Je regarde bien la personne qui parle, oui, il y a un peu de potentiel, mais rien d'extra, on a déjà vu mieux. Rien que moi seule, je suis à pratiquement 1m72, donc son petit 1m80 (si on arrondit) ne m'impressionne pas le moins du monde. Si on le place sur une balance et que celle-ci indique 80kg, c'est que ses os pèsent serieusement. Quand je le regarde là, il ne peut pas dépasser 75kg. Avec sa tête on dirait Lucky luke. Ce sont même les lunettes qui l'arrange je crois. Tchhhrrrrrrrr
Je regarde les gars là, ils sont seulement trop loin. Je vous dis que Francis est déjà torse-nu. Encore au 9 provinces on rend toujours hommage à Ndjer, regardez-les seulement danser «laissez mon nom eh, mon nom est dans vos bouches euuhhh. Ehhh tsoyi ehhhhh, tsoyi ohhhhhhh ». Un moment moi-même j'ai envie de rire. Tchouoooo les enfants qui ont des parents........
Je regarde à gauche, à droite, pas de caillou consistant pour faire un dégât sur sa voiture. Merde!
-moi: en vérité, ce n'est pas de ta faute, je comprends que dans ta vie là on a du beaucoup te mentir pour que tu te mettes sur ce piédestal. Mais qui peut te blâmer lorsque ta limite ce sont les viveuses du quartier chic? Tchrrrrrrrrr
- : mais vous deux, vous êtes grave han? Vous vous insultez juste comme ça à cause d'une histoire stupide? Krkrkrkr nous sommes grands, on à pas besoin de faire tout un plat pour ça krkrkrkrkr
-moi: il faut dire ça à ton parent. C'est lui qui a commencé. Si il ne m'aurait pas insulté encore, je n'aurais même pas fait attention à sa face de rat. Déjà je ne l'avais même pas regardé au moment de l'incident, il n'y avait aucune chance que je puisse me rappeler de lui.
- : moi c'est Justin et vous?
- : type il faut laisser ça. Une femme qui boit des dizaines de bouteilles dans un bar tu vas l'emmener où?
On répond aux imbéciles par un grand silence non? Je fais comme si je ne l'entendais pas...
- moi: Maëva, enchanté.
-Justin: il ne faut pas faire attention à mon frangin, il est un peu sous tension ses derniers temps.
- : quelle sous tension? Si tu penses qu'elle va monter dans ma voiture, tu rêves.
-moi: même si je me trouvais seule à minuit à Tchenguè, je n'allais pas monter dans ta voiture.
-Justin: ça suffit maintenant Papi.
Han? Donc je ne suis pas seul avec les surnoms qui collent jusque dans la vieillesse wehhhhhhh....
-Justin: donc Maëva, ça ne te déranges si je te tutoie?
Je fais non de la tête,
-Justin: donc ça ne te déranges pas si je t'invite tout-à l'heure? Juste pour excuser la mauvaise conduite de mon frère...
- : non non non, tu ne vas pas l'emmener avec nous, après elle va venir nous vider la 'teille en boite? Nada, je signe ça
-Justin: vas loin. Euh donc qu'est-ce que tu en dis?
-moi: euh je sais pas trop han. On ne se connaît pas vraiment, et puis,
-Justin: oh non, ne t'en fait pas, c'est une invitation amicale. Ma fiancée sera même de la partie, donc tu vois que tu n'as rien à craindre
- : ah elle doit dire non, et puis c'est tout. Qu'on va l'emmener où?
Regardes seulement les choses que ses gars ne font que faire dans le bar, tu vois que ce soir avec un verre, on sera servi. Les choses de la honte, je ne suis pas dedans.
