Moi : mais c'est quoi l'avantage du coma artificiel dans ce cas ? Pourquoi ne pas lui donner la morphine ?
Doc : c'est une enfant, si je me réfère aux renseignements sur sa fiche, elle a 16 ans. Ce n'est qu'une enfant, elle est encore très fragile et pour tout vous dire, la douleur sera très forte à son réveil. Pour minimiser tout cela et l'empêcher de souffrir, nous avons trouvé que c'était mieux de la plonger dans ce coma et dès que ces constantes sont bonnes, nous la réveillerons.
Moi : gardera-t-elle des séquelles. ? Je veux dire perte d'une partie de sa mémoire par exemple.
Doc : non, à ma connaissance, non.
Moi : Pourrait-on la voir ?
Doc : dans une heure, on était entrain de la recoudre, la refermer. Vous la verrez dans une heure.
Moi : le Coma, c'est pour combien de temps ?
Doc : 24 à 48 h et pourra vous entendre parler.
Moi : vous avez parlé de double avantage pour le coma artificiel, puis-je les connaitre ?
Doc : Absence de douleur et immobilisation.
Moi : ok et merci docteur.
Doc : si vos avez d'autres questions, n'hésitez pas à interpeller les infirmières et les médecins. Priez beaucoup et Courage.
Il s'est tourné sans mot dire et a lancé un regard dur à Léandre qui ne parlait pas, il n'avait même pas le courage de regarder le médecin dans les yeux.
Moi : Léandre, il faut avertir vos parents, il faut le faire.
Je n'obtiens aucune réaction de sa part, je m'approche de lui et le secoue un peu histoire de le faire réagir. Il se tourne et me regarde l'air de me demander ce que je veux. J'ai juste tendu la main et il m'a tendu son portable.
Je me lève et sors pour aller appeler leurs parents. Je vais dans le répertoire, je cherche papa et je lance l'appel. Il décroche après deux appels :
Pap : oui fils, c'est comment là-bas ?
Moi : ce n'est pas Léandre, c'est Sybel.
Pap : ok , ma fille, c'est comment là-bas ?
Moi : il faut venir avec maman, il faut venir papa. Nous sommes à Laquintinie, elle a été opérée.
Pap : ok, on arrive.
Il a raccroché et je rentre à l'intérieur, je vais le retrouver, il a la tête entre ses mains. Il a l'air fatigué.
Léa : elle ne va pas mourir n'est ce pas ?
Moi : Léandre, il faut vraiment que tu te calmes. Tes parents arrivent, ce sera très dur et il faudra que tu te comportes en homme. Tes doutes et tes appréhensions, il faudra les garder pour toi, du moins pour le moment car ils auront besoin d'être rassuré.
Léa : ok
Une demi-heure plus tard...
Les parents de Léandre déboulent, ils viennent directement vers moi.
Mam : elle est ou ?
Moi : dans la chambre
Mam : ou ?
Nous allons à la chambre et dès l'arrivée, elle reste quelques seconds devant le lit ou repose sa fille sans parler. Elle pleure en silence, elle va prendre la main de sa fille. Nous observons tous le silence et respectons ce moment si intime entre une mère et son enfant.
Pap : ils disent qu'elle a quoi ?
Personne ne répond et la mère se tourne donc vers Léandre.
Mam : ils disent que mon enfant a quoi ?
Léa : 3 cotes cassées et un poumon perforé.
Mam : hein ? quoi ?
Léa : qu'est ce qui a causé ça ?
Léandre baisse juste la tête et sa mère s'approche de lui et le cravate.
Mam : je t'ai posé une question non ? Je t'ai posé une question, qu'est ce qui est arrivé à mon enfant ?
Léa : c'est moi qui l'ai mis dans cet état dit-il avec une petite voix.
Je me rends compte à cet instant que même à 70 ans, nous sommes des enfants devant notre mère. La maman est un être à part, elle est comme un vestige, un prolongement présent de notre passé. Léandre était tout mou et tout petit devant sa mère à cet instant. La verve, la passion et la force qui le caractérisent d'habitude, avaient fait place à une docilité, une certaine soumission. Il avait juste la tête baissée et était incapable de regarder sa mère qui pleurait dans les yeux.
