Isabelle ouvrit immédiatement la porte et retira immédiatement la clé pour ne pas que Krist la prenne. Krist entra et prit le numéro de Rachel avec Isabelle puis il sortit.
Isabelle : où tu vas, tu m'avais dit que j'allais causer avec ma mère ?
Krist : j'ai changé d'avis.
Isabelle : je te déteste Krist.
Krist : non, tu m'aimes.
Il sortit et appela Rachel. Isabelle referma la porte en la claquant et s'assit sur le lit toute furieuse.
*Chez Jeremy.
Vers 17h, Rachel se rendit dans sa chambre pour prendre une douche et elle reçut un appel de Krist.
Rachel : allo !
Krist : si vous êtes à côté de votre mari, éloignez-vous immédiatement et discrètement !
Rachel : je ne suis pas à côté de lui. Qui êtes-vous ?
Krist : votre mari ne doit pas être au courant de cet appel ok ?
Rachel : qui êtes-vous ?
Krist : je suis celui qui détiens votre fille et si vous voulez la revoir, ne parlez pas de cet appel à votre mari, compris ?
Rachel : oui, oui, j'ai compris, je veux parler à ma fille.
Krist : non, écoutez-moi très bien. Vous allez acheter une autre mallette identique à celle de votre mari. Vous allez mettre des papiers à l'intérieur et l'échanger avec celle de votre mari qui contient l'argent de la rançon et vous allez la cacher. Je vous appellerai demain pour que vous me remettiez l'argent. Ecoutez-moi très bien madame, si votre mari ou la police est au courant de cette affaire, vous ne reverrez plus jamais votre fille de toute votre vie, m'avez-vous comprise ?
Rachel : oui c'est compris, je veux parler à ma fille.
Krist : votre fille va très bien, vous la reverrez demain.
Il raccrocha. Rachel ne pouvait plus prendre sa douche, elle décida de sortir.
Jeremy : chéri, tu ne t'es pas lavée, où tu vas ?
Rachel : une amie vient de m'appeler, un malheur lui ai arrivé, je vais la voir et je vais me laver plus tard.
Rachel monta dans sa voiture et sortit. Elle alla acheter une mallette identique à celle de son mari et elle acheta quelques feuilles de papiers pour y mettre puis elle rentra une heure plus tard. Elle laissa la mallette dans sa voiture et entra pour trouver son mari au salon.
Jeremy : qu'est-il arrivé à ton amie ?
Rachel : on l'a simplement volé, rien de très grave.
Jeremy : d'accord.
Rachel : tu as déjà mangé ?
Jeremy : je n'ai même pas faim.
Rachel : il faut quand-même que tu manges. Attends je vais nous chercher à manger.
Elle alla chercher à manger.
Jasmine : madame, je peux vous apporter à manger.
Rachel : non, cava Jasmine, je m'en charge. Tu peux aller te reposer.
Jasmine : d'accord, merci madame.
Rachel servit deux plats et mis un peu de somnifère dans le plat de son mari puis elle le lui apporta. Elle tint aussi son plat et ils mangèrent ensemble. Quelques minutes après, Jeremy a envie de dormir.
Rachel : chéri, tu es vraiment très fatigué, il faut que tu dormes un peu.
Jeremy : oui, je crois que tu as raison.
Elle le conduisit dans sa chambre et l'allongea sur le lit. Elle retourna au salon.
Rachel : Jasmine, vas me préparer du thé s'il te plait.
Jasmine : d'accord madame.
Jasmine se rendit dans la cuisine et Rachel alla à sa voiture pour prendre la fausse mallette. Elle l'apporta dans la chambre de son mari et fit l'échange. Elle apporta la mallette avec l'argent dans une autre chambre et la cacha.
*Chez Krist.
Jusqu'à 21h, Isabelle refusa d'ouvrir à Krist. Elle avait même refusé le diner qu'il avait préparé. Krist supplia en vain et retourna dans sa chambre pour dormir. Isabelle se coucha sur son lit et repensa au moment où Krist et elle, jouèrent avec les cousins.
