La rentrée au lycée, le moment le plus crucial pour un(e) adolescent(e). Ce moment qui va déterminer qui tu es, chaque minutes comptent. Un seule faux pas, et on te mettra à part. Et pour je ne sais quelle raison, d'ailleurs, je pense qu'il n'y en a pas, de raisons valable. Personnes ne devrait se sentir rejetés. La moitiés des adolescents sont méprisé, délaissé pour des raisons inconnues. D'autre se font harceler, mais pour les adultes se sont «seulement des jeux d'enfants » des jeux «d'enfants » mais qui parfois tournent mal.
D'une certaines façons je me suis toujours mise à l'écart, pas parce qu'on m'y a obligé, mais parce que je ressentais le besoin d'être seule.
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Mon réveil va sonner d'une minute à l'autre. J'ai pratiquement fait une nuit blanche, premièrement à cause du stresse et deuxièmement parce que je fait parties de ces gens qui souffrent d'insomnie. Et ça depuis petite, aucun comprimés créé spécialement et normalement pour nous faire dormir n'a fonctionner sur moi. Je n'ai réellement jamais compris pourquoi.
- Elena ? Tu es réveillée ? Ma mère m'appelle d'en bas de l'escalier. Je me lève en vitesse avant qu'elle ne crie mon prénom dès le matin.
- ELENA ?! Ah.. Qu'est ce que je disais ?
- Je suis réveillée MAMAN !
Je me dépêche d'aller à la douche, je me rase en vitesse. Pourquoi je ne l'ai pas fais hier soir ? Je m'habille aussi vite que l'éclair, j'opte pour un jeans bleu simple, et un pull léger blanc, je met des converses plate. Je sèche mes cheveux, les attaches en faisant une queue de cheval haute. Je me met du mascara. Je me regarde une dernière fois dans le miroir. Je vais chercher mon sac, qui est poser à coter de mon bureau dans ma chambre. Puis je descend dans la cuisine. Ma mère se tiens assise à table dans la cuisine, elle sirote son café. J'adore cette odeur.
-Elena tu vas être en retard si tu continue de traîner, prend ton petit déjeuner.
- Maman, il me reste encore 45 minutes, j'ai largement le temps de déjeuner et d'aller prendre le bus.
- Tu vas être en retard je te dis, dépêche toi un peux.. Je prend une tasse, met du chocolat en poudre verse du lait dedans, et le fais chauffer 5 minutes au micro-onde.
- J'ai le bus qui part à 7h30, il ne me faut pas 42 ans pour boire mon chocolat chaud manger quelques biscuits et partir à pieds. Sachant qu'il y'a 5 minutes de marche même pas. Tu es trop stressé.. (j'ai l'impression que j'essaye de me rassurer plus que je ne la rassure.) Je sors ma tasse du micro-onde et m'assoie à table en face de ma mère.
- Oui peut être, c'est juste que c'est la rentrée j'ai peur pour toi. J'en fait peut être trop ? Je fini le fond de chocolat qu'il me reste. Je pose ma tasse dans le lave vaisselle avant de lui répondre.
- Mais non, ne t'inquiète pas de toute façon je te raconte tout ce soir. (Merci maman, ça me rassure..) Je dois y aller sinon je vais vraiment finir part être en retard. À ce soir, bisous.
- Bisous mon bébé.
Je lui fait un bisous sur la joue et quitte la maison. Je branche mes écouteurs et marche en direction du bus. J'arrive sur la place, je monte dans le bus et constate qu'il y'a beaucoup de monde.. Mia n'est toujours pas là, j'espère qu'elle va arriver à temps. Mia est ma meilleure amie depuis le collège, et comment dire elle a cette fâcheuse habitude d'arriver en retard. Je m'assoie devant, pas trop près du chauffeur mais pas trop loins non plus. La bonne distance. Je prend le siège gauche à côté de la vitre, l'autre siège qui est à côté de moi est vide. Pourvue que Mia arrive à temps. Je vois que le chauffeur referme les portes.
- Attendez monsieur s'il vous plaît, il manque encore une personne elle ne devrait pas tarder. - C'est l'heure, je suis désolé j'ai un planning à respecter.
Et merde ! J'envoie vite un message à Mia.
À Mia :
T'es où ? Le bus viens de partir !
De Mia : T'inquiète pas, mon père va pouvoir m'amener direct au lycée. J'ai eu une panne de réveil ahah
C'est surtout qu'elle ne c'est pas réveiller à temps. Nous arrivons au lycée, après 30 minutes de route. Plus je vois apparaître le bâtiment, plus une boule de stresse commence à se former en bas de mon ventre. Je répète dans ma tête «T'inquiète pas tout va bien se passer ! » mon dieu, je ne savais pas que mon cœur pouvais battre aussi vite. Le bus s'arrête sur le parking en face du lycée. Y'a tellement de monde.
Que l'aventure commence !