Les premières images sont parlantes. Sylvie court pour échapper à son mari Alain, dans leur propre maison. Étranglements, coups de poing au visage et dans le ventre, cris ou encore représentation du couple parfait pour donner le change.
Apathie, incapacité d'être ému ou de réagir (par mollesse, indifférence, état dépressif, etc.). Alain était comme tout ça.
Il n'avait plus peur de montre sa puissance sur la petite Sylvie aux yeux de tous. Les yeux du papa étaient remplis de larmes dans son cœur qui serrant Sylvie qui ne sentait plus rien comme douleurs de toutes les haines qu'ils aimaient déverser sur son petit corps d'enfant.
J'avais senti la peine et je ne savais pas où je serai demain avec les épreuves que je vivais et traversais même là je ne sais pas où j'allais et je ne savais même pas où j'étais grâce à l'amour de mes enfants et celui de mes enfants je demandais à rester envie.
J'avais passé des jours entiers à chercher ma route en regardant mes enfants, je disais à tout le monde que tout allait bien ; mon cœur était une peine forte, que même mes peines mon souffle avait du mal à contrôle parfois.
J'avais passé des nuits à rêver que demain on ne trouverait, et que je serais libre, le parano de mon mental me faisait croire que tout était fini pour moi en arrêtant de regarder par-dessus mon épaulé j'avais fini d'arrêter de me demande ce que ça veut dire rester envie dans les bras de son gourou ; renoncer à brûler, où vendre la maison qu'on m'a fait prisonnière, j'avais fini par le brûle qu'il ne puisse plus reste aucune tracer avec ça j'avais tout brûle même au fond de moi.
Chaque femme qui aurait subir la peur au ventre à toute son être, se dira ça : j'ai vécu comme ça.
Il y avait parfois des choses qu'on ne pourrait pas tout faire sortir, mais ça nous aider à rester envie pour ceux que nous, nous accrochons.
Elle ne pourrait pas parfois dire à l'autre ; mais dire j'ai eu mal sans comprendre pourquoi il n'a fait ça.
On avait signé un contrat je crois qui a été déchirer par mon père, difficile d'en défaire de peur d'être mal vue, je l'avais donné mon cœur avec joie, il l'avait mis en miette, quand il était à côté de moi, je tremblais de peur tout mon corps ne voulait plus respirer, même le regarder j'avais du mal à le regarde, cette peur qu'il avait créé en moi, quand il était avec sa famille son regard me tuait n'arrivant même pas à boire ou manger sa voix me faisait tremble, en ce moment-là tout le monde me regardait comme une personne qu'on devrait exterminer, je ne pouvais pas bouger de ne pas le faire fâche je suis devenu une étrangère à ses yeux, cette lieur qu'il me donnait comme ses laines à tacher à lui qu'on ne pouvait se défaire, je ne pouvais pas crier de peur qu'il me lance un couteau, je me cachais pour qu'il ne puisse plus me voir.
Je chercherais un contrat à ce qu'il le signe et que je puisse partir de là, pourquoi je n'avais pas vu ce qu'il était au début ?
Ce tonton, qui me connaissait depuis ma naissance est devenu mon gourou de mes douleurs.
Et pourtant, il n'avait tout montre qu'il n'allait jamais me rendre heureuse j'ai force, croyant pouvoir le changer, comme un feu qui se déclarait pour que je puisse être le pompier à l'éteindre, se combat que je mènerais toute seule et lui non, il vit sa vie, il sort ne rentrant pas pendant des jours sans prendre de mes nouvelles avec ses propres enfants, on dirait qu'il s'était détacher de ce monde et vivre sans émotion, je l'appellerais il ne répondrait jamais quand j'étais dans le besoin grâce à mon père qui venait souvent à l'improvise pour nous sauver, il parlera avec les autres sauf à moi, non, il ne regarderait comme un monstre.
Voilà l'homme que j'aurais choisir pour mon âme qui devrait être dans la paix non les choix d'avoir son partenaire sur cette terre serait comme un combat de coq.
Les blessures d'amour ne peuvent guérir que par celui qui les a faites oui et non, guérir si vous le faites face et non s'il n'est plus dans votre vie.
Je ramassais des centres de notre amour brulant sans émotion que je serais la seule à vivre et lui non.
Quand t'a moi je dormirais dans l'autre chambre comme une invite et dans une étrange dans une maison bâtir au départ par amour que je croyais être, elles sont devenu que les bâtiments sont entrain de tous tomber en ruine qu'on ne puisse plus les ramener à la vie, elle l'écoutait tout le temps ; et finissait par lui cacher en bas du lit pour qu'il ne me voit pas cette chasse à l'homme serait devenu comme un animal et ça proie quand il a faim, cette sensation de peur que je ressentais devant chaque objet de lui-même apporter à son parfum, quand il est près de moi, on dirait un cimetière dans une maison de soi-disant un couple amoureux, ce parfum de lui qui n'avait fait vivre que maintenant je ne voulais plus ressentir.
