C'était le 19 février 2010 jour que jamais je n'oublierai. Je me suis levée ce matin de bonheur je voulais voir mon homme. Alors j'ai pris mon bain ensuite j'ai enfilé un jean et enfin un gloss puis je suis sortie

-MAMAN NADINE: Lucie où vas tu ?

-LUCIE: Oui tata je vais voir David. Il ne se sentait pas trop bien hier

-MAMAN NADINE: Et tu es médecin ? En tout cas vas y et n'oublie pas mon argent

-LUCIE: D'accord tata

Je suis arrivée chez David et trouver des gens en pleure. Mon cœur a fait un boom j'ai eu des vertiges. J'ai quand même pris mon courage à deux mains et je suis entrée. Arrivée au salon j'ai trouvé le corps de mon homme. Mon David, le seul qui me retenait en joie. Seigneur pourquoi ? Pourquoi moi ? Je ne mérite pas le bonheur ? Mon dieu pitié David s'il te plaît ne me fait pas ça.

J'étais là assise à la véranda pleurant lorsque sa mère est venue me trouver et me dit;

-C'est toi Lucie lourdes ?

J'ai juste hoché la tête en guise d'affirmation. Alors elle me tendit une enveloppe et me dit que ce sont ces dernières volontés (jusqu'aujourd'hui je n'ai jamais eu la force de le lire) et me demanda d'être forte et surtout de ne plus jamais revenir chez elle (je me demandais vraiment pourquoi) .

Je suis rentrée à la maison ce jour m'en fermé dans ma chambre et je ne suis plus sorti. Le lendemain à 5h, ma tante m'appella pour me demander pourquoi hier je ne suis pas venue lui donner son argent.

DANS LA CHAMBRE DU COUPLE COLMAN.

Il était 23h30 lorsque le couple échangeait sur le sujet

-PAPA NADINE: Mince b le maître est fort il s'est servi cette fois ci de nos faiblesses

-MAMAN NADINE: Tu parles. Pour nous est mieux imagine que je te faisais une sodomie spectrale où que je ramène un homme moins âgé et ensemble on partageait cela

-PAPA NADINE: Tu as raison chéri. Dit bb mouille moi la bite avant

Elle posa sa langue sur sa bite et commença à sucer ça correctement. Avec quand même peu le temps pour les préliminaires il écarta le trou de cul de son épouse un peu un peu. Elle criait gémissait mais ça a fini par entrer

-PAPA NADINE: Ooooooooh j'ai vu dieu oui maman je n'ai jamais vu le genre ci... Oui bb bouge ton cul

-MAMAN NADINE: huuuummlll hummmllllll hummmllllll

-PAPA NADINE: Mmmmm oui ça vient bb

Je me suis levée avec les yeux tout rouge et enflé. Tellement j'avais pleurer;

-Tata David est mort

-MAMAN NADINE: Et ça a quoi a y voir avec mon argent. Pardon si tu ne l'as pas tu sais quoi faire

-LUCIE: Tata pardon laisse moi juste cette journée pour faire mon deuil

-PAPA NADINE: David est mort jusqu'à tu pleures. Ma chérie la vie continue. Apporte nous les 20 milles d'hier. Si ça dort les intérêts augmentent

-LUCIE: Je paierai les intérêts. Pitié laissez-moi cette journée

-PAPA NADINE: Ça fera 45 milles pour hier aujourd'hui et les intérêts

-LUCIE: D'accord

Je suis allée me renfermer dans la chambre. Jusqu'à environ 18h je suis sortie avec ce bout de papier pour me rendre à la plage. Je pleurais, je hurlais. C'était trop fort pour moi. Que devrais-je faire ? Où devrais-je aller ? Et notre rêve alors ? Je ne sais pas pourquoi tu m'as laissé et crois-moi je vais te rejoindre. Je m'apprêtais vraiment à me donner la mort lorsque une main m'a rattrapé et c'était Sonia claims. Elle m'a arrêté et me prendre dans ses bras

-SONIA: Hey qu'est ce qui se passe ? Arrête peu importe ce qui se passe. Tu dois montrer à la vie que tu es forte. Arrête de pleurer et relève toi. Moi j'ai vu mon beau père faire l'amour à une jeune d'à peine 18 ans et il gémissait le pire est que ma mère le soutenait donc imagine comment je me sens et toi..?

