Je me lève du lit , porte un peignoir et me dirige vers la chambre des enfants. Je commence par celle de Diamonds. J'ouvre délicatement la porte, j'arrête la clim et je vais m'allonger près de ma fille.
Moi : bébé débout, il est tant de se préparer pour aller à l'église
Diamonds : humm oui maman mais encore deux petites minutes stp
Moi : non mon bébé. Lève toi(lui retirant le drap du corps ) je dois allée m'occuper de ton petit frère et vous préparer le petit dej'
Diamonds (les yeux à peine ouvert) : d'accords maman je me lève.
Aussitôt dit aussitôt fais. Je l'ai aidée à retirer son pyjama puis je me suis dirigée vers la chambre de mon fils. Il n'avait que 4 ans donc était moins docile que son aînée. Je l'ai soulevé du lit déshabillé et emmené prendre une douche. 30 mn après toute la famille Delabel était entrain de petit déjeuner
Rubi : aujourd'hui maman c'est moi qui vais faire l'animation à l'Ecole Des Tous Petits (église pour les enfants à JRB)
Moi : oui mon poussin je sais mais tu sais bien que maman n'aime pas quand tu parles la bouche pleine n'est ce pas ?
Lui(tête baissée) : désolée maman
En guise de réponse je souris et je me tourne vers son père qui mange avec appétit son petit déjeuner après lui avoir privée de nourriture hier. Il faut savoir que dans ce royaume qu'est ma demeure je ne tolère pas les mensonges, les vols, la télé aux enfants jusqu'à x heures, le mari qui traîne dehors après le boulot bref les écarts de conduite et quiconque déroge à mes règles se voit priver de manger. Et bien évidement que plus la faute est grande plus la punition est sévère.
Hier Lucas n'a pas mangé car j'ai appris vendredi soir qu'une de nos clientes lui avait envoyé des messages assez explicites sur ce qu'elle voulait de lui. J'avais des soupçons depuis que je l'avais surpris à regarder mon mari avec concupiscence et qu'elle tenait à ce que le directeur général soir toujours présent lors de nos réunions. Et vendredi dernier j'ai eu la preuve de ses mensonges grâce à un ami qui travaille à Libertis à qui je refile beaucoup de billets pour me donner des informations sur mon mari ou sur les membres de ma famille. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai appris que Lisa souhaitait envoyer sa petite sœur en Espagne. Puff n'importe quoi !
Bref ceci dit personne dans ma maison n'a le droit de me mentir et encore moins mon tendre époux marié au régime monogame Lucas.
Nous voilà tous assis confortablement dans notre Mercedes-Benz à destination du culte. Nous vivions dans les Pk et l'église se situait à Avea nous avons donc mis une bonne trentaine de minutes avant d'arriver. En descendant de la voiture les enfants se sont dirigés vers la salle qui leur était réservée pour l'EDTP, Luka quant à lui est allé se trouver une place dans le temple et moi je me suis dirigée à l'étage dans les bureaux réservés au Pasteur et à ses collaborateurs.
En ouvrant la porte je suis tombée sur Cindy (fille du Pasta principal ), elle pianotait nerveusement sur son téléphone.
Moi(en rigolant ) : kieee ma fille qui t'a énervée comme ça
Elle(levant le regard sur moi) : oh t'es déjà là
Moi(déposant mon sac sur le bureau ) : mais bien sur, pour qui tu me prends ? Et puis quelle idée de venir à l'église en retard ?
Elle (ramenant son regard sur le téléphone ) : Dis ça à mon Andreu (son frère)
Moi : ton père est là ?
Elle : depuis 6h oui
Moi(reprenant mon sac posé sur le bureau) : Ok je vais le voir, je dois m'entretenir avec lui avant le début du culte,
Cindy : ok M'dame,
je tourne les talons et me dirige vers le bureau du PP(Pasteur principal), arrivée devant sa porte je tape deux gros coups, j'entends qu'il m'invite à rentrer. Deux secondes d'après
moi : Bonjour Pasteur Bivigou
Lui : ah quelle belle surprise, la plus fidèle des servantes,
il se lève me serre la main se rassoit et m'invite à faire de même,
lui : alors comment a été la semaine ?
