Combats pour la gloire
img img Combats pour la gloire img Chapitre 5 4- La goutte d'eau
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Chapitre 6 5- La décision img
Chapitre 7 6- Le gala img
Chapitre 8 7 img
Chapitre 9 8 - Rencard spécial img
Chapitre 10 9- L'homme img
Chapitre 11 L'assise img
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Chapitre 5 4- La goutte d'eau

Il ne manquait plus que ça, la veille de cette journée avait été presque parfaite pour que cette personne vienne la gâcher rien qu'en apparaissant là. Je l'ai d'abord défié du regard avec une grande envie de refermer la porte, de lui claquer la porte au nez mais... je n'étais pas chez moi, je ne pouvais pas oser et pourtant ce ne sont pas les idées qui manquaient. - Rodrigue! C'est Rodrigue ? Demande mon père. - Oui Taveun je suis là, lui dit- il en me regardant et en laissant paraître un sourire moqueur.

Je le laisse passer, il me traverse et va vers le séjour où les autres étaient installés. J'ai commencé à réfléchir, comment faire pour partir de là avec douceur. Comme si ma mère avait lu dans mes pensées - Petit papa tu es où ? Silence - Petit papa ? - J'arrive ma'a . Je m'exécute lentement, arrivé au salon je les trouve très joyeux, comme d'habitude lorsqu'il est Là! Il sort de l'argent et le tend à ma sœur pour qu'elle aille acheter la boisson à tout le monde! - Taveun faut pas te gêner, j'ai encore le vin blanc que tu m'as ramené du village! Du bon vin! Dit mon père! - Ah oui ? Mais bon je me disais qu'une bonne bière glacée serait l'idéal pour accompagner le bon met que Mama Marcé est entrain de servir! - Si tu le dis! Dit mon père le sourire aux lèvres! Je m'assois tout en réfléchissant sur ce qui peut me faire quitter ce lieu au plus vite, je les entendais parler d'une oreille distraite j'avais hâte qu'il fasse vite et fiche le camp! Mon père après avoir avalé une bonne gorgée de bière, tousse légèrement puis prend la parole. - OK! Vu que vous êtes tous là je peux à présent parler! (Petite pause) - Il faut que vous sachiez que je ne gagne rien, je dis bien absolument rien à vous voir perdre de l'argent et du temps. Je tiens par cette occasion à te féliciter et à te dire merci (s'adressant à Rodrigue), Laura m'a dit ce que tu as fait... Là! C'était clair que la suite n'allait pas me plaire mais bon j'étais là, assis avec la tête ailleurs. - Kemayou! Kemayou!!! Crie mon père. - Oui Pa'a dis- je en sursautant légèrement. - Cet enfant est toujours ailleurs! C'est pas possible! (il arrête son front, baisse doucement sa tête et la secoue en soupirant). Silence - Je demandais si tu as déjà remercié Rodrigue ? J'ai bien faillit crier « pourquoi ? » mais je me suis retenu, ma colère montait tout de même et tous attendaient patiemment que je réagisse. Non mais et puis quoi je dois lui dire merci ? Pourquoi au juste ? Je suis resté silencieux mais il me regardait tous avec impatience. Eh bien, ils veulent des remerciements... OK! Je me lève tout heureux, heureux du coup que je vais faire, ils penseront toute leur vie à ces remerciements à l'heure ci je m'en fou trop c'est trop... - Je profite que vous soyez tous assis, que nous soyons tous en fa- mil- le! Pour... Rodrigue se lève aussitôt. - Écoute mon petit dit- il en se rapprochant de moi. Il me tient la main que j'essaye de dégager mais il la tient fermement. - Nous n'avons pas besoin de ça entre nous! J'ai grandi dans cette maison, je ne te trouve pas la nécessité de me remercier alors que tout ce que je suis, je le dois à cette maison. - Oui oui jusqu'à Émilie! Dis- je uniquement pour lui. Il s'arrête un instant, me regarde me faisant