Le chauffeur : près pour le grand voyage... les enfants ?
Les enfants : Oui (d'un cri retentissant et vif)
C'était parti pour OUIDAH. Après de multiples visite dans des endroits de plus en plus plaisants l'un que l'autre. Le guide touristique décida pour finir, de les amener dans la forêt de KPOMANSE pour une petite promenade à but lucratif et enfin se serait une escale à LA PORTE DU NOM RETOUR pour des jouissances de toute sorte.
Le guide touristique : je dois vous informer que cette forêt renferme des secrets que vous ni moi ne pouvions élucider. Mais quand bien même, vous ne devriez en aucun cas vous éloigner du groupe. Je vous le redis quoi que vous voyez restez grouper. Cette forêt est vraiment vaste et vous pourriez vous y perdre.
Que des règles qui tombent dans l'oreille d'enfants distrait. Il allait alors se passer quelques choses qui allait amener 15 enfants à se jurer amitiés pour la vie ayant vécu le meilleur et le pire dans les heures qui suivront leurs promenades dans la forêt sacrée.
Le guide touristique : je crois bien mettre fait entendre ?
Bien! Si telle en n'est le cas, nous pouvons y aller.
Au cœur de la visite guidée, certains élèves aperçus au loin une bestiole toute bizarre leur faisant signe de la main. Venez, venez leur disait -elle.
Quoi de plus étrange qu'une bête qui parle. Oui mais sans compter sur la curiosité de ses petits et l'intelligence de la bête, chacun des enfants s'écartèrent du groupe. Le nombre d'enfants atteints une quinzaine avant que la bête ne s'arrêta d'appeler et cela sur l'inattention des responsables.
Chemin faisant, l'une des élèves n'ayant plus aperçues sa sœur aînée fit prise de pleure. Ce n'est qu'en demandant ce qui se passait qu'il vit qu'elle n'était pas la seul disparut. Tous s'affolèrent et une présence fut reprit en vue de voir les enfants disparut. Notons également qu'une appelle fut lancé à la police et au parent des élèves disparut après bien sûr une recherche vaine de bout en bout, en passant par les chemins emprunter du début jusqu'à l'endroit où la disparition fit remarquer. Le guide touristique alerta de son côté des compagnons pour une fouille de fond en comble de la forêt.
Conscient du risque et des dangers auquel ses pauvres enfants étaient confrontés. Des fusils de chasse ; des coupe-coupe et des bénédictions mystique octroyé par les aînés leur fut donné. C'est parti pour la chasse à la bête. Tous le savaient, qu'il y avait une bête au fin fond de la forêt mais se défendait de le dire car il n'osait en n'aucun cas s'aventurer du côté de la bête. Il savait ou et à quel moment il fallait servir de guide a ses foules curieuses de découvrir l'histoire de leur terre. Nul, n'avait idée que la bête viendrait lui-même vers ses proies.
Le chef de la police : Bien le bonjour cher Monsieur et Dame. Alors qu'elle est la situation ???
Le secrétaire : bonjours et merci d'avoir été si rapide (dit-il d'un aires soucieux et frustré.). Il faut que vous nous aidiez, je vous en supplie (ne cessait-il de répéter)
Le chef de la police : Monsieur Monsieur ...
Monsieur (en criant), vous êtes un homme alors reprenez-vous et expliquer moi calmement la situation.
Le secrétaire : plusieurs de nos enfants on disparut soudainement, et jusque-là nous ne les retrouvions pas.
Le chef de police : plusieurs vous dites ? Combien au juste ?
Soyez un peu plus claire.
Le secrétaire : une quinzaine (dit-il en ruminants)
Le chef de la police : une quinzaine ! Mais comment une telle chose a pu arriver. Quinze enfants disparurent comme ça ! En une journée !
Le secrétaire : non! En quelques heures. Une Demi-heure environ.
Le chef de la police : mais, quinze enfants ! Sans que vous ne vous en rendiez compte ! (D'une aire surpris)
L'officier en chef : sans paraître discret chef, je peux savoir ce que vous faites avec une allumette dans les cheveux et cela a plein temps. Je suis pourtant sûr de ne vous avoir jamais vue fumée.
Le chef de la police : Si je devais fumer ce ne serait pas une allumette que je trimbalerai dans les cheveux, mains plus tôt un briquet et ceux dans la poche. Le monde a évolué.... Mais non, vous avez raison je ne fume pas.
L'officier en chef : Alors pourquoi ?
Le chef de la police: Disons qu'elle porte chance, elle me permet de toujours avoir une lueur d'espoir même dans les situations les plus désespérer"
Officiers en chef: Ça porte chance! Je pensais que vous ne croyez pas à ses choses-là.
