Mon beau-père a tué mon père
img img Mon beau-père a tué mon père img Chapitre 4 La mort de Stan
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Chapitre 6 La bonne domestique img
Chapitre 7 Le rapport sexuel ou le le licenciement img
Chapitre 8 Le licenciement img
Chapitre 9 La mendiante img
Chapitre 10 La naissance img
Chapitre 11 Le premier jour de la rentrée img
Chapitre 12 L'aide du directeur img
Chapitre 13 L'obtention du BEPC img
Chapitre 14 La rencontre img
Chapitre 15 La moquerie img
Chapitre 16 La sensation img
Chapitre 17 Le plus intelligent du lycée img
Chapitre 18 Le plan de Tesline img
Chapitre 19 L'enlèvement img
Chapitre 20 Le rêve de Adia img
Chapitre 21 La libération img
Chapitre 22 Le départ img
Chapitre 23 La rencontre 2 img
Chapitre 24 La naissance de l'amour img
Chapitre 25 Le retour de Tesline img
Chapitre 26 Le début de la vengeance img
Chapitre 27 La confusion img
Chapitre 28 La fin de toute chose img
Chapitre 29 Le suicide img
Chapitre 30 La réconciliation img
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Chapitre 4 La mort de Stan

(Elle s'était mise en joie lorsque je lui avais dit cela.)

J'étais en train de prendre l'air naturel devant mon portail et quelques minutes après, je m'étais retourné dans la chambre. Une fois pris siège, mon ennemi Stan aussi était venu chez moi. Oui, Stan était devenu mon ennemi, malgré que je me doive à lui. L'argent était ma passion, donc je ne pouvais pas lui remettre sa somme facilement. À ma grande surprise, ce fils d'une putain m'avait remis une enveloppe. Immédiatement, mon cœur commençait par se battre. Dans un instant, il m'avait faussé compagnie. On dirait que le gars-là était un vrai psychopathe. Comme de la pagaille, il nous avait convoqués chez le chef du village. Oh moi, je n'étais pas inquiet, car il allait mourir avant le jour j. Après son départ, j'avais toujours tenu l'enveloppe dans ma main et ma femme était venue chez moi.

Aïcha : qu'est-ce qu'il se passe encore ?

_ La personne nous a convoqués chez le chef.

Aïcha : et qu'est-ce qu'on va faire alors ? Pourquoi lui aussi voulait prendre le triple de la somme ? Vraiment, les gens sont très méchants sur cette terre.

La pauvre Aïcha ne savait pas que c'était son mari même qui était méchant et était le motif de tout ce qui se passait. Je lui avais dit de rester à la maison et je m'étais rendu chez mon meilleur ami Prince. Souvent dans la vie, les méchants rencontraient toujours ses égaux.

Stan était venu chez moi et après son départ, je m'étais mis dans une profonde réflexion, car il m'avait gravement menacé. J'étais toujours dans ma maison en pensant et quelques heures plus tard, mon DG, monsieur Evans aussi avait fait son entrée. Je savais sûrement que Stan était également allé chez lui.

_ DG, qu'est-ce qu'il ne va pas ?

Evans : il n'y a plus l'affaire du DG ici, car c'est arrivé au niveau du cou.

_ À bon ? Qu'est-ce qu'il se passe alors ?

Evans : le premier acquéreur monsieur Stan n'est pas venu chez toi ?

_ Ah oui, il était là. Il m'avait menacé, mais je n'avais pas accordé aucune importance à ses mots à cause de toi. Il était également venu chez toi ?

Evans : tiens et lis toi-même !

Monsieur Evans m'avait remis une enveloppe. Une fois que le bandit-là était quitté chez moi, il était directement allé chez le chef du village. Il nous avait convoqués. Vraiment, moi j'étais peureux, car le chef et moi, hum on dirait que nous étions le chien et le chat. On ne s'entendait pas bien.

_ J'ai confiance en toi de ce côté.

Evans : ne t'inquiète pas, comme je te l'avais promis, je vais régler tout.

_ Est-ce que je peux savoir ce que tu vas lui faire ?

Evans : ne t'inquiète pas mon boss.

Quelques minutes après, monsieur Evans était parti et moi aussi je commençais par appeler ceux qui pouvaient m'aider pour la convocation de la personne qui était en ville. Lui aussi était un grand intellectuel, donc j'étais un peu inquiet.

Mon mari était allé chez ces voleurs qui lui avaient vendu le terrain. Une heure de temps, il n'était pas de retour. Je commençais par m'inquiéter, mais je n'avais pas d'autre choix que de me patienter. Je voulais lui appeler, mais j'avais eu peur, car je n'aimais pas à écouter les mauvaises nouvelles sur le téléphone. Quelques minutes après, il était de retour et je m'étais jetée dans ses bras.

_ Comment les choses ont été passées ?

Stan : il faut qu'on remercie Dieu, car le chef va m'aider.

_ Là c'est bien. En plus, j'ai l'espoir qu'on va récupérer ce qui est à nous.

Stan : oui, c'est ça.

