Chapitre 3 COURAGE ET ANXIÉTÉ

Le chef de la police : voilà en général ce que nous devrions faire pour réussir cette mission. Des questions ?...

Personne ! Bien ! Sur ceux! Constituons les groupes et que chacun se charge de mener à bien sa mission.

L'inspecteur Marc serra a la tête du second groupe, l'officier en chef s'occupera du second groupe de sauvetage elle s'occupera de sauver les gosses. Le fils du protecteur supervisera le premier groupe de sauvetage.

Quant à moi je m'occupe du groupe qui fera le cobaye.

Préparer vos munitions nous allons à la chasse aux monstres et cette fois-ci pour de vrai...

Que chacun prie son DIEU pour qu'il s'en sorte vivant.

Bonne chance soldats !

L'officier en chef : commandant!

Le chef de la police : oui! Quoi?

L'officier en chef : je voulais vous dire merci !

Le chef de la police : Merci ! Mais pour quoi ?

L'officier en chef : vous savez, il faut du courage pour redynamiser la troupe comme vous l'avez fait. Et en plus après avoir vu a quoi on tiendra tête.

Le chef de la police : Écouter! C'est de ma faute ce qui est arrivé à leur frère d'armes. J'ai causé la mort de ses derniers parce que je n'ai pas voulu croire à ce que me disait ce guide que j'ai traité de singlet. Et voilà où on n'en est.

L'officier en chef : Non ! Ne vous ...

Le chef de la police : ehhhh 🤫, je n'ai pas encore terminé.

Après avoir vu c'est homme mourir je me suis dit que s'il était mort c'était pour ses enfants. Et si nous après avoir vu ses monstres les infliger d'atroce souffrance, nous repartons sans rien faire, s'en les venger et pire abandonner ses enfants que nous avons promis de ramener saine et sauve à ses montres, c'est qu'ils seront morts pour rien. Et je refuse de sortir de cette forêt avec la conscience d'étranger, je refuse que tous aux temps que nous sommes nous sortions la tête baissée et couvert de honte. Donc ne me remerciez pas, c'est mon boulot. C'est notre boulot. Tous autant que vous êtes, vous avez eût le courage de me suivre et ça s'est eu félicité. Je m'apprête une fois de plus a privé plus de famille de ses hommes si la mission échoue. Donc merci à vous et tous ses hommes. Ont vas mètre ses montre six pieds sous terre ?

L'officier en chef : 😊

Le chef de meute : ma reine !

La reine mère : quelle sont les nouvelles ?

Le chef de meute : Nous avons éliminé presque tout...

La reine mère : quoi? Lorsque tu dis presque, cela signifie que vous en avez laissé d'autre s'échapper?

Votre manque de compétences devient de plus en plus fréquent. Cela nous met en dangers. Maintenant ils voudront chercher du renfort pour nous envahit. En n'a tu conscience ?

Le chef de meute : oui ma reine ! Pardonnez mon incompétence.

La reine mère : le vin est déjà tiré. Nous ne pouvions plus rien fait si ce n'est, nous préparer au combat. Tâcher de ne pas me décevoir encore une fois de suite. Si vous échoué, cela signifierait la perte de notre race.

Vous avez un grand rôle à jouer. Cela ne fait aucun doute que tu es le plus apte pour endosser se rôle. C'est pour cette raison que je t'ai nommé chef de meute.

Le chef de meute : je suis pleinement conscient de la lourde charge qui pose sur mes épaules.

La reine mère : Alors tâche de faire de ton mieux pour les empêcher de nous prendre les offrandes destinées à la jeune reine mère. Dépêchez-vous ils sont sur le point d'arrivée. Je le sens.

Le chef de meute : Bien ma reine, ou en n'est-on avec la venue de la jeune reine ?

La reine mère : plus que 3 heures, pourquoi cette question !

Le chef de meute : Non! Ma reine c'était au cas où...

La reine mère : Au cas où quoi?

Le chef de meute : juste au cas où nous serions contraints de battre en retrait, il va nous falloir gagner le maximum de temps pour favoriser un tant soit peu la venue de la jeune reine mère.

La reine mère : bien! Oui vous avez raison, ces humains sont très intelligents et dotés d'armes qui n'ont vraiment rien à envier à ceux pré- historique que nous possédons. Lorsqu'on pense à la victoire, il nous faut aussi penser à, je dis bien à comment tirer un avantage de la défaite. Bien que ... je ne l'a digéré guère. C'est une bonne idée. Donc vous avez 2h et 45 minutes avant l'arrivée de votre nouvelle reine tâcher de le faire savoir à vos soldats. D'aurez n'avant, le temps ferra partie de nos armes.

