Le PDG Dominateur veut m' épouser
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Le PDG Dominateur veut m' épouser

Samita Leoni
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Chapitre 1 1

Jeanne était nerveuse alors qu'elle essayait de tout préparer parfaitement pour l'arrivée de son nouveau patron : M. Dubois.

Les gens disaient que c'était un homme froid, qui avait toujours quelque chose de grognon à dire, mais elle était prête à endurer cela, car elle avait désespérément besoin d'argent.

Les factures ne cessaient de s'accumuler, et son père avait commencé à se sentir mal, elle devait donc l'emmener chez le médecin au plus vite.

« Souviens-toi de ne dire que le strict nécessaire et sois toujours serviable et gentille », l'avaient prévenue ses collègues au bureau.

La voiture d'Émile Dubois arriva au bâtiment Heathrow après un long vol et avoir été coincé dans le trafic pendant plus d'une heure.

Son humeur était pire que jamais.

« Je déteste Tours », lança-t-il froidement et de façon impersonnelle, obtenant une réponse monosyllabique de son chauffeur.

En tant qu'Anglais habitué à Londres et Paris, il trouvait cette ville pleine de bruit et de gens totalement surcotée.

Il se dirigea vers l'entrée et sans plus attendre se rendit à l'ascenseur, soupirant toutes les deux secondes en raison de sa lenteur.

Il n'avait pas encore rencontré sa secrétaire, mais on lui avait décrit une jeune femme aux yeux couleur miel et aux cheveux ondulés et soyeux aussi sombres que le café, efficace et très intelligente.

Ce dernier point comptait davantage pour lui ; ses caractéristiques physiques lui étaient indifférentes de toute façon, car elle n'était pas son type.

L'homme imposant marchait vers son bureau lorsqu'elle sortit brusquement de la pièce, entrant en collision de plein fouet avec lui. Émile, ayant de bons réflexes, la rattrapa rapidement avant qu'elle ne touche le sol.

Elle s'éloigna de lui et s'excusa sans lever les yeux, se sentant très embarrassée par ce qui venait de se passer. Son regard restait fixé sur cette paire de chaussures en cuir noir impeccable.

« Mademoiselle, faites attention ! Vous ne voyez pas où vous allez ? » lança-t-il en remarquant qu'elle restait figée, commençant à se sentir quelque peu irrité.

Jeanne en déduisit immédiatement que cet homme devait être riche. Il ne fallait pas être expert pour savoir qu'une personne de moyens limités ne pourrait pas s'offrir une telle paire de chaussures.

« Hé, vous m'écoutez ? » La voix de M. Dubois interrompit ses pensées.

Elle le regarda et lui sourit, agacée.

« Vous venez de sourire ? » demanda-t-il, ses yeux se plissant et devenant plus froids.

« Ah ! » Jeanne passa ses mains dans ses doux cheveux bruns et regarda l'homme en face d'elle. « On ne vous a donc pas bien élevé, personne ne vous a appris à vous excuser ! »

Ses mots et son attitude le prirent par surprise.

Jeanne n'était pas habituée à se faire marcher dessus par qui que ce soit, surtout pas par un homme qui semblait riche et pensait pouvoir tout se permettre.

« Quoi ? » Les lèvres de l'homme se serrèrent, et son front se plissa. « Vous venez de me parler sur ce ton pédant ? »

« Bien sûr, à qui d'autre devrais-je parler ? Ou alors, avez-vous un fantôme à côté de vous ? » demanda Jeanne, levant le menton vers lui pour montrer qu'elle n'avait pas peur.

« Quel culot, cette fille ! » Ses yeux flamboyaient alors qu'il l'évaluait, sentant qu'il pourrait la prendre à la gorge d'un moment à l'autre. « Avez-vous la moindre idée de qui vous parlez en ce moment ? »

Jeanne ferma brièvement les yeux ; ce n'était pas ainsi qu'elle souhaitait commencer son nouveau travail, en se disputant avec quelqu'un qu'elle ne connaissait même pas.

Elle en avait déjà assez de cette querelle ; cela commençait à l'agacer.

« Écoutez, monsieur sortant de nulle part, » elle inclina la tête sur le côté et le regarda de haut en bas. « Nous avons tous les deux fait une erreur, c'est tout. Ne faites pas comme si j'avais commis un péché, d'accord ? Allez votre chemin et laissez-moi tranquille ; j'attends mon patron. »

« Mais je suis... »

« Je me fiche de qui vous êtes ! » Elle agita la main. « Si vous n'êtes pas capable de vous excuser, alors passez votre chemin. »

« M. Dubois, bienvenue ! » l'accueillit un des employés, et elle se figea sur place, le cœur battant.

« Dubois ? » Elle n'osa presque pas lever les yeux, déglutit difficilement, et aperçut des yeux gris froids qui la regardaient avec curiosité et une certaine irritation.

            
            

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