Je m'apprêtais à lui répondre, lorsqu'il m'a asséné une gifle retentissante.
Selim : je te jure que si tu me trompes je vais te tuer me menaçait il en m'étranglant.
Moi : lâche moi essayais je de me dégager.
Selim : dis moi avec qui tu étais ? Dis le moi hurla t il en resserrant ses mains autour de mon cou.
Je suis en train de manquer d'air. Je commence à suffoquer.
J'essaye par tous les moyens possibles de me libérer, en vain !
Selim : parle putain de merde, parle moi.
Moi : j'étouffe, j'étouffe sorties je difficilement.
Ce n'est qu'après cela qu'il m'a relâché, me faisant tousser par la même occasion.
Selim : je te jure que si je découvre que tu me trompes, je te tuerai de mes propres mains me menaça t il avant de se saisir de ses clés et sortir de la maison.
Je suis restée sur place durant un moment que je ne saurai dénombrer à me masser le cou et réguler les battements de mon corps.
C'est avec des mains tremblantes, que j'ai sorti mon téléphone de mon sac. J'avais oublié de le charger en sortant, raison pour laquelle il est éteint.
Comment as t il osé me porter main ?
Je me suis dirigée difficilement dans ma chambre pour me saisir de mon chargeur. Lorsque je l'ai branché, j'ai attendu quelques secondes avant de l'allumer.
La première personne que j'ai voulue appelé était maman, mais je me suis rétracté. Ce n'est pas la première fois que Selim me brutalise et à chaque fois que je lui dis cela, elle me demande de supporter et de ne pas faire des choses qui attireraient sa colère sur moi.
Parfois je me demande si c'est réellement elle qui m'a donné la vie, que Dieu me pardonne !
J'ai déjà menacé plusieurs fois Selim de m'en aller, mais maman a toujours usé de chantage émotionnel pour me faire rester.
Je ne suis pas en train de justifier ma faiblesse loin de là.
Kira : Allô ? Entendis je à l'autre bout du fil.
Moi : viens me chercher Kira !
Kira : que se passe t il ? c'est Selim ?
Moi : il a osé me giflé après m'avoir demandé si je le trompais.
Kira : Quoi ? surtout ne bouge pas, j'arrive !
J'en ai marre. Marre d'être dans ce déni, marre de vivre avec cet homme et marre d'avoir à subir ses soubresauts.
Kira
Je ne sais pas pourquoi elle ne m'écoute pas ! pourquoi elle ne quitte pas cet enculé qui lui sert de mari. Pourquoi n'ouvre t elle pas une bonne fois pour toute les yeux ? J'ai tellement la rage si vous savez
Moi : ça va ? Questionnais je compatissante.
Dalila : oui, ça va !
Quand un homme ose lever la main sur vous, n'attendez pas que le pire se produise avant de vous en aller.
Combien de personne ont trouvés la mort dans ce genre de mariage ?
Moi : s'il ose ramener ce qui lui sert de derrière ici, je te jure que je demanderai à ce qu'on lui casse la gueule.
Dalila : j'ai envie de me reposer.
J'ai aménagé la chambre d'amie pour elle.
Moi : tu ne veux pas manger avant ?
Dalila : je n'ai pas faim !
Moi : je serai dans le salon au cas où ok ?
Dalila : ok !
Cela me fait mal de la voir dans cet état. Dalila est une femme super bien et elle ne mérite absolument pas ce qui lui arrive. Quand ouvrira t elle enfin les yeux ?
Son mari et le mien sont pareils. Des enculés qui méritent de finir derrière les barreaux.
Ce sont des hommes imbus de leurs personnes qui ne trouvent satisfaction qu'en dominant leurs prochain et en faisant du mal à leurs prochains.
Pour avoir été victime de violence conjugale, je sais ce qu'elle ressent ! Donc quand je la regarde souffrir à cause d'un homme aussi lamentable, je me sens plus bas que terre.
Cela me rappelle une citation que j'avais vue sur une page : La violence conjugale, c'est cet enfer interminable qui peut détruire une femme à petit feu.
J'essaie de lui faire entendre raison et à chaque fois que je pense y parvenir, sa mère sort de nulle part pour la contraindre à rester.
Je prie sincèrement du fond du cœur qu'elle trouve le courage nécessaire pour se sortir de là.
*****
Je me présente Kira, 29 ans, mère d'une petite fille et orpheline de père et de mère. Je vous parlerai de ma vie au fur et à mesure qu'on avancera.
J'étais en train de regarder la télé, lorsque la sonnerie a retentie.
