Le chef de la hutte : Reine mère nous avons un problème.
La reine mère : quel genre de problème ?
Le chef de la hutte : ils ont découvert notre caverne.
Tous ont été tués mais j'ai bien peur qu'un d'entre eux ai réussir à fuir. Cela signifierait donc qu'ils seront bientôt des centaines à venir. Et malheureusement ce sera dans l'optique de sauver les offrandes.
La reine mère : Non.... On !!! Pas les offrandes là j'en suis déjà au six centième. Plus que 64 avant elle et je ne serai plus parmi vous. Vous devriez vous assurer qu'il ne puisse libérée la source de vie de votre jeune reine. Quoi qu'il arrive ils ne doivent pas s'approcher deux. M'avez-vous compris ?
Et que signifie une centaine d'hommes face à une armée de sauvage comme vous?
Le chef de la hutte : rien reine mère.
La reine mère: bien c'est ce que je Voulais entendre. Vas, et rassemble tes troupes ils auront à manger cette nuit.
Alors que ses bêtes affamés de chair et assoiffés de sang s'apprêtait a accueilli leur festin, c'est avec le bras ensanglanté qui peu à peu le conduisait ver la mort que le valeureux guides parcourait la forêt. Pendant ce temps l'un des groupes de la police l'aperçue au loin : hé! Monsieur s'écriait -il mais le guide dans sa course ne fit guère attention. Ils se sont mis alors à sa poursuite et juste arrivée près de lui ils disent : haut les mains, plus un geste.
A ce moment les flics se rendit compte qu'il n'avait plus ses bras.
L'un des policiers : mais qu'est-ce que c'est que ça (chuchota-t-il d'une voie effrayer.
Un autre policier : Monsieur que vous ai t'il arrivée.
Le guide : écouter moi il faut coûte que coûte que les enfants soient délivrés. Des monstres les tiennes en captivité.
L'un des policiers : non il raconte quoi là. C'est sûrement la fièvre qui le fait délirer.
Le guide : regardé moi bien (dit-il en criant). Ce que vous voyez vous penser qu'elle m'est paru comment (disait-il toujours en montrant la partie enlever). Nous étions quatre, quatre je vous dis. Tous mort, tous tuer par ses sauvages qui tiennent captif des enfants pour je ne sais qu'elle raison. Vous devez me croire sinon vous allez tous y passer les uns que les autres.
Le guide s'évanouit peu après. L'un des policiers en tête du groupe ''talka'' l'officier en chef, lui raconta ce qu'il s'était passé et de manda que l'on n'envoie du secours. Chose que l'officier en chef fit. Elle se chargea de tout répéter mots à mots au chef de police qui étonnée fit appelle à tous les autres groupes de se joindre aux autres (c'est à dire ceux qui questionnais le guide).
L'un des policiers : allô, allo, ici le sergent Marc fréquence 50062 répondez...
L'officier en chef : ici l'officier Elsa 22642. Vous avez du nouveau? A vous...
L'un des policiers : officier, nous sommes tombés sur un des guides qui est vraiment mal au point, pour ça nous auront besoins d'une ambulance. Ce n'est pas tout, Il dit s'être battu avec des montres et à voir ce qu'il raconte, les montres tiennent en captivité les gosses ... A vous
L'officier en chef : Bien! Vous vous trouvez où. A vous.
Les policiers :
L'officier en chef : garder votre position, nous serons là dans pas longtemps. Excellent travail sergent Marc.
Le policier : Merci officier.
L'officier en chef : chef nous avons une piste. Le sergent Marc vient de m'appeler. Et une fois là-bas je crois que vous seriez très étonnée.
Le chef de la police : étonnée pour quoi? Et pour quelle raison.
L'officier en chef : nous le verrons bien une fois là-bas (dit-elle d'un sourire léger)
Le chef de la police se rendit donc vers sa voiture, pour y aller.
Le chef de la police : je vous en prie
Ils arrivèrent à destination, eux ainsi que l'ambulance qui devrait prendre soins du blessé
L'inspecteur Marc : chef...
Le chef de la police : un instant, je finis avec la blessée et je suis à vous.
Vous vous êtes fait sérieusement amocher.
L'officier en chef : Che...f!
Le chef de la police : mais quoi? Je ne dis que ce que je vois.
Bien! Qu'est-ce qui vous est arrivée ?