Comme d'habitude, j'avais réservé un bon plat à mon mari. Il dégustait ça avec un bon appétit. Après avoir mangé, nous regardions ensemble un film romantique titré l'amour d'un pauvre étudiant. Le film parlait de quatre jeunes étudiants et c'était waouh. Après cela, nous nous discutions à propos des enfants que nous allions avoir dans les jours à venir.

Stan : selon moi, on aura un garçon.

_ Non chéri, moi je veux que notre premier enfant soit une fille.

Stan : hahaha, que chacun d'entre nous prie de sa façon !

_ Imbécile ! Moi je suis fâchée contre toi.

Stan : hahaha, tu veux ou tu ne veux pas, notre premier enfant sera un joli garçon.

_ Je ne vais plus critiquer ça avec toi. D'ailleurs, tu n'es pas Dieu, donc il faut que je ferme ma bouche.

Stan : c'est mieux pour toi. Bon, il faut qu'on aille prendre la douche ensemble.

_ Avec une condition !

Stan : laquelle ?

_ Il faut dire que notre premier enfant sera une fille.

Stan : hum ok, il n'y a pas de problème, mais toi-même tu viens de dire que je ne suis pas Dieu non ?

_ Tu ne veux pas dire ce que je te demande ? En tout cas, je ne vais plus prendre la douche avec toi.

Stan : ok, ok, maintenant je suis prêt. Je prie et prie encore que notre premier enfant sera un joli garçon. Oh je suis désolé, je voulais dire une fille.

_ Ok, je vois que tu t'amuses, donc vas prendre ta douche seul.

Stan : non chérie, je ne m'amuse pas. Ok maintenant, écoute-moi bien ! Notre premier enfant sera une fille, mais il faut savoir que je ne suis pas Dieu, donc...

Vraiment, mon mari était très drôle. Nous nous étions mis à rire avant de nous rendre dans la salle de bain. Après avoir pris le bain ensemble, nous étions allés sur le lit.

Quelques jours plus tard.

Il se croyait le directeur d'une école, donc il nous avait convoqués au commissariat de police. Vraiment ce deuxième acquéreur était très têtu plus que monsieur Stan. Malgré qu'il ait raison, mais moi je m'en foutais de ses bêtises. Je m'étais rendu chez mon DG Evans afin qu'on aille ensemble en ville pour résoudre ce problème. Heureusement, je connaissais très bien ce commissariat, donc je n'étais pas inquiet pour la convocation de ce directeur. Monsieur Evans était prêt avant mon arrivée.

_ J'espère que tu es prêt, n'est-ce pas ?

Evans : oui, on peut partir.

Aïcha : bonne chance à vous !

Evans : merci chérie, ne t'inquiète pas ! On va résoudre ce problème facilement.

_ Considère ce petit problème que c'est déjà réglé.

Aïcha : merci infiniment à toi ! Que Dieu te bénisse !

J'avais l'impression que monsieur Evans n'avait pas éclairé les choses à son mari. Quelques minutes après, nous avions pris le départ pour nous rendre en ville.

Que le tout puissant, le créateur du ciel et de la terre soit avec eux ! C'était les derniers mots que j'avais dits après le départ de mon mari. Mon intuition aussi me disait que mon mari n'était pas franc avec moi, mais je m'étais dite que c'était faux, car je connaissais bien Evans. Quelques minutes après, j'avais décidé de préparer quelque chose avant qu'ils ne soient de retour. Après la cuisine, je m'étais rendue dans la salle de bain. J'avais gravement envie de prendre ce bain avec mon chéri, mais il n'était pas là. Je n'avais pas d'autre choix que de me laver seule et sortir.

Quelques heures plus tard.

Vraiment Prince était un doyen dans le domaine de la politique. Malgré que le deuxième acquéreur était un directeur d'école, mais il n'avait rien compris. Finalement, lui-même avait décidé de lâcher le terrain pour moi. Il était très fâché avant de faire ce choix, mais c'était mieux pour lui, sinon j'allais lui faire voyager au-delà du monde. Oui précisément, chez ses arrières grands-parents. Après avoir réglé le problème au commissariat de police, Prince avait pris une somme de cent mille francs chez moi et remis ça au commissaire qui nous avait aidés. Quelques minutes après, nous étions quittés chez eux pour aller à la maison. J'étais au volant et on se discutait dans la voiture.

_ Toi qui es à Sevagan, comment as-tu fait pour rencontrer ces polices ?

Prince : à part mon travail du démarcheur, je fais aussi la politique.

_ Il y a des risques dans ce travail hein. En tout cas, j'ai constaté que toi, tu t'es habitué.

Prince : oui, il y a des risques dedans, mais on s'en fout de ça. Maintenant, c'est à toi de résoudre le dernier problème.

_ Ne t'inquiète pas, je vais régler ce problème avec Stan.

Prince : d'accord ! Sa convocation, c'est prévue pour la semaine prochaine non ?

_ Bien-sûr, c'est la semaine prochaine.

