Moi (la comédie dans le sang, ça ment pas 😏) : Tu fais semblant de t'énerver pourquoi ?
Qui peut venir frapper comme ça de si bonne heure, si ce ne sont pas tes petites ?
La nervosité des coups là, c'est peut-être parce qu'elles savent que j'ai dormi ici !
Le méchant regard que Monsieur m'a lancé là.
Hum, je me suis seulement 🤐.
C'est la virilité en l'air que le type est sorti de la chambre.Façon Verlaine va seulement que bien m'insulter car l"anaconda en fureur est de sortie wouwou 😁😁😁
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Je lui ai emboîtée le pas, en étirant mes muscles comme un boxeur, du genre ça va barder si c'est une petuite 😉. Monsieur est allé ouvrir la porte d'entrée en tenue d'Adam,
je vous dis. Nu comme un verre.
Arrivés à la terrasse...
Henry (voix de Stentor) : C'EST QUI ?!!!
Pleurs de quelqu'un ...
Voix: Agniiiiiioyi oooooh tanti Tassi oooooh miouakou ooooh ! Aaaah Tassi oooooh megwa bossioooo aneno kadgina mbiworo fundginga ?
[Hrhruuuuuum 🤧🤧🤧] Tanti Tassi ooooooo kola moughouna bissiooooo ?*
* Venez ooooh tanti Tassi, nous a fait un coup de pute ooooh ! Aaaah Tassi est partie sans même éternuer par où allons nous commencer ? [Après s'être méchamment mouchée 🤧🤧🤧] Tanti Tassi même pas dire aurevoir ?*
Moi (lui tenant l'épaule en chuchotant) : Bébé ... attends ... [faisant le geste de tendre l'oreille]
On dirait la voix de ma cousine, Verlaine !
Henry : Tu es sûr ?
Moi : Oui j'ai l'impression qu'elle parle d'une de mes tantes [commençant même à pleurer] ça c'est quoi encore 😭😭😭 ?
Les coups ont repris ...
Voix : Mouniaaaaa holognakou agbouooooh tanti Tassiooooo mogwa bossioooo ...
Moi (Me jetant au sol et commençant à me rouler): QUOI 🤤 ?!!! MA TANTE ?!!!
Henry est précipitamment retourné dans la maison, sûrement pour couvrir sa nudité.
Les coups ont continués de plus belle ...
J'étais comme pétrifiée.
Il est ressorti pour aller ouvrir le portail. Il avait porté un bas de jogging gris et un débardeur noir.
Moi (que roulades sur roulades à la terrasse) :
Tanti Tassi, ça c'est quoi que tu nous fais matin bonheur comme ça 😭😭 ?
Fallait voir le sprint que cette comédienne de Vivo a tapé pour me rejoindre, dès que le portail s'est ouvert 😲. Elle portait un tee-shirt dont le col baillait comme pas possible.
Gros pagnes ... autour des reins. Pieds nus.
Je ne sais pas si c'est drap qu'elle avait sur la tête. Yeux gonflés d'avoir trop pleuré
tchieeeeeeeeeeeeh quelle comédienne !
Je n'étais pas en reste 😁
En moins de 5 mn, on a fait sortir toutes les larmes et la morve que nos corps pouvaient contenir 😭😭😭😭😭😭🤧🤧🤧🤧🤧.
Le pauvre enfant que dépasser !Surtout qu'il ne comprenait pas un traitre mot de ce que l'autre racontait. Il s'est accroupi devant moi pour me saisir par les épaules ...
Henry (voix douce) : Ma puce ?
Moi : 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
Henry : Bébé ?
Moi : 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
Henry : Mon ange ?
Moi (dans ma tête) : Tu vas finir tous les sobriquets sucrés dans ça, tu vas voir !
Vivo se déplaçait tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos, d'un bout à l'autre de la terrasse, en battant ses bras pliés contre ses côtes comme un poussin près à s'envoler.
Henry : Bébé, expliques-moi stp ce qui se passe là ? J'comprends rien !
Moi : Henry ma tanti est morte ! Henry tanti Tassi nous a 😭😭😭😭😭 quitté 😭😭😭😭
Henry ooooooooh 🙆🏽♀️🙆🏽♀️🙆🏽♀️🙆🏽♀️ mon homonyme 😭😭😭😭😭😭😭 celle de qui je tiens mon nom ! La propre petite soeur de mon père 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
Henry (essayant d'essuyer mes larmes) :
Raissaisis-toi pupuce, tu sais que je n'aime pas te voir comme ça, hum ?