Mam : Léandre ? Léandre ? ma fille, tu as vu ma fille ?tu as vu ma fille ? Quand on te demandait d'arrêter, tu n'as pas voulu nous écouter. Tu t'es enfermé dans la chambre avec elle, tu as fermé à clés. Tu as vu ce que tu as fait de mon enfant ?
PAAAAAAAAAAF !! PAAAAAAAAAAAAAAAAF !!!
Mam : sniff....S'il arrive que ma fille, si par malheur ma file part, tu vas me rembourser l'enfant. Sniffff.....Tu vas me donner un autre enfant. Snifff....C' est toi qui m'as aidé à la porter pendant neuf mois ? Snifff.... C'est toi qui m'as aidé à m'en occuper ? Snif...pries pour qu'il n'arrive rien à mon enfant.
Papa s'est approché de sa femme et l'a pris dans ses bras. Elle s'est mise à pleurer. Je ne vous décrirais même pas l'état de Léandre, j'aurais voulu ne jamais assisté à cette scène. C'était difficile et je comprends bien la maman de Léandre.
Le médecin est repassé une heure plus tard et a expliqué toute la situation a Léandre qui état devenu plus que silencieux d'autant plus que sa mère l'ignorait gaillardement et elle nous a invité à faire une petite prière.
Trois jours plus tard, j'étais entrain de sortir du bureau lorsque mon téléphone vibre, je décroche.
Moi : allo
Léa : elle s'est réveillée, il ya 15 mn.
Moi : ok, j'arrive !
Je me rends à l'hôpital, je vais dans la chambre et je trouve Léandre dehors. Je lui demande de me suivre mais il me fait non de la tête. Je ne comprends pas.
Moi : mama est encore fâchée contre toi ?
Léa : non seulement ça, Nathalie a peur de moi. Elle a failli faire une crise dès qu'elle m'a vu et mes parents m'ont demandé de sortir de la chambre. Voilà, ma sœur me déteste, je suis devenu une « personna non grata » au près des miens.
J'entre et vois Nathalie dans les bras de sa mère entrain de pleurer. Pauvre petite, je salue les parents et Nathalie qui me répond à peine. Je reste une demi-heure à discuter avec les parents et je repars. J'emmène Léandre avec moi à la maison.
Depuis 4 jours, il n'a presque pas mangé et ne voulait pas bouger de l'hôpital avant que sa sœur ne se réveille. Il prend une douche et s'endort tout de suite jusqu'au matin. Dans la journée, à la sortie du travail, Léandre est passée me prendre et nous sommes allées faire un tour à l'hôpital avec Grace mais à l'arrivée Nathalie ne souhaitait toujours pas le voir de même que leur mère.
Un mois plus tard...
C'est l'anniversaire de Nathalie, je suis partie là-bas très tôt aider maman pour la cuisine et le ménage. A 13 h, tout était fin prêt, Léandre m'a demandé de donner 150 000à sa mère disant que c'était ma participation. Vue la situation, il ne souhaitait pas qu'elle sache que ça venait de lui.
Je suis rentrée apprêter Athie, Grace nous a bien sur accompagné et Léandre est sensé nous retrouver là-bas. La fête bat son plein malgré l'indifférence de Mama et Nathalie envers qui vous savez. Il y a ouverture du buffet, remise des cadeaux et ouverture du bal avec un des camarades de classe de Nathalie.
20h, la fête est finie, nous somme s entrain de laver les assiettes Mama, Grace et moi lorsque Nathalie demande à tous nous avoir au salon. Je regarde Mama qui me regarde et nous nous lavons juste les mains pour y aller.
Nathalie est assise à coté de son père et Léandre à une bonne distance d'elle.
Nat : J'ai souhaité que vous soyez tous là pour m'excuser, je vous demande pardon parce que je n'aurais pas du avorter comme ça. J'airais du vous en parler mais j'avais trop peur de ce que vous alliez dire ou penser.
J'avais trop honte de vous parler de ça et comme je voyais personne d'autre qui parler, je suis allée voir Sybel qui a dit à mon frère et vous savez ce qui s'est passé. Pardon papa et maman pour l'inquiétude et la peine que je vous ai causées.
