-t-elle le nez rougi

-Voilà le chemin vous le prenez et aller tout droit, vous y serez. Vous êtes sûr que c'est correct? Indiquant la direction avec sa main

-Oh oui Merci

Après un léger hochement, il s'en alla. Je fis pareil et pris la direction indiquée. Mais, elle s'arrêtait devant le bureau du régis du pavillon Victor

-C'était tout droit non? Se demanda t elle

Ne voyant aucun issu , elle rebroussa chemin afin de demander encore une fois son chemin. À peine arrivée à l'endroit où elle s'était séparer du bel inconnu, celui-ci s'y trouvait

Les deux se regardèrent avec un souris. Heureux de se revoir? Ou excité de ne pas avoir raté une belle occasion ? Qu'importe la cause de cette joie, le temps s'était arrêté permettant à l'un et l'autre de mieux s'apprécier. Et sans doute de se donner du courage.