Moi : hum Pasta dure .... le Diable a attaqué cette semaine de tout coté : la famille, le mari, le boulot,
lui(très attentive) : alors ?
Moi : elle lui envoyait presque des sexto Pasta et le pire dans tout ça c'est que j'ai comme l'impression que ça lui plaisait,parce que à un moment donné je lui ai donné la possibilité de me dire la vérité et il m'a délibérément menti
Lui ; c'est vrai
Moi : Pasteur... ça s'appelle de l'infidélité non ?
Lui : exactement car sa chair a parlé et voulait certainement de cette femme
Mou(avec une voix enrouillée) : je me suis dis la même chose, oh Seigneur pourquoi ? Pourquoi moi ?
Lui : mais c'est une victoire que vous avez gagné car ces messages ne sont pas allés plus loin qu'au téléphone
moi(cherchant un mouchoir dans mon sac) : oui Pasta
Lui : et puis n'oublie pas le Seigneur réserve ses plus grands combats à ses plus vaillants soldats
Moi : oui pasteur mais ce n'est pas tout : une de mes cousines, celle qui a porté main à maman
lui : oui oui Lisa
Moi : exactement : ben tenez vous bien qu'au jour d'aujourd'hui elle a envoyé sa petite sœur
lui et moi : Annaélle
Moi : exactement pasta, en Espagne
Lui : mais c'est une bonne nouvelle, Gloire à Dieu
Moi : ça l'aurait été si un de mes oncles n'avait pas participé à acheter le billet et à l'argent de poche de la petite. Je ne comprends pas pourquoi les gens qui se disent être « capable » et qui nous on toujours repoussé demande notre aide, Certes le Seigneur a dit « Aidez-vous les uns les autres » mais pas après avoir été aussi méchantes qu'elles l'ont été,
Lui : je vois vraiment que cette histoire te touche Emlya
Moi (peinée) : oui Pasta parce qu'elles sont foncièrement méchantes et je ne sais pas pourquoi mon oncle a tenu à l'aider, vous vous rendez compte, c'est comme ci c'est lui qui l'avait envoyée, Vous savez Pasteur, la dernière fois vous aviez fait une prédication vraiment très instructive sur l'investissement : financière et spirituel et j'ai bien retenue que chaque centimes que l'on sort de sa poche en est un et soit cet investissement est une perte soit c'est un profit et pour moi ça me (les yeux levé vers le ciel) que mon oncle ait autant investie à perte sur elle,
Lui : hum je comprends, mais tu sais on ne le saura que lorsque la petite va rentrer de son voyage
Moi : mais c'est justement là le problème jamais elle ne reconnaîtra que ça été une B;A ; leurs parent étaient pareilles, jamais reconnaissant de ce qu'on pouvait leur rendre comme service, toujours entrain de se plaindre de leur sort,,,,
Lui : le temps et Dieu nous le dira mais resté toujours en prière c'est grâce à cela que le Diable se tiendra toujours loin de toi
moi : oui pasteur vous avez raison, merci encore ça me fait toujours un bien fou de vous parlez
Lui : que Dieu vous bénisse
Moi : amen
Lui : voyez avec Hortense pour la dîme et les offrandes ainsi que pour la lecture de la parole,
Moi : oui pasteur,,,,
sur ces mots je sortis de son bureau aussi légère qu'une plume, avoir un mari et des enfants c'est bien mais avoir un pasteur comme le mien c'est mieux.
C'est un véritable homme avec le cœur de Dieu qui est à l'écoute et comprends ses fidèles, il est à lui seule une bénédiction pour la communauté.
Je suis allée dans un bureau pour travailler avec les autres collaborateurs pour le bon fonctionnement du culte. La parole d'aujourd'hui comme tous les dimanches était fortifiante et elle nous exhortait à ne jamais rien garder pour nous, à nous confié au Seigneur Jésus. Car de cette délivrance venait la paix, du cœur, de l'âme et de l'esprit.
*A la fin du culte
Maman pasteur Rosa : vous venez manger à la maison ?
