Genre Classement
Télécharger l'appli HOT

Résumé

C'est l'histoire d'un couple dont l'amour a été mis à rude épreuve. Après une trahison douloureuse-la femme ayant trompé son mari avec un collègue de travail-l'homme, malgré la blessure, choisit le pardon. Déterminés à tourner la page, ils décident de déménager et de recommencer leur vie ailleurs, espérant laisser leur passé derrière eux. Mais dans cette nouvelle ville, les épreuves ne font que commencer. Entre les ombres du passé qui ressurgissent et les défis du présent, leur amour sera mis à l'épreuve plus que jamais. Pouvoir, passion, guerre des familles, déception et drame viendront s'entremêler, les forçant à affronter une vérité qu'ils pensaient avoir laissée derrière eux.

Chapitre 1 J'y arrive pas

J'y arrive pas... ✍️

Bip ! Bip ! Bip...

C'est le son d'une alarme qui retentit dans une très belle chambre, bien décorée et impeccable. L'alarme affiche exactement 06h00. Puis, on voit une main sortir du lit et se jeter un peu partout sur la petite table de nuit pour saisir l'alarme.

Après plusieurs tentatives, la main finit par toucher l'alarme. On voit les doigts se balader un peu partout sur l'appareil à la recherche du bouton pour éteindre cette petite machine qui dérange la personne dans le lit.

Finalement, elle parvient à trouver le bouton et l'éteint dans la seconde qui suit.

- Ferme-la, putain. En se tournant sur le lit, c'était une femme. Lorsqu'elle se retourne de l'autre côté, ses yeux tombent sur un homme qui dort à poings fermés, torse nu, à côté d'elle.

La femme observe l'homme pendant plusieurs secondes, puis descend son regard sur son torse musclé. Elle remonte ensuite jusqu'au visage de l'homme et sourit à cet instant.

Son sourire est rempli d'amour, de passion et d'envie.

- Toujours aussi mignon même quand il dort, dit-elle avec tendresse.

Puis elle reste silencieuse en le regardant, tandis que lui est plongé dans les profondeurs de son sommeil.

La femme se relève légèrement et continue à l'observer, se posant des questions du genre :

Il rêve de quoi ? De moi ? De nous ?

Après toutes ces réflexions, elle sourit à nouveau et mordille sa lèvre inférieure, comme si une idée lui avait traversé l'esprit.

Elle se dégage complètement du lit et s'approche de l'homme tout doucement pour ne pas faire de bruit. À partir des pieds de l'homme, elle glisse lentement sous la couverture et s'allonge sur son corps musclé. Une nouvelle fois, elle sourit.

Puis, un moment, elle s'arrête au niveau des abdos... Elle les regarde intensément pendant un moment.

- (émue) Mes plaquettes de chocolat préférées, murmure-t-elle en passant ses petits doigts sur les abdos de l'homme, rougissant visiblement.

Elle commence à jouer avec ses « plaquettes de chocolat » préférées pendant plusieurs secondes... Une minute et vingt-huit secondes pour être précise. Ensuite, elle avance son visage et commence à embrasser les abdos.

Elle les embrasse un par un sans s'arrêter tout en montant vers les pectoraux de l'homme. Elle répète ce geste, puis on voit l'homme commencer à bouger...

En voyant cela, la femme sourit et continue à embrasser le torse de l'homme. Puis celui-ci prend la parole.

- T'es pas sérieuse là, hein ? dit-il en lâchant un sourire malgré lui, encore ivre de sommeil. La femme répond avec une douce voix :

- Je suis plus que sérieuse... tout en lui souriant à son tour. L'homme réplique :

- Mon petit doigt me dit que quelqu'un a besoin d'une dose matinale... en la regardant droit dans les yeux. La femme soutient son regard et répond :

- Si ton petit doigt t'a dit cela, c'est parce qu'il sait que son maître aussi a besoin d'une bonne dose matinale. Elle sourit.

