Moi : mais je me suis dis exactement la même chose, Nzembi Tara, à un moment donné même si on est sa famille et qu'on doit être là pour elle, il ne fallait pas aussi s'isoler comme elles l'ont fait depuis des années.
Emilien : exactement et pour être honnête, je ne connaissais tellement pas bien Lisa que sa mort ne m'affecte pas
Moi : et moi donc ? Vraiment pas au point d'aller attendre sa sœur chez tonton martin pour compatir alors que je n'ai aucune compassion
Emilien : humhum, c'est compréhensif, mais va quand même à Koulamoutou parce que c'est la famille qui a perdu un membre.
Moi : oui oui j'irai mais juste qu'ils ne s'attendent pas à ce que je sois triste ou pire que je pleure.
Emilien : ça c'est sûr
Moi : et le comble dans tout ça, tu sais quoi ?
Lui : non dit moi
Moi : tonton Martin nous demandé de ne rien dire à Annaëlle, concernant la maladie qu'avait sa sœur
Lui : et pourquoi ? Ça sert à quoi ?
Moi : soit disant pour la préservé et que la demande venait de Hervé son compagnon
Lu : quoi il a honte ? Ou bien il se reproche quelque chose
Moi : ha tu me connais non, j'ai posé la question, à savoir si c'était lui qui l'avait contaminé, ce qui expliquerait qu'il ne veille pas que la petite sache et l'en veuille
Lui : et tonton martin t'a dit quoi ?
Moi : qu'il ne sait pas et qu'il faut tout simplement se taire.
Lui : hum, en tout cas c'est douteux et ton explication tient la route
Moi : ça n'en gage qu'eux de toutes les façons
Emilien : Exactement, Bon on s'appelle tu me racontes tout dès ton retour
Moi : mais bien, sur ! Fais un gros câlin à mes homo et à ma belle
Emilien : je n'y manquerais pas, tchaouu
Moi(parlant toute seule dans mon bureau) : non mais carrément partir à 15 heures, tchinéké ! Les gens travaillent hein
Comme dit Emilien, ce n'est pas comme ci cette disparition m'affectait et puis j'allais partir chez TM maintenant, déjà que j'ai pris 3 jours pour ces obsèques car TM voulait que l'on fasse une petite réunion de famille après, faut pas non plus me demander la lune, non mais !
*Anaïs*
j'avais envie que mes larmes coulent parce que je venais de perdre un membre de ma famille, mais elles ruisselaient parce que l'homme que j'aime avait épousé ma meilleur amie. Je n'avais rien vu venir, sans l'avertissement de Ya Emlya, ils auraient même pu se jouer de moi encore longtemps je n'aurais vu que du feu. Quand je pense que vendredi dernier j'étais presque sa fiancée et aujourd'hui, il me propose d'être se deuxième femme car oui figurer vous que:
-En début de semaine-
Alissou : je suis désolée Anaïs,
Moi : ça dur depuis quand entre vous ?
Alissou : depuis jamais, je n'ai jamais eu des yeux sur elle. Ce sont mes parents qui m'ont appris qu'ils avaient trouvé ma première épouse, je n'ai jamais voulu ça Anaïs, je ne t'aurais jamais fais ça.
Moi : mais alors pourquoi c'est arrivé ?
Alissou : je t'aime...mais je ne peux pas allée contre la volonté de mes parents Anaïs, demande moi tout mais pas ça
Moi : comment tu peux me dire de te demander tout mais pas ça alors que c'est la seule solution pour nous.
Alissou : non ce n'est pas la seule solution,
Moi : comment ça ?
Lui : tu peux toujours venir voir mes parents, je peux toujours te les présenter dans ce cas, tu seras ma seconde épouse
Moi(choquée): non Ali, tu ne peux pas me demander une chose pareille
Lui : c'est la seule solution pour qu'on soit ensemble,
Moi : et c'est un NON catégorique
Lui(peinée) : alors tu ne m'aime pas assez pour accepter d'avoir une coépouse ?