signe de sortir avec lui. Une fois dehors... - Tu t'es lancé de plus en plus dans le ridicule à ce que je vois! - Et alors? Tu attends des remerciements eh ben laisse- moi te remercier... - Tu te calme Ok ? Nous n'avons pas besoin de ça!!! - Ce que tu... - Tu veux entrer la dedans et parler d'une histoire de fille ? C'est ta femme ? - Et c'est la tienne ? Tu es marié! - Et ? Tsuips! Je vois que tu préfères la bagarre! Vas- y! Vas- y! Je te laisse! Entre donc et fais ce que tu veux! Il me laisse là tout seul et entre. Ça aurait été facile d'entrer et le descendre bien, ce que j'étais déterminé à faire mais... - Petit papa dit ma mère venu me rejoindre dehors - Oui ma'a - Il y a un problème ? Silence - Je suis peut être vieille et je n'ai pas fait l'école mais... - Ma'a ce n'est rien d'important - OK! - Mais je n'ai pas envie de retourner là- dedans - C'est ton père qui souhaite nous parler à tous! Il y a quoi ? - Ça va ma'a j'arrive! Je suis resté dehors jusqu'à ce que mon père crie mon nom. Je ne savais même pas si j'avais réussi à me calmer pour la suite. Je me suis assis et j'ai suivi le même discours de tous les jours « prenez exemple sur Rodrigue », « faites des choses utiles dans votre vie », « demandez conseil à Rodrigue », « trouvez comment vous battre parce que je n'ai plus d'argent » A un moment j'essayais de suivre tout ce qui ne parlait pas de Ro- dri- gue. Il était clair que notre père s'inquiétait de notre devenir et demandait presque de l'aide à ce salaud. Je ne voulais pas de son aide, on n'avait qu'à dire que je me comportais en gamin je m'en fous. Il me fallait trouver un moyen de me battre pour mes études, avec papa Tagni les paiements dépendaient des clients donc ce n'était pas une source stable de revenu, il me fallait autre chose, mais quoi ? Le reste de la soirée je suis resté calme à les regarder, dès que ce fut terminé j'ai directement appelé Jules pour savoir où est ce qu'il était je n'avais pas envie de suivre les commentaires après réunion et encore moins assisté à des concertations entre hommes. **Rodrigue** - Cet idiot va finir par faire beaucoup de dégâts me disais- je tout seul dans ma voiture. J'entends mon téléphone sonner, je regarde et vois Léonie, mon épouse. Je laisse sonner, sachant que je suis déjà sur le chemin de retour! Mais elle insiste je laisse encore sonner puis je finis par prendre. - Allô...je réponds en fixant bien la route - Ro... C'est comment ? - Ça va je suis déjà en route! C'est quoi il y'a un problème ? - Non c'est juste que ta fille t'attend, elle dit qu'elle veut te voir avant d'aller au lit! - Je suis en route - D'accord à tout à l'heure! Dit- elle puis raccroche Aussitôt que j'enlève mes écouteurs, mon téléphone sonne à nouveau! J'y jette un coup d'œil, c'est Émilie! Je laisse d'abord sonner, puis je raccroche et la rappelle aussitôt. - Bonsoir princesse! - Ça fait plus d'une heure que je t'attends! - Je sais, sorry! J'étais occupé - Les filles et moi sommes déjà au mermo ( snack bar à Douala) tu penses arriver dans combien de temps ? Je regarde la montre il est presque 23h. Il est vrai que ma fille m'attendait mais bon je me suis dit je fais juste un aller- retour! - Allô bé... - Oui oui je suis là. Donne- moi 30- 45 minutes - D'accord Vivant à Kotto je n'ai pas eu besoin de changer de direction pour me rendre à ce snack! Une fois sur place, elle vient m'accueillir à l'entrée et m'emmène à leur table. Elles avaient déjà passé la commande et étaient plutôt à l'aise. Émilie me présente immédiatement à ses amies. - Les filles je vous présente mon chéri! Je les salue à tour de rôle, m'assois quelque instant, elle