Mon beau-père a tué mon père
img img Mon beau-père a tué mon père img Chapitre 2 Un terrain, deux acquéreurs
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Chapitre 6 La bonne domestique img
Chapitre 7 Le rapport sexuel ou le le licenciement img
Chapitre 8 Le licenciement img
Chapitre 9 La mendiante img
Chapitre 10 La naissance img
Chapitre 11 Le premier jour de la rentrée img
Chapitre 12 L'aide du directeur img
Chapitre 13 L'obtention du BEPC img
Chapitre 14 La rencontre img
Chapitre 15 La moquerie img
Chapitre 16 La sensation img
Chapitre 17 Le plus intelligent du lycée img
Chapitre 18 Le plan de Tesline img
Chapitre 19 L'enlèvement img
Chapitre 20 Le rêve de Adia img
Chapitre 21 La libération img
Chapitre 22 Le départ img
Chapitre 23 La rencontre 2 img
Chapitre 24 La naissance de l'amour img
Chapitre 25 Le retour de Tesline img
Chapitre 26 Le début de la vengeance img
Chapitre 27 La confusion img
Chapitre 28 La fin de toute chose img
Chapitre 29 Le suicide img
Chapitre 30 La réconciliation img
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Chapitre 2 Un terrain, deux acquéreurs

(Nous étions quittés chez eux avec beaucoup de joie.)

Quand on parlait d'un grand démarcheur, c'était moi. Moi, j'étais capable de vendre un seul terrain à plusieurs personnes. J'avais également tissé des liens avec plusieurs autorités, donc à chaque fois qu'on aille au commissariat ou à la justice pour ces genres d'affaires, c'étaient toujours mes adversaires qui perdaient, malgré leurs richesses et autres. La seule personne qui me faisait peur, c'était le chef du village de Sevagan. Akloloe Apetovi était un chef très intellectuel et on ne blaguais pas avec lui. Après avoir cherché un client à monsieur Evans pour l'achat de son terrain, j'étais hyper content, car j'allais encore gagner un bénéfice de dix pour-cent. Une fois que les signatures avaient été faites, l'acquéreur était parti avec sa femme. Il ne restait que monsieur Evans et moi dans la chambre.

Evans : je suis très content pour toi. Tu m'as beaucoup aidé, donc je t'augmente le pourcentage à quinze.

_ Waouh quelle magnifique décision ! Je te remercie vivement pour cet aide.

Evans : je t'en prie.

Devant moi en même temps, il comptait les billets de dix mille francs jusqu'à un nombre... Après, il m'avait remis ma part de quinze pour-cent. Après avoir pris cette somme d'argent, mon esprit commençait à danser dans une boîte de nuit, mais mon corps était à côté de monsieur Evans. Oui, c'était toujours comme ça ma vie. Les boîtes de nuit, les restaurants et les supermarchés qui étaient dans la ville, devenaient mes amis si j'avais de l'argent. J'avais accompagné monsieur Evans devant mon portail et il était parti avec sa voiture. Immédiatement, j'avais appelé l'une de mes copines pour qu'on puisse aller quelque part dans la soirée. Vraiment, certaines filles étaient trop têtues, surtout celles qui aimaient la poche des mecs.

Ce que je rêvais depuis, était arrivé comme de la pagaille. J'avais pris cette somme et j'étais premièrement allé dans un bar. Je voulais me saouler un peu avant d'aller à la maison. J'imaginais comme ma femme allait se comporter. Honnêtement, elle n'était pas d'accord avec moi pour cette vente, mais je n'avais même pas calculé ses mots. Une heure de temps après, j'avais pris la route pour aller à la maison. J'étais au volant et du coup, ma femme m'appelait. Je n'avais pas envie de décrocher son appel, mais...

_ Allô ! Je te manque déjà ? J'arrive dans quelques minutes.

Aïcha : vraiment, tu es très bizarre hein. Il fallait écouter la raison pour laquelle je t'ai appelé non ?

_ hum d'accord, maintenant je suis à l'écoute.

Aïcha : non, laisse tomber, on se voit plus tard.

_ Es-tu fâchée contre moi ? En tout cas, moi je suis même en route pour venir à la maison.

Aïcha : je ne suis pas fâchée contre toi, d'ailleurs il faut savoir que tu ne m'as rien fait.

J'avais raccroché l'appel et je continuais ma route. Quelques minutes après, j'étais arrivé à la maison. La façon dont j'avais vu ma femme assise dans le canapé, je n'avais même pas envie de lui dire que j'avais vendu un lot restant. J'étais directement allé dans la chambre pour mettre l'argent dans le coffre. Une fois mis la somme à sa place, j'avais pris la direction de la douche.

J'avais l'impression que mon mari me cachait quelque chose à cause de sa manière envers moi. J'étais dans la maison et il était parti le matin. À son retour, il se comportait comme s'il était un milliardaire. Finalement, j'avais compris la raison pour laquelle il se comportait ainsi. Il avait vendu le reste du terrain. Cela m'avait dépassé, mais je ne pouvais rien faire. Lorsqu'il était allé dans la chambre, j'étais derrière lui en lui suivant, mais il ne se rendait pas compte. Il avait ouvert le coffre et c'était très clair pour moi que mon mari avait vendu son dernier héritage. Je n'avais pas du tout aimé ça, mais moi j'étais juste de passage. Ah oui, nous les femmes, nous étions de passage seulement, car on ne pouvait rien dire concernant les héritages de nos maris. J'étais au salon et il était venu me rejoindre.