Un homme invivable. « Il le vivait comme une rivalité. Elle représentait son échec, il n'était pas fait pour le théâtre. (...)
Elle ne l'avait pas quitté pour ça. Mais elle l'avait quitté parce que c'était impossible à vivre avec l'aider de son père mort. Il était en douleur tout le temps avec son passer, qu'il la faisait payer, et elle cherchait un réconfort d'un amour intact. Sa notoriété ne le nourrissait pas.
Ça ne l'intéressait pas. Il voulait être acteur, président etc... »
Il était insupportable. Il était tellement égocentrique qu'il était souvent odieux avec ses collaborateurs et les gens avec qui il vivait dans la société qu'il avait créé, on ne peut imaginer que ses grand-hommes peuvent dépassent la limiter de mettre une vie dans un cercueil. Il fallait le prendre comme ça.
-C'était quelqu'un à part »
On regrette d'ailleurs une fin glaçante qui contraste avec la passion de se noyer dans la déprime.
Pas dans l'alcool ou la drogue, car ces addictions ne sont pas dans ses gènes.
Ella avait trouvé dans les chips, les sodas et autres gourmandises d'autres paradis artificiels pour calme ses angoisses"
Le pouvoir est dangereux, qui pourra être malsain pour nous-même.
Assouvir ses fantasmes lors d'ébats qu'il filmait !
Elle avait pleuré en lisant des passages de son journal, où elle racontait qu'il l'avait giflée : "Si je lui mentais encore, la prochaine fois, ça ne sera pas une petite tape que j'allais reçois de lui sur mes joues". Son corps tremblait en relisait son parcours de vie.
Mais un jour, après une nouvelle et dernière relation sexuelle, elle en avait, croyant être à l'abri, mais tout de suite ma mère n'avait fait retourne auprès de lui, et j'avais reçu 10 coups de ceinture sur mes fesses et sous mes pieds, je me tenais sur les glaçons que je devrais répéter : je ne m'enfuirais plus jamais devant les yeux de mon père qu'on l'avait prise en otage s'il tentait à me sauver encore une fois, il voulait tellement me taper encore sur ce petit corps que mon père réussit à le détacher de ses mains et venir à mon secours, il leur demandait qu'il le frappe c'était lui le problème si je lui avais montre votre vrai visage en lui parlant seulement ; elle n'aurait pas cru, notre vie est devenu un enfer "eu marre.
J'avais regretté d'être rentrée chez moi et avait tout raconté, ils faisaient comme s'ils n'écoutaient, ils n'avaient mis en confiance de tous leurs raconte de ce que Alain me faisait, mon père me secouait la tête de ne pas tout dire : mais ma mère me giflait et me trainait de retournait auprès d'Alain.
C'est comme ça que je me retrouvais à être puni d'être retourné vers le chez moi que je pensais l'être, les vieux vêtements sale se laveraient en famille, mais ces vieux vêtements ne deviendront jamais blancs et propre.
Elle a aussi raconté un épisode où il avait essayé de l'étranglée au cours d'une dispute jusqu'à ce qu'elle perde connaissance, avant d'avoir ensuite une relation sexuelle. Selon son récit, il lui demandait de porter des tenues de scout ou de se faire des tresses pour mieux assouvir ses fantasmes lors d'ébats qu'il filmait.
Il la présentait à tout le monde comme une "groupie qui le harcelait" il dirigeait un réseau qui recrutait et préparait des jeunes filles à avoir des relations sexuelles avec lui, les enfermant dans leurs chambres d'hôtel quand il était en tournée.
Elle baissait les bras de chercher à le sauver
Plus une seule petite rose au réveil... Elle avait pourtant l'habitude d'en recevoir, chaque matin, une dizaine. Des blanches, aux bleu etc.... Jamais de rose noir il lui disait que s'allait amène le malheur dans leur vie, il s'était présente en protecteur au départ pour la mettre en confiance pour qu'elle puisse baisse sa garde contre lui, ne lui avait pas prévenu qu'elle allait devenir sa proie sexuelle. C'était une tradition qu'Alain avait instaurée au lendemain de leur rencontre il se présentait en tonton gentil comme il l'avait toujours fait, mais qui semblait s'être fanée en même temps que leur amour. Ses yeux étaient devenus triste du jour au lendemain.
La mère de Sylvie et les autres filles qui la jalousaient qui voit en elle une débauchée n'était pas plus tendre avec elle, qu'elle considère comme une rivale dans le cœur des sujets.