Je me retourne pour regarder un peu ce que mes frangins foutent comme bordel encore. Et eux, et les trois maboules qu'ils ont emmené, les voici debout, ils se tiennent sur deux rangs qui se font faces. Les filles un côté, les gars d'un autre. Maintenant, je me demande bien ce qu'ils sont entrain de faire parce que je vois l'un qui danse le blé, l'autre saute dans un pas d'ekunda très sérieux, un troisième dans un ikokou que personne ne peux comprendre, mais c'est la pauvre chanson de Max Mackolani qui passe. Tchouooo?
J'ai seulement envie de rire même.
Si c'est une sortie en boîte pourquoi pas? La dernière fois que j'y ai mis les pieds c'était pendant le 17 août, et c'était avec des collègues. Ma bande d'amis ne fréquente que les bars. Il disent que la teubs fait dépenser le pognon pour rien. Surtout, je crois que ça me fera du bien d'être entouré de personnes plus normales que mes trois mousquetaires et puis, je vais décevoir l'autre couillon là.
-moi: ça marche, je vais venir AVEC TOI
J'appuie bien le "avec toi" pour que l'autre comprenne que je me fiche pas mal de lui.
- : c'est pas vrai. Vraiment tant que tu ne seras pas monté dans cette voiture je n'aurai pas la paix han?
-moi: wah wah wah? Même les gens qui ont les bas Hummer, infinity et autres, ne font pas le bruit. C'est toi avec ta voiture d'occasion qui vient me sonner les cloches aux oreilles?
- : ahhh le bruit!
-Justin: toi tu ne te tais jamais han? Rooohhhh non! Bon Maeva, allons sur le côté, on va bien fixer notre rendez-vous.
Je vais avec Justin une peu plus loin en lançant bien un regard de feu au maboul là.
On prend donc notre rdv pour minuit. Comme il insiste pour venir me chercher, je lui indique à peu près où il doit m'attendre et on échange nos numéros de phone. On se fait la bise, et je vais retrouver les gars là.
Bientôt 21h, il faut que je rentre. Quand je regarde là, personne ne va me raccompagner, ils sont tous bien tchok. Je dis bye, et je rentre en case.
Quand j'arrive à la maison, je trouve mamie et son petit fils devant la tv. Christopher joue à un jeu vidéo et sa grand-mère est seulement entrain de faire les commentaires genre "cours vite", "wandamina (fais attention), "yona yè (tues-le) etc....
-moi: bonsoir le couple,
-Mamie: hummmm bonsoir
-moi: je dis han Bijou, la console de jeux là est à qui?
-Christopher: c'est pour mon ami
-moi: je t'ai déjà dit que je n'aime pas quand tu vas prendre les choses chez les gens. Un accident est si vite arrivé, on va rembourser comment? Si tu vas jouer là-bas, oui. Mais ne prends pas ça, pardon. Il faut aller me rendre ça.
-Christopher: ok
-moi: je t'ai déjà dit que ma collègue vas en France bientôt, j'ai commander ça avec elle, il faut juste attendre un peu. Oh?
-Christopher: Yep.
-moi: a nwa nyéni ( vous avez mangé)?
-Mamie: Ehhh (oui)
-moi: je vais dans la chambre,
Hummmm j'ouvre ma valise d'habits précieux. Oui oh, les habits qui sont dedans c'est pour le haut niveau du ponçage. Genre quand je veux qu'on me prenne au sérieux.
Je choisis une robe noir qui s'arrête aux genoux, une ceinture en chaîne doré que je vais mettre dessus, ma pochette noire, et je tire sous le lit ma paire de talon ouverte doré.
«je viendrai chanter à ta fenêtre pour que tu penses à moi-même quand tu dors, te plumerai comme une alouette pour distinguer les courbes de ton corps. Je veux que tu sois mon trésor, je te présenterai à ma mama........»
Je regarde mon phone, et c'est le numéro de Franck que je connais par coeur qui s'affiche.
Tchhrrrrrrr
Je jette mon phone sur le lit seulement. Je n'ai même pas l'intention de décrocher. Quand je suis en paix dans ma vie, je ne veux pas d'élément perturbateur.