Moi : non pasteur je ne pourrait pas car Anaîs rentre ce soir du village et demain matin très tôt il faut que j'aille chercher papa et maman à l'aéroport,
Pasta Rosa: D'accord ce sera la semaine prochaine alors
Moi : oui bien sur ( à mes pierres précieuses) on y va les enfants
Sur ces mots nous avons tourné les talons en disant au revoir à la famille du Pasteur. En effet Pasteur Eric Bivigou était marié à Rosa que nous appelions tous respectueusement maman pasteur rosa, c'était une femme douce et aimante mais sans éclat, je trouvais qu'elle ne formait pas un couple idéal avec le Pasta, elle était plus tôt grande et mon pasteur lui court enfin vous voyez le tableau. Bref ils avaient deux enfants, enfin trois car maman Pasta est allée en mariage avec un enfant dans les bras donc il y avait ma combie Cindy (17 ans) Andreu (25ans) que je voulais absolument casé avec Anaïs et Phillipe 30 ans qui vivait en province avec sa famille.
Nous sommes rentré car il fallait aller chercher miss Anaïs à la gare routière elle avait démarré depuis le matin et je ne voulais pas la faire poiroter trop longtemps,le culte est finie au environ de 13 heures, j'ai fais à manger, des croustibats aux enfants et une quiche pour M. et moi) puis nous avons tous faiT une sieste de deux heures, j'ai réveillé les enfants pour l'heure du goûter nous avons tous regardé un film Disney et lorsque 18h30 a sonné j'ai démarré direction la gare pour cherche la miss,
*au même moment du côtés des Akébés
+Lisa Ekome épouse Mayinou+
abora ééé mon ya Jerusalem.... é mam mé ce ya bô signo abora ééé
abora ééé mon ya Jerusalemn.... é mam mé ce ya bô signon abora ééé
puis j'entendis la porte s'ouvrir dans mon dos et des pas précipités qui s'avançaient vers moi
Hervé(dans mon dos) : tiens mon amour
Moi : merci bébé et va t'attabler se sera prêt dans 5 petite minute
il déposa un baiser sur ma joue et partis s'installer à table comme je lui avais demandé, Hervé et moi avions vu des vertes et des pas murs, n'avions pas pu avoir d'enfant mais notre plus grande fierté était ma sœur. Nous l'avons couvée et bornée, aimée et dorlotée. Ça faisait à peine 24 heures qu'elle était partit que son absence se sentait dans la maison, mon cœur et mon esprit..... Mais il fallait que je me ressaisisse
j'ai apporté une marmite de pâte à la sauce tomate et à la sardine que j'ai déposée sur la table
moi : bon appétit bébé
Lui : merci
un silence lourd s'empara de la pièce
Lui : tu sais que ......
Moi(peinée) : oui je sais bébé, mais ne me rends pas plus triste que je ne le suis déjà demain nous en reparlerons pour le moment profitons de ses derniers instant serein, tu veux ?
Lui : OK , on doit le voir à quelle heure ?
Moi : 17h, il m'a dit
Lui(avec un sourire forcé) : okay mon amour
il rapporta la cuillère à la bouche et me dit
Lui : tu cuisines tellement bien
En guise de réponse je lui ai esquissé un grand sœur
*Au niveau de la gare
+Emillianna Ekome+
dans la voiture
Moi : alors comment s'est passé le séjour
Anaïs : trop bien, franchement vous les Librevillois vous avez beau dire mais la province c'est bien mieux. Surtout Oyem avec les retraits de deuil et tout ça, Non c'était juste trop bien
Moi : et tu m'as dit que tu avais fais un tour à Franceville c'est ça ?
Elle : oui Pascale (une amie très proche) voulait que je sois hôtesse au mariage de sa grande sœur comme je t'ai expliquée au téléphone. Un mariage plutot réussi et un autre week-end chouette !
Moi(méfiante) : Tu me montreras les photos, hein ?
