Entre Amour et Tradition
img img Entre Amour et Tradition img Capítulo 4 Chapitre 4
4
Capítulo 6 Chapitre 6 img
Capítulo 7 Chapitre 7 img
Capítulo 8 Chapitre 8 img
Capítulo 9 Chapitre 9 img
Capítulo 10 Chapitre 10 img
Capítulo 11 Chapitre 11 img
Capítulo 12 Chapitre 12 img
Capítulo 13 Chapitre 13 img
Capítulo 14 Chapitre 14 img
Capítulo 15 Chapitre 15 img
Capítulo 16 Chapitre 16 img
Capítulo 17 Chapitre 17 img
Capítulo 18 Chapitre 18 img
Capítulo 19 Chapitre 19 img
Capítulo 20 Chapitre 19 img
Capítulo 21 Chapitre 21 img
Capítulo 22 Chapitre 22 img
Capítulo 23 Chapitre 23 img
Capítulo 24 Chapitre 23 img
Capítulo 25 Chapitre 25 img
Capítulo 26 Chapitre 24 img
Capítulo 27 Chapitre 27 img
Capítulo 28 Chapitre 28 img
Capítulo 29 Chapitre 29 img
Capítulo 30 Chapitre 30 img
Capítulo 31 Chapitre 31 img
Capítulo 32 Chapitre 32 img
Capítulo 33 Chapitre 33 img
Capítulo 34 Chapitre 34 img
Capítulo 35 Chapitre 35 img
Capítulo 36 Chapitre 36 img
Capítulo 37 Chapitre 37 img
Capítulo 38 Chapitre Final img
img
  /  1
img

Capítulo 4 Chapitre 4

Jennifer se regarda dans le miroir et ne se reconnut pas un instant.

- Vous êtes très belle ! la complimenta la styliste. Votre mari ne verra que vous.

- Merci, répondit-elle en riant.

Viviane fit irruption dans la pièce.

- Hummmmm ! Tu es vraiment très belle.

- Merci Viviane. Et aussi merci de m'avoir aidé ces derniers jours. Je sais que je ne suis pas facile comme cousine.

- Je ne te le fais pas dire ! confirma Viviane en faisant une grimace qui fit éclater de rire la galerie. Bon, je suis venue voir quoi ajouter ou retrancher de ta valise.

- N'ajoute rien, ne retranche rien ! ordonna Jennifer alors que Viviane se dirigea vers son dressing en sifflotant.

[...]

Jennifer venait d'entrer dans la cathédrale au bras de son père. C'était une journée magnifique, ensoleillée. Elle avait le visage recouvert d'un voile, et le cœur qui battait fort du fait que tous les yeux étaient rivés sur elle. Il n'y avait cependant que ceux de l'homme arrêté près de l'autel qui la déstabilisaient. Elle marchait tout comme son père, au rythme de la mélodie mais avait l'impression qu'elle n'avançait guère, tellement rejoindre Albert lui semblait long. C'était donc ça qu'on ressent lorsqu'on se marie ? se questionna-t-elle en refoulant ses larmes. C'était un sentiment fort, déconcertant, qui lui bombait la poitrine et l'empêchait presque de respirer. Lorsqu'enfin ils arrivèrent face à l'hôtel, Blaise remit la main de sa fille à Albert en souriant avant de s'éclipser. Albert ne cessait de la fixer à travers son voile. C'était comme s'ils n'étaient que seuls au monde.

- Je ne trouve pas de mot pour définir ce que je ressens en ce moment précis Jen, lui chuchota-t-il alors qu'ils s'asseyaient sous ordre de l'homme de Dieu. Tu es...resplendissante. Ma déesse...