Elle recommence alors ses manigances en embrassant le torse de l'homme. Un moment plus tard, elle se glisse sur le corps de son homme, monte lentement, et son visage arrive enfin devant celui de l'homme. Elle commence à l'embrasser sur la bouche. Sans plus tarder, l'homme répond à l'appel de la femme et c'est parti pour un baiser doux.

Ils s'embrassent encore et encore sans s'arrêter. L'adrénaline est présente au rendez-vous. Mais comment parler d'adrénaline sans évoquer l'excitation dans une conversation entre deux corps opposés.

---

Bref, l'embrassade devenait de plus en plus intense. On voit les mains de l'homme devenir baladeuses sur le corps de la femme... Il touchait par-ci par-là, et il faut dire que les parties sensibles de la femme étaient à découvert, vu qu'elle était juste en pyjama du genre bikini sexy. Ce genre de pyjama qui est composé simplement d'un soutien-gorge et d'un sous-vêtement. Vous avez l'idée ? Voilà, c'est ça.

Nos deux tourtereaux étaient à fond dans ce qu'ils faisaient. L'homme s'était retrouvé assis sur le lit, tandis que la femme était assise sur lui. Un moment plus tard, on voit l'homme s'arrêter et regarder la femme.

- Je crois que je vais craquer... Après cette déclaration, la femme était heureuse et sourit. Elle lui répondit :

- Bon, tu attends quoi pour craquer ? Tout en le regardant droit dans les yeux. On voit alors l'homme commencer à embrasser la femme partout dans le cou, et celle-ci penche la tête pour faciliter la tâche à l'homme. Elle n'hésitait pas à lâcher des petits cris de plaisir tout en se mordant la lèvre inférieure.

On voit ensuite l'homme passer ses mains dans le dos de la femme et commencer à caresser son dos jusqu'à ce qu'il finisse par attraper le nœud du soutien-gorge de sa partenaire. D'un seul geste, il tire, et on voit le soutien-gorge tomber. Là, notre homme se retrouve face à une belle poitrine plantureuse. Pas grosse, pas petite, mais une poitrine qui pourrait faire dire « Whaou » même à un moine bouddhiste.

Les yeux de l'homme s'écarquillent comme s'il était devant la source de la vérité absolue.

- WAHOU...

- (rougissant) : Ne me regarde pas comme ça et vas-y... Touche-moi.

Sans tarder, sans hésiter, comme s'il attendait cela, on voit l'homme plonger vers cette vérité absolue et commencer à la toucher, à faire tout ce qu'on peut faire avec cette vérité dans le but de donner plus de plaisir à une femme.

Tellement l'homme s'y prenait bien que la femme finit par craquer de plaisir, lançant des cris tout en suppliant l'homme de ne pas s'arrêter... Comme si, si l'homme s'arrêtait, elle allait mourir ou quelque chose du genre.

Après cela, l'homme se sentait supérieur ; sa confiance en soi avait été multipliée par dix, non, par cent. Oui, là ça va. Comme tout homme, la rage animale avait pris le dessus sur lui. D'un seul geste, il retourne la femme, qui se retrouve maintenant de dos sur le lit, tandis que l'homme est au-dessus d'elle.

- Putain, t'es tellement belle... ajoute l'homme avec des yeux remplis de perversité.

- Vraiment ? demande la femme comme si elle ne savait pas que ce que l'homme disait était vrai.

- Oui... tout en regardant la femme droit dans les yeux. Puis ils commencent à descendre du regard sur sa poitrine et encore plus loin, là où ses yeux pouvaient aller.

- (gênée) : Ne me regarde pas ainsi et fais ce que t'as à faire...

- Quoi ? Tu perds patience ? demande l'homme avec ironie.

- (rougissant) : OUI. affirme la belle femme.