Le chef de meute : soldats, plus que 2h 43 min avant l'arrivée de notre jeune reine. Les humains qui ont réussi à nous échapper se prépare pour lancer un nouvel arceau. Ils ont pour objectif de libéré les offrandes qui constitue une source de vie inébranlable pour notre jeune reine mère tout le contraire de nous, nous, nous lutterons pour que ses offrandes soient consommées. Mais il y a un grand problème. Ils savent dès maintenant qui nous sommes, de quoi nous sommes capables, et à peu près le nombre que nous faisons, tout le contraire de nous. Cela montre déjà l'avantage qu'ils ont déjà sur nous. Dans ce cas Nous devrions donc nous attendre au pire. Ce qui nous reste à faire est de gagner un maximum de temps pour que naisse la jeune reine mère et consomme ses offrandes. Ainsi, une fois les offrandes consommées, ils seront déstabilisés car leur objectif serrait voué à l'échec. Nous profiterons alors pour les massacrer jusqu'au dernier. Préparer vous mes braves, Un nouvel empire nous attend😏.

Kevin (le plus âgé des enfants): crier, pleurer ne nous fera pas sortir de se enfer. Calmer vous ok! Vous les avez bien entendu ! Un grand nombre de flics savent déjà ou nous sommes et je suis sûr qu'ils ne vont pas tardera venir nous sauver.

Armand: Et qu'est-ce que tu en sais! Tu vois une bande de fics lutter contre ça. Hun! Ne me fais pas rire. Moi je pense que nous allons tous mourir ! Seul Dieu peut nous sauver.

Kevin : Et oui Dieu! Encore un croyant dévoué. Tous pathétiques. Tu peux me dire ce que faisait -on soit disant Dieu quand tous nous avons été enlevé?

Armand : Toi tu connais quoi de Dieu d'abord? Dieux n'en n'ont pour rien. Nous avons été juste trop curieux.

Kevin : En ok! Que nous conseilles-tu de faire alors ? Priez.

Elizabeth : Écouter ce n'est pas le moment de se disputer. Nous devrions d'abord trouver le moyen de quitter se endroit. Bien que c'est impossible. Nous ne pouvions qu'espérer que ses flics réussissent.

Les autres enfants : Elle a raison ?

Philippe: je pense que j'ai un moyen pour que les flics parviennent à se défaire de tous les coups bas que pourrait tendre ses bêtes et parvenir à nous sauver.

Junior : parle, on t'écoute.

Philippe : il y a longtemps de cela m'a grand-mère m'avait conté une histoire dans lequel, plusieurs adolescents ont fait un pacte.

Nathalie: un pacte dit tu!

Philippe : oui un Pacte. Mais par n'importe lequel ! Il s'agit d'un pacte de sang.

Armand : mais que raconte tu. Tu penses qu'une histoire de pacte pourrait nous sauver? 😀😄😄 Et vous tous vous perdez votre temps à entendre ses âneries. Vous me faites rire.

Chloé: si tu pouvais te taire, et laisser les gens parler jusqu'à la fin pour un tant soit peu, sa t'aiderai et te rendrais services.

Armand : ok! Ok! Qu'il continue. De toute façon je ne pense pas qu'il puisse nous sortit quelque chose de concrétisant.

Thierry : Continue Philippe.

Philippe : je disais que ses adolescents avait fait un pacte de sang pour être sauvé d'une meute de loups qui fonçait vers leur hutte pour les dévorés. Vue qu'il n'avait plus aucun espoir il se tranchait le bout des doigts et mettait leur main les uns sur les autres et s'écriait à haute voix : de part ce pacte, que nous soyons sauvées de ses loups, et nous promettons de rester les meilleurs amis jusqu'à ce que mort nous sépare. L'histoire dit que juste après avoir fini de prononcer ses mots, que trois coups de tonnerre s'en suivit et qu'après avoir ouvert les yeux, tous les loups s'effondrait au sol et ne put plus bouger. Les enfants profitèrent pour s'enfuir loin de la porter de ses satané Loup.

Robin: c'est tout ?

Philippe : oui c'est tout.

Saad: Et qu'est-il advenue les enfants.

Philippe : la suite je ne l'ai jamais sue car, cette nuit elle m'avait promis de me le dire le lendemain soir comme d'habitude.