Jennifer avait l'impression d'avoir perdu la parole et contenta de lui sourire. La cérémonie débuta dans le plus grand calme. Jennifer écoutait d'un air distrait ce que disait l'homme de Dieu, envoutée par le parfum de son futur mari. Il ne lui avait pas lâché la main depuis son arrivée. Les choses avaient l'air de passer très vite. En un rien de temps, c'était déjà le moment d'échanger leurs vœux. Jennifer jeta un coup d'œil rapide à l'assemblée et vit sa mère qui n'arrêtait pas de s'essuyer les yeux. Elle poussa un soupir et fit face à Albert. Ils échangèrent leurs vœux et se passèrent la bague aux doigts. C'était enfin fini. Ils étaient mariés devant Dieu et les hommes.

- Je t'aime, je t'aime plus que tout ! murmura Albert à ses oreilles en l'enlaçant.

- Oh mon amour...je t'aime aussi ! répondit-elle en le serrant plus étroitement, la voix brisée par l'émotion.

- Cela a été très long.

- Au contraire ! fit Jennifer en riant. Tu es trop impatient !

- Soit !

Elle était radieuse et son bonheur pouvait se sentir à des milliers de kilomètres. Toute sa famille, ses proches étaient là, à l'exception d'une seule personne. Très vite, Jennifer refoula cette pensée. C'était son mariage. Elle ne devait penser à rien d'autre qu'à cela. Elle et Albert attendirent un moment le temps que les membres de leurs familles et quelques personnalités viennent les féliciter. Jennifer trouvait que c'était le plus beau jour de sa vie. Tout s'était très bien passé et il était temps que le couple rejoignent les quelques invités qui les attendait déjà au lieu de réception. Endroit dont Jennifer n'avait aucune idée car son mari avait décidé lui faire la surprise.

Une limousine blanche les attendait à l'entrée de la cathédrale. Jennifer souriait à s'en briser la mâchoire pendant que les photographes n'arrêtaient de prendre des clichés. Main dans la main, Albert et elle montèrent dans la limousine en direction de leur future maison. C'était ça la surprise d'Albert. Ils s'installèrent dans la limousine pendant que leurs parents et le reste des invités entrèrent dans leurs voitures respectives.

- Enfin ! fit Albert en souriant lorsque la voiture démarra.

Il lui pressa doucement la main et elle lui sourit.

- Tu es heureuse ?

- Tu n'imagines pas à quel point.

- Je le suis encore plus. Tu ne sais pas à quel point j'ai eu du mal à me retenir lorsque je t'ai vu entrer dans l'église. Tu es enfin ma femme. Je ne veux qu'une chose, que nous passions le restant de nos jours à nous aimer et à vivre pleinement ce mariage. Pour moi tu es la femme idéale, Jennifer.

Il pencha la tête et l'embrassa langoureusement, la vitre de protection empêchant le conducteur de les voir. Albert fit glisser sa main sous sa robe et toucha son ventre plat. Jennifer frémit sous la caresse. Albert sourit contre ses lèvres.

- Je sais que tu es tout aussi impatiente que moi mais attendons encore un peu.

- Ok, répondit-elle en faisant la moue, imaginant ce que serait leur nuit de noce.

Rien qu'à penser à ce moment, Jennifer sentit une douce chaleur naître entre ses cuisses. Le véhicule quant à lui continuait son trajet et ils ne tardèrent pas à arriver devant une immense bâtisse. Viviane vint aider Jennifer avec sa robe pour qu'elle ne trébuche pas en marchant dessus et Albert lui tint la main.

- C'est merveilleux mon amour ! dit-elle en contemplant la villa, les yeux embués de larmes.

- Je suis content que ça te plaise. Elle a appartenu à mes grands-parents. Mon grand-père me l'a laissé comme héritage. Tu pourras rénover l'intérieur à ton goût. On rentre ? Les gens nous attendent.

Jennifer hocha la tête et entra dans sa nouvelle maison. Lorsqu'ils firent leur entrée, les invités se levèrent et se mirent à applaudirent.

[...]

- Aux mariés !