Sybel, je t'en ai voulu parce que tu avais trahi ma confiance, je me suis confiée à toi et toi tu as dit à mon frère qui m'a frappé mais je me rends compte que tu n'y es pour rien donc excuses moi aussi et merci pour le temps que tu as pris pour moi.
Léandre, tu es mon grand-frère et je comprends que tu sois fâchée pour ce que j'ai fait en plus, je t'avais promis que les garçons, je ne les fréquenterais qu'à 21 ans. Je n'ai pas tenu ma promesse et ce n'est pas bien. Tu m'as frappé et j'ai failli mourir sniff...je suis fâchée contre toi, tu comprends pourquoi je t'évite, je n'ai même pas confiance en toi. Sniff... Avec le temps, ça ira mais pour le moment, je ne souhaite pas trop te parler. Voilà, merci.
Maman s'est mise à bouger sur son siège, elle avait aussi quelque chose à dire
Mam : Sybel, merci pour le temps que tu as pis pour notre fille, merci parce que si tu n'avais pas été là, on ne sait pas ou elle serait partie cette nuit là. Te concernant Léandre, tu as été un grand frère correct jusqu'ici mais l'acte que tu as posé, je n'ai pas apprécié. Tu as traversé notre autorité, tu as pris ta sœur et tu es allé t''enfermer dans la chambre pour la frapper malgré notre refus. Même si tu t'occupes beaucoup d'elle, Léandre, ce n'est pas ton enfant. Si l'on traite ta fille comme ça, est ce que tu seras content ? La prochaine fois qu'il y a un problème, je préfère que tu me le dises et on parle au lieu d'agir comme ça. Si elle mourrait, tu allais dire quoi ?
Nathalie, en cas de problème comme celui que tu as eu, tu dois venir m'en parler, je suis une femme, je peux te conseiller ; je suis aussi là pour ça .Est ce que tu as compris ? Ton grand-frère a cru bien faire mais il a dépassé les bornes. Ce n'est pas pour cela que tu vas le détester, il t'aime malgré tout donc prends le temps qu'il faudra mais saches que je ne veux pas d'une famille divisée la preuve, j'ai déjà pardonné à ton frère.
Oulallalalalalallala, ca faisait plaisir à voir et à entendre. Léandre se détendait un peu plus au fur et à mesure que sa mère parlait.
Mam : tu ferais aussi mieux de dire merci à ton frère car la fête là, c'est ton frère qui a tout payé. Merci Sybel, pour la discrétion. Léandre, si tu veux parler, c'est maintenant.
Léa : merci papa et maman pour la possibilité de m'exprimer et le pardon que vous m'avez accordé. Nathalie, je sais que tu as aujourd'hui peur de moi, c'est vrai que je voulais te donner une leçon, te faire comprendre que l'acte que tu as posé n'est pas bien car tu aurais pu perdre la vie, avoir une infection ou devenir stérile pour le reste de ta vie. Je suis allé voir ou cela s'est passé et c'est cela qui m'a énervé, j'ai transféré toute la colère là sur toi, je n'avais pas le droit de te taper comme je l'ai fais. Pardon Nathalie, désormais, nous privilégierons le dialogue.
Malgré ce qui s'est passé, je tiens à te dire que je reste ton grand-frère et je t'aime toujours. En cas de problème, il ne faut pas avoir peur, n'hésites pas appelles moi, ou alors dis à papa et maman. ; Sybel est aussi là en cas de besoin. Moi-même, je m'en veux pour ce qui s'est passé, je regrette mais le mal est fait, pardon encore.
Après que Léandre ait fini de parler, un silence s'est installé, on ne savait plus quoi dire. Contre toute attente, Nathalie s'est levée et est allée embrasser son frère, est rentrée s'assoir près de son père. C'était tellement rapide, tellement bref que je me demandais si c'est vraiment arrivé.
Nous sommes rentrées laver les assiettes et Léandre nous as aidé à faire le ménage. A 23h, tout était bouclé, nous nous apprêtions à nous en aller lorsque Nathalie a émis l'idée que Grace et Athie dorment là pour le bonheur des parents de Léandre qui avaient déjà les 32 dents dehors. J'ai bien sur accepté et à 23h 30, nous étions en route pour la maison.