Le guide : la question, vous l'avez mal formulée. Ce n'est pas ce qui m'est arrivé mais, qu'est ce qui m'a fait ça.
Le chef de la police : A bon! Pourtant on m'a dit qu'il n'y avait pas des fauves dans les parages ! Alors quand vous me dite que quelque chose vous a rendu dans cette état j'ai du mal à vous croire.
Le guide : je ne vous parle pas de fauves. Mais des bêtes assoiffées de sang et de chaire humaines. Des créatures maléfiques.
Le chef de la police : non mais il a complètement perdue la tête. Non ça doit être la fièvre qui le fait délirer. N'est-ce pas docteur (dit-il en criant avec un sourire moqueur).
Le guide : vous devez me croire sinon ces trucs là-bas risquent de tous vous bouffer.
Le chef de la police : doc...teur‼ J'ai finis vous pouvez l'amener. Et svp tâcher de voir s'il n'a pas pris par hasard de la drogue. Je vois qu'il est bien lucide même après avoir perdu assez de sang. Ça doit être ça qui le fait déraisonner.
Le guide : un conseil surtout resté groupée, sinon vous y passerez tous. Tous, tous jusqu'au dernier. J'espère sincèrement que votre tête d'éléphant leur plaira.
Le chef de la police : il vient de dire quoi là?
L'officier en chef : chef tous mes respects mais, vous y êtes allés un peu fort avec des propos déplacer. Et puis pourquoi n'essaierai vous pas de croire ce qu'il vous a dit.
Le chef de la police : Croire quelqu'un qui déraisonne par essaie de drogue! Jamais. Et cette histoire de monstre je n'y crois pas je pense plutôt qu'il s'est coupé le bras en tombant dans un de ses pièges à biche ou je ne sais pas quoi.
L'officier en chef : mais...
Le chef de la police : plus de mais nous devrions nous dépêcher pour retrouver les enfants.
Inspecteur Marc, comment allez-vous ?
L'inspecteur Marc : bien mon commandant
Le chef de la police : bien! Quel sont les pistes probables.
L'inspecteur Marc : selon les propos de la blessée il aurait aperçu les 15 enfants dans une cage au fin fond d'une grotte entourée par des montres. Et sans vous mentir il était très sérieux. Je dois vous avouer que je ne crois pas à ses genres de récit âge mais, nous tournons en rond depuis et je pense qu'il serait sage de mettre nos croyances de côté et de suivre la seule piste que nous avons. Et c'est celle-ci. (Dit-il en montrant les traces de sang du guide). En suivant ses traces de sang nous verrons la caverne aux monstres.
Le chef de la police : vous avez sans doute raisons. Espérons qu'ils y soient.
L'officier en chef : si les enfants sont vraiment là où il faisait allusion, nous devrions alors nous préparer aux pires.
Le chef de la police : que toute l'équipe se prépare nous allons à la chasse aux montres. (Dit-il d'un rire moqueur).
Tous pris la route et suivait la piste. Non loin, il aperçoit trois cadavres dévorer et recouvert de mouches.
Le chef de la police : Mais qu'est-ce que c'est que ça?
L'inspecteur Marc : ça, ça doit être le corps des trois autres guides qui l'accompagnait.
Le chef de la police : disait-il alors la vérité ?, Prenez garde. Surtout soyez vigilant. Continuons.
Les malheureux allaient bientôt se faire massacrer par une vaste troupe de montre. Ces derniers savaient qu'ils arriveraient et s'était préparer en conséquence Les arbres, sous terre, lieux de cachette des montres qui guettait le moins faut pas de ses policiers soucieux et sous pression de peur.
Ils continuaient leurs chemins vers la grotte. Juste à l'entrée ils aperçues sur un siège de crâne humain une énorme créature encerclé par de nombreuse monstre bébé: c'était la reine mère. Et à côté les enfants attaché et suspendu devant -elle.
A l'aide, à l'aide, à l'aide s'écriait les gosses.
Le chef de la police : Du pire au pire. C'est quoi cette créature et pourquoi nous fixe-t-elle de cette façon ?
L'officier en chef : vous voyez, le drogué avait pertinemment raisons (dit-elle en se moquant de lui)
L'inspecteur Marc : chef qu'allons-nous faire.
Le chef de la police : il a parlé d'une armée de monstre. Pour l'instant je ne vois qu'une énorme créature en plaine gestation et des bébés monstres autour.
