Mon beau-père a tué mon père
img img Mon beau-père a tué mon père img Chapitre 5 L'accusation
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Chapitre 6 La bonne domestique img
Chapitre 7 Le rapport sexuel ou le le licenciement img
Chapitre 8 Le licenciement img
Chapitre 9 La mendiante img
Chapitre 10 La naissance img
Chapitre 11 Le premier jour de la rentrée img
Chapitre 12 L'aide du directeur img
Chapitre 13 L'obtention du BEPC img
Chapitre 14 La rencontre img
Chapitre 15 La moquerie img
Chapitre 16 La sensation img
Chapitre 17 Le plus intelligent du lycée img
Chapitre 18 Le plan de Tesline img
Chapitre 19 L'enlèvement img
Chapitre 20 Le rêve de Adia img
Chapitre 21 La libération img
Chapitre 22 Le départ img
Chapitre 23 La rencontre 2 img
Chapitre 24 La naissance de l'amour img
Chapitre 25 Le retour de Tesline img
Chapitre 26 Le début de la vengeance img
Chapitre 27 La confusion img
Chapitre 28 La fin de toute chose img
Chapitre 29 Le suicide img
Chapitre 30 La réconciliation img
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Chapitre 5 L'accusation

(Mon mari avait fermé sa bouche sur ces mots. Oh mon Dieu, Stan était mort.)

J'étais à la maison et monsieur Evans m'avait dit de venir lui croiser dans un bar. Comme la boisson était mon amie, je m'étais vite rendu là-bas. Il était là avant mon arrivée. Ce qui m'avait aussi étonné, c'était qu'il y avait trois boissons sur la table avant mon arrivée. J'avais décidé de prendre place à côté de lui, mais il m'avait dit de m'asseoir sur la troisième chaise. Nous commencions à boire et quelques minutes après, Stan aussi était venu nous rejoindre. Il avait fourni des informations sur compte bancaire à monsieur Evans et quelques heures plus tard, il nous avait dits qu'il avait gravement mal au ventre. Honnêtement, je ne comprenais rien qui se passait entre nous. Quelques minutes après, Stan était parti.

_ Monsieur Evans, est-ce que vous pouvez au moins m'expliquer ce qu'il se passe ?

Evans : qu'est-ce que tu veux comprendre encore ? Le gars veut récupérer son argent, donc je vais lui remettre non.

_ Es-tu sûr de ce que tu me dises ? Ce n'est pas toi-même qui avais dit que tu ne vas pas lui remettre son argent ?

Evans : Prince, je te donne six heures de temps seulement, toi-même tu vas comprendre tout.

J'étais toujours dans le noir et je ne comprenais pas exactement ce qu'il se passait. Je me demandais si Evans avait mis quelque chose dans la boisson de Stan ou comment ? Nous continuions toujours à boire ensemble et quelques minutes après, nous nous étions séparés.

Et enfin, ce bandit allait mourir, donc j'étais très content. Oui, je savais bel et bien que Stan allait partir dans cette belle vie, car l'effet du poison était très fort. Prince et moi étions séparés et moi j'avais pris directement le chemin de la maison. Quelques minutes après, j'étais arrivé à la maison et ma femme aussi était impatiente au salon pour mon retour.

Aïcha : comment les choses ont été passées ?

_ Super bien !

Aïcha : tu lui as déjà envoyé de l'argent ?

_ J'ai déjà réglé tout avant d'arriver à la maison.

Aïcha : c'est bien, maintenant il faut me promettre que tu ne vas plus vendre ça.

_ Je te promets mille fois. Crois-moi chérie !

Aïcha : ok, je te fais confiance. Je t'aime mon bébé d'amour.

_ Moi, je ne t'aime plus.

Malgré que j'avais dit ça à ma femme, mais elle s'en foutait de moi et m'avait donné des baisers sur mon front. On dirait qu'elle m'avait jeté un sort, car je n'arrivais plus à me concentrer après son baiser.