-LUCIE: Je me sortais avec un vieux pour ramener de l'argent à mes parents afin de ne pas me prostituer. J'ai trouvé un homme qui a changé cela et il est mort hier. À peine mort, mes parents me demandent de leurs rapporté de l'argent 45 milles ce soir

-SONIA: C'est vrai que le tien est compliqué. Mais crois-moi ce n'est toujours pas une raison pour te tuer, tu dois trouver une solution. Moi je vais juste rentrer à la maison et causer avec mes parents. Toi tu devras aller vers ton ex patron et demander pardon. Je pense qu'il te prendra. Essuie tes larmes et bas-toi, tu n'as pas de choix

-LUCIE: tu as raison je dois y aller

-SONIA: je ne connais pas ton nom.

-LUCIE: Moi c'est Lucie lourdes

-SONIA: On se donne rendez-vous demain à la même heure. Si ça te dit

-LUCIE: D'accord

C'est ainsi que notre amitié à commencé et nous sommes devenus ce que nous sommes aujourd'hui. J'ai passé toute la journée du lendemain à la maison. Ma tante est venue récupérer mon téléphone comme quoi je ne le mérite pas. J'y étais pas attaché du coup je n'ai eu rien à faire jusqu'au soir où je suis allée dans le snack de M. Gustave. C'était devenu plus grand bref c'est le changement d'aujourd'hui avec les mêmes filles et le reste. Dès que je suis arrivée je me suis dirigée vers son bureau. J'ai toqué et je suis entrée. Dès qu'il m'a vu il a bondi sur moi comme s'il m'attendait. Il m'embrassait et comme il a constaté que je ne répondais pas, il s'est arrêté et je pris la parole;

-M. Gustave pitié je vous implore j'ai besoin d'argent (Il se mit à rire rire rire il se moquait de moi mais je me suis pas laissé) je serai prête à faire n'importe quoi pour revenir pitié

-M. GUSTAVE: Qu'est-ce qui s'est passé ? Tu n'es plus amoureuse?

-LUCIE: C'est une longue histoire et pour résumer il est mort

-M. GUSTAVE: Je suis désolée d'un pour sa mort et de deux parce que je ne peux t'embaucher

-LUCIE: Mr je vous assure que même si vous me demandez de laver le sol je le ferai

-M. GUSTAVE: (il resta quelques secondes silencieux et me répondit d'une manière très calme) Je vais te prendre, tu travailleras au même titre que les autres. Tu baiseras et tu te feras baiser dans tous les trous de ton corps. Tu feras tout ce que je te demande et si jamais un seul jour tu refuses tu verras. Je connais ton histoire, je connais ta vie et je suis sûre que tes parents t'ont demandé de l'argent encore (J'ai juste baissé les yeux en guise d'acceptation) et il demanda il te faut combien

-LUCIE: 50 milles

-M. GUSTAVE: Je vais te donner. Et t'inquiète ce n'est pas un prêt juste pour que tu fasses ton deuli. Tu commencera le travail lundi.

-LUCIE: Merci monsieur. Vraiment merci.

Il m'a tendu les cinquante mille puis je suis allée à la plage. J'ai attendu Sonia jusqu'à me fatiguée et c'est net au moment où je devrais reprendre ma route qu'elle arrive toute joyeuse

-LUCIE: Mais qu'est ce qui te rend si joyeuse ?

