La Confusion
img img La Confusion img Chapitre 5 Une relation secrète
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Chapitre 6 La trahison img
Chapitre 7 Le pardon img
Chapitre 8 Le plan de Léonce et Adolphe img
Chapitre 9 La séparation img
Chapitre 10 Le regret img
Chapitre 11 La solitude img
Chapitre 12 Le pardon 2 img
Chapitre 13 Le début d'une relation amoureuse img
Chapitre 14 L'interdiction img
Chapitre 15 L'avertissement img
Chapitre 16 Rencontre compliquée img
Chapitre 17 Le viol img
Chapitre 18 La réconciliation img
Chapitre 19 La rentrée universitaire img
Chapitre 20 Le duel img
Chapitre 21 L'enlèvement img
Chapitre 22 La recherche de Prisca img
Chapitre 23 La libération img
Chapitre 24 Marie ou Prisca img
Chapitre 25 Le plan img
Chapitre 26 Le voyage img
Chapitre 27 La rupture amicale img
Chapitre 28 Le rêve de Mardya img
Chapitre 29 L'enquête sur Marie img
Chapitre 30 La décision finale (fin) img
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Chapitre 5 Une relation secrète

(Nous sommes allés voir König, mais il était toujours comme ça dans le coma.)

Quelques heures plus tard.

« König »

Je me suis réveillé dans un profond sommeil, mais c'était très difficile pour moi d'ouvrir mes yeux. Avant de dormir chaque jour, j'ai l'habitude de mettre un document sous mon oreiller, donc j'ai décidé de prendre ça avec les yeux toujours fermés. Bizarrement, j'ai remarqué que ma tête n'était pas sur un oreiller, en plus il y avait un peu de différence entre les lits. Ah oui, finalement moi-même je savais que je ne me suis pas couché sur mon lit. Le pire, j'avais mal à la tête. Avec un peu de difficulté, j'ai ouvert mes yeux et c'était bel et bien clair pour moi que je n'étais pas dans ma chambre. J'ai fait tout possible pour tourner mon regard sur mon côté gauche et à ma grande surprise, j'ai constaté que j'étais dans une salle d'hôpital. J'ai refermé mes yeux pour réfléchir un peu et dans un instant, je me suis souvenu de quelque chose. J'ai touché ma tête avec ma main et c'est bandé. C'était en ce moment, tout était clair pour que ce stupide, Adolphe voulait me tuer. Quelques minutes après, mes parents sont venus chez moi. Dès que ma mère a su que j'ai ouvert mes yeux, elle était hyper contente et cela prouvait que j'avais passé plusieurs jours dans cet hôpital.

Constantine : Oh Dieu, merci beaucoup pour ta grâce ! Mon prince, parle-moi, j'ai envie d'écouter ta voix.

_ Maman, j'ai envie de...

Avec beaucoup de difficultés, j'ai prononcé ces mots et du coup, je me suis mis à tousser. Mon père a mis sa main sur ma poitrine pour la caresser un peu. Grâce à cette magnifique caresse de mon père, j'ai pu terminer la phrase en disant que j'ai envie de manger quelque chose. Ma mère s'est précipitée en même temps pour aller me chercher quelques nourritures. Mon aimable père était à mon côté jusqu'à l'arrivée de ma mère. Elle m'a aidé à manger et heureusement, j'ai un peu retrouvé la force. À l'aide de mon père, je me suis redressé pour m'asseoir sur le lit.

Albert : König, comment tu te sens actuellement ?

_ Ça va un peu, mais seulement que j'ai les maux de tête.

Albert : ok je te comprends, le docteur va venir tout à l'heure. Est-ce que tu peux nous dire ce qui s'était passé ?

C'est là le problème. Comment on répond à ces genres de questions ? Honnêtement, moi je ne voulais pas dire que c'étaient mes camarades qui m'avaient blessé. Malgré que c'était très cruel, leur comportement, mais j'ai décidé de ne rien dire à mes parents à cause de plusieurs raisons. Je connais bien le pays dans lequel nous vivons. Même si cette affaire est allée au tribunal, c'était nous qui serions toujours les perdants à cause de notre pauvreté. Depuis mon enfance, je n'avais jamais appris qu'un riche est allé en prison à cause de ses actes. Malgré tout, ils s'en sortent toujours et c'était une grande malédiction pour notre pays. Les supérieurs aiment bien la corruption. La question de mon père était toujours là, mais j'étais sans voix, car je ne savais pas comment j'allais lui répondre. Quelques minutes après, une idée m'est venue et c'était aussi très parfaite.