Bien cela signifie donc que: soit nous avons la chance alors nous entrons nous tuons cette créature nous sauvons les gosses et nous brûlons ses enfants.
Ou deuxième option, ils savent que nous sommes là. Et s'attend à ce que nous fassions un faux pas pour tous nous tuer.
D'après mes analyses nous sommes face à la deuxième option. Vous ne trouvez pas que c'est trop calme.
Le chef de police après avoir finis sont analyse Jeta un regard vers la reine mère qui fit un petit sourire. Il comprit alors qu'il avait raison. Mais au moment de finir sa phrase : repliée vous tous nous nous sommes faire avoir comme des débutants. Des monstres tiraient leur proie sous terre. Les survivants commencèrent alors a tiré au Sol tout en restants groupé. Il réussira se sauver puis se cachèrent sous les arbres. Malheureusement c'était peine perdue car du haut des arbres jaillissais ses montres. Plusieurs se sont fait éventré, d'autre se seront vue section la tête les bras les pieds tous les servant de nourriture.
Il n'en restait alors qu'une poignée de flics apeurer qui réussira se sauver d'une mort certaine. Pendant ce temps le bruit des balles et les cris affolais les parents des enfants les rendant plus soucieux. De même les trois autres groupes de guides dont les recherches était toujours vaine se présentait pour voir ce qui se passait de l'autre côté.
L'inspecteur Marc : nous aurions mieux faire de croire ce t'homme. Si nous l'avions fait nous ne serions pas dans cette situation.
Le chef de la police : vous avez raison. Tout est de ma faute. Je ne m'attendais vraiment pas à ce que nous tombions sur de telle choses.
Je pensais sérieusement que nous serions face à une armée de bandits qui demanderais une rasons pour la liberté des gosses. Il faut avouer que j'ai été stupide.
L'officier en chef : je vous l'avais pourtant dit. Voilà où nous en sommes. Et il n'est pas le seul responsable. Vous l'êtes tous.
Le chef de police : je ne vous en voudrais pas si vous décidez d'abandonner la mission. Mais penser à ses enfants, à leurs parents et à tous ses collègues morts. Je pense que si nous nous arrêtons là leur mort serrait veine. Et la mort de ses enfants restera sur nôtre consciences. Donc moi je me suis donner une mission. Celle de sauver ces enfants de la main de ses ravisseurs montre ou pas. Je compte finir cette mission. Que ceux qui sont prêts pour en faire de même se tiennent près de moi tout en sachant qu'à la maison leurs femmes, leurs fils, leur fille lès attende. Ceux qui ne se sentent pas prêt je tiens quand même à les remercier.
Tous sans exception se rallie à sa cause. Pendant qu'il fessait son discours les guides qui avait attendu les coups de fusils étaient à côté et décidèrent de portée leur aide dans la même optique, celle de venger leur frère mort et sauver les gosses. Un plan fut mis aux points par le chef de police qui mettait en scène son intelligence et son courage.
Le chef de la police : pour commencer je suis très heureux que vous ne m'ayez pas abandonné seul face à ses montres. Je n'aurai eu aucune chance. Ils se seraient régalé de ma grosse tête d'éléphant comme l'a dit notre Cher ami le guide. (Toute la troupe ainsi que le chef rigola un court instant).
Mais je vous ai vous, à mes côtés et ses bêtes mourons tous jusqu'au dernier.
A voir ce qui nous ont fait subir, il va à croire qu'ils sont très malins pour avoir mis au point un tel plan d'attaque. Mais nous nous avons été dotés d'une cervelle certainement pas plus grosse que la leur. Non..., mais plus évolué. Ce qui signifie que nous réfléchissons mieux queux. Et c'est grâce à cette réflexion que nous allons venir à bout. J'ai élaboré un plan d'attaque qu'il va falloir suivre de bout en bout. Je l'aise l'officier en chef vous l'expliquer. Mais d'abord il faut que vous sachiez ceux que vous vous apprêter à combattre. Pour ce fait je laisse l'un des guides et fils du grand protecteur de la forêt nous apporter les fables gardé secret sur ces créatures.