N'attendant pas de la visite, j'ai demandé à travers la porte qui s'était.
Mère Oumou : je sais que Dalila est ici, ouvre cette porte et tout de suite me menaça t elle de l'autre côté de la porte.
Elle s'est remise à sonner de manière effrénée et même si je ne le voulais pas, j'ai été obligé d'ouvrir pour éviter qu'elle ne dérange le voisinage si ce n'est déjà le cas.
Mère Oumou : bouge toi de là me poussa t elle avant d'entrer dans mon salon.
Moi : maman, laisse Dalila tranquille ; Elle a besoin de repos !
Mère O : et tu es qui toi pour me parler sur ce ton ? Appelle la sinon je te jure que je ne me gênerai pas de fouiller dans toutes les pièces de cette maison.
Moi : pourquoi ne la laisse tu pas tranquille ? Qu'attends tu au juste ? Que cet homme la tue pour après pleurer sur son cadavre ?
Mère O : mais tu te prends pour qui ? Hein ? tu veux que ma fille finisse vieille fille comme toi ? Jamais de la vie ! Espèce de sorcière, profiteuse, femme aux mœurs légère.
Alerté par les hurlements de sa mère, Dalila vient de nous rejoindre au salon.
Moi : stp dis je à son encontre ! rentre te reposer.
Mère O : ferme la riposta t elle.
Dalila : maman, arrête de crier, tu risques d'alerter tout le voisinage.
Mère O : qu'ils m'entendent hurler, je m'en fiche royalement. Pourquoi ne m'écoutes tu pas quand je te demande d'arrêter de fréquenter cette femme ? Regarde là, sa vie ne rime à rien ! Aucune personne ne veut d'elle et toi c'est chez elle que tu viens te réfugier ? Prends tes bagages et on rentre tout de suite !
Si seulement elle savait ! arrêtez de juger les gens que vous ne connaissez pas je vous en prie. Les mots font très mal, très très mal !
Dalila : je ne bougerai pas d'ici. Si quelqu'un doit s'en aller, c'est bien toi ;
Mère O : Dalila ? Est-ce à moi que tu t'adresses ainsi ? s'offusqua t elle.
Dalila : je ne viendrai pas avec toi maman donc rentre t'occuper de Papa. Si c'est Selim qui t'envoie, dis lui que je l'attends ici de pied ferme.
Voyant que sa fille n'allait pas abdiquer, elle nous a traitées de tous les noms d'oiseaux avant de s'en aller.
C'est après avoir refermé la porte derrière moi que j'ai poussé un soupir de soulagement.
Moi : ça va ? questionnais je en lui pressant l'épaule.
Je suis fière d'elle ! il faut qu'elle arrête de se faire malmener par sa mère.
Dalila : je suis vraiment désolée s'excusa t elle.
Moi : ce n'est rien !
Dalila : je vais retourner me couché ok ?
Moi : ok !
Avoir une mère comme elle, ce serait peut être méchant ce que je vais avancer, mais je préfère même encore dix milles fois mon statue d'orpheline.
Je ne comprends pas pourquoi certains parents contraignent leurs enfants à rester dans un ménage, même en sachant qu'ils souffrent !
Je ne comprends pas et je ne comprendrais sans doute jamais cela.
Il y a mon téléphone qui est en train d'émettre un appel entrant du détective.
Moi : Allô ?
Alioune : ma belle, comment vas-tu ?
Moi : disons que j'ai connu des jours meilleurs mais ça va et toi ?
Alioune : qui a embêté ma petite chérie ? Dis le moi et je lui botterai le derrière ironisa t il.
Moi : si c'était possible, j'allais te donner son prénom avec joie.
Alioune : c'est rien de grave j'espère.
Moi : non ne t'inquiète pas.
Alioune : Ok ! au fait, j'aimerais qu'on se voie !
Mon cœur a fait un boum dans mon cœur à l'entente de sa phrase.
Moi : Tu es où ?
Alioune : à quelques minutes de chez toi. Je passe ?
Moi : oui je t'attends. Fais moi signe quand tu arriveras. Je descendrai te rejoindre dans ta voiture.
Aurait il du nouveau sur mon affaire ? J'ai le cœur qui bat à la chamade..........
Au coeur du scandale
Tome 1
Chapitre 3
« Il existe une vérité universelle, applicable à tous les pays, cultures et communautés : la violence à l'égard des femmes n'est jamais acceptable, jamais excusable, jamais tolérable »
Dalila
C'est avec le cœur lourd, que j'ai regagné ma maison. Je venais à peine de franchir le seuil de la porte, lorsque mon cœur a manqué un battement.