Nous continuions toujours notre route en discutant ensemble. Ce qui me faisait rire dans ça, c'était que ma femme était toujours dans le noir. Elle ne savait même pas que c'était son mari qui était le plus cruel. Vraiment, moi je dépassais le diable même. Quelques minutes après, nous étions arrivés à la maison et Aïcha nous avait réservés un plat sur la table. On dirait que ça faisait deux jours, Prince n'avait plus mangé, car il mangeait d'une façon très rapide. Le pire, il n'avait pas échangé aucun mot avec moi. Après le repas, il avait dit :

Prince : merci à la cuisinière !

_ hum, on dirait que tu as trop kiffé ce repas.

Prince : mon frère, tu as une grande bénédiction dans cette maison. Waouh, à part sa beauté, elle prépare bien aussi.

_ Arrêtes de faire beaucoup de compliments sur ma femme ! Dis-moi pourquoi toi, tu ne t'es pas encore marié !

Prince : c'est parce que je n'ai pas encore trouvé la femme de ma vie.

_ Hum, tu m'étonnes trop hein, est-ce que tu le sais ? Toi qui es entouré par les filles, tu vas dire que tu n'as pas encore trouvé la femme de te vie ?

Prince : oui c'est ça. Aucune d'entre elles ne m'intéresse.

_ Mais, tu te couches avec elles, n'est-ce pas ? Hum mon frère, il faut faire vite hein.

Prince : ne t'inquiète pas ! Merci beaucoup pour tes conseils ! Il faut appeler Stan en même temps hein.

Prince était parti et j'avais appelé Stan.

_ Monsieur Stan, je suis sincèrement désolé pour tout ce que je t'avais fait. Je compte te rembourser dans la journée de demain, donc je te demande pardon d'aller annuler la convocation chez le chef du village.

Stan : est-ce que tu es sûr que tu vas me rembourser ?

_ Oui, je suis sûr, je ne m'amuse pas.

Stan : d'accord, si c'est le cas, je vais aller chez le chef ce soir. On va se rencontrer où ?

_ Dans le bar qui est à côté de nous ici.

J'allais mettre le poison dans la boisson de Stan, mais il ne se rendait pas compte. Oh le pauvre Stan allait mourir. J'étais content au salon en dansant et mon amour était venu chez moi. Je lui avais dit qu'on avait trouvé la solution à ce problème du terrain et elle aussi était très contente. On se mettait à danser jusqu'à ce que nous fussions arrivés sur le lit pour terminer la danse. Après la danse, j'avais cherché le poison pour le mettre quelque part très simple afin de ne l'avoir pas oublié le jour suivant.

Le lendemain.

J'étais allé chez le chef du village pour lui expliquer les choses. Il n'était pas d'accord avec moi, mais je lui avais demandé pardon plusieurs fois et finalement, il avait accepté d'annuler la convocation. Il m'avait dit d'être très prudent dans cette affaire. Le jour suivant, je m'étais réveillé dans la joie, car j'allais récupérer ma somme d'argent afin de faire un autre achat du terrain quelque part. Quelques heures plus tard, Evans m'avait également appelé qu'ils étaient prêts.

Adia : bonne chance à toi !

_ Merci, ne t'inquiète pas, tout va se passer dans la norme !

Adia : que le tout puissant soit avec toi !

J'étais quitté à la maison pour aller rencontrer Evans et Prince dans un bar dans le but de récupérer mon argent. Quelques minutes après, j'étais arrivé chez eux. Ils étaient en train de boire la boisson avant mon arrivée et ils m'avaient également réservé une boisson. Après la salutation, moi aussi je m'étais mis à boire la boisson non alcoolisée comme eux. Premièrement, moi je n'avais pas envie de boire, mais ils m'avaient insisté, donc je ne pouvais pas refuser. En plus, j'étais content ce jour, car j'allais récupérer mon argent.

Evans : monsieur Stan, est-ce que vous avez un compte bancaire ?

_ Bien-sûr !

Evans : d'accord, donnez-moi les informations sur ton compte afin que je te transfère directement ton argent, car l'argent est également sur mon compte bancaire.

_ D'accord, il n'y a pas de souci !

J'avais pris mon téléphone pour lui fournir les informations nécessaires sur mon compte bancaire et j'étais vraiment hyper joyeux. Nous étions toujours ensemble en nous discutant jusqu'à une heure de temps après. Du coup, j'avais tellement mal au ventre et je leur avais faussé compagnie pour me rendre à la maison.

Mon mari était parti, mais moi j'avais toujours un mauvais pressentiment à cause de la manière dont ces deux personnes lui avaient joué le jeu. J'étais toujours à la maison et quelques heures après, il était de retour en crachant du sang. Je m'étais mise à pleurer avant d'aller lui rencontrer.

_ S'il te plaît chéri, qu'est-ce qu'ils t'ont fait ? S'il te plaît, parle-moi vite ! Est-ce que ce sont eux qui t'ont fait cela ?

Il n'arrivait plus à me parler et j'étais très inquiète, car il était la seule personne pour moi sur cette terre et je ne voulais pas lui perdre. Non, je ne m'attendais pas à cela. Avec beaucoup de difficultés, mon mari avait dit :

Stan : mon... ven.. ventre....

_ Quoi ?

Mon mari avait fermé sa bouche sur ces mots. Oh mon Dieu, Stan était mort.

À suivre....

            
            

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