Moi : et toi aussi apparemment pour ne pas faire ce que tes parents te demandent
Lui : ....Ce...ce n'est pas pareil
Moi : ne dis pas ça
Lui ; si parce que ce sont mes parents, je suis ce que je suis grâce à eux, j'ai ce que j'ai encore grâce à eux ! Jusqu'à aujourd'hui je n'ai jamais déçu mon père et j'y compte bien.
Moi : alors sache que l'éducation que j'ai reçu de ma famille m'empêche aussi d'accepter la polygamie. Et puis Je ne peux pas Ali c'est au dessus de mes forces, avoir Pascale comme coépouse, non c'est trop dur !
Lui : mais tu sais bien qu'elle n'a pas mon cœur, c'est toi qui l'a. Elle ne sera là que parce que mes parents l'ont voulue
Moi(en pleure) : MAIS TU LUI FERAS L'AMOUR ?
Lui : non, je coucherai avec elle, mais toi...toi je te ferai l'amour, tout le temps, même quand je serais avec elle je penserai à toi
Moi(hésitante): il faut que je réfléchisse, je ne peux pas te répondre tout de suite
Lui : penses y bien fort mon amour et sache que je t'aime. Toi et toi seule. Pascale est le choix de mes parents, toi tu es celui de mon cœur
-Retour dans l'avion qui nous même à Koulamoutou-
Je voulais vraiment être avec lui, mais à quel prix? Et qui ne me dit pas qu'à force de la fréquenter il tomberai amoureux d'elle ? Que dès qu'elle portera son enfant il l'aimera ? Mais d'autres part Alissou était quelqu'un qui tenait toujours ses promesses, il avait raison ses parents l'avaient inculqué des valeurs fortes comme le respect et le fait de n'avoir qu'une parole. Je pouvais compter sur le fait qu'il m'aime. Je pourrais avoir ma maison à moi où nous vivrons que tous les deux et les futurs enfants, et comme ça le voir avec ma...non avec Pascale m'ennuierai moins.
Je n'avais encore rien dit à Emiliana, de toutes les façons, je savais qu'elle n'aurait pas été pour, j'avais donc besoin de poser le pour et le contre sans avoir un autre avis d'abord.
Lorsqu'on atterris, Ya Emlya n'arrêtait pas de se plaindre et comme si ça ne suffisait pas elle a reçu un appel de Ya Lucas car les enfants n'arrêtaient pas de pleurer leur mère. La famille du mari de Lisa était venue nous chercher à l'aéroport ? Edith et son mari, Emlya et moi. La première vague Yvonne, Martin et sa femme ainsi que mes neveux Fabien, Louis et Annaêlle était déjà arrivée et bien installée, d'après les dire de nos hôtes. Il ne manquait plus que nous..
*Annaëlle*
Quand nous sommes descendus de la voiture qui est venu nous chercher à l'aéroport, le chauffeur nous a conduis dans une cabane en terre battu et c'est à ce moment là que je l'ai vu Hervé. Et je peux vous dire que j'ai eu le choc de ma vie de le voire, lui qui jadis était de corpulence forte et imposante. J'avais en face de moi un Hervé amaigris, pâle et en fauteuil roulant
Moi(accourant vers lui) : Hervé..... regardant ses jambes, mais qu'est-ce qui t'es arrivé
Lui(la main sur ma tête) : Nanaëlle
Moi(regardant ses jambes) : mais qu'est-ce qui est arrivé à tes jambes ?
Lui : rien de ce que tu penses, c'est juste que j'ai vraiment du mal à marcher et cet engin me permet de me déplacer plus rapidement
Moi : mais mon Dieu, tu as tellement maigris !