Elle : oui oui bien sur, j'en ai dans mon téléphone
Moi : ok, tu sais que ta sœur rentre demain, donc fini les sortis
Elle(boudeuse) : mwouii
Moi : ah ma petite ce n'est pas la peine de bouder
Elle : mais je n'ai pas envie d'aller passer mes deux dernières semaines de vacances avec eux, alors que je voulais rester à Oyem
Moi (avec ironie) : tu manques à ta sœur c'est comment
Elle ! Pufff à mon âge ? On me borne encore comme un bébé de deux ans, j'en ai marre
Moi : et pardon jeune fille ce n'est ni avec moi ni dans ma voiture que tu vas venir balancer les « j'en ai marre » mieux tu t'imposes
Elle : mais aide moi en plaidant ma cause, stp stp stp
Moi : bon je vais voir ce que je peux faire
Elle : hum oki, mais c'est vraiment en Afrique qu'on voit une tante suppliée sa nièce,
Moi(en riant) : il fallait naître avant, donc respect mon âge
Elle : et toi respect aussi mon rang
Nous sommes toutes les deux parties dans un fou rire.... nous avons encore taper la discute jusqu'à la maison, Arrivées les enfants ont sauté sur elle. Et il a régné dans ma maison une atmosphère bonne enfant comme je les aime,
*Le lendemain
+Dans le bureau de Martin Ekome+
Lisa Ekome
Lui : non vous ne pouvez pas prendre une telle décision
Moi : et quoi ? Hein et quoi ?
Après un silence de 15 secondes....
Moi : Excuse moi d'avoir haussez la voix tonton Martin, mais (prenant la main d'Hervé) nous ne sommes pas venu demander ton avis mais juste des conseilles financier pour les éventuels placement et pour savoir si tu pouvait nous aider pour la demande qu'on vient de te soumettre.
Lui(tête baissée) : tu as pensé à ta sœur ? Elle va terriblement t'en vouloir tu le sais au moins
Moi(me mordant les lèvres et pressant la main d'Hervé) : oui je le sais (les larmes me montaient aux yeux) je ne pense qu'à elle en agissant ainsi justement, je préfère partie ainsi car je sais qu'elle sera entre de bonne main.
Lui(se tournant vers Hervé) : et tu es d'accord avec ça ?
Hervé : d'un commun accord nous sommes venus vers toi car tu es le seul à pouvoir appliquer nos dernières volontés et OUI d'un commun accords nous le voulons pour notre petite Nanaélle,
Lui(résigné) : Très bien qu'il en soit ainsi je ferai comme vous m'avez demandé
Moi : merci Tonton Martin
Lui(sortant des documents de son tiroir à bureau) : alors concernant ce placement.....
*au environs de 20 heures
+chez les Ekome (Forts) : Edith et Celestin+
Emilianna Ekome
Mo : donc maman pasteur nous convie chez elle dimanche prochain,
Anaïs : c'est normal que vous êtes autant chouchoutés, vous ne blaguer pas quand vous donner la dîme et les offrandes OTDB( on te dit bien) 30;000 à 150,000
Moi : okay j'aime Dieu mais quelle idée de donner 150,000 à l'église ça c'est les choses de ta sœur
Edith : oui et ? Moi je donne au Seigneur tout ce qu'il m'a donnée et sans compter
Anaîs : mais donne moi aussi
Edith : mouf c'est toi qui peut parler tu nous saignes tous autant que nous sommes ici
Nous sommes partis dans un fou rire et c'est dans cette ambiance que Tonton martin a franchis le seuil de la maison
Lui : eh ben, eh ben dans la joie et la bonne humeur à ce que je vois famille Ekome
Moi : toujours tonton martin, toujours......prends place, je te sers quoi ?
Lui:un martini avec deux glaçons stp
moi(à Anaïs) : tu as entendu un martini avec deux glaçons
elle (étonnée): oh
moi : tu croyais que quoi ? J'allais me lever alors que tu es là ? Mtsimm vas prends les bieume (choses)
elle se lève en ruminant mais reviens très vite avec le rafraîchissement. Durant 10 à 15 minutes on parle de tout et de rien jusqu'à ce que tonton martin en vienne au fais de la conversation... 20 mn plus tard
Moi(super énervée) : mais qu'ils s'en aillent où il veulent Tonton Martin franchement je te le dis je m'en fous
Lui(en me coupant la parole) : mais ils sont malades... tous les deux sont séropositifs et vont à Koulamoutou pout finir leur jour, ils n'ont pas assez de moyen pour se payer des médicaments à eux deux, donc....