Le meilleur ami d'Alain et son secrétaire particulier de l'église, qui m'humiliaient devant tout l'assemble de l'église, on me lui jetait de la farine et autre parfois du vin pour l'aider à s'enivre, en privé comme en public, dès qu'ils le pouvaient. Entre eux et Sylvie, le conflit étaient à couteaux tirés. Heureusement, la jeune Sylvie pouvait compter sur le soutien de son père.
Les médecins assurent que son décès est naturel dans son cœur mais sur le corps sont rempli de blessures et brûlure, mais personne ne douterait alors qu'il avait succombé à son chagrin de vouloir sauver sa fille Sylvie.
" Les jours qui venaient de s'écouler ont été déchirants et étranges, je vais faire une pause ici, par terre pour me reconstruire.
"Toute la nuit j'avais crié, presque d'une manière autoritaire : 'Reviens... Tu ne peux pas...'. Avec presque le sentiment que j'avais le pouvoir de la faire revenir" Qu'il voit que j'étais encore là et qu'il avait le droit d'être heureux avec nous, le cercueil ne rend pas heureux.
La voilà donc répudiée comme une esclave qui devrait tout donner jusqu'à ce que son corps ne s'épuise, cette princesse comme son père l'appelait qui avait fait rêver tout autre destine allait vivre celui de la haine de sa mère. Du jour au lendemain, sans autre forme de procès dans cette maison qui allait devenir son enfer.
-Ça fait quatre longues années que je me battais pour avoir ton attention manipulée par la peur et l'égarement de tes paroles, ton regard et tes bras qui commençait à briser mon corps que je t'avais offert sans égratignure.
Prisonnière de tes horribles chaînes, combien tu pouvais être méchant dans tes mots pour briser en moi le peu de dignité que je portais encore en moi, Sylvie ; tu avais juré que tu me porterais au firmament de ton amour et me faire voir l'amour avec ses ailes.
Y aurait-il quelque chose que j'aurais pu dire, avant que tu t'en aille loin de mes yeux ?
Pour faire battre ton cœur plus fort sans haine envers mon corps d'ado que tu avais connue ?
Si seulement j'avais su que tu avais une tempête à affronter dans tes pensées et cœur plus que moi, je n'aurais pas fait tout t'effort à me battre à te garder et te guérie.
J'ai appris qu'on ne peut pas guérie celui qui ne voudrait pas être guérie.
C'est à moi d'abord de m'aime avant de chercher à être aimer.
Dans un couple on dit toujours, que les deux parties on tort, et pourtant il devrait avoir qu'un seul qui regarderait sa partenaire autrement.
Si j'avais laissé tomber mes murs ?
Pour que tout cesse de faire mal ?
Peut-être, je suppose que nous ne saurons jamais si tu avais accepté de mon aider pour que nous puissions vivre une autre chose.
Serions-nous mieux maintenant !
"Ça fait bientôt six mois qu'on essaye d'en sortir par tous les moyens mes enfants et moi, qu'on a puisse trouver un semblant de paix. Que ce soit de l'aide psychologique, psychiatrique ou autre. Et puis là on sait que pendant des mois on devrait se revoir pour décider de tout pour couper le cordon, on va y retourner tous les jours et on va même aller dans des endroits où on ne voudrait pas mettre les pieds. C'est certainement le chemin le plus dur, mais en même temps, il y a l'espoir de pouvoir reprendre une vie plus apaisée."
Elle aimerait obtenir le droit de garde principal et continuer à les élever et repartir en Bretagne au se trouver la maison familiale de son père pour y vivre, mais un médecin va tout bouleverse dans sa vie et revoir ses projets d'aller vivre en Bretagne.
« Elle regardera vers l'avenir. Elle va se replonger à corps perdu dans ses deux activités favorites : son travail qu'elle était prête à trouver et son rôle de mère », et elle avait pris une décision qu'Alain ne verra jamais ses enfants jusqu'car leur majorité, les blessures les mots qui font mal elle ne voudrait pas que ses enfants vivent et prennent un chemin de leur père.
-On récolte ce que l'on sème Dieu merci, tu l'as éloigné mon protecteur mon ange gardien, j'avais plus d'espoir de sortir de se passer qui ont été imprime de toi sur mon corps, il y a toujours une fin à chaque combats, Salomon dans l'ecclésiastique qui me donne la force de comprendre de reste foi en Dieu de se préparer aux épreuves, on aimerait bien ne pas le vivre, se dire il valait mieux être rester avec Dieu ne pas voir la haine humaine.
Dieu merci, j'ai esquivé la balle car l'or est éprouvé dans le feu, avoir la patience en soi dans ces épreuves.