était tellement heureuse de me voir et n'arrêtait de me séduire comme toutes les fois qu'on se voyait! Je la regarde bouger ça me fait sourire, dès que nos regards se croisent elle me fait un bisou dans le cou et me parle. - Bé j'ai envie de toi... Je la regarde, elle sourit et me répète la même phrase. - j'aimerais bien passer toute la nuit avec toi mais bon il faut que je rentre. - Pourquoi tu rentres aussitôt! - Minuit passé n'est pas si tôt que ça! Silence - N'oublie pas que... - Je sais... pas besoin de me rappeler! - OK! T'as besoin de quelque chose ? - Oui juste de l'argent de transport! - Ok Je lui tends un billet de 10 mille Fcfa. Elle le prend et me fait un bisou sur la joue. - Merci mon cœur!!! Nous nous sommes séparés après un bon et langoureux baiser puis j'ai pris la route de ma maison pour la trouver toute calme car tous dormaient même ma petite dernière que j'ai regardé un long moment dans son berceau. C'est ma première fille sur mes trois enfants. Ma femme était également couchée! Je suis entré dans le calme essayant de faire moins de bruit! J'ai pris ma douche et lorsque je retourne dans la chambre je la trouve assise, manipulant son téléphone. - Tu ne dors pas ? - Non pas encore. Dit- elle sèchement en se levant! Je la regarde sortir de la chambre ayant l'air sereine bien que je sens qu'elle n'est pas du tout contente! Elle revient aussitôt dans la chambre. - J'ai servi à manger si ça t'intéresse bien- sûr! Dit- elle en se couchant! Je suis resté silencieux un bon moment avant de lui répondre. - Leo... je... je suis désolé j'ai eu un contre temps en chemin. Silence - Je sais que vous m'attendiez mais je n'ai pas pu faire autrement. - Rodrigue laisse- moi dormir je t'en prie. Je ne dis plus rien et la rejoint aussitôt dans le lit, avec une aussi longue journée j'en avais besoin. **Samuel** Nous nous sommes encore retrouvés avec Elodie et sa cousine, Jules et moi. Jules était déjà très avancé pendant que moi je me demandais comment aborder la soirée. J'avais passé la nuit avec cette fille et ne lui avais même pas fait signe de la journée. Maintenant j'étais là à côté d'elle sans toutefois savoir quoi faire, je passais probablement pour un salaud mais rien de tout ça n'était le moi habituel. Je n'agissais pas ainsi d'habitude. Elle se rapproche un peu plus et je commence à me demander s'il n'était pas préférable de rester à la maison. - Bonsoir Samuel! Silence - C'est... Elodie! - Je sais! - Si tu le dis! - Quelle genre d'homme je serais si j'avais oublié ton nom! - Le genre qui après avoir passé la nuit avec une fille est parti comme un voleur et ne s'est même pas donné la peine de faire signe - Je ne suis pas de ce genre! Dis- je indigné - Ah bon et qu'est ce qui s'est passé ?! Dit- elle dans le même ton - Écoute, pas la peine de t'expliquer tu ne comprendrais pas . Je me lève, fais signe à Jules pour lui dire que je rentre. Compte tenu de l'heure, il me donne ses clés pour que je dorme chez lui. Je n'ai même pas voulu parler d'avantage à Elodie, elle avait peut- être le droit d'avoir une explication sur mon comportement mais... Je me suis installé chez Jules, je regardais la TV depuis une bonne heure lorsque j'ai suivi cogné à la porte. Je me suis demandé intérieurement qui sa pouvait bien être vu que Jules m'avait prévenu qu'il ne rentrerait pas. - Qui est ce ? - Elodie! Pour une surprise ? Je ne m'attendais pas après mon comportement de tout à l'heure à la revoir. - Samuel! Dit- elle devant le silence qu'on observait. Samuel! - Oui! - Tu me laisses entrer? J'avais pas d'objection au vu de l'heure. J'ouvre et lui cède passage, elle entre doucement, s'assoit