_ Papa, j'ai fait combien de jours ici ?

Albert : tu as fait plus de deux semaines dans le coma. Maintenant, peux-tu répondre à ma question ?

_ Sans vous mentir, je ne me souviens plus de ce qui s'était passé réellement.

Constantine : chéri, il faut qu'on laisse tomber cette question. Essentiel c'est que notre enfant a retrouvé sa santé, donc remercions Dieu pour cela !

Il fallait voir comment je me suis très soulagé à cause des mots de ma mère. Quelques minutes après, un docteur est venu pour m'examiner.

Quelques jours plus tard.

« Adolphe »

Parfois, je passais mes week-ends chez mes parents, vue que nous ne vivions plus ensemble. Ah oui, avant de débuter la classe de seconde, je leur avais dit que dorénavant j'allais vivre seul et c'était ce qu'ils avaient accepté sans hésiter. Un dimanche soir, j'étais allé chez eux et je me suis revenu à la maison très tard. Le lundi matin, moi-même j'ai décidé de ne pas aller à l'école, car je suis très fatigué et j'avais envie de dormir durant toute la journée. Il était six heures du matin dépassé, mais j'étais toujours sur le lit. Quelques minutes après, j'ai reçu un appel de ma mère. Cette sorcière même savait que j'allais décider de chômer cette journée, donc c'était la raison pour laquelle elle m'a appelé. Après son appel, je n'avais pas d'autre choix que de me rendre à l'école. Quelques minutes après, je suis arrivé et à ma grande surprise, j'ai aperçu un élève de très loin. Bizarrement, ce dernier ressemble beaucoup König, en plus il avait la tête bandée. Dans un instant, Léonce aussi s'est rapproché de moi.

Léonce : moi je croyais que tu ne vas pas venir aujourd'hui. Pourquoi tu es venu en retard ?

_ Laissons cette discussion inutile ! J'ai vu un élève maintenant, il ressemble bien König, c'est lui ?

Léonce : hum actuellement, moi j'ai tellement peur de lui hein.

_ Pourquoi tu as peur ?

Léonce : on peut aller en prison à cause de ça hein.

_ Il faut dire que toi seul, tu iras en prison. Imbécile ! Mon frère, il est temps pour toi de faire la cour à une autre fille. Le retour de ce pauvre garçon, hum tu risques de perdre Marie.

Il s'est mis à réfléchir et finalement il était d'accord avec moi. C'était la seule décision que je voulais qu'il prenne depuis. Heureusement, il y avait une fille dans notre classe qui le dérangeait depuis, donc il a décidé de lui parler ce matin en même temps. Je me suis assis sur un reposoir et il est allé chez la meuf. Quelques minutes après, il est revenu me rejoindre.

_ Je suis à l'écoute. Racontes !

Léonce : je lui ai demandé son numéro, mais elle dit qu'elle va me donner ça à midi.

_ Sale putain ! C'est toujours la même histoire qu'elles aiment bien raconter. En tout cas, il faut te patienter jusqu'à midi.

Léonce : hum, et si Marie nous surprend un jour ?

_ Imbécile ! À partir d'aujourd'hui, il faut commencer à être très vigilant. Si Marie va vous surprendre ou pas, ça va dépendre de toi-même.

Quelques minutes après, nous sommes allés en classe pour suivre les cours.

« Marie »

Malgré tout, mais j'ai tellement eu pitié de lui ce matin, car en voyant sa tête bandée, c'était bel et bien clair qu'il avait gravement eu une blessure. Ce jour, j'avais tant cherché Léonce pour lui parler, mais je ne l'avais pas vu. Finalement, je me suis rendue en classe pour rejoindre ce pauvre garçon. Honnêtement, moi je n'avais pas envie de m'asseoir à côté de lui à cause de sa tête, car j'avais l'impression que ça pouvait dégager une odeur. Je suis allée m'asseoir à l'écart de lui et dans un instant, lui-même s'est rapproché de moi.

König : tu ne m'as plus vu, ça fait déjà quelques semaines et pourquoi tu ne veux juste pas me saluer ?

_ S'il te plaît, laisse-moi tranquille ! En plus, je suis désolée pour ce qui t'est arrivé.

König : qu'est-ce qu'il m'est arrivé ?

_ Hum König, je ne suis pas d'humeur ce matin. König : puis-je savoir pourquoi ? Ou bien je t'avais beaucoup manqué ? En tout cas, je suis de retour pour toi seule.