*Pensées
Isabelle :...je t'aime.
Krist : pardon, qu'est-ce que tu viens de dire ?
Isabelle :...je t'aime.
*Réalité.
Isabelle : non, non, c'était pas moi, non c'était quelqu'un d'autre. Comment j'ai pu lui dire ça, je lui ai vraiment dit je t'aime ? Non, non, non, c'était pas moi, moi je n'ai pas dit ça. Je ne peux jamais aimé quelqu'un qui m'a enlevé. Ce n'est pas comme ça que je comptais rencontré l'amour.
*Pensées.
Krist : dès demain, tu pourras rentrer chez toi... Je pourrais te manquer... Nous avons cuisiné ensemble, je te donne à manger, je t'ai tressé, on a passé de bons moments ensemble, tout ça pourrait te manquer.
*Réalité.
Isabelle : tu te trompes Krist, tu ne vas pas me manquer, je vais t'oublier même pas en deux jours... Enfin... j'espère.
Elle entendit Frapper à la porte.
Isabelle : laisse-moi tranquille Krist !
Krist : tu pensais à moi n'est-ce-pas ?
Isabelle : vas-t-en Krist, laisses-moi tranquille !
Krist : je n'arrive pas à dormir Isabelle, il faut que tu me pardonnes.
Isabelle : tu m'as trompé deux fois dans une même journée Krist.
Krist : je sais et c'est pour ça que je te demande pardon. Tu vas partir demain et je ne voudrais pas être en désaccord avec toi.
Isabelle : retournes dans ta chambre et laisses-moi dormir !
Krist : je ne bougerai pas d'ici si tu ne me pardonnes pas.
Isabelle : alors restes là !
Krist s'assit devant la porte, dos contre le mur et l'heure passa mais Isabelle refusa d'ouvrir. Il finit par s'endormir là assis, Isabelle aussi. Elle se réveilla vers 02h du matin et alla ouvrir la porte pour voir et trouva Krist endormi devant sa porte.
Isabelle : ce n'est pas vrai, Krist, Krist réveille-toi !
Il se réveilla.
Krist : que se passe-t-il ?
Isabelle : regardes où tu dors ? Vas dans ta chambre !
Krist : non.
Isabelle : je te pardonne Krist, tu peux retourner dans ta chambre.
Krist : non, si tu me pardonnes juste pour que je retourne dans ma chambre, je ne veux vas de ce pardon.
Isabelle : mais non, je te pardonne sincèrement de tout cœur, ma colère est passée.
Krist : comment puis-je te croire ?
Isabelle : que veux-tu que je fasse pour te le prouver ?
Krist : je veux un baisé sur mes joues.
Isabelle : non.
Krist : c'est ce que je disais.
Isabelle : bon d'accord.
Elle donna un baisé sur chacune de ses joues.
Krist : là je te crois. Tes lèvres sont si douces.
Isabelle : vas-t-en maintenant !
Krist : merci !
Il retourna dans sa chambre et Isabelle retourna sur son lit en oubliant de fermer la porte parce que toute contente. Elle s'endormit peu de temps après. A 05h du matin, Krist vint dans sa chambre et s'assit devant elle pour l'observer très attentivement puis il la prit en photo. Isabelle se réveilla.
Isabelle : qu'est-ce que tu fais ?
Krist : je te regarde pour la dernière fois. Je crois que je n'oublierai jamais ce visage de toute ma vie.
Isabelle : ne dis pas n'importe quoi.
Krist : Bonjour, tu as bien dormi ?
Isabelle : tu m'as empêché de dormir.
Krist : tu pensais à moi ?
Isabelle : je n'ai pas dit ça et jamais je ne pourrais penser à toi.
Krist : d'accord, ce n'est pas grave. Est-ce que tu veux bien me préparer un dernier petit déjeuner ?
Isabelle : tu as de la chance que j'aime cuisiner.
