Le PDG Dominateur veut m' épouser
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Chapitre 6 6

Jeanne pouvait sentir son désespoir à fleur de peau. Malgré son ton confiant, elle voyait qu'il ferait tout pour réussir, même si cela devait être par la force.

Soudain, son patron commença à fouiller dans ses poches et sortit une bague de fiançailles en or, la mettant sur son annulaire.

La secrétaire résista un peu, mais il la domina. Il soupira quelque peu soulagé et la regarda.

« Merci, Jeanne, » murmura-t-il très doucement, espérant qu'elle ne l'entendrait pas. « Je sais que vous devez avoir une réputation ici dans l'entreprise, et je connais la mienne. Je serai discret avec mes amantes ; je vous promets que vous n'entendrez aucun murmure de quelqu'un qui serait cocu à cause de moi. »

« Mais... »

« Vous pouvez y aller maintenant, » dit-il rapidement, mettant fin à la conversation.

Il essaya de s'éloigner d'elle, mais cette fois, elle l'arrêta.

« Attendez là, Monsieur Dubois. Si nous allons faire ça, je ne vais pas être celle qui sera trompée dans cette relation, » rétorqua-t-elle, voyant un sourire sur ses lèvres comme s'il disait : « je t'ai eu. »

Émile lâcha un rire élégant et se détendit.

« Alors, tu vas vraiment jouer le rôle de ma femme ? » se moqua-t-il. « Vas-tu être en charge de satisfaire mes désirs sexuels ? Parce que si c'est comme ça que tu le planifies, crois-moi, nous allons tous les deux en profiter beaucoup, Boucher. »

Il la prit par la nuque et écrasa ses lèvres contre les siennes.

Ils s'embrassèrent. Oui, la tension sexuelle qu'il dégageait était trop intense ; entre leurs souffles mêlés et son expérience, il prit le contrôle de la situation.

Jeanne devait admettre qu'elle aimait son baiser. La langue de son patron entra dans sa bouche, et elle chercha un peu de stabilité, s'accrochant à son costume, le froissant. Émile ne perdit pas de temps ; il mit ses mains sur le derrière de Jeanne, le pétrissant et essayant de soulever sa jupe.

Elle s'arrêta, se dégageant de lui. Son regard s'était assombri. Le gris de ses yeux avait disparu au point d'être presque noir.

« Tu as le reste de l'après-midi de libre, Jeanne, » murmura-t-il en essuyant sa bouche avec son pouce.

Elle profita de l'occasion et s'enfuit, claquant la porte derrière elle.

« Qu'est-ce que tu pensais ? Tu as perdu la raison ? » se reprocha-t-elle.

À ce moment-là, sa tête ne traitait pas bien ce qui venait de se passer.

Elle entra dans son bureau à côté du minibar et prit une gorgée de la première chose qui lui tomba sous la main : un café froid. Ce n'était pas sa boisson préférée, mais elle pensait que cela l'aiderait.

Jeanne avait le reste de l'après-midi de libre, alors elle attrapa son sac et quitta l'entreprise, se dirigeant vers le parking souterrain. Elle monta dans la petite Chevy rouge que son père lui avait donnée et poussa un cri étouffé.

« Oh mon Dieu ! »

Soudain, quelqu'un frappa à sa vitre, et elle sursauta, faisant accidentellement klaxonner le klaxon de la voiture.

Elle vit qui c'était... le garde du corps d'Émile ?

« Garde du corps de ton nouveau partenaire, Jeanne, » pensa-t-elle en frémissant.

« Oui ? » Elle baissa légèrement la vitre, et tout ce qu'elle reçut fut un dossier manille avec le mot « CONFIDENTIEL » écrit en lettres majuscules.

« Passez une excellente journée, Mademoiselle Boucher, » fut tout ce qui sortit des lèvres de l'homme. « M. Dubois prendra contact avec vous. »

Sur ce, il s'en alla, laissant la jeune femme intriguée par ce qu'on venait de lui remettre.

                         

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