Non, non, Stan... C'était la seule chose que je disais après la mort de mon mari. Je m'étais plongée dans les larmes. J'avais tellement pleuré jusqu'à ce que je ne sache plus comment verser mes larmes. Stan ne pouvait pas quitter comme ça, car on avait beaucoup de projets à faire ensemble. Je ne savais plus quoi faire et je m'étais rendue chez ses frères qui étaient dans la même maison que nous. Après avoir leur informé que leur frère était mort, ils m'avaient dit quelque chose qui m'avait tellement étonné et je m'étais mise à penser. Ce qu'ils m'avaient dit, si je voulais prêter mon attention à cela, j'allais pleurer jusqu'à inonder leur maison familiale, donc j'avais gardé mon calme comme si de rien n'était. Je m'étais directement allée chez le démarcheur pour échanger quelques conversations avec lui à propos du rendez-vous avec mon mari. Quelques minutes après, j'étais arrivé chez lui. Il était un peu choqué en me voyant dans cette circonstance.

Prince : madame, qu'est-ce qu'il ne va pas chez toi ?

_ Imbécile, ne me poses pas cette question ! Qu'est-ce que mon mari vous a faits avant que vous l'aviez tué ?

Prince : madame, qu'est-ce que tu racontes là ? Moi je ne connais rien, pourtant tu m'accuses d'avoir tué ton mari ? S'il te plaît, je ne suis pas le responsable de la mort de ton mari. Vas loin avec tes bêtises !

J'étais quitté chez ce sale garçon avec beaucoup de pleurs.

Lorsque la femme de Stan était venue chez moi, c'était en ce moment j'avais compris que monsieur Evans était un diable. Donc, il avait mis quelque chose dans la boisson de Stan sans me prévenir ? Directement, je lui avais demandé de venir chez moi. Moi j'étais prêt à faire tout pour gagner de l'argent, mais tuer les gens n'était pas mon genre. Vraiment, Evans était cruel, mais je ne le savais pas. En tout cas, ce qui devait arriver, était arrivé, donc je n'avais pas d'autre choix. Quelques minutes après, le criminel était venu chez moi. Oui, désormais j'allais lui considérer comme un criminel.

_ Bon arrivé ! Peux-tu me dire ce que tu as fait à Stan ?

Evans : waouh, la nouvelle est déjà arrivée chez toi ? Qu'est-ce qu'on t'a dit ?

_ S'il te plaît, dis-moi ce que tu as fait à cet innocent !

Evans : je lui ai empoisonné.

En écoutant cela, j'avais tellement eu peur, car si moi aussi, je ne faisais beaucoup d'attention, il était capable d'enlever ma vie en une seule minute. J'étais un peu choqué après m'avoir dit cela. J'avais toujours gardé mon calme et il m'avait dit :

Evans : Prince, qu'est-ce qu'il ne va pas ? Au lieu de te réjouir, mais pourquoi tu es dans cet état ?

_ Monsieur Evans, pourquoi tu as fait cela à cet innocent ? Vraiment, tu m'as déçu.

Evans : non, non, je n'arrive pas à croire. Prince, est-ce vraiment toi qui me parles ?

_ Oui, c'est bel et bien le grand démarcheur Prince qui te parle. Moi, je ne fais pas mon travail comme ça. Je peux prendre des énormes sommes chez les gens, mais les tués, oh non. En tout cas, c'est déjà fait, donc on n'a pas d'autre choix.

Evans : c'est maintenant que tu as bien parlé.

_ Mais lorsque cette femme était venue chez moi, elle m'avait rendu le responsable de la mort de son mari.

Evans : putain qu'elle soit, pourquoi elle peut oser t'accuser ? Elle a de la chance qu'elle n'était pas venue chez moi.

_ Sinon, qu'est-ce que tu allais lui faire ?

Evans : rien du tout, mais je sais ce que j'aille lui faire.