Vous ne connaissez pas Franck? Attendez je vais vous dire qui il est pendant que je tente de lisser mes cheveux qui sont bouclés on dirait la folie...
[Faisons un saut en arrière]
Il fait chaud et je suis entrain de damer une Moïse de la mort du bord de mer vers la maison. J'étais récupéré la souche de mon acte de naissance à la mairie. J'ai faim et le soleil de 13h ne me pardonne pas du tout. Je suis entrain de penser à un moyen pour me téléporter devant la porte de la maison lorsqu'un Rav 4 gris se gare tout près de moi. La vitre descend aussi que rwaaaaaaaaa,
- : bonjour mademoiselle!
Vous connaissez les gos non? Même si elle est dans la souffrance, elle tape d'abord les blases,
-moi: oui, bonjour?
- : je peux vous avancer?
-moi: non, merci.
Je reprends ma marche bien que mon corps veut seulement se jeter à l'intérieur de cette voiture qui semble climatisée.
La voiture avance aussi doucement jusqu'à mon niveau,
- : mais je ne peux pas laisser une aussi belle femme souffrir sous ce soleil.
Il me montre ses belles dents blanches là,
-moi: est-ce que j'ai dit que ce soleil me faisait souffrir?
- : du tout, je m'inquiète juste pour vous.
Je fais semblant de faire encore deux pas et je me décide à monter dans la voiture.
Quand je suis assise, beuh, que le parfum du type qui me gifle au nez. Je ne parle même pas de la vantardise au volant. Quand je regarde bien le beuhbeuh, je suis nase moi-même seule.
- : je me prénomme Franck, et vous?
Le gar me rend même que un peu timide, je baisse les yeux et je réponds,
-moi: Maëva
-Franck: et on peu savoir ce qu'elle fait à marcher seule sous un soleil pareil Maëva?
Ifoura s'amani (l'argent est fini), quoi d'autre? Mais comme je refuse de faire tomber mon swag aussi facilement, je réponds,
-moi: j'ai attendu le taxi pendant longtemps donc j'ai décidé d'avancer au lieu de pointer comme un piquet.
-Franck : mais c'est que les taxis deviennent des maires à Port-Gentil,
Voici comment on cause et tout, il me dépose à la maison, il y a échange de numéro et petit à petit, on fait connaissance.
On ne sort même pas encore ensemble que déjà il me présente à tous comme sa femme. le matin quand je me lève, le soir quand je me couche, ce sont des Tonnes de sms amoureux qui atterrissent. Je joue à la dure mais vrai vrai, le petit me perturbe, je ne vois que les étoiles.
Dès l'instant où je l'ai fait rentrer dans le salon de la maison, il a vu Mamie, il a vu Bijou, c'est fini. Que je sois là où pas, monsieur est venu jeté un coup d'oeil à mes deux trésors.
Le soir de la proclamation du bacho, mais Franck est seulement plus stressé que moi-même la concernée. J'ai eu droit à une teuf de trois jours d'affilé.
Une fois seulement que le type a essayé de me toucher, que je lui ai dit que c'était trop tôt, na nèno, il ne me demande rien. Je vais pourtant chez lui, on s'amuse un peu, mais rien de grave.
Voici ce soir là, comme d'habitude, je me pavane avec lui sur son lit, on joue jusqu'à ce que les choses sont devenues sérieuses. Quand le type comprend que je suis vierge, oh mais c'est la fatale. Il a même la larme à l'oeil pendant qu'il me déclare encore et encore sa flamme. Moi aussi je jure que j'ai rencontré mon âme soeur. Espoir 2000 a menti, Roméo et Juliette peuvent être Mamadou et Binetta aussi.
Voici comment je ne réfléchis même plus, direct je vais à l'IST l'année qui suit.
Tous mes parents qui attendaient que je vienne cogner à leur porte pour dire que je veux aller à Libreville , ils ont eu la poisse.
Ce que je ne savais pas, c'est que quand tout est parfait, il faut avoir peur.
