« Léonce »
Je n'avais que deux personnes dans notre école et c'est seulement avec eux que je passe mes temps. À part mon amour Marie, c'est mon meilleur ami Adolphe. Lui, c'est un grand bandit, mais j'aimais à être avec lui. La seule chose qu'il n'arrête pas de me dire chaque jour, c'est de faire tout possible pour faire l'amour à Marie. Après les cours d'un jour, j'étais avec Adolphe pour continuer la conversation sur le même sujet encore et dans un instant, ma chérie même est venue chez nous. La manière dont Marie s'est précipitée avec sa démarche avant de se mettre devant nous, on a su en même temps que quelque chose s'est passée. Immédiatement, moi aussi je la questionne, mais elle nous a juste racontés certaines choses bizarres. Dans un instant, son père aussi est venu, donc elle nous a faussés compagnie. Il fallait voir comment Adolphe a laissé sa bouche grandement ouverte. Haha, moi-même je savais qu'il allait me parler de la même chose encore.
Adolphe : le mensonge est la plus grande infidélité des femmes. Elle commence à te mentir, ce qui veut dire qu'elle sera capable de sortir avec un autre gars, dans peu de temps. Mon frère, les anglais disent que « use your head ». As-tu compris ce que je voulais dire par là ? Cela veut dire qu'il faut utiliser ton cerveau, sinon les gens vont te considérer comme un stupide.
À chaque fois, mon ami Adolphe ne fait que me surprendre avec ses discours. Si j'analyse bien ses propos, je vois un côté qui est positif et un autre négatif. Finalement, moi aussi j'ai décidé de me patienter un peu avant de faire le choix. Marie que je connaisse depuis la classe de sixième, ne pouvait jamais me trahir, donc c'est à cause de tout cela que je n'accordais pas beaucoup d'importance aux mots de mon doyen Adolphe.
_ Adolphe, donc si je comprends bien, tu voulais me dire que Marie sort avec un autre gars ?
Adolphe : je n'ai pas encore dit ça, mais dans peu de temps, elle va te nier à cause d'un autre mec. Crois-moi et tu verras la suite !
_ Non, c'est impossible ! Le seul garçon qui est capable de conquérir le cœur de Marie, c'est toi Adolphe, mais je sais bel et bien que tu ne pourra jamais me faire une telle chose.
Adolphe : c'est bien, mais il faut noter qu'il y a des nouveaux élèves parmi nous. Je te donne cet exemple. Est-ce que tu connais le garçon qui s'appelle König ?
_ Si on parle sérieusement, arrêtes d'appeler le nom de ce pauvre à côté de moi. Donc, si je comprends bien, tu voulais me dire que König peut arracher ma meuf ?
Adolphe est quitté chez moi sans même me répondre. Vraiment, il m'étonne trop parfois. Quelques minutes après, mon père aussi est venu me chercher et nous sommes partis. Une fois arrivés à la maison, mon plat préféré est sur la table grâce à la cuisinière. Oh, ce n'était aucune autre personne que ma mère.
Lucia : Léonce, pourquoi Marie ne vient plus ici ces derniers temps ? Qu'est-ce qu'il se passe entre vous ?
Dimitric : il n'y a rien entre eux.
On dirait que mon père m'a remplacé. Haha, on m'a posé une question, mais il a répondu à ma place. Honnêtement, la question de ma mère aussi m'a un peu choqué et je ne savais même pas comment je pouvais lui répondre. Finalement, je leur ai juste raconté des trucs bizarres. À cause d'eux, je n'ai pas pu bien digérer mon plat.
Le jour suivant.