_ S'il te plaît, peux-tu me dire pourquoi tu es content ?

Evans : ah oui, tu as bien remarqué que je suis en joie. Bon, c'est tout juste que mon docteur me l'avait demandé.

_ Ton docteur t'a dit d'être content tous les jours ?

Evans : effectivement ! Mais pourquoi tu me poses ces questions ? Y a-t-il un problème ?

_ Combien as-tu vendu le terrain restant ?

Il s'était étonné par ma demande, mais je ne faisais que lui regarder. Dans un instant, il voulait se rendre dans la chambre encore, mais je lui avais dit d'attendre et lui posais la même question encore.

_ Pourquoi tu n'es plus capable de me répondre ?

Evans : je ne suis pas incapable, mais c'est seulement que tu m'as étonné avec ta question.

_ Je t'ai étonné comment ? Donc si je comprends bien, tu as vendu l'héritage de nos enfants ?

Evans : hum vraiment, tu me fais trop parfois. Bon, il faut savoir que j'ai bel et bien vendu le terrain. Mais je ne sais pas pourquoi tu aimes à parler de nos enfants dans cette affaire.

_ Hum...

Evans : ne t'inquiète pas, je vais te donner tes cent mille francs comme promis.

_ Malheureusement, je n'ai pas besoin de cet argent.

Evans : hum ok, il n'y a pas de soucis, je vais garder ça à nos enfants comme leur héritage.

_ Il faut laisser tomber, moi-même je serai capable de leur donner cette somme.

Evans : merci beaucoup d'avance !

Je n'avais plus envie de continuer la discution avec mon mari, donc je lui avais laissé parti. Vraiment, j'étais très mécontente ce jour.

J'étais content et libre, car j'avais joué mon rôle en tant qu'un homme responsable. Oui, un homme responsable ne devait plus vivre dans une maison familiale après son mariage. J'avais acheté le terrain chez monsieur Evans et nous étions sur la route pour nous rendre à la maison. Une fois arrivés à la maison, ma femme était vite allée dans la cuisine pour préparer un bon plat pour moi, car cette dernière aussi était très contente pour mon effort. Si tout le monde pouvait avoir une femme comme la mienne, ce serait un grand atout pour notre génération. Ma femme était très dynamique. Sans elle, je ne pouvais pas vite acheter ce terrain. Honnêtement, elle aussi m'avait beaucoup aidé financièrement. Quelques minutes après, elle était venue chez moi avec la nourriture.

_ Hum Adia, que Dieu te donne tout ce que ton cœur désire !

Adia : amen ! Moi aussi, je te souhaite la même chose.

_ Les femmes comme toi, sont très rares à trouver à notre époque. Il faut qu'on termine ce qu'on avait commencé.

Adia : d'accord, mais il faut manger d'accord.

_ Toi, tu ne manges pas ? En tout cas, il faut savoir que moi aussi je ne vais plus manger.

Adia : tu es exagères trop hein. Ok, je vais manger avec toi.

_ Qu'est-ce que tu appelles exagération ?

Nous nous étions mis à manger et la nourriture était très waouh. À part la beauté de ma femme, elle avait d'autres qualités qui m'impressionnaient trop. Après avoir mangé, nous étions directement allés dans la salle de bain. Comme d'habitude à tous les mariés, on avait oublié que nous étions là pour nous laver et nous nous étions concentrés sur une autre chose. Je lui caressais par ici et par là... Je lui avais plaqué contre le lavabo pour lui faire voyager et elle m'avait stoppé.

_ Y a-t-il un souci ?

Adia : allons sur le lit ! On dirait que tu aimes trop ici, mais c'est trop serré pour moi. Je ne me mets pas à l'aise.

_ Tu as parfaitement raison. D'ailleurs, moi aussi je ne me sens pas bien ici, mais bon...

Elle avait souri et je lui avais pris dans mes bras comme un enfant. Directement, nous étions allés sur le lit. Je commençais à lui caresser afin de bien chauffer mon moteur. Elle ne faisait que pousser les cris de gémissements. Après avoir démarré ma voiture, je lui avais mis en marche. Waouh, je faisais le mouvement du va-et-vient ce jour comme si je voulais tuer ma femme.

Deux semaines après.

J'avais vendu ce terrain, mais la manière dont ma femme se comportait, je risquais de la perdre à cause de ça. Finalement, j'avais décidé de passer par un moyen pour récupérer ce terrain. Je m'étais rendu chez mon démarcheur, sûrement il allait m'aider à récupérer ce terrain sans donner de l'argent à l'acquéreur. Quelques minutes après, j'étais arrivé chez Prince et après avoir lui expliqué les choses, il se mettait à rire.