Simone: Et?

Philippe : ET quoi !

Robin: ta grand-mère, la suite de l'histoire.

Philippe : Malheureusement, je ne l'ai jamais sue. Elle est morte cette nuit-là. Mais je sais comment se pacte marche.

Il suffit d'émettre un souhait et en retour d'énoncer une promesse.

Frédéric : tu es sûr que ton affaire est sans danger? Parce que mon frère et moi avions eu également notre dose de conte de démons et je t'assure que la fin de ses derniers a été loin d'être un instant de plaisir. N'est-ce pas Freddy

Freddy: Je te le confirme

Philipe : Vous n'avez pas à vous en faire et puis ce n'est pas comme si cette légende est véridique j'essaie juste de nous redonner de l'espoir en nous accrochant a quelques choses.

Jane: Moi je suis prêt à tout pour sortir vivante d'ici. Du moment où cela peut nous sorti de ce cauchemar, je suis partante pour toute éventualité même irréaliste.

Armand : donc si je comprends bien, tu aimerais que nous fassions de même pour que les flics puissent venir à bout de ses montres. C'est ça?

Chloé : Et pourquoi pas! On n'a rien à perdre!

Tous les autres sauf Armand : on n'essaie

Armand : je ne le sens pas.

Philippe : pour que ça marche il faut que tous ce qui se trouve mêler à la situation la face

Chloé : allé ! Tu comptes finir dans le ventre de ses montres?

Armand : Non! Mais je ne le sens pas.

Chloé : allé... s'il te plaît fait le pour nous.

Claire: je ne vois pas ce qui t'empêche d'essayer tout au moins.

Armand : bon ok ! Mais faut que tu sache que c'est pour toi que je le fais.

Philippe : c'est déjà bien que nous soyons tous d'accord. Maintenant il nous faut un objet tranchant ou pointu.

Simonne : tenez, mes boucles d'oreilles. Je ne suis pas sûr que ça face l'affaire mais c'est tous ce que j'ai.

Philippe : Non! T'inquiètes ça fera l'affaire.

Bien, je vais vous demander de me tendre chacun vos mains.

Maintenant, mettez vos mains au-dessus des miens et répéter après moi :

"De part ce pacte, que les flics parviennent à venu à bout de ses montres et évite tous les coups bas provenant de ses derniers. En retour nous promettons de rester les meilleurs amis jusqu'à ce que mort nous sépare."

Lors de la prononciation des incantations pour le pacte, un démon a la peau écaillé, doté de deux grandes oreilles elfiques, une large bouche remplie de dent de requin lequel sortait une longue langue semblable à ceux d'une vipère, des cheveux érectile et piquant -elle des piquant d'hérisson. Ses mains étaient très fines et très longues avec des ongles pointus et aiguiser-t-elle une épée. Il faisait environs 3 mètre de long, des bras d'un mètre, de gigantesques pâtes. Il était vertus de boubou a bas déchiqueté. Il portait au cou un collier fait de crâne d'humains. Dans sa gueule, on pouvait remarquer une dague, dans ses mains un chapelet chinois gigantesques. Sur toute la surface de sa mâchoire, on pouvait apercevoir du sang. Sans oublier ses yeux noirs, ses pupilles argentées et un nez creux qui inspirait la peur. C'était le démon des pactes qui venait d'apparaitre et exorer le vœu de ses gosses désespérer sans que ses derniers ne le virent. Content d'avoir encore des proies dont le sort dépendra de la promesse qu'il eût en retour.

Après avoir terminé de prononcer leur dernier mot, un premier grand coup de tonnerre se fit entendre. Tous les enfants firent pris de peur.

Chloé : c'est exactement comme dans l'histoire !

Armand : Que dis-tu? C'est qu'un pure Hasard.

Deux coup brusque se fit encore entendre et annonça une pluie des plus rapide.

Nathalie: Tu penses toujours que c'est du Hasard ?

La reine mère : c'est quoi cette pluie lente et rapide qui vient de survenue ! Cela n'annonce rien de bon.

J'espère que Tribord (le chef de meute) fais de son mieux pour les gardé loin de la grotte. Il faut que la jeune reine mère consomme sont offrandes. Je dois arrêter de m'en faire et me concentrer sur sa venue. Oui! C'est ça ! Voilà ce que je dois faire. Me calmer.

Hors de la forêt (les parents de plus en plus inquiet suite à cette pluie)

La mère de Terry : cela fait déjà 6 heures qu'ils sont dans la forêt et rien, aucune nouvelle. Rien que des coups de feu et cette maudite pluie qui n'annonce rien de bon.