On est là, donc monsieur Divassa Franck est très marié. Je suis kadanga chez lui, sambo il n'est pas de Pog. Il est juste en affectation temporaire. L'affaire sort quand j'ai un retard. Moi je priais même que ça soit vraiment une grossesse, genre ça va encore souder notre amour. Tu parles, il n'est même pas passé par 2 chemins (4 chemins c'est beaucoup), il m'a tout craché au visage pour terminer en me disant d'avorter. Il a ponctué ses paroles d'un 500.000fcfa cash sur la table. Orema ozoné, rangu'épa (le coeur c'est la chair, pas un os), j'ai pris mes bioum, et je suis partie. Comme si c'était la botte juste pour me montrer le visage de mon cher Franck, à peine j'arrive chez moi que mes menstrues pointent leur nez.
J'ai pleuré oh, je me suis enroulée au sol oh, et c'est passé. J'ai compris pourquoi ce qui ne nous tue pas nous rend fort. Il est retourné vivre à Libreville, mais il jure qu'il ne lâche pas l'affaire. Dommage que je m'aime vraiment pour accepter certaines conneries...
[Voilà.]
Le téléphone pleure seulement rouin na rouin, je ne suis pas dedans.
Je termine de lisser mes cheveux et je me fait un bon chignon à la Kim Kardashian. J'attache mon foulard, je me déshabille et j'enfile ma serviette. Je vais dans la cuisine chauffer un peu d'eau parce que en vérité, la façon dont l'eau qui est stockée là est glacée, même si je suis la propreté incarnée, je ne peux pas me laver avec.
Je prends le temps de bien me laver sans me presser.
Je rentre dans la chambre, je frotte la crème, je mets mon pagne, et je commence à me maquiller. Il est pratiquement 23h20, il ne me reste plus qu'à m'habiller. Mais comme je ne veux pas me froisser, je mets juste mes sous-vêtements et mes chaussures. Je reste assise sur le lit à effacer et les sms, et les appels en absences de Franck.
Quand Justin me fait signe qu'il sera bientôt là, je mets ma robe et je me parfume. En tout cas, je suis prête et je suis bien présentable. J'espère que "l'autre" ne trouvera rien à redire. Bon et puis je me fiche de ce qu'il pense. Ce soir si il me dit un truc bizarre, je lui dépose une bouteille sur la tête.
Quand je repense au sable dehors, j'enlève mes talons et je mets des ballerines. Je soulève mes affaires et je vais tirer Christopher de son jeu pour qu'il m'accompagne sur la route. Une fois là, je lui demande de me mettre mes chaussures parce que avec ma robe, ce n'est pas évident. 5minutes plus tard, je vois le Toyota de mes cauchemars s'approcher.
-moi: Bijou c'est bon, tu peux rentrer.
-Christopher: top
Même au revoir il ne me dit pas, trop pressé de repartir à son jeu. Il va voir, je vais le réveiller à 8h pour aller rendre ça.
La voiture se gare et Justin en sort. Il traverse la route et on se fait la bise.
-Justin: j'espère que tu n'as pas trop attendu?
-moi: non du tout, je viens aussi à peine de sortir.
-Justin: je remarque que tu es très en beauté là, tout ça pour blasée qui?
-moi: on ne sait jamais, peut-être je vais rencontrer quelqu'un là-bas. Krkrkr
-Justin: bon, on y va?
-moi: oui oui.
Nous voici on traverse la route donc, mais pendant que je traverse, j'appréhende un peu la réaction du maboul là. Pas que c'est important, mais c'est pour être sûr de ne pas le tuer pendant qu'il conduit.
Justin m'ouvre la portière et je me retrouve assise à côté d'une go. Je dis bonsoir, bien évidement le plus sauvage ne peut pas me répondre.
-Justin: chérie? Je te présente Maëva, celle dont je te parlais tout-à l'heure. Maëva voici Ida, ma fiancée.