Je n'en pouvais plus de toi aucune passion avec toi aucun avenir que je pouvais rêve, on se lève avec la peur au cœur et on dort avec cette peur donc bon débarras je suis heureuse de ne plus pouvoir revoir ton visage je ne donnerais aucun mot de haine à mon cœur de te faire justice, tu ne serais plus mon tonton ni ce que tu as fait de moi, tu es l'erreur d'être celui qui soit venu sur cette terre.
Il fut un temps, je pensais que tu faisais les choses bien mes yeux d'enfant m'ont trompé de te voir comme un tonton gentil, mais tu avais fait des projets pour ce que tu étais réellement.
Pas de mensonges, et des fausses notes maintenant devant eux, comment vas-tu faire pour t'en sortir de là, cette histoire c'est endormir pour de bon, pour honorer un parent il faudra qu'il fasse son travailler de parent envers son enfant pour amasser ce trésors, l'enfant ira cherche les trésors chez Dieu.
Je devais avoir perdu l'esprit, je te voulais tellement comme tonton c'est ce que mon cœur t'aimait j'avais dépassé tout ça au moment que tu m'avais montré un autre chemin que je devrais empreinte.
Parce qu'honnêtement tu étais sur le point d'être la meilleure chose que je n'avais jamais eu, mes choix d'enfant tu les as effacés et je me suis en genou devant toi, l'enfer j'ai vu le diable j'avais même cru que tu étais le fils du diable que ce paradis qu'on parlait n'existait pas que Dieu c'était pour tromper les gens.
Je serai toujours la meilleure chose que tu n'auras jamais eu, la rose noire que je tiens est écraser et la chambre de ma cave est devenu sombre comme ton cœur, je ne comprendrais jamais pourquoi les gens sont si méchant tu as touche à ma vie tout ce que je devrais bâtir e parie que ça doit être horrible d'être toi maintenant, c'est si triste, de te voir que tu sois blessé à ton tour, on t'a retiré tout ce qui te faisait vivre à traverse moi, c'était moi-même qui était ta force et toi le faible, en moi tu avais trouvé ce que tu n'avais pas !
Mais ne me dit pas que tu t'attendais à ce que je te réconforte après tout ce que tu n'as fait endurer ?
Tu ne mérites pas mes larmes même pas de pitié de ma part à chacun son fardeau de ses douleurs ces oiseaux de malheur que tu transportais était pourrie jusqu'car ton os je suppose que c'est pour ça qu'elles ne coulent pas, les seules larmes que je verserais à partir d'aujourd'hui sera mes enfants mes projets et Dieu pour l'invoquer.
Quand je pense au temps où j'avais failli tomber amoureuse de toi en me disait ce tonton là ; j'aurais aimé avoir un homme comme lui plupart merci d'avoir fermé ces portes.
Je sais que tu voudrais que je revienne et pour quelle raison devrais-je encore revenir vers toi ?
Qu'est-ce que tu m'as laissé comme trésors pour que je puisse revenir vers toi, tes lettres c'est le feu qui les lie et les brûler moi je décide de lire que ma vie et voir l'avenir autrement sans toi, cet amour que tu pensais qu'elle devrait suivre n'est plus que cendre. Il est temps de faire face aux faits que toi-même tu as construit je vais oublier tout de toi-même ton odeur et on visage je vais tellement l'effacer dans les recoins de ma tête, sans rien laisser de toi respirer en moi, tu es mort pour-moi si tu te ressuscite je vais t'aider à y replonge dans les abîmes du cimetière.
-Il essayait tout le temps de lui mettre son pénis dans sa bouche et lui faire avaler son sperme.
-Elle pleurait il ne l'écoutait. Il la tient par les cheveux et elle se débattait.
-Elle pleurerait, il la jette sur le lit et lui dit : 'Allez tu n'es pas marrante je pourrais avoir m'importe quel petite comme et plus, sinon je vais voir ta copine que tu connais et ça serait à cause de toi'"
-Elle réitère : « Ce n'était pas drôle, visiblement à ses yeux mais pour lui si.
Il attrapait la jeune fille par les cheveux, elle ne voulait pas de lui, elle dit non et lui oui.
On essaye de lui demander des faveurs, elle refuse, elle pleure (...) Elle hurle, elle pleure, elle supplie.
Elle dit 'Je t'en supplie arrête, non '» Je ne suis jamais sentie bien nulle part tout toi cette forteresse que tu n'avais mis était énorme je ne pensais pas trouver le chemin de la lumière, ne plus voir que des ténèbres, avant même ton nom me faisait vomi et me faisait tremble même quand une porte s'ouvrait et claquait je pensais à me refuge derrière cette peur est quitter loin de toi qu'elle bien de revivre, même se vomir de moi je ne te le donnerais, quand tu étais en face de moi, je cherchais quelqu'un d'autre que toi, c'est moi qui t'ai laissé grâce à mon père mon sauveur.