Vivo (les mains au ciel) : Nougnioyi ouooooh Tassi 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭 [Tassi, tu nous as fait quoi là ?]
Henry (se tournant vers Vivo) : Verlaine, calmes-toi stp ...
Verlaine : Mon bô c'est trop 😭😭😭😭😭
la douleur de ça peut seulement me tuer keh !
Plus tard, elle m'a avoué, avoir frotté eau de feuilles de "njaruo" aux yeux 😲 ! Façon ça pique 🤦🏽♀️ ! C'est normalement de ça qu'elle parlait lorsqu'elle répondait à Henz que ...
"la douleur de ça peut seulement me tuer" 😂
J'ai détourné la tête. L'envie de rire était trop forte.
Henry : Je vais chercher les clés pour vous raccompagner.
J'ai lancé un regard appuyé à Vivo. S'il nous raccompagne, on est mal barrée. Il se rendra bien compte de la supercherie.
Henry (stoppant dans son élan) : Mais ... il est où ce putain de gardien ? Avec tout ce tapage là, ne me dîtes pas qu'il dort ? JOVI !!! JOVI !!!
Gardien de meudeux ! Il n'est pas là ! Il va m'entendre celui là !
Vivo s'est encore mouchée bruyamment 🤧🤧.
Fallait voir ses yeux rouges, on dirait mercurochrome.
Verlaine : Mon bô, je ne suis pas venue seule oooh ... attends ... où tu vis et avec colline qu'il faut grimper pour ayiver ici 😭😭😭😭😭😭😭
Il y a notre oncle, le propre petit frère de mon père et de celui de Mounia, qui est là dehors !
Un superkpakpato comme superman. J'ai dû lui dire que ta femme avait dormi chez une de ses amies et qu'on allait la chercher là. Si c'est toi, il voit sortir, nos vies là vont coûter pièces jaunes qu'on donne à mendiant ... jour de mosquée 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
Henry (haussant les épaules) : Verlaine, je me suis déjà présenté comme étant celui qui veut épouser Mounia donc ...
Verlaine (rire jaune) : 😁 Oui mais chez nous, ce n'est pas suffisant, pour decoucher et venir se donner en tas comme ça.
Moi: Heu 😲
Verlaine (venant à genoux tenir les pieds d'Henz) : Pardon mon bô, ne nous fait pas cette honte en plus de la douleur que l'on ressent déjà 😭😭😭😭😭😭😭. Waaaaah Tassi tu es mauvaise tanti 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
Parce qu'il va laisser voiture pour prendre train 😭😭😭😭 pour aller tout rapporter en famille
Et ce sera fini de l'honneur de celle dont tu as pris la virginité ... 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
Moi : 😓
Henry (désarmé) : Ok ... ok, tenez ça !
Il a fait sortir de la poche de son bas de jogging, une grosse liasse de billets, ayant l'épaisseur de la largeur d'une main.
Henry : On ne sait jamais ...
Manière avec laquelle Vivo a seulement bondi pour arracher l'argent de la main d'Henz là 😲 !
Je crois que même lui n'a rien compris.
Verlaine (enfouissant la liasse dans son soutif) : 😁 Mon bô mille ans sur ta vie !
[Reprenant sa comédie]😭😭😭😭😭😭😭😭 Tassiooooooo egbé anfiooooooo momuooooo 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭
Henry (me tirant par la main pour me relever du sol) : Bébé vient te rafraîchir et te changer stp, tu ne vas quand-même pas sortir comme ça ?
Je n'en revenais toujours pas de la rapidité avec laquelle Vivo avait pris l'argent des mains de mon homme.
Moi : Heu ... oui oui ...
Dans la chambre, il m'a serré très fort contre lui. On entendait toujours Vivo pleurer à l'extérieur. Dieu merci, qu'il n'avait pas de voisins proches sinon ...
Henry (m'embrassant avec sa douceur légendaire) : Au moindre besoin, 🤙tu call, okay ?
Moi (répondant à ses baisers) : Oui bébé heu ... 😢 désolée [baissant la tête] notre week-end et tout 😭
Henry : Shuuuuuuuuu ... c'est pas grave trésor, là il y a mort d'homme, des week-ends, on en passera d'autres. Vas pleurer ta tante [essuyant mes larmes] je t'appelle ce soir.
Dehors, Vivo continuait son tintamarre ...
Henry (après une petite pause) : Dis-donc, ta cousine devait beaucoup aimer votre tante heinn !
Moi (enfilant ma robe de dos): C'est peu de le dire, elles étaient très fusionnelles.
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Lorsque nous sommes enfin sorties de la maison d'Henz, c'est Seka j'ai vu, garé dehors.