_ Qu'est-ce qu'il te fait rire ? Ou bien, j'ai dit quelque chose de très drôle ?

Prince : mon DG, je suis désolé pour ça. C'est parce que je suis très content pour ta décision.

_ Très content comment ? S'il te plaît, sois clair dans tes propos !

Prince : monsieur Evans, je suis prêt à t'aider pour qu'on puisse récupérer ce terrain sans problème.

_ Vraiment ?

Prince : c'est le grand démarcheur qui parle, donc ne t'inquiète pas.

_ Qu'est-ce qu'on va faire alors ?

Prince : il faut qu'on vende ce même terrain à une autre personne. Ces deux personnes vont décider de nous convoquer quelque part et là, je serai toujours prêt à t'aider.

_ Waouh, vraiment tu es un grand intellectuel et tu le serras pour toujours.

Prince : mais, il faut qu'on prie beaucoup.

_ Pourquoi ?

Prince : on sera foutu s'ils nous ont convoqués chez le chef du village.

_ Vraiment, Akloloe Apetovi aussi est un grand intellectuel hein.

Prince : bon, moi je suis sûr qu'ils ne peuvent pas nous convoquer là-bas. J'avais même trouvé une autre personne la semaine dernière qui voulait acheter le terrain, donc ne t'inquiète pas, dans peu de temps, on va vendre ça encore. Cette fois-ci, je ne vais plus prendre quinze pour-cent hein.

_ Mon frère, ne t'inquiète pas, je vais te donner trente pour-cent.

Prince était très content en écoutant trente pour-cent. Le gars-là méritait plus que ça. Moi je voulais juste récupérer le terrain sans problème, mais il allait m'aider à gagner de l'argent encore. Vraiment, il était un grand intellectuel et je savais qu'il aille m'aider pour toujours. Quelques minutes après, j'étais arrivé à la maison. J'avais demandé à ma femme de venir s'asseoir à côté de moi afin qu'on échange quelques mots sur le terrain.

_ C'est toujours à cause de la vente du terrain que tu sois dans cet état tous les jours ?

Aïcha : tu penses qu'une bonne femme puisse être contente pour ton comportement ? Chéri, tu m'as sincèrement déçu pour ce que tu as fait.

_ Ok, je te comprends et je suis sincèrement désolé. J'étais allé voir mon démarcheur afin qu'on récupère le terrain, donc ne t'inquiète plus.

Aïcha : vous allez récupérer ça vraiment ?

_ Je vois que tu es contente maintenant. Oui, nous allons récupérer ça.

Aïcha : mais chéri, comment cela peut-être possible ? Je ne suis pas sûre que l'acquéreur aille accepter facilement hein.

J'avais juste raconté des mensonges à ma femme et elle s'était mise en joie. En une minute, elle m'avait comblé des tonnes de baisers. Nous étions directement allés dans la chambre pour bien jouer le match.

Quelques jours plus tard.

Dans quelques jours seulement, j'avais trouvé un autre acquéreur pour le terrain et nous étions très heureux. Le gars n'était pas dans le même village que nous, donc je n'avais pas peur de son côté, car il ne pouvait pas nous convoquer chez le chef du village. Il était venu chez nous et après avoir pris la somme d'argent chez lui, on avait signé les papiers nécessaires. Après son départ, monsieur Evans m'avait également donné ma part de trente pour-cent l. Vraiment avec cette somme, j'étais devenu riche.

_ Monsieur Evans, que Dieu vous bénisse !

Evans : amen ! Es-tu sûr qu'il n'aura pas des problèmes ?

_ Hahahaha, on dirait que tu as peur, mais laisse-moi te dire qu'il faut enlever la peur dans la tête. La seule chose que nous devons faire, c'est de prier afin que monsieur Stan ne nous convoque pas chez le chef.

Evans : d'accord ! D'ailleurs, s'il nous convoque là, moi je serai capable de régler ce côté.

_ Le chef est ton ami ?

Evans : haha, il n'y a aucun lien entre nous, mais je vais facilement régler ce problème.

Une semaine plus tard.

J'étais allé chez le maçon avec qui on travaillait ensemble. Vraiment, ce maçon et moi étions des vrais amis, car à chaque fois, on travaillait ensemble sur les chantiers. Une fois arrivé chez lui, nous étions directement allés sur mon terrain afin de lui confier le travail pour la construction. Nous marchions ensemble en discutant avant d'aller sur le lieu. Quelques minutes après, nous étions arrivés et je lui montrais les choses. Il m'avait beaucoup expliqué certaines choses que je ne savais même pas dans la maçonnerie. Vraiment, le gars était un vrai ami avec qui je me sentais bien si j'étais à ses côtés. Après avoir lui montré les choses, nous avions décidé de rentrer et au même moment, un monsieur aussi était venu garer sa voiture jeep. En voyant ce dernier, tout était clair qu'il soit un millionnaire... À ma grande surprise, il était allé sur le même terrain avec sa compagnie. Je m'étais approché de lui pour échanger quelques mots avec lui.

Comment deux personnes pouvaient acheter un seul terrain ?

À suivre....

            
            

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