Sans tarder, l'homme saute sur la femme et c'est reparti pour des bisous, des embrassades, des caresses et tout ce que vous voulez. La femme était morte de plaisir et des cris ne faisaient que sortir.

- Je veux ça, mon cœur. ajoute l'homme.

- Oui, vas-y, fais-moi l'amour... Baise-moi ETHAN. supplie la femme qui était déjà dans les abîmes du plaisir.

Puis on voit l'homme s'arrêter net au lieu de continuer alors que la femme attendait déjà avec impatience.

Pendant ce temps, toujours dans la même ville, dans le même quartier beau mais un peu éloigné, on voit une très grande concession. À l'intérieur, on aperçoit une grande maison... Non pas une maison, mais une très grande villa. Oui, c'est une villa puisqu'elle est vingt fois plus grande qu'une belle maison de riche. À l'intérieur, dans une pièce où il y avait des habits par-ci par-là.

Pas n'importe quels habits, ce genre de vêtements que tu portes et qui te font immédiatement passer pour quelqu'un qui a tué ses parents pour les avoir. Bref, des habits de luxe, quoi.

Devant un grand miroir, on voit une très belle femme debout, en train de se mirer, tandis qu'une autre femme l'aide avec sa robe.

- Madame Romano, écartez un peu vos bras, je crois que la robe est un peu grande à ce niveau...

- ANGEL : Mais arrête, DIVINE, je t'ai déjà dit de m'appeler ANGEL et tutoie-moi...

- DIVINE : Oui, mais vous êtes la femme du maire et...

- ANGEL : Et quoi ?

- DIVINE : Et je dois t'appeler ainsi...

- ANGEL : Tss, pas de formalités entre nous. Tu es mon styliste et mon amie, donc appelle-moi ANGEL. Et ROMANO, c'est le nom de mon mari ; d'ailleurs, c'est moche, voilà pourquoi j'ai gardé aussi le nom de ma famille...

- DIVINE : D'accord, ANGEL...

Puis la porte s'ouvre sur un beau monsieur en costume noir, qui dégageait du charisme à des kilomètres.

- Tiens, c'est mon nom que tu traites de moche ? dit-il en s'approchant, les mains dans ses poches.

- DIVINE : Oh, bonjour monsieur le maire.

- Bonjour, DIVINE... C'est ça ?

- Oui, monsieur.

Il s'approche d'ANGEL, sa femme, et l'embrasse sur la bouche.

- ANGEL : T'es trop beau, mon amour.

- Et mon nom ?

- ANGEL : Ton nom aussi, voyons, monsieur le maire CABRAL ROMANO.

- CABRAL : Je préfère ça ! (rires) Très belle ta robe.

- ANGEL : Tu trouves ?

- CABRAL : Oui, puisque je le dis.

- ANGEL : Merci ! C'est ce que je vais porter à la soirée de ce samedi.

- CABRAL : Merde, j'avais complètement oublié ça...

- ANGEL : Tu dois être là...

- CABRAL : Bon, je te laisse... Le devoir m'appelle... dit-il en embrassant une nouvelle fois sa femme. (À DIVINE) : Belle journée à toi aussi.

- DIVINE : Merci, monsieur le maire. dit-elle en souriant.

Puis le maire s'en va.

- DIVINE : Wahou, vous êtes tellement beaux ensemble...

- ANGEL : Tu trouves ?

- DIVINE : Bah oui...

- ANGEL : Normal, il est le maire de cette ville et moi la plus grande avocate de cette ville ; normal qu'on soit beaux ensemble.

- DIVINE : Logique. dit-elle en souriant.

- ANGEL : Et toi ? Comment il va ?

- DIVINE (surprise) : Comment il va ?

- ANGEL : Bah MAXIME, c'est ça ? J'ai appris que tu sors avec lui...

- DIVINE : Comment tu es au courant...

- ANGEL : Je suis au courant de tout, ma chérie ! (rires) C'est quoi ? Vous ne sortez pas ensemble ?