Le chef de la police : je ne crois pas à la superstition ni au esprit, démon ou tout autre truc du genre. Oui c'est vrai. Et pour tout vous dire, cela n'a rien avoir avec des rites. C'est naturel.
Sinon, Il y a quoi de nouveau ?
L'officier en chef : 😊 j'ai fini de prendre les informations. Et sans vous mentir le responsable est dans de salle pétrins. D'ailleurs je voudrais bien le rencontrer pour avoir sa version sur l'incident. Vraiment quelle négligence ! Des enfants ça ne se quitte pas des yeux. Il est dans de salle beau drap, je le plein le pauvre.
Le chef de la police fit un lever de front du genre dommage en direction du secrétaire qui se trouvait juste derrière l'officier en chef. Elle se retourna et dit:
L'officier en chef : Quoi! C'est lui?
Elle également fit un geste du vissage du genre désolé mais vous êtes dans de salle bau drap. Elle était en train de l'interroger quand il eut un appelle du directeur.
Pendant ce temps ...
Le chef de la police : officier Elsa
L'officier en cher: oui chef
Le chef de la police : Bon! Je pense que nous devrions commencer les recherches.
Alerter tous les officiers disponible et dite leur de se manier. Il nous faut trouver ses enfants avant le lever du jour.
L'officier en chef : Bien chef.
C'est bon! Ils seront là dans quelques minutes.
Encore une chose chef, selon mes sources des guides ont déjà entamé la recherche des enfants.
Le chef de la police : c'est une bonne nouvelle. Ils sont habitués à fréquenter cette forêt et je pense que leur aide ne peut être qu'à point.
L'officier en chef pris une aire de peur
Le chef de la police : quoi ? N'ai-je pas raisons ? Ou ai-je raté quelque chose ?
L'officier en chef : vous ne savez pas tout. Comment vous dire !
Le chef de la police : parlé je vous j'écoute
L'officier en chef : il y a une rumeur qui dit qu'une bête maléfique rode au fond de cette forêt.
Le chef de la police : 😀😁😆😆😀 vous essayez de me faire peur? Ou c'est encore l'une de vos blagues.
L'officier en chef : vous m'excuseriez mais, vous pensez sincèrement que face à ce qu'endure tous ses Père et mère de famille, je pourrai me permettre de blaguer. Après tous, je suis une mère et j'ai un cœur. Je vous dis juste ce qui m'a été rapportés.
Le chef de la police : Bon! Excuser moi alors. Mais franchement vous savez bien que je ne crois pas à ses histoires de maléfisme, alors vous feriez mieux d'en faire autant. D'abord si cela était vrai, le secrétaire aurait été informé et en discutant avec lui j'en aurai eu soupçon.
L'officier en chef : ils n'en ont pas parlé pour ne pas inquiéter les parents et les responsables.
Le chef de la police : Bien vous pouvez m'expliquer pourquoi il l'aurait dit à vous.
L'officier en chef : je suis un des leurs.
Le chef de la police : un des leurs 😆 expliquer moi
L'officier en chef : je n'ai pas voulu vous le dire au départ mais j'ai vécu dans ce village. J'ai été adopté et élevé par le grand féticheur de la forêt. Et oui si vous vous n'y croyez pas moi j'y crois.
Le chef de la police : bon! Vous savez quoi !
Croyez ce que vous voulez les gars sont là veiller vous mettre au travail.
Le chef de la police : OUHN... fille du féticheur.... Qu'est-ce qu'on n'attendrait pas !
Pendant ce temps le secrétaire discute au téléphone avec le directeur
Le directeur : alors monsieur, comment vont les choses là-bas
Le secrétaire : très mal monsieur, vraiment mal. Nous sommes dans le pétrin.
Le directeur : comment ça mal !
Le secrétaire : vraiment ! Je ne sais pas comment vous l'annoncer.
Le directeur : parlé je vous écoute.
Le secrétaire : nous avons quinze enfants en disparition, mais ne vous inquiété pas. La police est déjà sur le coup et les guides également sont à leur recherche. Allô, allô, allô...
Le directeur après avoir attendu le (nous avons quinze enfants en disparition) piqua une crise et fut conduit à l'hôpital. Pendant ce temps la police vînt et se prépare pour la recherche.
Le chef de la police : je vous remercie pour avoir répondu aussi vite présent.
Nous allons nous séparer en trois groupes, tâcher de garder vos armes et des lampes de poche. Fouiller bien partout ok ! Notre mission, trouver les enfants et les conduire vers leur parent. N'oubliez pas vos talkie- walkie.
Les parents paniquaient, certains menaçait les responsables, et d'autres plus soucieux et courageux décidait de les accompagner. Chose que la police ainsi que les guides refusèrent en les rassurant que leur enfant reviendra sein et saufs. La pression était à son comble tendis- que la peur le froid et la curiosité étais ce qui animait ses quinzaine d'enfants qui n'avait nullement conscience de ce qu'il allait affronter comme épreuves.