Albert leva son verre pour trinquer avec sa famille. La réception avait débuté depuis un moment dans le jardin de la villa et le couple n'arrêtait pas de recevoir des cadeaux. L'atmosphère était festive et joyeuse. Jennifer avait troqué sa robe de mariée contre une robe moulante plus confortable. C'était la troisième robe qu'elle portait au cours de la soirée. Monique et Sonia ses belles sœurs n'avaient pas arrêté de la taquiner et elles l'avaient même forcé à danser pour Albert. En gros, c'était une cérémonie de mariage plus que réussie. Jennifer vint s'asseoir auprès de son mari, fatiguée de danser. De plus, l'alcool commençait à lui tourner un peu la tête. Elle jeta un coup d'œil à Albert qui n'arrêtait pas de la contempler. Ses yeux brillaient d'une lueur indéchiffrable.

- Ça va ? questionna-t-il en posant une main sur son épaule.

- Oui mon chéri. Mais je commence par être fatiguée.

- Il ne faut surtout pas ! La nuit sera longue et j'ai besoin que tu sois éveillée !

Le rouge monta aux joues de Jennifer face au sous-entendu. Albert se met à rire et posa un baisé sur son front.

- La fête sera bientôt finie. Les invités commencent à partir. Sois forte quelques minutes de plus. Tu peux ?

Elle répondit par l'affirmatif. Elle non plus n'avait aucune envie de rater sa nuit de noce. En effet quelques minutes plus tard, le reste des invités quittèrent les lieux et leurs parents s'apprêtaient à faire pareil.

- Encore félicitations à vous deux ! fit Amélia en serrant sa fille dans ses bras.

- Merci maman.

- J'attends impatiemment mes petits-enfants hein ! dit à son tour Laure, la mère d'Albert.

- Maman laisse les tranquille ! lui répondit Sonia. A peine ils ont la bague au doigt que tu parles déjà de bébés !

Tout le monde éclata de rire. Le reste de la famille passa les féliciter pour la énième fois et ils leur souhaitèrent un bon voyage. Cela dura quelques minutes ensuite, il n'y avait plus personne. Albert passa un bras sous sa femme et la souleva.

- Mais qu'est-ce que tu fais ? questionna-t-elle en riant.

- La tradition veut que je porte ma femme jusqu'à notre lit conjugale.

- Très drôle. Cette maison est très immense mon amour.

- Oui. J'ai envie de fonder une grande famille !

Sa déclaration la fit rougir. Il sourit et la porta jusqu'à leur chambre. C'était une maison de l'antiquité qui avait été rénové. Elle paraissait chaleureuse et était immense. Jennifer fut encore plus émerveillée lorsqu'ils franchirent le seuil de leur chambre à coucher. La pièce était vaste et un énorme lit trônait au milieu. Elle avait était intentionnellement décoré pour l'accueillir et cela lui semblait très romantique.

- Tu aimes ? la questionna Albert d'une voix rauque qu'elle ne lui connaissait pas.

- Oui.

- Tu n'es plus très bavarde depuis quelques heures...

- C'est que... c'est tellement merveilleux tout ça... je... je ne trouve pas les mots pour exprimer ce que je ressens. Merci mon amour.

Il la prit dans ses bras et elle enfouie sa tête dans le creux de son épaule. Lentement, il la fit valser de gauche à droite, sous le rythme d'une mélodie imaginaire. Au bout de quelques minutes, Jennifer leva la tête vers lui et il prit ses lèvres en un baisé bouleversante. Elle ne voulait qu'une chose : lui appartenir même si cela lui faisait un peu peur. Comme s'il avait lu dans ses pensées, Albert arrêta de l'embrasser et la fixa.

- Tu es stressée par vrai ?

- Oui, j'avoue qu'un peu.

- Ne t'en fais pas mon amour, je serai très doux. Je me suis promis de t'offrir la plus belle des nuits de noces et je compte t'emporter jusqu'au septième ciel. Tu me fais confiance ?

Incapable de répondre, elle hocha juste la tête et se mit à rire lorsqu'il la porta à nouveau pour l'amener jusqu'au lit ou il la posa délicatement et se retira pour enlever sa veste. Allongée, elle admirait ses muscles. Sourire aux lèvres, il la rejoint.