Moi : donc quoi tonton martin ? Nous on a. Et puis s'ils voulaient vraiment de notre aide ils allaient se déplacer pour venir nous le demander
Papa : la petite hausse peut être le ton mais elle n'a pas tord, pourquoi choisir de s'exiler sachant que tu as de la famille qui peut t'aider. Je crois plutôt que c'est leur choix et rien ni personne ne peut les faire changer d'avis, mais c'est vraiment triste
TM : elles sont isolés depuis le décès de Divine et Nestor
Maman : nous ne les avons jamais fermés les portes de chez nous
TM : mais vous ls avez mise à la porte de la maison qu'elles ont connus
Maman : déjà 1) Lisa ne vivait plus avec ses parents, 2) c'est elle qui est venue me parler fort pour récupérer la petite or je voulais la garder avec moi. C'est Lisa qui a été égoïste en ne voyant pas plus loin que la rencoeur qu'elle a contre mon mari et moi, aujourd'hui elle est malade et qui va prendre soin de Nana ? Quoi que d'ici là elle peut se prendre en charge seule
TM(dépitée) : je suis tout simplement venue ici pour vous demander de participer à l'achat des médicaments de votre nièce (vers moi) et cousine ainsi que de son mari
Moi(en bougeant le pied nerveusement) : tout ça pour ça.... oohhh je vais envoyer ma petite sœur en Europe ohh on je vais envoyer ma petite sœur en Europe alors que tu souffres des 4 lettres au lieu de te soigner, non c'est billet d'avion tu vas acheter à une potentiel échouer, pufff franchement ma chère Lisa ne cessera jamais de m'étonner. Mais moi je vous le dis tout de suite JE NE COTISERAI PAS UN SEUL CENTIMES POUR PAYER LES MEDICEMENT A QUI QUE CE SOIT , j'ai mieux à faire de mon argent
+Anaîs Assengone Ekome+
c'est après ces mots que je me suis levée car mon tel n'arrêtait pas de sonner
Moi : Alissou ?
Lui : tu me manques bébé
Moi : mais je suis en réunion de famille
Alissou : passe à la maison stp je vais te faire du bien,
à cause de ce westaf ( ressortissant de l'Afrique de l'ouest) on va me tuer, un jour. Bon réfléchissons soit je fais le mur, soit je mens que je vais dormir là là, mais c'est trop grillé,soit j'invente une sérieuse histoire pour sortir. Mais de là à là je vais dire quoi et puis elles vont me croire et là où les esprits s'echaffent là, hum,Bon....
Moi : dès que ma sœur et mon mari vont s'endormir, je te fais signe t tu passes me chercher, maison fait juste pour 2 ou 3 heures ils faut que je rentre aux aurores
Lui : Yes bébé
3 ans plus tard,,,,,
+A Barcelone+
Annaelle Ekome
moi(allongée sur ses pieds) : j'aimerais bien me marier en robe rouge
Lui : pourquoi en rouge ?
Moi : pourquoi en rouge ? Ben pour montrer au monde entier combien de fois je suis folle de toi.
Et oui maintenant, je suis fiancée, diplômée d'une licence 3 en langues latines, heureuse et comblé. Vous vous souvenez du beau aux lèvres dessinées avec perfection, yeux marrons claires, corps parfaitement sculpté. Il s'appelle Jerôme et c'est mon homme, depuis ce jour là je peux dire qu'on ne s'est pratiquement pas quitté car nous avons d'abord été, de bons compatriotes gabonais ( il m'aidait bcp dans toutes mes démarche), puis bon voisins, puis bon amis et aujourd'hui je suis sa fiancé, Jérôme plairait beaucoup à Lisa et Hervé d'ailleurs nous attendons que les congés de Jérôme puisse être accepté pour réserver nos billets et descendre , j'ai juste trop hâte.
Pendant que je gloussais dans les bras de mon homme, mon téléphone sonna, humm le Gabon
Tonton Martin : allô Nana ?
Moui : oui tonton,(j'ai tout de suite su qu'il y avait un truc) : qu'est est-ce qu'il y a ?
Tonton Martin : je...je... je suis vraiment désolée nana, vraiment
Moi : tonton Maurice qu'est-ce qu'il y a ? Dis moi vite ce qu'il y a
Lui : c'est ta sœur, elle.... elle
Moi : Oui ?
Lui : elle est partie nana, elle est partie ce matin dans son sommeil, elle ne s'est pas reveil....
Je crois que c'est à ce moment où le sol s'est ouvert et m'a engloutis,car je n'ai pas entendu le reste de sa phrase