C'est "l'esclave" de Vivo.
Un gars du quartier qui est mal found off d'elle mais qu'elle ne regarde même pas. Elle dit que pour qu'elle se mette avec lui, il faut qu'elle ait subi une torture au courant, qui lui aurait fait péter un boulon.Qu'elle n'est pas là pour ajouter la pauvreté à la pauvreté.
Moi, je le trouve très gentil et serviable. Il a un petit troquet au marché du quartier.
Une fois, il m'a fait part de ses projets. C'est un petit qui a la "mayo" [du lourd dans la tête].
Il a monté son biz pour se constituer un petit pactole et pouvoir ainsi, continuer ses études à l'étranger, dans une école supérieure d'agronomie.
Vivo m'a dit qu'elle n'est pas là pour attendre.
Que c'est sûrement petit fonctionnaire de l'état qu'il deviendra. Elle, elle vise loin, elle ne parle qu'en terme de millions de dollars 🙄.
[]
Moi (grimpant dans la voiture) : Tiens le bonjour Seka !
Seka (large sourire) : La plus belle, bonjour à toi aussi ! [Regardant amoureusement sa belle qui grimpait à l'avant] Où va-t-on ?
Verlaine : De demander à la princesse !
Seka (se retournant vers moi, toujours avec son large sourire) : On te dépose où ?
Moi : D'abord à la maison pour que je me fasse une beauté et ensuite à Ikono-Villeneuve.
Seka (en démarrant) : Tchieeeeh la plus belle, avec toi, on quitte de quartier de nantis pour autre quartier de nantis seulement.
Moi : Qu'est-ce que tu veux, je les attire comme le miel attire les abeilles 😉.
Verlaine : Djaaaaa 😃
Moi : Au fait Vivo, le blé !
Verlaine regardait droit devant elle, faisant comme si elle n'avait rien entendu.
Moi : HO VIVO ?!!!
Verlaine (agressive) : Y'a quoi ???!!!
Moi : Le b...
Verlaine : Tu veux que l'on reparte te déposer chez Henz ? [N'attendant même pas ma réponse] Seka fait demi-tour ! On part la deposer là où on l'a...
Moi : C'est bon ! C'est bon ! Escroc là !
Verlaine : Tu crois quoi ? Qu'eau de feuilles de njaruo que j'ai mis dans yeux là c'était pour rien ?
Moi : Quoi 😲? Mais ça doit grave te piquer !!!
Verlaine : Non piquer c'est koyo même, ça mord ! Tu comprends pourquoi, je prends tout le fôkô là.
Moi : Vivo c'est pas moins de deux millions qu'il a donné ! Donnes- moi un peu quand-même !
Vivo a glissé ses longs doigts dans sa poitrine généreuse pour retirer 3 petits billets et me les a tendus sans même cligner ses gros yeux rouges là !
Moi : QUOI 😲?!!!
30000 seulement ?!!!
Verlaine : On doit 5 mois de loyer Moun.
Moi : Han 😲 ! 5 mois de loyer ne font même pas 800.000 !!! Restes avec ça, c'est bon !
Verlaine : Il manque beaucoup de choses à l'aquarium* ...
[* Nom de notre crèche parce qu'une fois par mois, un phénomène bizarre s'y produit.
Notre maison s'inonde sans raison valable.
Nous avons vérifié, il n'y a aucune fuite !]
Verlaine : Il faut faire les courses donc ...
[remettant les billets d'où elle les avait retirés]
Moi : On va en parler !
Verlaine : Je peux toujours aller chez Henz rapporter son dogro.
Moi (me croisant les bras sur la poitrine) :
Donc tu reconnais que c'est dogro. C'est Dieu qui va seulement faire mon palabre tchruur !
Verlaine : Moi-même j'ai arguments pour ça même ! Tchruuuur toi-même !
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Je n'ai plus rien dit !
C'est gonflée comme pain mauritanien mouillé que je suis descendue de la voiture lorsque nous sommes arrivés à la maison.
Verlaine : Quand tu es prête, call nous. Je vais chez le proprio comme ça.
Seka a démarré en trombe.
Je fulminais 😤 intérieurement.
En entrant à la maison, je suis directement allée chauffer eau, pour resserer mon pouatou et vite sous la douche. En ressortant, je me suis risquée à regarder mon téléphone ... 104 appels en absence !
Je me suis vite apprêtée.
Grosse amande de mélange miel sauvage, beurre de karité et petit ingrédient secret, dans le vagin.
J'ai appelé Vivo pour qu'ils se ramènent,
le temps pour moi de me préparer ...