Ton but et projet sur cette terre était quoi réellement ?
Dieu sait qu'il faudrait un autre endroit que je devrais vivre que dans tes bras de tueur que tu es, un autre moment, un monde, et une autre vie Dieu merci j'ai trouvé le bon au revoir, dans ma tête ou je t'aimerais comme ce que cette petite fille a toujours eu dans son cœur ou je te hais.
Tu avais finalement montré ton vrai côté le plus sombre, que j'avais finalement découvert et ton vrai visage.
Je t'avais rencontré lorsque tu avais le cœur brisé de tes peines que je croyais je voudrais avoir la vérité même si je ne l'aurais jamais de ta part ni des autres, l'être humain qui aime blesser ne sait pas ce qui est la vérité, dans tes peurs et souffrance, tu t'es mis à régler ton passer sur moi, tes comptes de ton passer ton cœur meurtrier tu ne m'as pas voulu t'ouvrir à moi-même, même si j'étais une petite fille de 13 ans et demi.
J'avais rempli ton verre jusqu'à ce qu'il déborde, tu l'avais bu et après tu t'es charge à me le verse sur mon corps entier, chaque jour je devrais me nettoyer pour reste propre à tes yeux malgré mes douleurs et souffrance.
Dis-moi, ça fait quoi d'être assise là devant les jurées pour t'expliquer et de voir ton vrai visage ?
Montre-moi ta force que tu faisais sur moi, donc tu n'es rien maintenant tu as peur ?
J'avais tout fait pour te garder à mes côtés comme un tonton, croyant pouvoir te faire changer, mais j'avais bien oublié qu'on ne changerait pas le cœur d'un homme. Je t'avais dit que je te rattraperais si tu tombais tout ça pour que tu me la mettes à l'envers de ces douleurs que tu n'avais infligé.
-Tu sais que c'est grâce à moi que t'en es là
J'avais peur de te laisser toute seul, tu étais à genoux et je t'avais aidé à te relever que tu n'avais remis par terre la tête dans la terre pour que même ma respiration tu ne le sente.
Tu te sentais tellement supérieure à moi, mais tu es trop éloignée pour me serrer contre toi, avant je pouvais te laisser m'approche maintenant non.
Elle avait vécu des scènes d'horreur. " Beaucoup vu, mais elle avait beaucoup entendu aussi de cette maltraitante enfantine que les enfants pouvaient traverse dans le silence aux yeux des adultes qui sont capable d'avoir la richesse en leur prostituant en leur poussant à donner leur vie contre un billet de leur corps qui n'avait pas demandé ça.
Et senti également ce corps déchiré dans les coups. En fin de compte, tous les sens ont été impacté.
J'ai eu de la chance de ne pas réentendre certains bruits ou ressentir certaines odeurs qu'il m'avait fait vivre surtout le tien.
Sylvie : "J'ai eu le besoin de me sentir utile dans tout ce que je ne pensais plus le faire un jour "J'ai eu le syndrome de la survivante et je gémis dans mes émotions pour les remettre en place".
Elle espère que ce procès lui permettra de faire un pas de plus vers l'avant, elle veut parler pour se libéré pour aider les autres enfants de se rebeller contre ceux adultes au premier actes des mains mal déplacer facilement pour régler les émotions d'autorités, il aurait plus d'adultes qui font ça et ceux qui font semblant de comprendre et ceux qui aimerait que ses langues se ferment et ne devrons jamais en parler c'est serait une honte de salir un père ou une mère qui vivrait autrement sur le corps de son enfant qu'ils verront comme une marchandise et commettre l'impensable ce serait un grand pèche devant les yeux de Dieu qui a établir les loi de le défi si tu as envie de réussir tu ne devrais pas trahir ton père le violeur c'est toi la faute, et non lui diront-t 'on à l'enfant.
Ils prennent des vieux âgés avec le sida pour violer ses petites filles en leurs laissant des enfants dans les bras avec le VIH, pour une poigne d'argent qui ne va pas dure, ses traditions barbares qu'ils vont utiliser, la loi de Dieu serait-t 'il difficile à mettre en place ?
La loi des hommes ne devrait pas être utiliser comme est écrit dans les sainte écriture d'écoute les lois du gouvernement.
La fille est bafouée à payer la haine de l'homme de règle ce sujet devant Dieu ; c'est toi qui m'as donné cette femme, si tu ne l'avais pas fait je n'aurais pas péché !