Lui(en rigolant) : oui le swaag est partis
Moi(esquissant mon premier sourire depuis la terrible nouvelle) : c'est peu de le dire
Lui : c'est rien mon bébé, je suis encore là, je suis là
et les larmes me sont montés au yeux, on s'est fixés intensément et j'ai pleuré comme une madeleine, j'ai entendu TM dire dans mon dos
Lui : laissons-les
Tantine Christalle : oui bonne idée
Hervé(me caressant toujours la tête) : pleure nana, pleure nana, ça va te faire du bien
Moi : non rien ne me fera du bien, à part si elle revient
Lui : mais tu sais que ce n'est pas possible
pour toute réponse je me suis mise à pleurer sur ses genoux encore et encore, je ne sais pas combien de temps nous sommes restés comme ça. Puis il m'a demandé d'aller me reposer pour prendre des forces car il fallait qu'on aille voir le corps .
Ça n'a pas été chose facile de prendre la route pour la maison mortuaire, je crois bien que la main d'hervé s'en souviendra de se trajet. Quand nous sommes arrivés a l'entrée, TM, Hervé et moi, nous avons été accueillis par un agent bien insolent car nous étions « en avance et que le corps n'était pas prêt ». Je n'avais pas la force de répondre à ses « toisement » ou à son insolence, je voulais garder cet énergie pour ma sœur.
1 heure plus tard j'ai été autorisé à allée la voir, TM et Hervé sont partis régler tous les frais nécessaire. J'ai suivis une dame qui m'a remis un sachet en me disant
Elle : dans le cas où tu veux vomir maman
Je l'ai souris avec peine en lui disant
Moi : non ça va aller
Puis je suis rentrée dans cette pièce froide et isolée, il y avait plusieurs cercueil mais celui de ma sœur était rose pâle, je l'avais choisis. TM m'avait envoyée sur whatsapp les différents cercueils que proposaient la maison et j'avais choisi celui ci. Je me suis approchée doucement et lentement et je l'ai vue !
Elle avait changé, beaucoup changé, elle avait autant maigris que son chéri mais noircis aussi. Puis à cette pensée j'ai souris car nous comparions toujours nos teints. Elle s'estimait plus « clair » que moi alors que nous cuisse disaient le contraire »
moi : j'ai tant pleuré Lisa, que je n'arrive plus à faire couler une quelconque larme, je t'ai apporté quelque chose.
J'ai foulé dans mon sac et j'ai sortis une copie de l'original de ma licence.
Moi : tient !
J'ai posé le morceau de papier sur ses mains jumelées
Moi : chose due chose faite
silence !
Puis les larmes ont jaillis, sans que je ne m'en rende compte et je l'a regardais avec douceur. Puis la même dame est revenue me dire que c'était finis et que je reverrai le corps demain
Moi : vous pouvez fermer le cercueil s'il vous plaît, je ne veux pas qu'on garde cette image d'elle
Elle : son mari a fait la même demande
Moi : ah ok et surtout laissé le papier que j'ai posé sur elle
Elle : d'accord ma fille et surtout courage
Moi (en murmurant) : et force oui j'en ai besoin.
En sortant de cette salle, j'avais gagné un peu en force car je savais qu'elle était fière de moi, elle me l'avait si souvent dit.
Le lendemain, le corps est arrivé à 15 heures, nous l'avons exposé jusqu'au lendemain 09 heures, heures de la messe. TM a fait un discours au nom de la famille où il a remercié la famille d'Hervé de nous avoir bien reçu, car toutes les plus grandes maisons du village avait été réquisitionnées pour nous héberger. Il les a aussi remercié d'avoir accueillis ma sœur durant ces trois années, il a eu un discours simple mais élogieux sur ma sœur et sur la belle personne qu'elle était. Puis vint le tour d'Hervé, durant son discours plus de la moitié de la salle était en larmes sauf bien sur Emilianna et ses parents qui ressemblaient plutôt à des touristes qui venaient découvrir le Gabon profond.
Puis vint l'heure d'enterrer le corps et je ne me rappelle plus exactement car je crois qu' a un moment donné j'ai sauté dans le trou pour qu'on m'enterre avec elle et que j'ai tellement pleuré que j'ai dormis et que ce n'est que le lendemain que j'ai ouvert les yeux.