Il voulait parler encore, mais malheureusement pour lui, le professeur est arrivé. C'était ça qui m'a beaucoup aidé, sinon il allait me déranger encore, malgré son état de santé. Honnêtement, j'aime bien à être avec lui, car il est très comique, mais seulement que sa manière de me harceler qui ne me plaisait pas. Grâce à l'arrivée du professeur, il est allé s'asseoir à sa place.

« König »

Si cette pauvre innocente savait que son stupide copain est un grand bandit, je n'étais pas sûr qu'elle allait continuer d'être avec lui. Malgré tout, moi aussi j'ai décidé de ne pas lui dire que c'étaient Léonce et Adolphe qui m'avaient blessé. Pendant la récréation, ces deux bandits sont venus dans notre classe. Ils se sont assis à côté de Marie et moi aussi je suis allé leur rejoindre. Ah oui, moi je voulais juste les rendre peureux.

_ Adolphe et Léonce, sortez d'ici ! D'ailleurs, qui vous a permis de venir vous asseoir à côté de ma reine.

Marie : König, c'est quoi ton problème ce matin au juste ?

_ S'il te plaît chérie, ne mets pas ta bouche dans cette affaire, car ça concerne uniquement nous les mecs.

Adolphe : Marie, on se voit après.

Marie : mais, c'est quoi votre problème ? Vous avez peur de ce pauvre garçon ?

_ Je suis pauvre, mais mes mots ne sont pas pauvres.

Ces stupides garçons sont sortis de la salle et je me suis mis à rire devant Marie. Elle est très fâchée contre moi et sans tarder, elle aussi est sortie pour aller les rejoindre. C'était très dangereux ce que Léonce et Adolphe m'avaient fait, mais grâce à ça aussi, je pouvais les taquiner durant quelques jours. À midi, j'ai pris un taxi pour me rendre à la maison à cause de ma santé. Sinon, moi-même j'avais l'habitude de marcher. Quelques minutes après, je suis arrivé et ma mère m'a aidé à me déshabiller. Je suis allé prendre une douche en même temps avant de manger. Après le bain, je me suis rendu chez ma mère pour qu'on puisse digérer le repas ensemble.

Constantine : comment ta journée s'est passée ?

_ Je remercie Dieu. Heureusement, ma tête ne m'a plus fait mal comme hier.

Constantine : le docteur même nous l'avait dits ça. Après le repas, n'oublie pas de prendre les médicaments en même temps hein !

_ D'accord maman !

Quelques jours plus tard.

« Léonce »

Grâce aux conseils de mon ami Adolphe, j'ai décidé de faire la cour à Sylvie en secret. C'est une meuf un peu appréciable, car elle n'est pas très belle comme Marie. Je lui avais abordé le sujet, mais elle aussi ne faisait que me traîner peu à peu. C'était la seule chose qui m'énerve beaucoup chez les filles. Elles aiment bien les garçons, pourtant elles racontent leurs histoires bizarres là en disant qu'elles ne sont pas encore prêtes ou elles sont toujours vierges etc.... Vraiment, nous les garçons aussi, nous souffrons sur la terre. J'avais fait tout possible pour lui donner un rendez-vous sur un vendredi soir dans un bar. Durant toute la journée, j'avais tellement hâte de la rencontrer afin de lui cracher le reste de mes compliments. Ce même jour, Adolphe aussi a invité sa bien-aimée dans le même bar. Quelques temps après, nous sommes tous arrivés, mais assis séparément. Adolphe et sa meuf étaient à l'écart de nous. On a commandé quelques boissons et nous buvions ça gentiment. Avec beaucoup de peur, j'ai décidé de terminer cette affaire en même temps.

_ Sylvie, s'il te plaît, regarde-moi dans les yeux et dis-moi ce que tu as remarqué !

Mes mots étaient très forts plus qu'elle, donc elle était incapable d'ouvrir sa bouche pour me parler. Sylvie était sans voix, mais me regardait toujours dans les yeux.

_ Si toi, tu n'as rien vu sur mes yeux, il faut savoir que moi j'ai vu beaucoup de choses sur les tiens.

Sylvie : tu as remarqué quoi alors ?

_ J'ai vu l'amour sur tes yeux et cet amour réclame mon cœur. S'il te plaît Sylvie, laisse cet amour pénètre dans mon cœur. Je te promets que je vais te traiter comme une princesse pour toujours.

Sylvie : Léonce, m'aimes-tu sincèrement ?

_ Je t'aime sans blague mon bébé.

Sylvie : de même que moi aussi ! Je t'aime sincèrement Léonce.

Oh quelle belle occasion pour moi ! J'ai serré Sylvie dans mes bras amoureusement.

À suivre....

                         

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