« König »
L'amour m'a mis dans un monde très pensif. Moi König, qui n'ai jamais pensé à ça, je me suis emporté par l'amour et je ne me mettais plus dans la bonne humeur chaque jour, car la fille ne me voulait pas. Que dois-je faire alors pour détourner le cœur de Marie vers moi ? C'est la seule chose que je cherche à faire, mais hélas.... J'ai fait tout mon mieux pour convaincre cette fille, mais finalement elle me parle plutôt du harcèlement. Dois-je être direct avec son stupide petit ami ou quoi ? Depuis quatre heures du matin, je me suis réveillé avec toutes ces pensées. Quelques heures plus tard, j'étais prêt à me rendre à l'école. Quelque chose s'est passée ce matin-là et moi-même, je savais que nous nous sommes faits l'un pour l'autre. Vraiment, j'ai tellement aimé la coïncidence de ce jour. Je suis arrivé à l'entrée de notre école et au même moment, ma ravissante chérie aussi est venue. Un esprit diabolique me disait d'aller l'embrasser devant son père, mais je me suis dit que je risquais d'aller en prison. Oui c'est ça hein. On ne blague pas avec les filles des riches, sinon ce serait un sérieux problème. La seule chose qui me faisait plus mal, c'était son copain Léonce. Ils me rendaient très jaloux, s'ils marchent ensemble la main dans la main. On dirait qu'ils se sont déjà mariés. J'étais allé m'asseoir en classe afin de bien réfléchir sur ma vie sentimentale. Quelques minutes après, Marie aussi est venue avec sa démarche d'une miss France. Elle est allée s'asseoir à l'écart de moi et sans tarder, moi-même je me suis rendu chez elle. Au même moment, un stupide garçon aussi est venu nous rejoindre. Je suis foutu ce jour sans le savoir.
Adolphe : petit frère, vas t'asseoir quelque part avec ta pauvreté ! Je vais parler à ma chérie.
Marie : mon ami, il faut faire ce qu'on te demande.
_ Marie, arrêtes de me considérer comme ton ami, car.....
« Adolphe »
Il voulait parler encore, mais je lui ai donné un petit coup sur la bouche. Hum, le gars-là ne connaissait pas encore qui est Adolphe, le bandit mignon. Ah oui, j'étais le grand bandit dans notre école, mais à cause de ma beauté, c'étaient les filles mêmes qui me faisaient la cour. Il était allé s'asseoir à sa place et je me suis mis à rire. J'ai échangé quelques mots avec Marie et après, je suis allé chez le pauvre garçon König.
_ Mon frère, je te demande pardon de te mettre à l'écart de cette fille, si tu veux vraiment faire trois ans dans cette lycée.
König : Marie est une fille et il est même écrit que chaque homme a besoin d'une femme dans sa vie, donc mon frère, il faut savoir que j'ai besoin de cette fille. Elle est célibataire, donc elle n'appartient à personne pour le moment.
Le petit-là m'a trop énervé ce matin-là, mais j'ai décidé de garder mon calme un peu. Honnêtement, je voulais le blesser gravement, mais je suis sensé de mettre mon ami Léonce au courant de tout d'abord. Quelques minutes après, je suis arrivé chez lui en classe. Parfois, lui aussi me rendait très fâcheux avec son comportement, mais je ne disais rien. Je lui ai dit tout ce que j'ai vu, mais il ne s'inquiétait même pas pour moi.
Léonce : mon frère, ce pauvre garçon ne peut jamais m'arracher Marie. Elle est à moi et c'est pour toujours.
_ Continues toujours de rêver ! Peux-tu imaginer que ce pauvre vient d'embrasser Marie devant moi ?
Oui, c'est ce que je voulais depuis. Sur ces mots, les yeux de mon ami a changé de couleur. Il s'est complètement choqué et ne savait plus quoi faire. Nous voulions continuer la discussion, mais malheureusement notre professeur scientifique aussi est venu. Mon frère était avec nous dans la salle, mais son esprit était ailleurs. Je le guettais, mais il ne se rendait pas compte. Quelques heures plus tard, il est l'heure et nous sommes sortis de la classe. Heureusement, on a rencontré König même devant notre entrée.
Léonce : hé toi, viens ici ! Peux-tu me dire pourquoi tu cours derrière ma chérie ?
König : elle est ta chérie et non ta femme. Mon frère, à partir d'aujourd'hui, il faut savoir que Marie est à moi, car elle est ma femme.
_ König, comme tu le sais déjà, moi Adolphe, je ne m'amuse pas, donc il faut te mettre à côté de cette meuf. C'est le dernier avertissement. Si jamais, je t'ai vu encore avec cette fille, hum....