_ S'il te plaît monsieur Evans, ne fais aucun mal à cette femme aussi. On a déjà récupéré ce que nous voulions, donc il faut qu'on laisse la famille de Stan tranquille.

Evans : d'accord, je te promets que je ne vais rien faire encore.

Ce qu'il m'avait fait encore pour me rendre heureux, était qu'il m'avait donné une somme de vingt mille francs, vraiment les méchants avaient tellement des plans pour satisfaire les gens. Moi aussi j'étais très méchant, mais je ne pouvais jamais tuer une personne. Il était parti et moi directement, je m'étais rendu dans un bar avec ma moto Vespa. J'avais également appelé l'une de mes filles qui était dans le même village que moi. Au moins, j'allais passer la journée avec elle.

Mon mari était en vie, sa famille me détestait comme si j'étais une vaurienne. J'imaginais ce qu'il allait se passer après les obsèques de Stan. Vraiment, c'était une grande tristesse pour moi. Stan n'avait même pas pensé à moi avant de quitter sur cette terre. Si c'était que je connaissais là où la mort habitait, j'allais me rendre chez elle afin qu'elle me tue également. Oui, moi aussi j'étais prête à suivre mon mari, car je ne savais pas ce que je pourrais faire encore sans sa présence. J'étais quittée chez ce bandit du démarcheur et je marchais toujours sur la route avec les larmes aux yeux. J'avais rencontré un fou et il me faisait comprendre que la famille de mon mari allait me chasser dans la maison familiale.

_ S'il te plaît, dégages sur mon chemin !

Fou : écoutes ce que je te dise... ! S'ils t'ont chassé dans cette maison, c'est en ce moment que tu vas commencer à sentir le goût de la souffrance, mais Dieu va t'envoyer une compagnie.

Ce qui m'avait rendu très peureuse, le fou était parti sur ces mots. Je voulais lui questionner encore, mais il ne m'avait même pas accordé une simple minute. Je continuais toujours ma route et je repensais à ce qu'il m'avait dit. Il parlait d'une compagnie, mais je ne comprenais rien du tout. Finalement, j'avais compris qu'il me parlait d'un autre mari. Oh non, moi je ne pouvais plus me marier avec une autre personne, car j'aimais Stan avec tout mon cœur et je comptais de rester toujours fidèle à lui. Malgré qu'il n'était plus là, mais je ne voulais plus me marier. J'étais également prête à finir ma vie sans enfant. Quelques minutes après, j'étais arrivée à la maison et dès que la famille de Stan avait posé leurs sales yeux sur moi, ils me traitaient d'une sorcière. Vraiment, les femmes qui avaient été détestées par leur belle-famille, souffraient trop dans leur foyer. Ils m'insultaient et me disaient des bêtises insupportables, mais je ne pouvais rien faire. Le pire, ils m'avaient interdit d'aller voir le corps de mon mari. Vraiment, c'était une grande triste réalité. Comment on pouvait interdire à une femme de ne plus voir le corps de son propre mari ? La personne avec qui je partageais ma souffrance et ma joie, était morte et ils ne voulaient pas que j'aille voir son corps. Oh finalement, les larmes aussi avaient refusé de sortir sur mes yeux, car je les avais tellement versées et si c'était possible, j'allais également couler des sangs. Je ne pouvais rien faire que de me rendre dans la chambre pour continuer toujours les pleurs. Quelques heures plus tard, ils étaient partis avec le corps de mon mari à la morgue. Je n'arrivais pas toujours à y croire.