-moi: enchantée Ida,
-Ida: Moi de même
- : vous avez fini avec vos civilités? On peut partir?
-Justin: Ahhh que c'est qu'elle précipitation aussi? Ce n'est pas nous qui avons les clés de la boite tout de même?
Pour toute réponse, je le vois qui pousse le son de son lecteur. Vous n'imaginez pas la chanson qu'il met. "la papa, une pour la route", et il chante en me jetant des coups d'oeil au rétroviseur.
- : «woyi woyo les filles-là qu'est-ce qu'elles aiment oh? Elles aiment le goder, elles aiment le tchouk. Aujourd'hui toutes ses filles deviennent des gombistes,.......»
Ma main démange seulement pour lui mettre une gifle.
On arrive devant le Millenium vers 24h30, et on descend tous une fois la voiture garée. Justin nous prend Ida et moi, chacune à un bras, et on rentre. On prend tous place dans le salon qui nous est réservé, et la soirée commence. Je prends mon verre de jus d'Orange, tranquille.
- : l'ivrogne là veut mentir qu'elle ne touche pas à l'alcool après c'est pour rester boire en cachette quand les gens seront sur la piste.
-moi: si tu crois que tu vas réussir à me faire parler pour t'insulter, tu as raté ton coup. Je ne suis même pas dans toi.
Je passe tout mon temps à l'éviter et lui aussi fait de même. Si je suis assise, il est sûr la piste, et vice versa. Je rentre à la maison vers 6h après bien sûr un tour chez Sinclair au Printemps.
Quand je rentre, je me change et je mange. Mais au lieu de dormir, je commence le rangement. Si je touche le lit là, je ne vais pas me lever avant 15h.
Je vais puiser de l'eau un peu un peu, jusqu'à ce que tous les récipients soient pleins. Vers 8h , pendant que je nettoie le salon, je mets mon cd de variétés dans le lecteur.
«yènani nônô eh eh
Mya douwo myé dèwa ni nkowa y'olando aboudjè, ra dyèmo myè n'edingo za deno n'oyoni yango. Ra bambya myè nè nyinô ny'épila ssani? Ayè nè ma bya ro pa wè intchango y'Esseringuila»
Je chante, je bosse. Le son est tellement bon que j'ai seulement envie de danser encore.
«ra zélé oma wa véri n'éyalé z'essinringila, vendè ra weti nwè yè élenguè z'ossenguè winô. Ayè n'anivi nkoro nè eyanga à ré dyon'iyano, ayè n'anivi olamba y'owango aré kèwo'onèro. Essinringuila a wouligni nè diawo ni nkowé nkomi nè ma piarana, ndo sambo tchuru ekendo r'elonga aré tiro'odiani.»
-Moi: oh? madame Edowiza, à wa nongwi (tu es debout)?
-Mamie: Ehhh. Oyembo mbia, mendè wônô wé diemba (oui. C'est une belle chanson, qui chante)?
-moi: laissés, ce n'est pas de ta génération. C'est le grand Prince Marius.
Kôkôkôkô!
-moi: oui?
Sui, didi, personne ne rentre.
-moi: c'est qui?
- : si au lieu d'écouter les chansons des mbandja tu venais voir qui cogne, tu ne poserais pas de questions aussi maboules.
Non? Je refuse d'y croire....
À peine j'ouvre la porte que je reçois un truc presqu'en plein visage.
-moi: oh?
- : je t'ai déjà dit que tes techniques stupides ne marchent pas avec moi. Si tu as laissé ta ceinture dans ma voiture dans le but de te refaire inviter par Justin, malheureusement, tu as raté ton coup. Il ne l'a pas vu. Maboule.
Et il s'en va.
Oh?
Je dis han, le gar là se croit où?
Non, ça dort.
Je vais derrière la maison et je récupère un petit seau d'eau. Je contourne la case, et je presse le pas pour le rattraper.
Ni une, ni deux, que fwaaaaaaaaaaaaaaa
Je lui verse de l'eau...