-SONIA: J'ai causé avec maman et elle m'a fait comprendre qu'elle rentrait juste et avait surpris mon père. Elle a fait les problèmes et lorsque qu'elle m'a entendu entrer il fallait qu'elle se calme pour me protéger, Ensuite que mon père lui a dit qu'il était ivre et à demander les excuses

-LUCIE: Tu vois donc que c'était un malentendu

-SONIA: Oui oui et toi alors

-LUCIE: Je suis allée voir mon ex patron il m'a pris mais avec plusieurs conditions j'ai donc tout accepter. Il m'a aussi donné 50 milles. Je vais te donner 5 milles d'arrêter et à chaque fois que je le pourrai je te donnerai

-SONIA: J'en prendrai grand soin. Viens connaître chez nous.

Nous sommes allés chez eux. Elle m'a montré la pharmacie qu'elle gère à l'absence de sa mère ensuite je lui ai montré la maison de ma tante et nous nous sommes assises sur des bancs publics à parler de tout et de rien. Elle m'a dit qu'elle traitement je dois prendre après chaque rapport sexuel comme anti douleur ou antibiotiques. Elle m'a parlé de son petit ami Armand et de leur relation compliqué. À la fin je me suis souvenue de David, mon David

-SONIA: Ecoute ce n'est pas grave tu m'as moi pour te conquérir

-LUCIE: Tu sais à quel point c'est douleureux. Ma seule erreur était de croire que tout deviendra subitement rose, je l'aimais Sonia. J'ai oublié d'où je sortais en le faisant. Regarde cette chaîne c'est lui qui me l'a offerte ainsi que cette bague . Je vais la jeter aux oubliettes

-SONIA: Tu ne peux le faire. Qu'as-tu mangé ?

-LUCIE: Euh euh du du

-SONIA:(en rigolant) Menteuse

Elle me rappelle tellement mon David. Nous sommes allés dans un restaurant de la place achetée à manger puis je suis rentrée à la maison

-MAMAN NADINE: Tu crois que je blague ? Où sont mes 45 milles

-LUCIE: Voici ça tata

Elle s'était mise à compter et me fouiller puisqu'elle n'a rien trouvé elle m'a envoyé dans ma chambre. Je suis arrivée, j'ai déchiré le matelas par le bas et y insérer dans un nylon la bague, la chaîne, l'enveloppe et j'ai commencé à faire mon deuil. Seigneur tout me revenait. Je voyais nos projets, nos ambitions. Mais lorsque je pensais à Sonia, je me calmais. Seule elle avait une partie David j'en suis sûre. J'étais presque endormie lorsque j'ai entendu frappée à ma porte une deux trois fois. C'est là, je me lève et je trouve papa Nadine. Il me poussa et je suis tombée sur le lit. Je me débattais alors il me gifla

-PAPA NADINE: La ferme

Ma robe était monté à mi- cuisses. Il envoya sa main et me trouva en caleçon il le déchira de toutes ses forces et envoya sa main dans ma chatte. Il me doigta pendant une bonne période et carta mes cuisses en baissant sa fermeture et me pénétra

-PAPA NADINE: Uuuuhhhhhmmmmmm c'est bien serré

Il me baisa copieusement ensuite me passa en levrette me pénétré sèchement. Il me baisait tout en claquant mes fesses. Lorsqu'il senti qui voulait jouir, il me retourna sur le lit monta vers ma poitrine. Il avait mis sa bite au milieu, pressa mes seins en les baisant. Au moment de jouir il versa cela sur ma face et me demanda de lécher ce dernier. Alors que j'ai fini, il sortit sans mot dire et me laissa. J'ai pris toute la force du monde essuyer mes larmes qui ruisselait le long de mes joues entrer dans les toilettes prendre mon bain et revenir me coucher et attendre que Morphée m'appelle...Voilà donc l'histoire de la relation entre M. Gustave et moi

À suivre....

By CAMOUCH; LOLO