- Tu aimes mon corps, ma chérie ?

- Je l'adore.

Elle posa ses mains sur son torse nu et se sentie électrifiée par la chaleur de sa peau. Ils s'embrassèrent à nouveau. Le baisé se fit plus instant, plus dévastateur. Très lentement, Albert lui retira sa robe et ensuite son soutien-gorge. Jennifer tourna la tête sur le côté, un peu mal à l'aise et honteuse d'être à moitié nue sous lui.

- Regarde-moi ! ordonna-t-il sur un ton doucereux.

Elle obéit.

- Tu n'imagines pas l'effet que ton corps a sur moi, Jennifer. Je te désire si fort...

Et comme pour l'en convaincre, il prit l'une de ses mains et la porta à l'endroit où son pantalon avait été déformé par la bosse entre ses cuisses. Elle lui sourit.

- Tu as l'air impatient.

- Oui, fit-il en posant des baisés dans son cou. Mais... je sais me contrôler.

- J'attends de voir ça !

Comme si l'envie de relever le défi l'excitait, il se redressa et lui lança un regard lascif avant de recommencer ce qu'il avait suspendu. Fermant les yeux, Jennifer se mit à savourer ces instants de plaisir, ces sensations que ses lèvres procuraient à son corps. Il la caressait délicatement, comme s'il avait peur de la blesser. Jennifer poussa un petit cri lorsqu'elle sentit ses lèvres sur la pointe dure de son sein. Elle ouvrit automatiquement les yeux.

- Garde les yeux fermés et savoure...

Elle ne se fit pas prier. C'était tellement bon tout ce qu'il lui faisait... Sa langue, ses lèvres, ses mains la mettaient au supplice. Elle n'arrêtait pas de murmurer son nom en gémissant alors qu'ils venaient à peine d'entamer les préliminaires. Yeux toujours fermés, elle le sentit faire descendre lentement le seul sous vêtement qu'il lui restait. Elle sentit une vague d'appréhension lui nouer l'estomac mais se força à rester sereine. Déjà, Albert reprenait ses lèvres en lui chuchotant des mots doux à l'oreille. L'intérieur des cuisses de Jennifer était toute moite. Elle ne pouvait plus supporter ce petit jeu de torture. Elle voulait le sentir en lui. Elle voulait qu'il la prenne et la fasse ressentir ces plaisirs qu'elle n'arrêtait pas de s'imaginer.

- Al...

- Je sais... mais sois patiente.

Ravalant une protestation, elle le laissa continuer à l'enflammer. Jennifer retint ensuite son souffle lorsqu'il se mit à faire glisser sa main sur sa poitrine, son ventre plat et s'aventurer encore plus bas.

- Ta peau est vraiment douce, Jen, déclara-t-il en continuant à lui sucer les seins. Je risque de perdre la tête... Oh mon Dieu ! Tu n'imagines pas à quel point j'ai rêvé de ce moment.

Sa main continuait son exploration, accentuant son trouble. Jennifer avait peur de perdre le contrôle avant même que les choses sérieuses ne commencent. Sans prévenir, Albert écarta lentement ses cuisses et posa sa main sur son sexe humide.

- Aaah !

Jennifer ouvrit brusquement les yeux et se redressa à la hâte en l'entendant hurler comme s'il venait de se faire brûler. Elle fut encore plus affolée en voyant l'expression d'effroi qui s'était peinte sur son visage. Albert avait brusquement quitté le lit et s'était arrêté à quelques mètres de là, l'air déboussolé. Automatiquement, un million de questions passèrent par la tête de Jennifer. Que se passait-t-il ? Ne comprenant pas sa réaction, elle ramena honteusement le drap sur son corps nu.

- Al...? fit-elle à la quête d'une explication à ce qui venait de se passer.

- Tu... tu...

- Que se passe-t-il ? Dis-moi je t'en prie !