König : je n'ai pas peur de toi. Il n'y a qu'une seule vie et une seule mort.
« Léonce »
Ça devient très sérieux, donc je dois laisser la blague à part. Il parlait devant moi comme s'il sortait déjà avec Marie. Il s'en foutait de nous. Finalement, j'ai décidé de prendre les choses au sérieux, sinon König serait capable d'arracher ma copine. Heureusement, Adolphe lui a donné une gifle, donc il est parti sans voix. Après son départ, je me suis mis à rire bien. Quelques minutes après, mon père est venu me chercher et nous sommes partis. Comme d'habitude, la nourriture est déjà prête sur la table avant notre arrivée.... Après avoir pris mon dîner dans la soirée, je suis allé prendre mon bain avant d'appeler mon amour. Dix minutes après, je suis au lit et j'ai appelé Marie.
Marie : allô bébé ! Qu'est-ce que tu as mangé ce soir ?
_ Je n'ai rien mangé à cause de toi. Marie, ces derniers temps, je ne me mets plus à l'aise, car je suis très inquiet.
Marie : hum, puis-je savoir ce que je t'ai fait ?
_ Marie, sois honnête avec moi ! Qu'est-ce qu'il y a entre König et toi ?
Marie : s'il te plaît Léonce, ne m'énerve pas ce soir ! Je t'avais plusieurs dit d'arrêter d'être jaloux, car il n'y a rien du tout entre nous. König est juste mon ami. Si tu continues toujours avec les mêmes choses, il faut savoir que tu vas perdre petit à petit ta place dans mon cœur.
Quelques semaines plus tard.
« König »
Je me demandais si c'était quelqu'un qui m'a jeté un mauvais sort ou quoi. Chaque jour, je ne fais que penser à Marie. Malgré que le bandit Adolphe aussi me dérangeait avec ses coups, mais je m'en foutais de tout. Chaque vendredi soir, on fait le sport à l'école. Un jour, après le sport, je suis allé chez Marie encore, malgré que les deux bandits-là me l'avaient interdit. Après avoir échangé quelques conversations avec elle, j'ai pris la route pour me rendre à la maison. Arrivé à un moment de la route, j'ai rencontré mes deux ennemis.
Léonce : comme tu es stupide, nous voulons te montrer aujourd'hui nos vrais visages. Adolphe, laisse-nous un peu !
Ce bandit qui s'appelle Adolphe se mettait à côté et nous regardait. Dans un instant, Léonce voulait me donner un coup très violent, mais heureusement, j'ai feinté et lui ai donné plutôt deux coups sur la bouche. Au moment où je voulais me tourner vers le grand bandit, j'ai senti une grande douleur au niveau de mon tête.
« Adolphe »
Je l'avais averti plusieurs fois, mais il ne voulait pas m'écouter. Comment puis-je croiser les bras, alors que mon second était en danger ? König a juste donné deux coups à Léonce, mais ce dernier est tombé par terre. Haha, vraiment lui aussi me faisait trop rire quoi. Il était très faible comme une fille. Heureusement, moi aussi j'ai trouvé un bâton très lourd à côté de moi. Sans tarder, je lui ai donné un coup seul sur la tête et lui aussi est tombé par terre. Par la grâce de Dieu, Léonce s'est levé.
Léonce : oh mon Dieu ! Pourquoi tu l'as tué ? Adolphe, il est mort hein.
_ Je m'en fous. D'ailleurs, ce serait une occasion pour toi de bien t'occuper de Marie.
Léonce : oh merde ! Mais pourquoi tu lui as fait ça ? S'il te plaît, il faut qu'on appelle une ambulance très vite.
_ Léonce, tu es très stupide comme König. Donc, toi tu voulais appeler l'ambulance à cette heure ? C'est toi seul qui vas aller en prison. Aucune personne ne nous a vus et au lieu de partir en même temps, toi tu parles de l'ambulance encore ?
Sur ces mots, je suis vite parti et Léonce aussi m'a suivi avec la course.
À suivre....