et... - Je n'ai pas l'habitude de me faire traiter comme tu l'as fait et encore moins de courir après celui qui commet cet acte... Elle était vraiment lancée avec énormément de choses à dire, je l'ai laissé parler mais après je n'en pouvais plus. - Elodie écoute! (dans un ton doux mais dure) je ne pourrais pas commencer à te raconter ce que moi j'ai sur le cœur pour la simple raison que c'est de ma vie qu'il s'agit et de celle de personne d'autre ! Tu es arrivée ici très tard et compte tenu de l'heure j'ai ouvert par politesse donc s'il te plaît, couche- toi, où tu veux et dormons, le reste n'est pas important. Silence (elle écarquille les yeux et me regarde d'un air étonné) Elle ne dit plus rien, je me suis trouvé une mousse que j'ai placé au sol pendant qu'elle était sur le lit. Je n'arrivais tout de même pas à dormir réfléchissant à presque tout concernant mon avenir. Puis, je sens une présence à mes côtés qui me ramène sur terre. - Elodie qu'est- ce que tu fais ? Silence - Élodie regagne ton lit je t'en prie... - Shut...shut... Shuuuut...dit- elle en se collant de plus belle Je sens sa main se glisser dans mon short et se dirige vers mon sexe. Je sursaute légèrement lorsque je ressens une douce caresse sur mes deux boules. Au même moment elle dépose ses lèvres sur les miennes et s'empare complètement de ma bouche. Je la reçois comme un choc et me jette au feu de l'action. Je l'embrasse sauvagement, elle répond à mon baiser tout se passe rapidement et elle se retrouve sur moi. Mon sexe déjà bien tendu, elle ne s'arrête pas continue ses caresses. Elle explore mon corps partant de mon torse jusqu'à mon pubis. Cette fois c'est plus qu'un choc électrique je frémi légèrement. Elle ne se fait pas prier baisse mon short, je ferme les yeux sachant ce qui va suivre... dès que je ressens mon sexe dans sa bouche je hoquète de plaisir, c'est si doux, c'est bon... je ferme les yeux pour éviter de croiser son regard mais je ne peux m'empêcher de sortir les sons presque rauques, tellement je sens bon. Un moment elle accélère c'est bon. Je me sens obligé de tenir sa tête et d'ouvrir les yeux le plaisir est intense je sens que je vais venir... que je veux jouir... Oui ça vient... C'est là je n'en peux plus c'est bon, c'est intense je veux crier je me retiens puis un moment je me lâche et... - Émilie! J'ai crié tellement fort qu'au moment où je me réveillais Elodie a sursauté sur le lit de Jules - Il y a quoi ? Pourquoi tu cries autant ? Et qui est Émilie ? - Ce n'est pas important! Nous nous en sommes tenus à ça et chacun à garder sa position. Je me suis réveillé plus tôt qu'elle un peu plus calme à regretter mon comportement vis- à- vis d'elle et surtout à rire de la situation waouh quel rêve! Je ris même encore ahah Jules, serait complètement malade s'il savait! Elle s'est réveillée, a pris sa douche en silence et au moment de partir - Écoute Émilie je, je m'excuse de mon comportement dis- je (en me rapprochant d'elle) - T'inquiète! J'ai compris... ou plutôt j'ai compris le problème. Je la regarde surpris - Je ne suis pas Émilie! Je suis de plus en plus surpris - Tu ne t'es même pas rendu compte qu'en plus d'avoir crié son nom la nuit, tu viens de m'appeler Émilie. Mince! Je ne m'en étais effectivement pas rendu compte du tout ! Elle est partie sur sa dernière phrase, le choc de ce que je venais de faire m'a tellement secoué que je n'ai même pas bougé. Je me suis assis et j'ai commencé à me dire « Kemayou tu es un salaud! » - Si tu n'as rien fait c'est le cas! Dit Jules qui venait d'entrer. Que s'est- il passé ? - Rien de ce que tu aimes (il me regarde l'air narquois) mais