Krist : tu es sûr que c'est pour ça ?
Isabelle : pourquoi d'après toi ?
Krist : parce que tu m'aimes.
Isabelle : c'est comme ça maintenant ? Très bien, vas faire ta cuisine !
Krist : Je suis désolé, s'il te plait, fais-le pour moi, aller princesse.
Elle sourit.
Isabelle : bon d'accord, mais tu arrêtes de me provoquer.
Krist : merci, tu as un grand cœur.
Ainsi, Isabelle se leva pour aller préparer. Krist alla bander sa main droite et y mit quelque chose de couleur rouge comme le sang puis il rejoignit Isabelle.
Isabelle : oh mon Dieu, qu'est-ce qui t'es arrivé au bras ?
Krist : je suis tombé, je crois que je me suis cassé le bras.
Isabelle : oh mon Dieu, il faut que tu ailles à l'hôpital !
Krist : j'ai une trousse de secours que j'ai utilisé, ça me permettra de faire l'échange avant d'aller à l'hôpital.
Isabelle : il faut que tu ailles d'abord à l'hôpital.
Krist : merci de t'inquiéter mais ça ira.
Isabelle : je suis désolée.
Krist : merci.
Elle finit de préparer et ils devaient manger. Krist n'arrivait pas à tenir la cuillère avec sa main droite. Il essaya avec la main gauche mais il ne fait que renverser la nourriture sur lui.
Isabelle : laisse ça, je vais t'aider.
Isabelle lui mit donc la nourriture dans la bouche.
Krist : hummmmm, que c'est délicieux ! Humm ! Ça va vraiment me manquer.
Isabelle : merci !
Krist : merci à toi, c'est gentil de me donner à manger.
Isabelle : je ne pouvais pas te laisser comme ça.
Krist ouvrit la bouche en la regardant dans les yeux et elle détourna son regard. Elle baissa la tête pour sourire.
Krist : tu te moques de moi ?
Isabelle : non, non, pas du tout, je suis désolée.
Krist : ok. Ce n'est rien.
Krist prit la cuillère et lui donna à manger aussi.
Isabelle : je croyais que tu n'arrivais pas à tenir la cuillère ?
Krist : pour toi, je peux aller au-delà de mes limites et de mes capacités, je peux faire l'impossible pour toi.
Isabelle : qu'est-ce que ça veut dire ?
Krist : puisque tu vas partir et que personne ne sait ce qui arrivera par la suite, je tiens à ce que tu saches ce que je ressens pour toi Isabelle, je n'ai jamais pensé ressentir une telle chose pour toi mais c'est arriver et ça me rend tellement heureux de ressentir ce sentiment. Il n'y a pas de mots assez forts pour te décrire ce sentiment qui bouillonne en moi comme un magma, j'ai tellement fouillé mais je n'ai trouvé que trois mots.
Isabelle : et c'est quoi ces trois mots ?
Krist : Je t'aime !
Isabelle (sourire): c'est parce que je te donne à manger que tu es inspiré comme ça ?
Krist (sourire) : non, je suis sincère.
Isabelle : eh bien, cet amour est dans le vide parce qu'il n'est pas réciproque. Je ne peux pas aimer une personne qui m'a enlevé.
Krist : l'amour ne choisit pas de circonstances Isabelle mais bon, ce n'est pas grave. Il y a juste une chose que je ne comprends pas...
Isabelle : quoi donc ?
Krist : c'est que tu m'as dit que tu m'aimais hier.
Isabelle : eh bien, c'était juste pour te faire souffrir Krist, je priais pour que tu tombes amoureux de moi et Dieu a exaucé mes prières.
Krist : ce n'est pas grave. Si je dois souffrir par amour pour toi, ça sera avec plaisir et joie. J'ai rencontré la plus belle de toutes les filles, je l'ai porté dans mes bras, je lui donné à manger, je l'ai tressé. C'est un privilège pour moi Isabelle et ça me suffit.
Isabelle : tant mieux !