Je me suis dirigée vers la salle de bain mais il n'y avait pas de seau remplis, alors j'ai décidé d'aller me laver à la rivière en prévenant Hervé,
Lui : tu veux que quelqu'un t'accompagne ?
Moi : non ça va aller !
Lui : okay mais sois prudente
Moi : oui
elle était à dix minutes de marche, Arrivée, il y avait un groupe de jeune fille qui lavait du linge et un autre qui faisait la vaisselle. Puis juste derrière moi un autre groupe s'est emmené et voyant que la rivière était déjà bien occupée elles ont attendu en jouant à la « mère », 4 filles de chaque groupe. J'étais vraiment concentrée à les regarder jouer quand un jeune homme d'à peu près mon age s'est approché de moi et m'a dit
Lui : Tu veux que je te puise les seaux ?
Moi : euh non ça va, je vais le faire
Lui : d'accord !
Il m'a gentiment souris avant de me tourner le dos, il a retiré son t-shirt s'est avancé vers la rivière et a disparu de mon champ de vision.
Moi(au fond de moi) : oui c'est bien ça, je l'ai vu deux ou trois fois parlé avec Hervé, il était à la veillé et à l'église aussi, toujours en retrait mais il était bien là.
Les filles avaient finis de jouer à leur partie et se sont empressées de remplacer dans la rivière d'autres qui finissaient leur vaisselle. Je crois que j'étais là depuis plus de 30 mn et il y avait de plus en plus du monde j'ai changé d'avis et décidé de me laver à la maison. Je suis donc retournée avec mes seaux vides.
C'est dans l'après-midi qu'il devait y avoir le réunion de famille convoquée par TM car Emiliana et les siens devait rejoindre LBV demain matin très tôt. Quant à Hervé, il était en ville, il devait la prendre en cours de route.
Tm : bien j'ai tenu à cette réunion parce que notre fille ici présente a perdu ses parents biologiques il y a 15 ans et et vient de perdre sa grande sœur. Et surtout pour que la hache de guerre soit enterrée à jamais et que l'on reparte d'ici plus qu'unis. Car la mort peut nous surprendre tous (en regardant ses frères et sœurs) et que Ekome père n'aurait pas été fière de la manière dont on se traite.
Tantine Edith : mais tout va bien pour moi Martin, je n'ai aucun problème avec qui que se soit la preuve je suis là, car si ce n'était pas le cas crois moi,je n'aurais pas mis pied ici
Moi : mais ta présence a été égale à ton absence Edith, tu aurais même mieux fais de t'abstenir de venir jouer la comédie
TE : non mais parle moi avec respect quand même je ne suis pas....
Moi : oui tu n'es pas... tu n'es rien pour moi, et cette hypocrisie je n'en pas besoin. Tu dis que tu n'as aucun problème avec moi mais moi non plus je n'en ai aucun avec vous pour la simple et bonne raison que vous vous êtes toujours foutus de ma sœur et moi et que je vous calcule tellement par zéro que votre présence me gène simplement.
TE(à tonton marti) : Martin, je ne suis pas venu ici pour me faire insulter, donc dis lui de se calmer,
Tantine Christalle(devançant son mari) : Annaëlle doucement stp
Moi : non tantine Christalle, c'est bien beau de venir ici et dire qu'elle n'a aucun problème avec moi alors que depuis le décès de mes parents pas un seul coup de file pour savoir si je vais bien, si j'ai mangé, si je travaille à l'école, rien ! C 'est bien étrange moi, un bébé de 8 ans qui venait de perdre ses parents. Pendant des semaines j'ai dormis dans une chambre d'étudiant avec ma sœur, pendant 5 ans il nous arrivait de ne pas manger. Je ne t'en veux pas tonton Martin ni toi tantine Christalle, mais si l'un d'entre vous étiez morts, jamais mes parents n'auraient laissé Emilianna et Emilien ou Fabien et Louis vadrouillés dans Libreville, jamais parce que eux c'était des gens biens!