Nous y revoilà encore ; je ne savais pas qui j'étais sans toi au départ, quand tout se détacher de notre gourou, on sent cette liberté d'être soit et que c'est notre force qu'il se nourrissait et que sans le vouloir nous l'avoir donné.
Luttant contre ce que j'avais dit à tous, mes amis qui étaient encore là pour m'attendre, il y a ceux qui pensaient que j'étais morte de me revoir ils n'étaient pas sûr que ce fût moi devant eux, ils ne voulaient pas me toucher ni m'approcher pour eux j'étais morte, mais Nira elle était venu me saute dessus malgré mes douleurs, elle voulait tout changer mon monde être dans ses bras bonheur.
Je suis désolée, j'avais besoin de quelqu'un des jours comme ceux-là, incapable d'aimer, non, je ne suis pas bonne à ça mais je ne peux pas dire que je suis innocente à la mort de mon père.
J'ai besoin de quelqu'un des jours comme ceux-là, tu partiras et tu seras heureux sans moi.
Ce tout ou rien n'avait vraiment le don de me rendre fou de ne pas savoir comment sortir dans ce cercle d'impuissance de prisonnière de ses griffés, il voulait tellement se justifiée de cette souffrance.
J'avais besoin de quelqu'un à qui guérir de mes douleurs de souffrances, mais quand je voyais ton visage devant moi, ce miroir de ta face comme un assassin que j'avais auprès de ma vie qui ne tenait car un fil.
Alain : J'avais besoin de quelqu'un à connaître à posséder et que je puisse la retenir pour assouplir mes désirs qui était dans mon corps, quand la première fois je t'avais tenu dans mes bras cette nuit-là, je ne voulais pas te faire tout ça, mais le visage de ma mère non je ne pouvais supporte de te tenir je ne suis dit tu es pareil comme elle et depuis ce jour-là je voulais me détruire à travers toi.
C'est facile à dire mais ce n'est jamais pareil après qu'on est dedans de s'en sortir de ce piégé, on juger ses femmes qui vivent dans cette prison, elles restent parce qu'elles ne se disent pas avoir de choix ni d'issu, elles les ont données leurs vies et eux, ils les violent à petit feu ce sont leurs propriétaires.
J'espère ne jamais voire ce jour où tu partiras et tu seras heureux sans moi !
Qu'est ma main sans ton cœur à tenir ?
Je ne sais pas pourquoi je vis bien sans toi malgré tous ces peurs qui bousculent mon cœur refuse ce que tu étais vraiment !
Tu vas te rendre compte de ton erreur, tu croyais me briser prendre tout de moi sans rien me laisser je vais te montre que tu t'es trompée de gibe, elle va se voir au grand jour.
Et si tu as envie de jouer, alors mettons la machine en route, je prenais des comprimes pour soulage mes angoisses, je ne sentais plus mes os ni ma chair.
C'était si frustrant que tu aies pensé que je ne pourrais jamais m'en sortir de tes griffes, c'est dommage que l'amour blanc soit devenu l'amour des ténèbres, regarde qui se tient là devant toi ?
Oui, c'est moi, tu veux ôter ma vie du peu d'amour qui te reste, ce diable qui est en toi.
Qu'est-ce que tu fais ?
Tu croyais que tu me verrais me détruire ?
Après toutes ces épreuves que j'avais traversées...
Tu n'avais posé dans ta voiture avec des serpents pour qu'ils me mordent, tu rigolais à cette échanger entre eux et moi, quelle humiliation de voir que ma vie tu le tenais en main, tu n'attachais sur le lit et me battait, j'aurais aimé que toutes les lois changer pour cette torture de faire du mal aux corps d'une femme, cette amour non partager qui détruit l'âme.
Elle avait fait une mauvaise chute et en avait eu quelques hématomes sur le corps disait-t 'elle à ceux qui la voyait pour refermer encore les portes de l'enfer.
Une longue bataille a débuté pour qu'il puisse retrouver ses facultés motrices.
Je suis une survivante de l'âme, j'ai passé l'épreuve du feu à tes tortures, si tu ne m'aimais pas il ne fallait pas me prendre et vouloir me réchauffer dans tes bras.
J'avais commencé sans rien, je n'ai rien à perdre non plus si je te quitter, mais est-ce que la justice voudrait-t 'il bien n'éloigner de toi sans que tu n'ôte la vie ?
Je suis une survivante de l'âme, j'ai passé l'épreuve du feu j'ai commencé sans rien, je n'ai rien à perdre
-Tu me décrivais un rêve dans lequel je n'aurais pas ma place, que à la fin j'avis compris trop tard ; vivre avec toi mon amour a été un enfer.