Il la regarda et elle détourna son regard mais elle le regarda quand son regard fut ailleurs.
Krist : attends, tu as vraiment prié pour que je tombe amoureux de toi ?
Isabelle : oui.
Krist : alors je suis l'homme le plus chanceux du monde.
Isabelle : pourquoi tu dis ça ?
Krist : parce que si tu priais pour que je tombe amoureux de toi, cela veut dire que tu étais déjà amoureuse de moi et tu me l'as fait savoir hier.
Isabelle : arrête avec ça ok, ce n'est pas parce que je t'ai dis je t'aime que c'est vrai, je ne t'aime pas. Je te déteste.
Krist : moi en tout cas, je t'aime et je suis très heureux de l'assumer. Je suis sûr que tu es une personne exceptionnelle et je suis très heureux de tomber amoureux de toi. Je ferai de toi ma femme.
Isabelle : c'est vrai que le rêve est permis alors tu peux rêver de moi autant de fois que tu veux. Mais tous les rêves ne se réalisent. J'espère juste que tu ne me vois pas nue dans tes rêves et que tu te fasses des scènes avec moi.
Krist : eh bien, si tu as envie que je te fasse l'amour, tu n'as qu'à demandé. C'est quoi cette histoire de te voir nue dans mes rêves ? C'est pour dire que tu as envie que je te...
Isabelle : arrête avec tes idées perverses. Non mais tu es malade. Tu prends toujours tout pour de l'amusement toi. Je dis un mot et tu le transformes contre moi, pourquoi tu fais ça ?
Krist : c'est simple : c'est parce que je t'aime.
Elle était dépassée alors elle se lève pour partir.
Krist : attends, tu oublies quelque chose.
Isabelle : quoi ?
Krist : ton cœur est avec moi.
Elle fonce sur lui pour le frapper et en levant sa main droite pour barrer, Isabelle y touche alors il tombe en criant de douleur.
Krist : aïe, aïe, aïe, mon bras, tu as cassé mon bras Isabelle, pourquoi tu veux me tuer Isabelle ?
Isabelle : je... je suis tellement désolé Krist, je... je ne voulais pas te faire de mal. S'il te plaît, dis-moi ce que je dois faire pour t'aider.
Krist : va-t'en, je ne veux plus te voir. Tiens, voici les clés de la porte, tu peux partir et tant pis si tu me dénonces à la police, mais je ne veux plus te voir. Dégages !
Isabelle : s'il te plaît Krist, pardonne-moi, je... je ne l'ai pas fait exprès.
Krist : c'est ce que tu voulais non, me faire du mal et partir d'ici. Maintenant tu peux partir Isabelle, voici les clés. Aïe... aïe... mon Dieu ! Qu'est-ce que ça fait mal.
Isabelle : s'il te plaît lève-toi, il faut qu'on aille à l'hôpital !
Krist : ne fait pas semblant de compatir, laisse-moi et va-t'en. Je ne veux même plus l'argent. Tu peux partir et faire venir la police, je suis prêt à assumer les conséquences de mes actes. Je te déteste Isabelle.
Isabelle (pleurs) : s'il te plaît Krist, ne me dit pas ça. Je... je suis tellement désolé, pardonne-moi.
Krist : pourquoi tu es encore là Isabelle, tu ne veux plus rentrer chez toi ?
Isabelle : si mais... mais je... je...
Krist essaie de se lever et elle essaie de l'aider.
Krist : laisse-moi !
Il lui laisse la clé du salon et se rend dans la chambre en étant sur ses gardes de revenir vite si jamais elle essaie de partir mais à sa grande surprise, Isabelle le suit. Elle frappe et entre.
Krist : incroyable ! Tu n'es pas partie, tu veux quoi ? Pourquoi tu ne t'en vas pas, c'est ce que tu as toujours voulu non ?
Isabelle : oui mais plus maintenant.
Krist : et pourquoi ça ?
Isabelle : parce que je t'aime.
Krist : je ne te crois pas.