Je voulais passer ma nuit dans un bar avec la fille, mais si j'avais fait ça, je ne pouvais pas satisfaire mon plaisir avec elle. Moi à chaque fois que j'aille dans les bars avec les filles, je leur faisais l'amour avant qu'elles ne partent. Cette soirée, j'avais décidé qu'on rentre aux alentours de dix-neuf heures et c'était ce qui permettait de dépenser une somme de cinq mille francs seulement. J'avais gardé jalousement le reste de mon argent dans la poche avant de partir. Une fois arrivés à la maison, nous étions directement allés dans la salle de bain. Après le bain, nous étions allés sur le lit pour faire ce que nous devions faire. Le lendemain matin, je m'étais réveillé un peu tard et je n'avais pas vu la fille à côté de moi. C'était un peu bizarre pour moi, mais je m'étais dit qu'elle soit dans la salle de bain. J'étais allé là, mais toujours personne. J'étais un peu choqué, mais j'avais gardé mon dernier espoir sur le salon. Oui, sûrement elle allait rester au salon en regardant la télévision. À ma grande surprise, cette pute n'était pas au salon aussi. J'avais fouillé partout dans ma maison, mais je n'avais pas vu aucune personne. Je m'étais dit qu'il n'y avait aucun problème, car moi j'avais fait déjà ce que je désire. La seule chose que moi, j'aimais à faire avec ces filles, c'était de coucher avec elles et puis on se séparait. Quelques minutes après, j'étais allé dans la chambre pour prendre mes quinze mille francs afin d'aller boire le thé quelque part, car j'avais gravement faim. Je n'arrivais pas à croire à ce que j'avais vu. À ma grande surprise, cette pute était partie avec mes quinze mille francs. J'avais envie de pleurer, mais un vrai homme ne pleurait pas... J'avais pris ma mallette pour prendre l'argent dedans, mais cette fois-ci, un vrai homme devait pleurer, car la fille avait vidé ma mallette aussi. Je pleurais ardemment jusqu'à ce que moi-même, je m'étais étonné. Depuis que je m'étais plongée dans la politique, je n'avais plus coulé mes larmes, mais ce jour, c'était plus fort que moi. J'étais allé dans la douche pour voir mon visage. Vraiment, j'étais très vilain en pleurant, donc j'avais fait beaucoup d'efforts pour garder mon calme comme si de rien n'était. Immédiatement, je m'étais rendu chez les parents de la fille. Ces bandits aussi m'avaient dit que cette dernière n'était plus leur enfant. Honnêtement, la fille-là aussi était une traînée, donc ses parents ne lui considéraient plus. J'étais tellement foutu ce jour. Heureusement, j'avais versé une somme sur mon compte bancaire et directement j'étais allé au guichet automatique pour retirer au moins vingt mille francs. On dirait que Dieu m'avait maudit ce matin, car le seul guichet qui était dans notre village aussi ne fonctionnait pas. Malgré que je devenais vilain en pleurant, mais je n'avais pas d'autre choix. Je ne pouvais pas aller en ville avec ma moto, en plus je risquais de mourir si je n'avais pas vite mangé. Finalement, j'avais décidé de me rendre chez monsieur Evans. Il était la seule personne qui pouvait m'aider.

Quand on parlait des chefs des méchants, c'étaient les membres de la famille de mon mari. Le jour qui suivait la mort de mon mari, ces derniers étaient venus chez moi très tôt le matin et moi je croyais qu'on allait discuter ensemble à propos des obsèques de mon mari, mais c'était plutôt le contraire. Ils m'avaient dit que c'était moi la responsable de la mort de mon mari. Comment une femme pouvait tuer son mari ? C'était possible qu'une femme puisse tuer son mari, mais ce n'étaient pas toutes les femmes qui pouvaient faire une telle chose très cruelle. Ce qui m'avait très énervé, c'était qu'ils me parlaient d'un féticheur. Oui, ils m'avaient dit que d'après leur consultation chez le féticheur, c'était moi Adia qui avais tué mon mari. J'avais fait tout possible pour convaincre ces derniers, mais hélas... Quelle triste réalité ! Du coup, ils commençaient par faire sortir mes sacs et autres. Moi-même, je savais qu'ils allaient me chasser dans la maison familiale après la mort de mon mari. Ils m'avaient accusé d'avoir tué mon propre mari, pourtant j'étais innocente.

Avec les pleurs indescriptibles, j'étais quittée dans la maison familiale.

À suivre....

                         

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