Je me suis bien pommadée avec cette huile spéciale que ma mère me concocte et qui rend ma peau soyeuse à mourir.Petit make-up, sous-vêtements rouges sang super échancrés ... une robe en coton noir qui épouse mes formes à la perfection, sans pour autant que j'ai l'air vulgaire.
Mes cheveux [bon c'est greffage hein 😁] relâchés en cascade dans le dos, mes grosses lunettes de soleil style sixteen sur le nez, mes sandales fines au pied, quelques gouttes de parfum aux endroits stratégiques et j'étais fin prête.
C'est 35mn après mon appel que Vivo aidée par son âme damnée Seka, est arrivée avec des gros sachets de courses.
Elle m'a tendu un lot de reçus.
Moi (fronçant mes sourcils) : C'est quoi ça ?
Vivo ( me jetant les reçus) : Prends et lis keh !
C'étaient des reçus du loyer dûment signés par l'agence. Non seulement Vivo avait payé notre dette de 5 mois de loyer impayé, mais elle avait aussi avancé pour 3 mois.
Moi (me levant pour la serrer par derrière) :
Tu es nice, petite soeur !
Verlaine : Tu crois que je suis bête bête comme toi ? Avec ça, c'est dans bijoux, greffages, parfums et habits que tu serais allée jeter ça.
Je comprends même pourquoi ils sont koyo avec toi.
Moi : Hum ... assemblée parlementaire de ça, n'est pas encore fini ?
Verlaine (sur le pas de la porte) : Grande-soeur, il faut revoir ta vie ! Je ne serai pas toujours là pour te sortir de yéré. Dépêches-toi, on t'attend !
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Ils m'ont déposée chez laJefe.
Ce n'est pas comme chez Henz dont la seule sécurité est la terrible pente de la colline sur laquelle il vit et la distance. Son gardien là, compte pour du beurre 😒. Jamais à son poste
Ici, c'est agents de sécurité en uniforme avec gros calibres. Haute barrière avec finition en bara* [barbelés] et haute sécurité. Gros chiens et tout.
Mon 2ème fiancé n'est pas n'importe qui. C'est le fils unique d'un puissant homme d'affaires 😉. Lui-même, c'est un grand avocat !
.
Ah j'oubliais, moi c'est Mounia Kini ZIMBOT.
J'ai 22 ans jour pour jour. Benjamine et unique fille d'une fratrie de 6 gosses. Mes parents sont divorcés et ne veulent même plus se sentir.
C'est pour cela que mon histoire, tient la route.
Henz est allé demandé ma main chez mon père. À lui, j'ai dit que j'étais orpheline de mère.
Quant à laJefe, c'était chez ma mère et que mon père n'était plus. Et comme mes parents sont chien et chat, j'arrive tranquillement à me débrouiller dans tout ça.
Vous vous demandez sûrement le comment du pourquoi, je suis quasiment sans le sou alors que j'ai deux jeunes hommes riches pour fiancé? C'est la faute au djini ! C'est quoi le djini ? Vous le saurez assez tôt.
Mon histoire n'est pas l'histoire banale d'une jeune femme qui jongle entre deux jeunes hommes merveilleux et qui est trop idiote pour en choisir un.
Nan !
Désolée ... 😁
C'est l'histoire d'une jeune femme, prisonnière d'une sorte de "malédiction" de famille.
Le djini !
][
Étant attendue, la sécurité m'a laissée entrer pépère. Arrivée dans la maison, je suis direct montée dans sa chambre.
Le bruit du jet d'eau m'a fait comprendre qu'il était sous la douche.
J'ai glissé ma tête dans l'entrebâillement de la porte et l'ai vu dans la cabine, sous le jet d'eau que j'ai supposé très chaude à cause de la buée sur les vitres et les miroirs. Sûrement entrain de chercher à se calmer les nerfs 😁
En revenant dans la chambre, j'ai remarqué de tonnes de cadeaux posés au pied du lit.
Ne faisant pas cas, je suis allée m'asseoir bien sagement sur l'un des fauteuils du salon de chambre.
La maison de laJefe est luxueuse à un point !
Il veut que je vienne m'y installer, ce, à quoi
je me suis toujours opposée.Pas question sans être mariés !
Je sais que malgré le fait qu'il se soit présenté chez ma mère, il n'est pas encore prêt à se passer la corde au cou et ça ... ça m'arrange, vous savez ... à cause d'Henz 😁, la 2ème partie de mon coeur 💔.
Si Henz est jaloux, c'est rien comparé à laJefe.