Isabelle : je t'aime vraiment, de tout mon cœur.
Il garda le silence et ils se regardèrent.
Isabelle : crois-moi, je t'aime vraiment !
Krist se lève du lit en sautant de joie et prend Isabelle dans ses bras. Il tourna sur lui-même avant de la déposer.
Krist : je le savais et tu peux être sûr que moi aussi je t'aime de tout mon cœur.
Isabelle : Krist, qu'est-ce que ça veut dire, ton bras ?
Krist : oh, c'était juste une ruse pour savoir si tu m'aimais vraiment.
Isabelle : as-tu idée d'à quel point tu m'as fait peur Krist. Tu es vraiment malade. Tu crois que c'est bon de jouer avec l'émotion des gens comme ça ?
Elle lui donne une gifle et s'enfuit de la chambre en courant. Krist la poursuit. Le temps qu'elle ouvre encore la porte du salon avec la clé, il l'attrapa et alla l'enfermer dans sa chambre.
Isabelle : je te déteste et je vais t'envoyer en prison maintenant.
Krist ferma la porte et la laissa. Isabelle parle toute seule.
Isabelle (pleurs) : mon Dieu, j'aurai dû partir ! Pourquoi tu pleures Isabelle, même si tu avais décidé de partir, il t'aurait rattrapé puisqu'il n'était pas blessé. Tu as commis l'erreur de tomber amoureuse de lui alors maintenant tu ne peux plus faire machine arrière. Mon Dieu ! Comment j'ai pu tomber amoureuse de mon kidnappeur ?
*Chez Jeremy.
Rachel réveilla son mari.
Rachel : chéri, tu as vraiment trop dormi hier.
Jeremy : c'est vrai, j'avais dormit très profondément.
Rachel : le petit déjeuner est prêt.
Jeremy : d'accord, j'arrive.
Rachel le laissa et il se brossa les dents puis il rejoignit sa femme pour manger. Jasmine apporte la part d'Arsène.
Arsène : merci chérie, tu t'occupes toujours bien de moi.
Jasmine : ne m'appelles pas comme ça, je ne serai jamais ta chérie.
Arsène : mais pourquoi bébé ?
Jasmine : je suis servante et je vais sortir avec un gardien de porte pour avoir quel avenir ?
Arsène : je ne vais pas mourir gardien ma toute belle, tu ne sais peut-être pas mais très bientôt je vais soutenir mon master 2 en droit. C'est parce que je n'ai pas d'argent pour pouvoir faire ma soutenance que je suis là juste pour trouver d'argent, soutenir mon mémoire, suivre des formations et me lancer dans la société civile. Je vais devenir riche et je construirai une maison qui dépassera celle-ci dans laquelle on vivra toi et moi en tant que mari et femme.
Jasmine : tu rêves trop.
Arsène : sans rêve, la vie n'aurait aucun sens et je te promets que je réaliserai ces rêves, vouloir c'est pouvoir.
Jasmine : d'ici là, peut-être que je serai déjà mariée.
Arsène : non ma chérie, tu seras ma femme. C'est ma dernière année ici en tant que gardien. Je vais commencer la réalisation de mes rêves.
Jasmine : c'est bien, bon appétit.
Arsène : tu ne vas pas me dire que tu ne ressens rien pour moi ?
Jasmine : non, rien du tout.
Arsène : en tout cas je garde espoir ma beauté et si tu ne m'aime pas maintenant à cause de ce que je suis, tu m'aimeras plus tard quand j'aurai beaucoup d'argent.
Jasmine(sourire) : pour qui est-ce que tu me prends ? Si je t'aime, je t'aime et si je ne t'aime pas, je ne t'aime pas, que tu aies l'argent ou pas.
Arsène : oh mon Dieu, tu viens de dire que tu m'aimes ; oh merci Seigneur !
Jasmine : tu délires !
Elle s'en alla.
Arsène : je sais que tu m'aimes même si tu ne veux pas le reconnaitre.
Jasmine : dans tes rêves.