Emilianna( en tapant dans les mains) : bravo, tu m'a émue, mais ma pauvre cocote tu penses que les oncles sont là pour garder les enfants de leur frère et sœur comme s'ils n'avaient pas leur propre enfant. Ta sœur était déjà en âge de te prendre en charge chose qu'elle a fait.....
Moi(lui coupant la parole) : je ne te parlais même pas à toi
Emilianna : ça ce n'est pas mon problème, tu vas m'écouter alors. Tu reproches à ta famille de vous avoir abandonnées mais est-ce que vous vous êtes rapprochées de nous pour faire savoir que ça allait mal, que vous passiez des moments difficiles ? Comment on aurait pu deviner que les enfant de Divine et Nestor vivaient mal ? hein ? Surtout qu'on est pas divin ?
Tantine Yvonne : doucement les enfants on est là pour arranger
Emilianna : non mais qu'elle nous dise, Lisa et elles se sont isolées de nous tous. Donc qu'elle ne remette pas leur souffrance sur nous.
Moi(ricanant): mais tu es drôle toi, je te signal que c'est en partis à cause de tes parents qu'on s'est retrouvées à la rue ma sœur et moi. Mettre des enfants qui viennent de perdre leur parent dehors de leur maison, hum? Et ça ce n'est pas de leur faute peut être ?
Mari de TE : cette maison on devait la récupérer depuis et vos parents le savaient et puis d'ailleurs toute cette rancune à cause d'un bien qui ne vous appartient pas ?
Emilianna : vraiment papa !
Moi(avec une larme à l'œil) : non détrompez-vous, cette rancune n'a rien avoir avec ce bien qui ne nous appartenait pas et je ne l'appellerai même pas de la rancune, mais de l'incompréhension, car oui quand j'étais plus jeune je me demandais bien pourquoi poser cet acte ? Vous aviez d'autres maison,Vous pouviez nous laisser celle là, ça ne vous coûtait rien.
TE : on ne peut pas parler ici des problème de famille, mais mon mari et moi avions décidé de reprendre cette maison à tes parents bien avant leur disparition et c'est ce que nous avons fait. Et même si ça ne te dis rien sache que je voulais te prendre avec moi vu que t'a sœur avait déjà commencé à faire la vie partout partout.
Moi(avec une colère naissante) : je te somme de parler de ma sœur avec respect
Emiliana(en haussant la voix): sinon tu vas faire quoi ?
Moi(sereine mais énervée); tu veux peut être que je te montre ?
TM : calmez-vous, dis donc ? Vous vous croyez où là ?
Emiliana : mais c'est elle, elle croit qu'elle peut faire quoi à qui ?
Fabien : toi aussi tu as une grande gueule Emiliana, ton oncle te dis de te calmez, tu ne comprends pas, que toi aussi tu peux faire quoi à qui ?
Emilianna(écarquillant les yeux) : Père !!! à qui tu t'adresses même là, tu crois que j'ai ton âge
Fabien : ....
Emiliana : oui ne me réponds pas il vaut mieux pour toi
Moi(à TM) : toton Martin, franchement ce que tu me demandes là c'est beaucoup, je ne peux pas oublier et passer à autre chose. Jusqu'à aujourd'hui chacun à toujours vécu dans son coin que ça reste ainsi.
TE : encore une fois mon chez moi est ouvert à tout un chacun
Moi(commençant à me taper sur le système) : mais tu veux pas te l'a fermée, est-ce que je t'ai parlée
Emilianna s'est levée très rapidement et s'est placée devant moi en disant d'un air menaçant.
Elle : mais c'est au parent de qui que tu parles comme ça ? Hein ? tu veux que je te casse la gueule pour t'apprendre le respect ?
Tantine Yvonne, Tantine Christalle, Fabien et Louis s'étaient déjà levés pour se mettre entre nous, quand soudain une voix à la porte s'est faite entendre
Voix: si tu touches à ma femme, tu vas le regretter !
Nous nous sommes tous retournés, il était là, planté devant la porte les bras croisés sur sa poitrine.
Heu....Attendez le jeune homme de la rivière fait quoi ici et il vient de dire quoi là ? Sa quoi ? O_o