Les autres parents : oui elle a raison !

L'agent de sécurité : calmer-vous d'accord, ils sont sur le coup. Ils reviendront avec vos enfants sein et saufs.

Le père de Chloé : comment le savez-vous ? Dite moi : je ne pense pas que vous soyez avec eux dans cette forêt ? Vous n'avez aucune idée de ce qui se trame, les coups de feu pouvez-vous nous donner une explication à cela ?

Non! C'est ce que je pensais. Nos enfants sont je ne sais où, dans cette maudite forêt, sans abris et face a je ne sais quoi et vous nous dites de nous calmer ? Ça se voir que ce ne sont pas vos enfants qui traine dans ses bois.

L'agent de sécurité : Écouter monsieur, je vous comprends. Je sais que ce n'ai pas facile de rester sans rien faire alors qu'on sait pertinemment que ses enfants sont en danger. Mais ses hommes qui sont là-bas sont là pour vous les ramener. C'est leur rôle, il vous l'on promit, alors je vous prie encore une fois de garder votre mal en patience et de prier pour que cette promesse soit tenue. Mon fils Armand est aussi perdu dans cette forêt, j'ai voulu y aller mais ils n'ont pas voulu que je les Suis. Non! Au lieu de cela ils m'ont dit : je pense que tu ne seras pas lucide pour mener à bien cette mission étant donné que ton fils est parmi eux, tu ferais mieux de rester ici pour maintenir l'ordre si tu y arrive. Voyez-vous! J'ai pris mon mal en patiente pour veiller à ce que vous les parents ne soyez pas affoler et que vous tentez des choses qui pourrait mettre en péril les recherches. Donc oui, je ne sais en rien ce qui a pu provoquer les coups de feu, mais tout autant que vous je suis également inquiet, mais je fais de mon mieux pour rester lucide. Je vous prie de faire de même et d'arrêter d'imaginer le pire. Car en le faisant vous inquiéter plus les autres parents. Donc retourner vous asseoir et prié en espérant que votre fils revient sain et sauve. Ok! Merci.

Retour dans la forêt où les sauveurs s'apprêtent à mettre en œuvre leur plan.

Comme tout était prévu, le chef de la police et le premier groupe se présenta devant une armée de Grâlas dévoué à se sacrifier pour gagner tout le temps possible pour la venue de la jeune reine mère. Le chef de meute par son instinct savait que ses maudits humains les préparaient un sale coup. Il ordonna alors au tiers de son armée de les poursuivre et ceux dans le but d'analyser l'impasse dans laquelle lui et son armée allait bientôt se retrouver. En se retournant, le chef de la police marqua que tous ne les suivaient guère. Il comprit alors qu'il devrait commencer à élaborer une stratégie pour tous les faires bougés. Conscient de l'enjeu, il ne pouvait s'arrêter et se battre contre ses vautours. Il ordonna Alors à ses compagnons de continuer à courir.

Le chef de la police: continuer à courir...! On maintient le plan. S'il faut que nous exterminons ceux-ci et que nous retournions en chercher d'autres, on le fera. A mon signale, dispersés vous c'est compris.

Eux : oui mon commandant.

Le chef de la police : prêt ! Un... deux... trois.... Dispersion...... !!!

De chaque côté de la dispersion se trouvait le groupe destiné à l'abattage dirigée par l'inspecteur Marc.

L'un des tireurs : inspecteur ! Il arrive

L'inspecteur Marc: je sais. On attend ! Attendez encore. A mon signale on vise tous la tête.

Encore, maintenant ...

Le chef de meute : c'était un piège ! Je m'en doutais.

Voilà comment nous allons nous procéder. A ce que je vois, ils ont s'en doute occupé toute les coins et recoins les plus isolée et ont formé un bon nombre de soldats pour nous appâté. Ils sont très malins ! Je dois le reconnaître. Mais s'il pense nous avoir de cette manière, ouah ! C'est mal me connaître. Ils ne sont pas si crédibles pour revenir et s'enfuir de nouveau. Cela serait louche. Nous allons les prendre par leur jeu. Ils vont s'en doute à la prochaine attaque faire le corps à corps avant de repartir à toute vitesse pour nous faire croire qu'ils battent en retrait.

C'est là que nous allons être plus astucieux qu'eux !

A suivre / CHAPITRE 4 : LE DEMON ENTRE EN SCÈNE.

            
            

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