Un jour, il m'a menacée avec une arme semi-automatique parce qu'en le voyant arriver, j'avais précipitamment remis mon téléphone dans le sac. Il était donc réparti dans son bureau récupérer son arme. Il l'avait pointée sur moi, en m'intimant l'ordre de faire sortir le téléphone de mon sac et de le lui remettre.
Ce qu'il ne savait pas, c'est que j'ai deux téléphones identiques, un pour lui et un autre pour Henz. Et seule moi, peux les différencier.
Qui est fou !
Celui que j'avais lorsqu'il a surpris mon mouvement, était celui attribué à Henz. Je lui ai donc remis celui qui lui était attribué 😁.
N'y trouvant rien de louche, il est redescendu en pression, aussi vite qu'il était monté.
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[]
**** Jeffrey Rodolph BONA ****
Je ne sais pas pourquoi cette gamine me rend aussi fou. Mais, il y a ce quelque chose d'indefinissable en elle. Pourtant des femmes, j'en ai connu et je continue d'en connaître d'ailleurs. De beaucoup plus belles, de plus sophistiquées, de plus riches qu'elle.
Lorsque je suis entre leurs jambes, toutes mes pensées ne convergent que vers un seul point ... elle !
Avec elle, le sexe, c'est une autre dimension.
Je ne sais pas, comment elle arrive à garder cette douceur, cette timidité en étant si experte au pieu ! C'est comme si j'étais en présence de deux personnes différentes.
Et être en elle 😲 est juste waouh 😍
J'ai pas de mot pour le décrire. J'en perds mon latin, non plutôt la raison. Les 1ères fois, j'ai eu si peur que je me suis barré pendant des mois.
Au cours desquels j'ai sauté sur tout ce qui avait des fesses pulpeuses pour faire la comparaison.
Ce n'était pas le même goût !
Je suis donc revenu vers elle, la queue entre les jambes, comme un esclave à ses chaînes.
Elle m'a reçu et repris avec son sourire innocent. Et depuis, je lui suis enchaîné, de corps, d'âme et d'esprit.
S'il arrivait un jour, qu'elle me trompe et que
je l'apprenne, c'est une femme morte.Et ça, elle le sait que trop bien.
Au début de notre relation, j'avais placé un type qui la suivait partout ... envoyé des potes aussi friqués que moi, lui faire du rentre-dedans mais apparemment, c'est une fille sérieuse.
En plus, pas matérialiste du tout. Elle ne me demande jamais rien. Je lui donne quand ça me pique et c'est très rare. Ce qui m'étonne d'ailleurs car je suis d'un naturel très généreux lorsque j'aime.
Bref.
Tout ça, m'a motivé, à sauter le pas.
Je suis allé me présenter chez sa famille.
Étant orpheline de père, c'est chez sa mère que tout s'est fait.
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En sortant de la salle de bains, qui je vois endormie sur mon lit ... elle ! Mon ange, mon étoile, celle qui sait me faire vibrer, mon addiction ... Mounia.Je m'approche du lit, et me perds dans sa contemplation. Mon regard s'attarde sur ses lèvres, ses seins, son ventre, ses hanches, ses cuisses ...
Je m'assieds sur le rebord du lit et pose ma main sur une de ses cuisses ... sa peau d'ébène est aussi douce que de la soie.
Mon coeur commence à battre très fort !
Ah je ne vous ai pas dit ? Il suffit que je la touche pour que mes sens s'embrasent.
[]
**** Mounia Kinizy ZIMBOT ****
Jeff (pressant ses doigts autour de ma gorge, tout en me chevauchant comme un beau diable) : Mounia, où étais-tu ?
Moi (haletante, entrain de subir ses coups de butoir) : ...
Jeff (criant) : JE TE PARLE !!!
Je me suis mise à remuer du bassin, ça a le chic de le faire taire.Après un moment de cette folle danse sensuelle, il a enfoui sa tête dans le creu de mon cou.Il a pris cette habitude depuis le jour où je m'étais marrée en le voyant jouir 😁. Moi, je le tiens bien en place avec l'arrière de mes jambes, encerclant sa taille.
Il commence à accélérer la cadence de ses coups de reins et à aller dans tous les sens, comme une voiture en folie.
C'est le signe qu'il va bientôt jouir et là ...
Je sens le djini bouger en moi et venir se loger juste à l'entrée de mon vagin puis de souffler et d'aspirer ...
À ce moment, laJefe est comme en transe !
Il ne sait pas ce qui se passe !
Ce qu'il ressent ?
Un plaisir qu'il ne connaîtra ... jamais ... nulle part ailleurs !