« Albert »
C'était un vendredi, après-midi, mon enfant est allé au sport dans leur école, mais à dix-huit, il n'était pas de retour. Je me suis très inquiété, car il avait l'habitude de rentrer à dix-sept heures. Finalement, j'ai décidé de me patienter un peu. J'étais dans ma chambre pour faire quelques idées et dans un instant, Constantine aussi m'a rejoint. Vraiment, les femmes sont très faibles. On ne savait pas si notre enfant était passé chez ses camarades ou pas, mais elle se mettait à pleurer en l'air comme ça. Elle s'est assise à côté de moi sur le lit et je l'ai pris dans mes bras pour la consoler.
_ Chérie, peux-tu me dire pourquoi tu verses tes adorables larmes ? S'il te plaît, essuies les, car je ne veux pas les voir sur ton visage.
Constantine : König t'a dit qu'il va passer chez quelqu'un d'autre ce soir avant de rentrer ?
_ Non ma chérie ! Il ne m'a rien dit. Soyons toujours patients ! Il sera là dans peu de temps.
Constantine : hum ok, si tu le dis. Seulement que moi je suis très peureuse.
En tant qu'un homme responsable, j'ai fait tout possible pour rendre ma femme souriante. Vraiment, on découvre la beauté d'une femme à travers ses dents. Constantine était très admirable, lorsqu'elle a souri et cela m'a beaucoup plu cette soirée là. Elle est allée dans la cuisine pour préparer notre dîner et comme moi aussi je ne faisais rien d'importance, je me suis rendu chez elle pour l'aider afin de préparer très vite. Trente minutes après, c'était toujours comme ça, sans le retour de notre enfant. La nourriture était prête, mais c'était très difficile pour nous de la déguster. Franchement, moi aussi j'étais très peureux en ce moment. Finalement, moi-même j'ai décidé de me rendre dans leur école afin de savoir ce qu'il se passe. Constantine aussi voulait aller avec moi, mais j'ai carrément refusé. Je suis allé prendre ma moto et j'ai pris la route pour aller dans l'établissement de mon enfant. Je me suis concentré sur la route avec quelques pensées bizarres et arrivé à un moment, j'ai aperçu une foule devant moi. Je me demandais si c'était une personne qui a fait un accident ou quoi. Quelques secondes après, je suis arrivé au lieu, mais je ne me suis même pas arrêté pour voir ce qu'il se passait, car toutes mes pensées étaient sur mon enfant. Dans un instant, j'ai remarqué qu'une ambulance est arrivée sur le lieu. C'était en ce moment, j'ai décidé de me retourner afin de savoir ce qu'il se passait. Par malheur, l'ambulance est repartie avant mon arrivée. Que dois-je faire alors ? J'ai coupé le moteur de ma moto et je me suis rapproché d'un chauffeur de taxi.
_ Bonsoir monsieur ! S'il vous plaît, pouvez-vous me dire ce qui se passe ici ?
Chauffeur : moi aussi je suis à peine arrivé, mais j'ai vu un enfant couché sur la terre. On a gravement blessé sa tête, mais on ne connaît pas le responsable de sa blessure. Un élève vient nous dire que l'enfant s'appelle König et ils fréquentent ensemble.
_ Si je comprends bien, tu voulais me dire que c'est König qui est dans cette ambulance ?
Chauffeur : bien-sûr que oui ! Y a-t-il un souci ? Ou bien vous aussi, vous le connaissez ?
_ Eh bon, à plus !
J'ai tellement manqué des mots pour répondre à ce chauffeur. Immédiatement, j'ai démarré ma moto pour aller informer ma femme.
« Constantine »
J'étais toujours impatiente pour le retour de mon mari et König, mais finalement je ne comprenais rien du tout. J'appelais mon amour, mais il ne décrochait pas. C'était en ce moment, moi-même j'ai compris que quelque se passait derrière moi. Je me suis mise en prière avec quelques lamentations et dans un instant, j'ai entendu le bruit de la moto de mon mari. Je me suis un peu soulagée, car j'avais la foi qu'il allait rentrer avec notre enfant. J'ai toujours gardé mes yeux fermés jusqu'à ce que mon mari a fait son entrée dans la chambre. Une fois ouvert mes yeux, je m'étais très surprise en voyant Albert dans une situation très compliquée. Mon mari coulait ses larmes et moi-même je savais que quelque chose de grave s'est passée, car c'était très rare de voir mon mari dans cette situation.