en plus j'ai gaffé - Kemayou! - Laisse! Pardon laisse! Nous avons continué sur d'autres divers puis je suis rentré chez moi, j'avais besoin de souffler. J'ai vécu le lendemain comme coupé du monde, je ne voulais rien faire ou plutôt limiter mes bêtises. Je m'en voulais de mon comportement face à Elodie, je m'en voulais de penser encore à Émile face à ce qu'elle m'avait fait et j'en voulais à mon père de tendre la main à ce salaud. Malgré tout, m'enfermer n'était pas la solution, pendant que nous avions un peu de temps libre avant l'autre semestre il me fallait m'occuper. La plus en vue des occupations était avec papa Tagni, donc de bonheur je suis allé le voir et nous avons pris la route du chantier. J'ai travaillé pendant presqu'une semaine le salaire était régulier. En comptant ce que j'avais comme économie je me disais qu'en cherchant bien Je trouverai sûrement une activité qui pourrait m'aider à mieux gérer mes études j'avais déjà presque 80.000 Fcfa ce n'était peut- être pas beaucoup mais c'était déjà ça. Je suis rentré énormément épuisé, j'ai pris ma douche, je me suis installé sur mon lit et net quand je veux fermer l'œil j'entends - Aie!!! Ouille! Mes pieds oooh! Je n'ai pas su d'où venait ce cri, si ce n'est de l'extérieur mais probablement l'une de mes sœurs nos parents étaient partis la veille pour un deuil au village. Je sors torse nu, juste mon short au fesse et me dirige vers les cris. J'arrive à la cuisine et trouve Laure toute en larmes et la dernière en train de s'agiter à ses côtés. - C'est quoi ? - Ça chauffe! Ça chauffe oooh! Ouille ouille mon pied! Je regarde ses pieds et me rends compte que l'une de ses chevilles est recouverte de couscous de maïs encore fumant. J'accours vers elle et essaye de lui enlever ça rapidement! - Ouille Sam tu m'as tué oooh! Mon pied oooh! - Ça va aller attend je verse de l'eau froide - Non oooh ça fait trop mal. Ça fait trop mal je suis déjà brûlée ooh. Dit- elle en pleurant. Je ressors aussitôt, mets un tee- shirt et je ne sais combien je mets dans mon porte- monnaie, je retourne la porter et direction le centre de santé du quartier. Ils lui ont fait les premiers soins, j'ai dépensé cette nuit plus de 20.000 Fcfa je ne contrôlais presque rien et voulais simplement que ma sœur aille mieux. Ils lui ont également prescrit des médicaments, lui demandant de venir faire le pansement après deux jours. De retour à la maison et les filles endormies, je pouvais souffler et fermer enfin l'œil, vers 8h mon téléphone sonne, c'est Jules. - Oui gars! Dis- je - Mon frère c'est affiché - Mais regarde tu me dis! Je suis trop casse (fatigué) pour aller là- bas - Kemayou! Je suis à Yaoundé! - Ah oui c'est vrai! Bon j'y vais et te fais signe plus tard - Ok! Je me suis levé péniblement, j'ai pris ma douche. En essayant de faire mes comptes je constate que j'ai 20 000 Fcfa en moins. Je commence par me poser des questions puis je me dis qu'avec toute la précipitation d'hier j'aurai pu laisser ça n'importe où dans ma chambre donc je reviendrai fouiller à tête reposée. Je prends la route d'Ange Raphaël et sur place je commence par Jules - Atangana... Il n'a qu'une matière à faire aux rattrapages c'est gérable, maintenant - Kemayou... Au fur et à mesure que je parcours mes notes l'assurance que j'avais me quitte, j'ai l'impression de lire un autre Kemayou pourtant je suis le seul dans la filière. Je relis l'intitulé de la filière c'est bien la mienne, je relis mon nom, c'est bien le mien au complet puis je relis mes notes, ce n'est pas possible... encore un échec ?

                         

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