Dans la forêt, les bête soldats assomma les quinze enfants et les entraina chez la reine mère dans leur grotte. Il s'agit entre autre de : Robine, Claire, Simone, Frédéric, Freddy, Junior, Thierry, Nathalie, Kévin, Armand, Philippe, Jane, Elisabeth, Raymond, Chloé. Dans cette grotte se trouvait de nombreuse bête toute laide les uns que les autres. Il était dirigé par la plus grande d'entre elles, t'elle une ruche ou habite une reine et ses soldats.
Les enfants étaient destinés à être le festin de la jeune reine. Et les quelques un des guides et une grande partie de la police s'apprêtaient à devenir la proie de ses bêtes.
En effet, chaque 💯 ans la reine mère donnait naissance à 666 bête dont une femelle qui deviendrait après sa mort la nouvelle souveraine. Et pour quel puisse rester en vie il la fallait boire le sang de 15 enfants et se nourrir de leur chair. La reine mère mourait après avoir donné naissance à cette dernière tout en s'assurant que celle-ci vive.
L'un des soldats : reine mère voici les enfants destinés à la jeune reine
La reine mère : bien! Plus que 6 heures avant sa venue. Préparer lès pour le rituel.
Le chef de meute : bien ma reine.
Vous avez attendu? Commencer les cérémonies de venu.
Attend, qu'est ce qui t'es arrivée aux pieds.
L'un des bêtes soldats : une blessure créée par un tronc d'arbre.
Le chef de meute : tâche de te Soyer.
Les guides de leur côté vue des traces de liquide semblable a du pétrole et juste à côté paire de lunettes d'un des enfants. Ils décidèrent de suivre la trace de liquide pour voir où cela pourrait les conduire.
Pendant ce temps dans la caverne, les enfants se réveillent tous attaché et orné d'huile puante. Puis en voyant. La tête horrible qu'avait ses bêtes, ce mit a crié et les plus sensibles s'évanouir de nouveau. En ce moment le groupe de guide qui suivait la trace de sang d'une des bêtes entendit le cri sonore de détresse qu'émettaient les enfants. Puis courut à l'aide. Le bruit les conduisait jusque devant une grotte. Celle où ils étaient prisonniers. Grande fut leurs surprises de voir des créatures du genre dans les parages et sur plus détenait captifs les enfants. Sans parler de la peur qui animait leurs esprits.
L'un des guides : mais qu'est-ce que c'est que ça.
Un autre des guides : on nous avait parlé de créatures mystique mais je n'ai jamais imaginé ne serait-ce un instant que nous serions face à de telles créatures.
Un troisième des guides: des montres tu veux dire. A nous quatre nous n'aurions aucune chance contre eux. Il va nous falloir de l'aide. Voilà ce qu'on va faire. Je vais de se part chercher les autres et du renfort. Quant à vous, ne tenter rien de stupide.
Le quatrième des guides : les gars.... Trop tard. Nous avons été repérés.
L'un des guides : Comment ça ...
En tournant la tête vers le quatrième, il vit sa tête arracher et du sang sortant abondamment de son coup tout tranchée recouvrait leur vissages et jute derrière se trouvait la bête. A peine on t'il eût le temps de se saisir de leur arme que l'un se retrouva sans pieds, l'autre se faisait éventré et ses intestins dévorés. Le dernier lui, se vue coupé un bras avec les griffes aiguiser et longue de cette dernière. Il réussir néanmoins à prendre la fuite en appuyant par chance sur sa gâchette. Celui à qui les jambes avaient été arrachée dit : vas, Sauve toi, et prévient les autres. Il faut à tout prix délivré les gosses des griffes de ses montres.
Il prit alors la fuite pour faire part de ce qu'il avait subir et vue. Alors qu'il s'enfuit une autre des bêtes l'aperçut au loin et tenta de mettre fin à sa course.
Mais le blesser prix son arme et d'une balle dans la tête le tua. Le bruit de cette dernière alerta la hutte de bête qui ne fit qu'une bouchée de sa chaire.
Le chef de la hutte se rappelle de la blessure qu'avait l'un de ses soldats. Il conclut donc qu'il était à l'origine de leur venue et que le soldat mort n'annonce rien de bon. Il tua celui par qui leur grotte avait été découverte.
Le chef de la hutte : vous pouvez le manger si vous voulez.
Reine mère nous avons un problème.
La reine mère : quel genre de problème ?
Le chef de la hutte : ils ont découvert notre caverne....
A suivre / CHAPITRE 2 : MYTHES ET MEURTRE