Le fils du grand protecteur de la forêt : Ces récits sont restés longtemps secret dans le but de ne pas effrayé les visiteurs qui viennent apprendre de notre culture. Mais je ne vois plus l'importance de vois le cacher. Après tout je pense que si nous l'avions mis au parfum du monde, nous en serons pas arrivés jusque-là. Je me sens donc coupable de la tragédie que nous vivons. Je vous présente donc mes excuses et celui de tous les avertis de l'histoire qui entoure ses lieux. Je vais tâcher d'être bref car nous n'avons plus assez de temps devant nous. Il y a de cela 1000 ans le dieu de la forêt sacré a donné hospitalité a des Gratlacks des espèces proches de l'homme mais présentent un aspect d'abeille. Cette hospitalité leur a été accordée lors d'une guerre entre le dieu de la forêt et les sorciers de la forêt dont le pouvoir a été offert par ce dernier. Une guerre qui a éclaté à cause d'un excès de mauvaise habitude qu'il déplorait. En effet les sorciers semaient la discorde, plongeait de nombreuse famille dans le deuil, la ruines et toute les mauvaises conditions qui va avec. Le dieu de la forêt furieux décida de les bannir de la forêt. Choses que voulais empêcher les âmes de la nuit (les sorciers). Ils conclu alors de lancer une guerre contre lui. Les âmes de la nuit étaient sur le point de gagner la bataille quand les Gratlacks intervient et les força à battre en retraite, tous ont dû quitter la forêt et ont chacun pris le Large vers d'autres horizons perdant ainsi une grande quantité du pouvoir que leur octroyait la forêt. Pour remercier les Gratlacks le dieu de la forêt leur donna hospitalité dans une partie de la forêt ou ils érigèrent leur caverne. Mais lors de la guerre leur reine reçu un puissant sort. Sort que le dieu réussis a apaisé grâce au peu de pouvoir qu'il lui restait pour vivre. Cela limita la gestation de toutes les reines mères de 10000 à 666 enfants Gratlacks dont une jeune reine qui ne survivrait qu'après être nourrir de la chaire et s'abreuver du sang de 15 enfants soit 9 garçons et 6 filles. Jeune reine quel mettra au monde et mourra aussitôt. Et cela chaque 1000 an. Le dieu de la forêt se réincarna alors en fétiche que nous les habitants vivant aux alentour vénère. Il s'agit du fétiche qui siège à l'entrée de la forêt.
Vous savez tous maintenant, toute l'histoire et ce qui adviendra des enfants détenus Prisonniers. Il faut que vous sachiez que nous n'arriverons pas à tous les tuer car ils sont trop beaucoup. Il fonctionne comme une ruche. Les ordres sont donnés par la reine mère qui détient environ les 2/3 de l'intelligence étant donné qu'elle n'ait que le seul femelle de la caverne. Les 1/3 restant sont répartis aux 665 qui la précède chaque reine mère (les soldats de la caverne).
Ils le savent c'est pour cela qu'ils feront tout pour que la nouvelle reine mère vive pour faire perdurer leur race.
L'officier en chef : bien! Le chef a suggéré que nous fassions le contraire de ce que nous aurait conseillé le guide. Nous allons nous séparer en trois groupes.
Un groupe pour l'attaque, un groupe pour la défense, et un groupe de sauvetage. Nous allons nous attaquer à leurs reines. Pour cela nous allons procéder comme suit.
Ceux du premier groupe battrons à l'offensive, nous nous servirons de vous un peu comme des cobayes. Je vous explique: Pendant qu'ils penseront avoir à faire a tous nos hommes, qui bien sûr ne se laisseront pas faire, nous battrons a couvert grâce à des tirs de loin. Et parmi vous nous avons des bons tireurs pour le travail se sont ceux-là qui constitueront le second groupe. Bien sûr malin qu'ils sont, ils penseront qu'ils ont été pris au piège et tenterons de débattre en retraite en essayant de sacrifier certaines des leurs pour mieux préparer leur offensive. C'est là que vont entrer en scène une partie du troisième groupe. Je dis bien une partie du troisième groupe parce que l'autre pendant que nous occuperons les autres, eux se chargerons de la reine, du peu qui constitue sa garde et en fin de compte délivré les gosses.
Tous notre réussite dépendra de la mort de la reine mère et de la jeune mère.
Le chef de la police : voilà en général ce que nous devrions faire pour réussir cette mission. Des questions ?...
Personne ! Bien ! Sur ceux! Constituons les groupes et que chacun se charge de mener à bien sa mission.
A suivre/ CHAPITRE 3: COURAGE ET ANXIÉTÉ