- DIVINE : Pas vraiment, mais on passe beaucoup de temps ensemble...

- ANGEL : C'est sûr qu'il t'aime. Tu dois saisir cette occasion... Ton fils a besoin de grandir avec un père, sachant que ton idiot de petit ami t'a abandonnée...

- DIVINE : Ahha d'accord.

- ANGEL : Tu sais quoi ?

- DIVINE : Quoi ?

- ANGEL : Tu seras aussi à la soirée gala de ce weekend...

- DIVINE (surprise) : Mais c'est une soirée réservée aux hauts placés, non ? Et moi je ne suis qu'une simple styliste...

- ANGEL : Grrr, arrête-toi aussi ! Tss. C'est moi qui t'invite et tu peux venir aussi avec MAXIME...

- DIVINE : D'accord, merci beaucoup ANGEL...

- ANGEL : Mais de rien, ma chérie... Bon, enlève-moi cette robe maintenant... Je dois aller à mon cabinet.

- DIVINE : Ah d'accord.

C'est ainsi que DIVINE se mit à enlever la robe de son amie ANGEL.

Comme vous l'avez compris, ANGEL BIACHI est une grande avocate, riche et célèbre. Elle n'est autre que la femme de CABRAL ROMANO, le maire de cette grande ville... Donc c'est simple de comprendre qu'ils sont riches jusqu'au cou.

Et DIVINE est une très belle femme, une jeune femme battante et libre. Elle est passionnée par la mode et c'est pour ça qu'on la connaît même... Elle a un petit garçon que son copain a abandonné lorsqu'il a su qu'elle était enceinte et actuellement elle fréquente MAXIME.

DIVINE n'a qu'un seul rêve : créer sa propre marque de vêtements et qu'elle soit populaire dans le pays et à l'international... Évidemment que ça va arriver vu qu'elle est tellement talentueuse qu'ANGEL l'a prise comme sa styliste.

De retour dans cette chambre de plaisir...

- Mais mon chéri, pourquoi tu t'arrêtes ? L'homme ne répond pas ; on le voit juste se lever et mettre son pantalon

Et l'homme s'appelle ETHAN.

- ETHAN : J'y arrive pas, ADMI. Puis il se dirige vers la douche, laissant la femme sur le lit, complètement perdue et ne comprenant rien à la situation.

On voit alors ADMI prendre un polo qui était sur le lit, l'enfiler et se diriger vers la douche, toujours désorientée.

- ADMI : Mais ETHAN, explique-moi ce qui se passe, putain ! On avait pourtant bien commencé...

- ETHAN : J'adore ta façon de me réveiller, je t'assure, mais je dois prendre ma douche et je ne suis plus d'humeur...

- ADMI : Tu ne peux pas t'arrêter comme ça, sans raison, alors que j'ai vu à quel point tu étais excité...

- ETHAN : Je sais, mais j'y arrive pas...

- ADMI : Tu n'y arrives pas... Tu n'y arrives pas depuis que tu as commencé avec ça... C'est quoi ce bordel ? Elle était tellement en colère qu'on voit la porte s'ouvrir sur son mari ETHAN, qui n'avait qu'une serviette autour de lui.

Il regarde sa femme pendant un moment et lui répond :

- ETHAN : Je suis vraiment désolé, ADMIRABLE, crois-moi... Je t'aime et j'ai envie de te faire l'amour encore et encore, mais j'y arrive pas... Quand tu es là, en train de gémir et de me supplier de te faire l'amour, je ne peux m'empêcher d'imaginer que c'est de la même manière que tu suppliais cet enfoiré de te baiser pendant que tu me trompais. Il la regarde droit dans les yeux.

- ADMI (déchirée) : Quoi ? T'es sérieux là, ETHAN ?

- ETHAN : ...

À suivre...

Continuer

COPYRIGHT(©) 2022