Assise devant un bar, je voulais tout filer les bières qui était là !
Dans impossible à aimer, l'amour, la rupture, l'acceptation. On s'aimera toujours, tu ne seras jamais là, tu peux crever là-bas, le monopole de la douleur, Hélas : Dans l'obscurité.
J'allais au bord de la rivière à ces moments de calme sans que je ne sois dans tes bras pour recevoir des coups, je voulais que le fou que je vivais auprès de moi fasse sa vie dans un hôpital psychiatrique, que le vent portait l'eau de la rivière pour venir calme mes douleurs.
Est-ce qu'une femme a besoin de tout ça pour prouver être son propriétaire ?
Je ne crois pas qu'on doive tuer un être pour dire avoir le pourvoir sur cette personne.
Peut-être que tout été voue aux échecs.
Étant croyante Dieu n'aime pas qu'on verserait le sang sur la terre qu'il avait créé, avant je pouvais me battre pour te retenir à ne pas faire du mal à mes enfants, mais maintenant je me bats pour que tu sortes de ma vie.
Je ne te chercherais plus, et je ne vais plus cherche qui tu es de quoi tu souffrais, comment te guérir je vais d'abord chercher à me sauver que de te sauver.
-Ça ne suffit pas de prendre son passer et détruire l'autre.
Mon cœur hurlait, laisse-moi seule, tous les 'désolé', les excuses je ne veux plus les entendre de ta bouche, à chaque fois que tu as porte main sur moi, après tu étais désolé je te disais ne recommence pas, nous résoudrons ça demain.
On peut se disputer et se battre, rester debout toute la nuit, pour les choses qu'on aimerait construire, se battre pour rester envie dans les bars d'un homme qu'on pensait qu'il prendrait soin de nous, constituerait un crime.
Pensant que toi et moi, nous sommes devenus ennemis ; mais ces cieux obscurcis vont se dégager maintenant dans ma vie.
Réservons ça jusqu'au matin et les autres jours, je pleure devant cette rivière qui est déjà pleine, est-ce qu'il me comprend ?
Tous les "Tu n'es pas assez bien" c'est facile de le dire au départ j'étais la femme que tes yeux de ton cœur désiraient et ne jugeait pas si je crois ; après m'avoir comme personne ne serait très facile, tous les mots irréfléchis que tu m'envoyais ses signaux que tu me montrais ton vrai visage que je refusais de voir et accepter ce monstre qui vivait en toi que je n'avais pas les côtes à te guérir.
C'est dur de s'en débarrasser ses moments que tu m'as fait vivre !
Comme une barnache, ils me collent à la peau et un zombie mangeant ma chair, cette petite fille enfant à vite grandir.
Parce que mon souffle douleur, nous sommes sur le point d'exploser (je suis sur le point d'exploser).
Ne me dis plus des choses que tu regretteras nous sommes devant la police, je vais partir, je n'ai pas eu ma vie d'ado comme je voulais, tu ne vas pas continue à leur mentir.
Alain c'est elle qui ment, je ne lui ai jamais porte main !
Sylvie se déshabillait toute nu devant les 30 policiers qui était présent et le juge qui passait par là, s'arrêtait et voyant son corps d'enfant qui n'avait pas finir de grandir avec des cicatrices.
Alors enfermer moi encore dans ta cellule avec mes enfants et puis tu viendras encore ici pour dire que tu as été gentil, pour ne plus vivre dans la peur de craindre la vie pour quatre.
La lumière de l'aube apporterait le calme en éloignant la brume du brouillard qui déplaceraient les nuages dans mon visage et éteindre mon cœur pour éteindre le feu de mon cœur, levant le doute de mes doutes.
Pour voir ce qu'il en est vraiment à présent, merci mamie pour tes conseils, tu ne m'as jamais juge, ton regard me console.
-Je sens souvent tes caresses sur mon corps.
-Pourquoi est-ce que tu blesses ceux que tu aimes le plus ?
J'avais survécu au chagrin et a vu la pluie avec mon papa qu'on avait survécu ensemble au chagrin grâce à ta force et ton amour je peux vaincre mes peurs.
Maintenant que tu souffres bien pour tout ce que tu n'avais fait endurer, était humaine, tu vois des choses qui me rappellent à toi partout dans ta mémoire si tu en as un !
Tu essaies de rester encore dans ma vie et de vouloir faire croire au tribunal que j'étais consentante que j'avais signe le papier de mariage, et que je savais ce que je voulais pour ma vie ?
Je n'ai ni le temps, ni l'espace pour te dire revient, je ne suis plus victime de tes menaces, tu n'avais écrasé sur ton poids de la manipulation maintenant il est trop tard à présent, je vais de l'avant je suis plus forte, je crois à présent que c'était une autre fille que tu avais enferme, la Sylvie de 13 ans et demi est reste dans son époque je suis devenu moi, la nouvelle Sylvie, j'aurais bien voulu fête ça avec mon père.
