Le PDG Dominateur veut m' épouser
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Chapitre 4 4

Le lendemain.

« Bon sang ! Je suis en retard ! » pensa Jeanne, complètement agitée.

Elle faisait attention en se précipitant, surtout sachant qu'elle portait des talons. Elle n'avait jamais été très douée pour marcher avec.

Elle soupira de soulagement en atteignant le gardien de sécurité, qui, heureusement, ne dit rien ; il la connaissait depuis un an et demi.

Elle faillit trébucher sur tout le monde en entrant dans l'entreprise. Elle regarda l'horloge ; il était presque 8h34. Elle pensait que son patron allait la déchiqueter et ensuite la faire frire comme un poisson.

Une petite voix lui disait de ne pas être dramatique, mais il semblait qu'elle n'avait toujours pas compris que son patron était un sacré abruti.

Bien que ce soit un mot typiquement « Dubois », cela lui allait en tous points, surtout étant donné qu'il était anglais, donc plus froid qu'un iceberg, bien que Jeanne pensait que cela n'enlevait rien à son côté provocateur.

De ses yeux gris à ses cheveux sombres, mesurant 1,85 mètre, avec un corps de Dubois, un regard impérieux et un air de confiance qu'il dégageait, tout cela constituait un facteur de désir pour chaque femme quittant son bureau échevelée et avec du rouge à lèvres étalé.

Jeanne monta les escaliers jusqu'à atteindre le dernier étage, ce qui lui prit environ 10 minutes, et elle jura lorsque les portes de l'ascenseur s'ouvrirent juste au moment où elle arrivait.

« Ma chance est nulle, » grommela-t-elle.

Elle repoussa ses cheveux en arrière et prit place dans son bureau, bien qu'elle ne puisse pas se plaindre ; elle avait tout, du minibar à un petit réfrigérateur à sa disposition. Elle jeta un coup d'œil à l'horloge murale, n'arrivant pas à croire qu'elle était en retard.

Elle gérait le temps de son patron, du nombre exact de minutes aux secondes que cela devait durer. Elle laissa la tablette sur son bureau et alluma le Mac de la pièce.

Elle reprit l'appareil et consulta l'emploi du temps de la journée. C'était assez libre, ce qui était un bon début pour elle. Elle ne frappa pas à la porte en bois, car il l'attendait depuis une demi-heure.

« Bonjour, Monsieur Dubois, j'ai votre itinéraire pour aujourd'hui, » se dépêcha-t-elle de dire, et la réponse la plus convenable de sa part aurait été un « hmm ».

Tout était dans un silence complet. Jeanne jura intérieurement et leva la tête pour croiser son regard perçant, déglutit difficilement, et le vit lever un sourcil.

Pour l'amour de Dieu, comment cet être humain peut-il être si admirable ? Son apparence masculine, ses cheveux noirs parfaitement coiffés, et ses yeux passant d'un gris clair à un gris foncé, ce qui ne signifiait qu'une chose :

Il était en colère, ou peut-être sur le point d'en finir avec quelqu'un.

« Puis-je savoir, Mademoiselle Boucher, pourquoi diable vous êtes en retard pour le travail dès le premier jour de la semaine ? »

« Je le déteste, » pensa Jeanne avec dégoût.

Elle prit une profonde inspiration et, avec un sourire forcé, répondit : « Cela ne se reproduira plus. Je vais procéder avec votre emploi du temps pour aujourd'hui. Dans quelques minutes, vous avez une réunion avec les investisseurs anglais, et les Japonais viendront après cinq heures de l'après-midi. J'ai réservé un dîner dans un restaurant du centre de Tours. »

Jeanne leva de nouveau les yeux. Il la regardait toujours, l'évaluant. Ce qu'elle entendit ensuite fut le grincement de la chaise alors qu'Émile se levait et marchait vers elle.

Elle resta immobile alors qu'il tournait autour d'elle jusqu'à s'arrêter et lui prit la tablette des mains pour la poser sur la table en verre.

« Épouse-moi. »

Le cœur de Jeanne s'accéléra, et ses yeux s'agrandirent plus que de coutume.

            
            

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