_ Chéri, où est notre enfant ? S'il te plaît, ne me caches rien du tout ! Dis-moi honnêtement ce qui est arrivé sur König !
Albert : actuellement, notre enfant est dans une salle d'hôpital.
Sur ces mots, je me suis plantée sans voix. J'étais toujours à côté de mon mari, mais c'était très difficile pour moi d'ouvrir ma bouche pour prononcer un mot. Il me semble que j'étais dans un rêve, mais c'était plutôt une réalité. Dans un instant, j'ai perdu d'équilibre et je suis tombée par terre. Directement, mon chéri est allé chercher un éventail afin de m'aider à mieux respirer, car c'était un peu difficile pour moi de respirer normalement. À peine dix minutes après, j'ai repris de la connaissance.
_ C'est vrai tout ce que tu viens de me dire ou c'est un rêve ?
Albert : s'il te plaît, reste à la maison afin que je me rende chez König et revienne.
À cause de ce qu'il m'a dit, j'ai enfin compris que notre enfant était dans une hôpital. Il me demandait de rester à la maison, mais j'ai refusé. Je ne pouvais pas me mettre à l'aise à la maison alors que mon enfant était quelque part tout seul. Il a pris sa moto et nous sommes partis pour aller rejoindre mon prince. Quelques minutes après, nous étions arrivés et heureusement, on a rencontré un docteur au niveau de l'entrée principale.
Albert : bonsoir monsieur le docteur, nous sommes les parents d'un enfant qui vient d'arriver ici avec une ambulance.
Docteur : oh merci Dieu ! Heureusement, vous êtes vite arrivés, sinon on ne va pas prendre soin de lui en même temps.
_ Pourquoi ?
Docteur : si on guérit ces genres de patients, parfois ça devient très difficile pour nous avant de prendre l'argent chez leur famille.
_ Mais, est-ce que vous êtes normal ? Donc, selon vous, l'argent est plus important qu'une personne ?
Je me suis très fâchée contre ce docteur, mais heureusement mon mari m'a calmé. Ce stupide docteur nous a conduits chez notre enfant dans une salle où il y avait beaucoup de malades. En voyant la situation de certaines personnes, j'ai carrément oublié que moi aussi j'étais là à cause d'un but. La situation de König était très grave jusqu'à ce qu'il devait aller dans le coma. J'ai tant cherché mes larmes pour couler, mais c'était difficile pour moi.
Le jour suivant.
« Léonce »
On dirait que ce pauvre stupide voulait me tuer. Il m'avait juste donné deux coups, mais j'avais reçu ça comme si c'était dix coups de bâton. Je m'étais complètement évanoui et heureusement, Adolphe m'avait sauvé. Sans lui, j'allais faire quelques jours dans le coma. Le samedi matin, après mon réveil, j'ai appelé mon meilleur ami, mon sauveur Adolphe.
Adolphe : allô petit frère ! Comment vas-tu ? Et ta tête ?
_ Vraiment, merci infiniment de m'avoir sauvé hein. Le gars-là voulait me rendre mortel, mais Dieu m'a sauvé.
Adolphe : tu m'as trop déçu hier. Tu ne peux pas te battre avec ce petit ? En plus, tu es très géant plus que lui.
_ Laisse-moi te dire quelque chose que tu ignores ! Il faut savoir qu'il n'y a pas l'affaire d'âge dans le combat. Même si tu étais à ma place, il allait te battre correctement.
Adolphe : tu penses que moi aussi j'ai la force d'une fille ? Regarde ce pauvre impuissant ! Bon, dis-moi où on peut se voir dans la soirée !
Là où il y a la liberté, Adolphe se présente là-bas. Il voulait qu'on se rende dans un bar dans la soirée, mais je ne savais pas comment j'allais lui répondre, car je n'avais pas envie.