Je suis tellement indifférente à tes appelle que j'ai l'impression de voir un étrange démon, j'ai voulu voir ta face, te monstre que je suis plus forte, que tu ne m'as pas enfermé dans la peur, tu n'es pas ce que je voudrais même si tu étais le seul homme sur cette terre.
Tu as été dans ma tête jour et nuit, j'avais le cœur en morceaux, ne sachant plus quoi faire, tu t'étais sentie en confiance, comme tu avais fait avec moi.
J'avais appris à être manipulatrice grâce à toi, j'ai appris à reste envie en te donnant ce que tu voulais de mon corps mon vagin ma porte chance
J'ai été plus aimant chaque jour quand je t'avais faire croire à mes faux sentiments envers toi, l'élève à dépasser le maitre.
Je perds la notion du temps en pensant juste à ton visage qui a été l'horreur de mes jours.
Dieu seul sait combien j'attendais un secours.
Pourquoi ça m'avait-t 'il pris si longtemps à ce qu'on puisse prendre soin de mon histoire.
Pour que mes doutes s'en aillent, cette lumière que je vois, et combien je me sens plus libre.
Je ne sais pas pourquoi j'avais peur de toi tout le temps, et pourtant j'étais déjà venue ici dans cette demeure chaque sensation me rappelle les coups et les mots cruelles que tu me faisais vivre, chaque mot, je les ai tous imaginés avant que je pénètre là, je me suis mis à genou j'ai tout revu ses pas, ses cris, mon père son visage doux qui n'avais apporté le calme et la force.
Tu ne sais pas tant que tu n'essaies pas de n'oublier dans ta mémoire, tu vivrais dans cette souffrance de vouloir me voir à tes côtes, ça serait que du mirage de moi que tu verras.
D'oublier ton passé et d'être tout simplement mien, sera chose impossible, soit un homme d'esprit qui se comprend d'abord lui-même, aime-toi si tu y arrives avant de proclame ton amour au mien.
J'ai recommencé à m'aime ce qui n'avait échappé, à accepter que je pusse être aimer par pour mon passer mais pour ce que je suis réellement.
J'interdit qui que ce soit de pleure sur ma vie qui a été pris de force, je veux qu'on fête, qu'on rit se plaindre ne me redonnerait plus jamais ces années volées.
Pourquoi me fais-tu ça en n'infliger ça ?
Injuste tes façons de faire après qu'on en a fini, alors tu t'inquiètes
Pourquoi ai-je supporté ça pour que tu refuses de t'a genou te de te déclarer forfait à mon égard ?
Qui sera le premier à craquer là toi où ma mère ?
Tout, est cool maintenant te voir dans la chaise des accuser je suis fière de voir que tu es par terre à tes propres jeux, un jour tout se payer, je voulais que tu saches que je vais bien.
C'est personnel, moi et moi-même je devrais le faire, pour que mon être et mon âme soit sauver.
Les contes de fées n'ont pas toujours une fin heureuse, n'est-ce pas ?
Je ne serai plus ton punching-ball, construire un mur et mettre mon armure contre toi ; le silence regarde pour voir qui abandonne, et attendre la fin de ta déferlante de mots encore une fois
Je voudrais me cacher dans un endroit paisible ; j'ai besoin d'un abri pour ma propre protection, on doit mettre les choses au clair !
Être avec moi-même et me centrer sur mes projets] La clarté, la paix, la sérénité !
Il est temps d'être une grande fille maintenant, mais je dois avancer dans ma vie, le chemin que je dois prendre je dois le prendre seul.
Mais je dois faire des changements dans ma vie, mais sans toi !
Je pensais être ton amie et toi tu seras mon valentin, il se fait tard, dehors il fait noir il est temps de rentrer chez moi et je croyais que ta main sera mon secours à toute épreuve, j'aurais aussi besoin qu'être sauve.
On serait amis et amoureux et on partagerait nos mondes secrets si tu vivais dans ce monde que je pensais sans dangereux.
Je dois avancer par petits pas jusqu'à ce que je sois complètement adulte dans ma façon d'être.
Et tu ne vas pas me manquer comme un doudou qui manquerait à un enfant qu'on a.
-Je ne voudrais plus porte ce masque et dupe tout le monde pour monstre que tout va très bien dans ma vie, que je vivais le martyre.
-Mais je ne peux pas duper mon cœur, quand mon reflet montrera-t-il ?
-Qui regarde par-dessus mon épaule ?
-Qui je suis intérieurement ?