Selim : puis je savoir où tu étais ? M'agressa t il directement.
Moi : tu es ici depuis quand ?
Selim : je te demande où tu étais me questionna t il à nouveau.
Je m'apprêtais à lui répondre, lorsqu'il m'a asséné une gifle retentissante.
Selim : je te jure que si tu me trompes je vais te tuer me menaçait il en m'étranglant.
Moi : lâche moi essayais je de me dégager.
Selim : dis moi avec qui tu étais ? Dis le moi hurla t il en resserrant ses mains autour de mon cou.
Je suis en train de manquer d'air. Je commence à suffoquer.
J'essaye par tous les moyens possibles de me libérer, en vain !
Selim : parle putain de merde, parle moi.
Moi : j'étouffe, j'étouffe sorties je difficilement.
Ce n'est qu'après cela qu'il m'a relâché, me faisant tousser par la même occasion.
Selim : je te jure que si je découvre que tu me trompes, je te tuerai de mes propres mains me menaça t il avant de se saisir de ses clés et sortir de la maison.
Je suis restée sur place durant un moment que je ne saurai dénombrer à me masser le cou et réguler les battements de mon corps.
C'est avec des mains tremblantes, que j'ai sorti mon téléphone de mon sac. J'avais oublié de le charger en sortant, raison pour laquelle il est éteint.
Comment as t il osé me porter main ?
Je me suis dirigée difficilement dans ma chambre pour me saisir de mon chargeur. Lorsque je l'ai branché, j'ai attendu quelques secondes avant de l'allumer.
La première personne que j'ai voulue appelé était maman, mais je me suis rétracté. Ce n'est pas la première fois que Selim me brutalise et à chaque fois que je lui dis cela, elle me demande de supporter et de ne pas faire des choses qui attireraient sa colère sur moi.
Parfois je me demande si c'est réellement elle qui m'a donné la vie, que Dieu me pardonne !
J'ai déjà menacé plusieurs fois Selim de m'en aller, mais maman a toujours usé de chantage émotionnel pour me faire rester.
Je ne suis pas en train de justifier ma faiblesse loin de là.
Kira : Allô ? Entendis je à l'autre bout du fil.
Moi : viens me chercher Kira !
Kira : que se passe t il ? c'est Selim ?
Moi : il a osé me giflé après m'avoir demandé si je le trompais.
Kira : Quoi ? surtout ne bouge pas, j'arrive !
J'en ai marre. Marre d'être dans ce déni, marre de vivre avec cet homme et marre d'avoir à subir ses soubresauts.
Kira
Je ne sais pas pourquoi elle ne m'écoute pas ! pourquoi elle ne quitte pas cet enculé qui lui sert de mari. Pourquoi n'ouvre t elle pas une bonne fois pour toute les yeux ? J'ai tellement la rage si vous savez
Moi : ça va ? Questionnais je compatissante.
Dalila : oui, ça va !
Quand un homme ose lever la main sur vous, n'attendez pas que le pire se produise avant de vous en aller.
Combien de personne ont trouvés la mort dans ce genre de mariage ?
Moi : s'il ose ramener ce qui lui sert de derrière ici, je te jure que je demanderai à ce qu'on lui casse la gueule.
Dalila : j'ai envie de me reposer.
J'ai aménagé la chambre d'amie pour elle.
Moi : tu ne veux pas manger avant ?
Dalila : je n'ai pas faim !
Moi : je serai dans le salon au cas où ok ?
Dalila : ok !
Cela me fait mal de la voir dans cet état. Dalila est une femme super bien et elle ne mérite absolument pas ce qui lui arrive. Quand ouvrira t elle enfin les yeux ?
Son mari et le mien sont pareils. Des enculés qui méritent de finir derrière les barreaux.
Ce sont des hommes imbus de leurs personnes qui ne trouvent satisfaction qu'en dominant leurs prochain et en faisant du mal à leurs prochains.
Pour avoir été victime de violence conjugale, je sais ce qu'elle ressent ! Donc quand je la regarde souffrir à cause d'un homme aussi lamentable, je me sens plus bas que terre.
Cela me rappelle une citation que j'avais vue sur une page : La violence conjugale, c'est cet enfer interminable qui peut détruire une femme à petit feu.
J'essaie de lui faire entendre raison et à chaque fois que je pense y parvenir, sa mère sort de nulle part pour la contraindre à rester.