- Jennifer, tu n'es pas...

- Mais quoi bon sang ?!

- Tu...tu n'es pas excisée !

Ces mots prirent un temps fou à atteindre l'oreille de Jennifer et pénétrer son cerveau avant qu'elle ne comprenne leur sens. Jennifer avait l'impression que son cœur s'était arrêté de battre.

- Quoi ?

- Comment as-tu pu me cacher une chose aussi importante ? fit Albert d'un ton qui ne tremblait plus. Tu n'as pas subi d'excision ! En touchant ton sexe, je viens de m'en rendre compte. Pourquoi ne m'a tu rien dis ? hurla-t-il en la foudroyant du regard.

- Qu'est-ce que tu racontes ?

- Tu m'as très bien entendu !

Excédée, elle se leva du lit et essaya de l'approcher.

- Reste où tu es ! s'écria-t-il.

La rage s'empara de Jennifer lorsqu'elle comprit que cela n'avait rien d'une plaisanterie.

- Tu es sérieux là ?

- Comment se fait-il que tu ne sois pas excisée ? Dis-moi !

- Non mais tu délire ou je rêve ?! À ce siècle, tu me parle de cette pratique déshonorante ? Tu es pour ce genre de...de pratique ?

- Oui ! répondit-il sans baisser le ton. Ne pense pas que parce que j'ai vécu en occident, j'ai perdu mes valeurs africaines. Mes parents sont très attachés à ces us et coutumes, et moi aussi !

- Tu appelles cette pratique valeur ? Sais-tu au moins combien de jeunes filles, ou de fillettes meurent par an à cause de cette... pratique ?

- Tu racontes du n'importe quoi ! Toutes les femmes de ma famille ont été excisées et aucune n'est morte figures toi.

Jennifer regardait l'homme qu'elle venait d'épouser comme si c'était un inconnu. Elle n'arrivait toujours pas à comprendre. Etait-il en train de devenir fou ? Lui qui avait vécu tant d'années à l'occident, lui qui avait des diplômes, lui qui voyageait sans cesse... de quoi parlait-il ? Elle essaya néanmoins de se calmer en prenant une profonde inspiration. Elle essaya à nouveau de l'approcher mais il l'arrêta d'un geste de la main.

- Je ne pourrai jamais vivre avec une femme qui n'est pas excisée. C'est impossible ! Si j'avais su....

- Tu ne m'aurais pas épousé ?

- Oui ! affirma-t-il en le regardant droit dans les yeux.

Les larmes montèrent aux yeux de Jennifer qui serra les poings pour les refouler.

- Tu as perdu la tête, murmura-t-elle. Tu veux me dire que toutes les femmes avec lesquelles tu as couché avant moi étaient excisées ? C'est ce que tu essaies de me dire, Al ?

- Non, répondit-il en prenant sa chemise. Ces femmes-là étaient des distractions. C'était des femmes sans aucune pudeur et qui n'ont aucune considération pour leurs corps. Je refuse que ma femme soit une...

- Dévergondée ? hurla Jennifer. Tu t'entends parler ? C'est absurde cette histoire et tout ce que tu me dis là, Al. Mais qu'est ce qui te prend ? Je... je pensais te connaître mais je me rends compte que non.

- Moi aussi je pensais te connaître. Si je n'ai pas abordé ce sujet plutôt, c'est parce-que je me disais que tu serais certainement excisée. Dans ton village cela se fait non ? J'ai été négligeant et je le regrette amèrement.

Incapable de se contenir plus longtemps, Jennifer laissa les larmes couler sur sa joue. C'était donc de la sorte qu'elle allait terminer une journée aussi bien débutée ? Evidemment, tout était beaucoup trop beau pour être vrai. Albert finit par boutonner sa chemise et se dirigea vers la porte.

- Où vas-tu ? questionna-t-elle, inquiète.

- Je veux être seul !

Sur ce, il ouvrit la porte et s'en alla.

            
            

COPYRIGHT(©) 2022