-Attends, tu m'as appelé prétendu une urgence pour ça? S'écria Jade en se tenant la hanche, le visage visiblement pas contente
-Jade calme toi, murmurai Mary
-Non, je peux pas me calmer mais dit moi Andrianna Bellou qu'est-ce que t'as? Un bel homme et tu le laisses filer?
On se retournèrent vers elle, étonné
-Mais tu as dit que___
-Oui, tu aurais dû m'appeler dès que c'est arrivé, c'est une catastrophe, bordel qu'est ce que tu as fait?
-Je croyais que....mais une catastrophe est une urgence! Fit remarquer Mary tout en la toisant du regard, qui elle réfléchissait à cette remarque
-Bref, on s'en fou....dit-nous à quoi il ressemble. Elle s'est presque jeté sur Andrianna
-Il est divinement beau, charmant et mystérieux
-De toutes manières si il te plaît, tu le trouveras forcément beau, a t elle grogner en s'affalant dans le fauteuil près de moi.
Mary éclata de rires et s'est approché de moi
-Je suis sûr que tu le reverra, t'inquiète pas trop, me réconforta de sa douce voix
-Oui, tu le verras mais la probabilité pour que cela arrive est presque de zéro, continua Jade
-JADE!! cracha Mary dépité
Maria Sandow qu'on appelait Mary était prête à disputer Jade Roberts dans mon salon quand la porte principale s'ouvrit sur mon frère, au début surpris et après en colère. Pourquoi en colère, j'en sais rien et je ne m'en préoccupe pas.
-Mary, Jade. C'était ces salutations accompagnés de léger mouvement de la tête.
Il nous laissait et s'enferma dans sa chambre. Comme d'habitude si j'avais de la visite.
Mary parti à son travail de baby-sitter et donc je suis resté avec Jade qui maintenant se trouve à la salle de bain de ma chambre. Allongée sur le lit, mes pensées se remplis de l'image de l'homme que j'avais rencontré plus tôt.
-Anna!
Je me levai d'un bond dû à la surprise. Mon frère se tenais dans l'encadrement de la porte de ma chambre. Je fermais jamais ma chambre.
-Tu veux me tuer ou quoi?
-Désolé,
-qui a t il?
-Je t'ai déjà dit que je voulais plus voir ton amie Jade ici
-Mais pourquoi?
-Je l'aime pas c'est tout!
-T'inquiète pas je vais m'en alla, on s'est tourné vers la source de la voix quand je vis le visage sans expression de mon amie, je la connais elle est blessée
-Non qu'est-ce que tu racontes tu as dit que tu dormirais ici ce soir et ta mère le sait. La tenant par les épaules
-Je vais rentrer, j'ai un devoir évalué à rendre.. ricana t elle
Je me retournais et lui disait du regard de s'excuser toute de suite mais il en fit rien. C'était pire même
-C'est mieux que tu ailles travailler, je veux plus te voir chez moi. a articulé mon frère fermement
-C'est mon amie, elle peut venir ici tant qu'elle le voudra, m'empressai je de clarifier
-Vous allez devoir vous voir autre part qu'ici.
-Mais___
-C'est bon, c'est bon Anna on est à plus! Passez une bonne soirée.
Chaussée, affaires en main on bavardais devant la porte d'entrée lorsque sortit de nul part mon frère lui saisi l'avant-bras avec tant de violence que je ne lui cru capable d'utiliser contre une femme aucun moins mon amie, j'ai pas eu le temps de réagir qu'il l'avait déjà mise dehors et la fermait au nez.
Il s'en alla comme il était venir. Abasourdi, yeux écarquillés je fixais à tour de rôle la direction qu'avait pris mon frère et la large porte d'où Jade s'en était allé.
-Mais qu'est-ce qui se passe ici?
Pendant ce temps, à la périphérie de la ville, dans une immense demeure digne du statut de ses propriétaires, une famille dinais....essayais tant bien que mal!
Dans la salle à manger, des personnes d'âges avancées et trois jeunes personnes étaient attablé à la magnifique et grande table à manger en calambac massif. Différents mets, succulents les une après les autres se trouvaient sur la table....mais pas assez pour permettre à Wilson Carrington d'en savourer les goûts. La rage fulminait en lui depuis le début de cette mascarade, tandis que la jeune femme en face de lui dont la joie était perceptible par ses rangées de dents éclatante qu'elle oubliait de couvrir. « Elle finira par avoir une crampe à la mâchoire» lui souffla Williams ,«Si elle pouvait juste s'étouffer avec ses dents» répondit tout doucement mais chaque mot était emprunt de l'agacement qu'il s'arrangeait à faire taire par respect pour ses parents. Un doux rire résonna près de lui, il n'avait pas à demander qui, son frère s'amusait bien ce soir.. «Que ce diner finisse vite j'ai besoin d'air» pensa Wilson.
Le repas terminé, ils étaient tous dans le petit salon. Deux hommes parlait d'affaires et deux femmes se racontèrent les ragots manqués. La plus jeune d'elle, la belle-mère des jumeaux Carrington est une beauté discrète, délicate et parlait peu. Depuis son mariage avec le veuf Christian Carrington, elle s'est fait naturellement aimé par les enfants qui jadis avaient quatorze ans. Une période difficile pour la plupart des pré-ado et adolescents.
-Wilson ce soir ce dîner a été organisé pour que tu rencontres ta future femme, dit un bel vielle homme aux cheveux grisés au beaux yeux bleus, continuant: La fille de mon meilleur ami Monsieur Anderson le___
-Je m'en fiche, je suis pas intéressé, coupa court Wilson
Le visage de la future compagne de Wilson se chagrina et ses beaux yeux se remplis de larmes voyant cela son père s'excusa aussitôt auprès de ses invités pour le manque de respect de son fils qui eux on demandé à s'en aller juste après.
-Qu'est-ce qui ne vas chez toi? S'empressa de demander le patriarche de l'empire Carrington à peine ses invités ont passés la porte.
-Qu'est-ce qui ne vas pas? Est-ce que je vous ai dit que j'ai besoin d'aide pour me trouver une femme?
-Baisse d'un ton jeune homme, tu as la direction totale de mon entreprise bientôt.
-Et?
-Soit tu te maries avec soit tu laisses tomber la direction! cracha le vielle homme
-Ok donc Williams prendrai les rênes, moi j'ai plus rien à voir avec ton entreprise
-William est un incapable, je préférerais vendre l'entreprise que de le lui donner, il saura rien en faire, affirma son père sans doute
Pendant ce temps, Williams écoutait sans émotion apparente mais au fond de son cœur, les paroles blessantes de son père depuis des années frappaient encore encore et encore son cœur déjà en froissé. Tasse de thé à la main, il leva la tête et vis son frère le fixé inquiet cherchant à travers ses yeux les conséquences qu'avaient les paroles de son père sur ce dernier, mais rien. Y avait rien dans ses pupilles bleu.
-Allons allons ne vous disputez pas....il se tourna vers son père et lui dit : Ne vous inquiétez pas père, Wilson y réfléchira sur ceux on s'en ira! Il s'inclina vers son père et sa belle-mère et sorti sans un regard en arrière.
Wilson accouru vers son frère dans la cour, inquiet.
-Pas besoin de me regarder ainsi je vais bien, Rassura Williams
-Viens on va au bar, annonça Wilson s'installant au volant de sa voiture.