Je prie sincèrement du fond du cœur qu'elle trouve le courage nécessaire pour se sortir de là.
*****
Je me présente Kira, 29 ans, mère d'une petite fille et orpheline de père et de mère. Je vous parlerai de ma vie au fur et à mesure qu'on avancera.
J'étais en train de regarder la télé, lorsque la sonnerie a retentie.
N'attendant pas de la visite, j'ai demandé à travers la porte qui s'était.
Mère Oumou : je sais que Dalila est ici, ouvre cette porte et tout de suite me menaça t elle de l'autre côté de la porte.
Elle s'est remise à sonner de manière effrénée et même si je ne le voulais pas, j'ai été obligé d'ouvrir pour éviter qu'elle ne dérange le voisinage si ce n'est déjà le cas.
Mère Oumou : bouge toi de là me poussa t elle avant d'entrer dans mon salon.
Moi : maman, laisse Dalila tranquille ; Elle a besoin de repos !
Mère O : et tu es qui toi pour me parler sur ce ton ? Appelle la sinon je te jure que je ne me gênerai pas de fouiller dans toutes les pièces de cette maison.
Moi : pourquoi ne la laisse tu pas tranquille ? Qu'attends tu au juste ? Que cet homme la tue pour après pleurer sur son cadavre ?
Mère O : mais tu te prends pour qui ? Hein ? tu veux que ma fille finisse vieille fille comme toi ? Jamais de la vie ! Espèce de sorcière, profiteuse, femme aux mœurs légère.
Alerté par les hurlements de sa mère, Dalila vient de nous rejoindre au salon.
Moi : stp dis je à son encontre ! rentre te reposer.
Mère O : ferme la riposta t elle.
Dalila : maman, arrête de crier, tu risques d'alerter tout le voisinage.
Mère O : qu'ils m'entendent hurler, je m'en fiche royalement. Pourquoi ne m'écoutes tu pas quand je te demande d'arrêter de fréquenter cette femme ? Regarde là, sa vie ne rime à rien ! Aucune personne ne veut d'elle et toi c'est chez elle que tu viens te réfugier ? Prends tes bagages et on rentre tout de suite !
Si seulement elle savait ! arrêtez de juger les gens que vous ne connaissez pas je vous en prie. Les mots font très mal, très très mal !
Dalila : je ne bougerai pas d'ici. Si quelqu'un doit s'en aller, c'est bien toi ;
Mère O : Dalila ? Est-ce à moi que tu t'adresses ainsi ? s'offusqua t elle.
Dalila : je ne viendrai pas avec toi maman donc rentre t'occuper de Papa. Si c'est Selim qui t'envoie, dis lui que je l'attends ici de pied ferme.
Voyant que sa fille n'allait pas abdiquer, elle nous a traitées de tous les noms d'oiseaux avant de s'en aller.
C'est après avoir refermé la porte derrière moi que j'ai poussé un soupir de soulagement.
Moi : ça va ? questionnais je en lui pressant l'épaule.
Je suis fière d'elle ! il faut qu'elle arrête de se faire malmener par sa mère.
Dalila : je suis vraiment désolée s'excusa t elle.
Moi : ce n'est rien !
Dalila : je vais retourner me couché ok ?
Moi : ok !
Avoir une mère comme elle, ce serait peut être méchant ce que je vais avancer, mais je préfère même encore dix milles fois mon statue d'orpheline.
Je ne comprends pas pourquoi certains parents contraignent leurs enfants à rester dans un ménage, même en sachant qu'ils souffrent !
Je ne comprends pas et je ne comprendrais sans doute jamais cela.
Il y a mon téléphone qui est en train d'émettre un appel entrant du détective.
Moi : Allô ?
Alioune : ma belle, comment vas-tu ?
Moi : disons que j'ai connu des jours meilleurs mais ça va et toi ?
Alioune : qui a embêté ma petite chérie ? Dis le moi et je lui botterai le derrière ironisa t il.
Moi : si c'était possible, j'allais te donner son prénom avec joie.
Alioune : c'est rien de grave j'espère.
Moi : non ne t'inquiète pas.
Alioune : Ok ! au fait, j'aimerais qu'on se voie !
Mon cœur a fait un boum dans mon cœur à l'entente de sa phrase.
Moi : Tu es où ?
Alioune : à quelques minutes de chez toi. Je passe ?
Moi : oui je t'attends. Fais moi signe quand tu arriveras. Je descendrai te rejoindre dans ta voiture.
Aurait il du nouveau sur mon affaire ? J'ai le cœur qui bat à la chamade