Adolphe : si tu ne veux pas aller, dis-le moi en même temps ! Je n'ai pas le temps.
_ Je te fais signe après. Actuellement, je sens toujours les maux de tête.
Adolphe : si c'est le cas, il faut que je te laisse, sinon tu peux toutefois mourir là-bas et tes parents vont m'emprisonner.
_ Imbécile ! Bonne journée à toi !
Vraiment, il était très drôle plus que le mot drôle même. Je me suis toujours couché sur mon lit et ma mère a fait son entrée. Moi-même je savais qu'elle allait me déranger encore, donc j'étais muet en la regardant droit dans les yeux. La manière dont elle me fixait dans les yeux, elle voulait me dire quelque chose, mais finalement elle-même m'a faussé compagnie et je me suis mis à rigoler dans ma chambre.
Deux jours après.
« Marie »
On a à peine débuté la rentrée scolaire, mais je me suis un peu embrouillée à cause de König. Parfois, il me rendait un peu souriante, mais aussi très fâcheuse. Surtout ces derniers temps, König ne faisait que me harceler et cela m'énervait sincèrement. Le lundi matin, je me suis réveillée très tôt, mais c'était difficile pour moi de me lever sur le lit à cause de König. La manière dont il me dérangeait, ne me plaisait pas. Quelques minutes après, je suis arrivée à l'école et j'ai échangé quelques mots avec mon amour avant d'aller en classe. J'imaginais comment il allait me raconter ses histoires bizarres là encore. J'ai fait mon entrée en classe, mais bizarrement il n'est pas encore arrivé. Cela m'a beaucoup rendu pensive, car König avait l'habitude de venir à l'école très tôt. Dans tous les cas, ce serait une joie pour moi, s'il n'est pas venu. Malheureusement, c'était toujours comme ça jusqu'à pendant la récréation. Je me demandais s'il était malade ou quoi ? En tout cas, cela n'était pas mon souci. Quelques minutes après, mes amours sont venus chez moi en classe.
_ Pourquoi König n'est pas venu à l'école aujourd'hui ?
Je ne savais même pas pourquoi je leur ai posé cette question, mais bizarrement, Léonce était incapable de me répondre. Adolphe m'a raconté quelques trucs bizarres et finalement, moi-même j'ai décidé de laisser tomber la réponse à ma question.
Quelques semaines plus tard.
« Albert »
J'ai fait tout possible pour convaincre ma femme, mais elle ne faisait que pleurer chaque jour à cause de l'état de santé de notre enfant. König a passé plusieurs jours dans le coma, mais rien ne changeait toujours. Chaque matin, on se rendait chez lui à l'hôpital et c'est parti pour le soir qu'on rentre. Un matin, après le ménage de ma femme, elle m'a demandé de venir prendre mon petit déjeuner en même temps afin qu'on prenne la route encore.
Constantine : jusqu'à quand ? Oh mon Dieu !
_ S'il te plaît, arrêtes de te lamenter, car König va se rétablir dans peu de temps.
Constantine : ça fait déjà plusieurs jours, mais on n'a pas encore eu une bonne nouvelle et tu me demandes de ne pas me lamenter ?
_ Chérie, même si tu as pris une bonne journée pour pleurer, cela ne va rien changer sur la santé de notre enfant. S'il te plaît, arrêtes ça et il faut qu'on se concentre sur la prière.
Sur ces mots, ma femme s'est mise à pleurer plus qu'avant. Quelques minutes après, nous sommes arrivés à l'hôpital grâce à ma moto. Comme d'habitude, directement nous sommes allés dans le bureau du docteur.
Docteur : soyez les bienvenus !
Constantine : monsieur le docteur, comment va mon enfant ?
Docteur : ma chérie, je te promets que je ferai tout pour sauver la vie de ton enfant. Actuellement même, nous allons lui faire une analyse encore. Après cette analyse, j'espère que tout sera dans la norme.
_ Merci beaucoup !
Docteur : ne me remercie pas, car c'est mon travail. Allons chez lui !
Nous sommes allés voir König, mais il était toujours comme ça dans le coma.
À suivre....