Il faisait un peu chaud et j'étais fatiguée par la longue journée que je venais de passer. Léandre était redevenu lui-même, très calme, très attentionné. Nous sommes arrivés à la maison, je suis immédiatement allée prendre une douche, j'ai mis une nuisette, j'étais fourbue et je voulais juste fermer mes yeux et m'endormir.
J'étais couchée depuis 10 mn lorsque je sens des bras se glisser autour de moi, des baisers mouillés sur mon visage.
Léa : merci chérie
Moi : pourquoi ?
Léa : pour tout ce que tu as fait pour moi
Moi : de rien, c'est normal.
Léa : bébé ?
Moi : humm
Léa : ton patron
Moi : humm
Léa : il te dérange encore ?
Moi : oui
Léa : si je te demande de laisser ce boulot, tu me trouveras égoïste ?
Moi : non mais je suis déjà habituée à être autonome. Je n'ai pas envie de te déranger même pour les besoins les plus basiques. On ne sait jamais hein.
Léa : mais je me suis déjà excusé pour ce qui s'est passé il y a des années. Pourquoi ramènes-tu toujours ça sur le tapis ?
Moi : je ne ramène rien, j'ai appris une leçon c'est tout. Pour que je laisse ce boulot, il faudrait que j'en trouve un et vite.
Léa : ok, j'ai de toute façon, déjà commencé à chercher, à prospecter mais si ça dégénère, je ne veux pas que tu me le caches d'accord ?
Il me passe la main entre les cuisses et introduit un doigt dans ma caverne. Il fait des cercles lentement, il m'excite et je mouille au fur et à mesure. Il pose ses lèvres sur les miennes, il me suce la lèvre supérieure puis la lèvre inférieure. Il force la barrière de mes lèvres et explore ma bouche de fond en comble. Je me mets à gémir.
Il me couche dos sur le lit, descend le drap qui me couvre et soulève ma nuisette. Il prend un de mes seins, le soupèse et pose ses lèvres chaudes sur le téton. Il le suce, le tète pensant de temps je lui caresse les cheveux. Fait la même opération avec l'autre sein, tout mon corps crie « grâce ».
Moi : chéri, viens s'il te plait.
Lui : non, pas encore.
Il me lèche le corps en descendant et arrive à mon mont de vénus, il passe la langue sur les lèvres grandes comme petite et happe mon clitoris qu'il titille pendant qu'il introduit un doit, puis deux et enfin le troisième. Je suis juste en feu. Je gémis pendant ce temps et effectue une pression sur sa tête, ce qu'il me fait est tellement bon que je ne veux pas qu'il arrête.
Je sens que je mouille, il introduit ensuite la langue dans mon jardin d'Eden, il me boit carrément. Il alterne doigts et langue, ce qui m'arrache des cris, des gémissements.
Je me lève et le retourne, je me place en « Position 69 » et je suis au-dessus de lui s'il vous plait. Je passe ma langue sur tout le long de son engin jusqu'aux testicules que je suce tour à tour. Je sens l'afflux de sang dans son engin par jets et il grossit au fur et à mesure. Je remonte et prend son gland dans ma bouche et le suce. Je fais ensuite des vas et viens avec ma bouche sur son engin pendant que je caresse ses testicules.
Léa : oui chérie, oui, oui.
Il me retourne me prend sans cérémonie en levrette pendant quelques minutes puis nous prenons « la position du cavalier à la barre ». Il me laboure pendant des minutes et nous atteignons le 7ème ciel tous les deux. Nous nous endormons tous simplement repus dans les bras l'un de l'autre avec des sourires béats.
Tchooooo, j'entends déjà dire : c'est quoi la position du « cavalier à la barre » ?
C'est tout simplement une position ou la femme est couché sur le coté, une jambe allongée horizontalement et l'autre repliée qu'il redresse au fur et à mesure jusqu'à l'avoir sur son torse (celui de l'homme), la maintient dans cette position à laide de son bras et de l'autre bras il retient l'autre pied. Il peut ainsi faire plaisir à madame car cette position permet une pénétration assez profonde. Le rythme, les frottements et l'endurance des partenaires font et donnent de la magie à la position.
5h30...
Je décide de réveiller monsieur à ma façon , quoi ? Vous ne savez pas que les meilleurs coups sont ceux du petit matin ? Désolée mais le reste nous appartient mon homme et moi.
Bonne journée ou bonne soirée selon...