Une femme soufrerait plus sur cette terre qu'un homme sur tous les domaines de la vie, surtout sexuelle et moralement, qui serait moral et physique.
"Il resterait beaucoup à faire dans ce monde où les humains ont décidés de prendre le pouvoir sur tout, ils ne craignent plus Dieu de leurs actes ils ont plus honte de faire ce qu'ils font c'est tout à fait normal " pour les droits des femmes, "il reste beaucoup à faire dans la sensibilisation dans les pensées humaines, cette perception que beaucoup d'hommes qu'importe la couleur de peau voient la femme comme rien et qu'ils ont le droit de faire des choses sur ces femmes sans impunité (sur le viol et les victimes de viol".
L'homme et son pénis sont devenus l'arme dangereux pour un bébé, petites filles, petits garçons et même les femmes.
« Une traversée du désert, qu'elle ne pensait pas un jour vivre et à cause d'un seul homme pouvait lui voler ce donc elle pensait être sa destinée »
Sylvie « J'ai compris avec le temps qu'il valait mieux que je garde pour moi mes déceptions de mon corps.
« On nous a mis dans la tête que les hommes sont des demi-dieux qui savent forcément satisfaire leur conjointe, et que les femmes n'ont pas de sexualité propre ni de désir, et donc qu'elles n'ont pas besoin de plus de donner. » Pourtant, nombreuses sont les épouses, amantes et compagnes qui ont déjà vécu l'ennui et la frustration.
"Il faut que les hommes en parlent aussi pour détruire cette mentalité selon laquelle les hommes ont des pulsions qu'ils ne peuvent pas contrôler".
Comment peut-on dire ceci : c'est qu'une personne qui se fait violer l'a bien cherché, l'a bien voulu.
Même les animaux ont du respect pour les partenaires, ils ne coucheraient pas avec leurs petites ou petits ou violer leurs partenaires.
J'aurais aimé que nous aimons l'amour des animaux envers ceux que nous avons la même chair, les êtres humains ne se respectent pas comme les animaux le font entre eux.
Comment un père peut-il couche avec son enfant de son même sang ?
En Afrique les enfants abusent part leurs parents, sont bafouer, elles sont même accusées d'avoir manipuler leurs propres pères, on leurs arracher leurs bébés, on les chasser elles airs de rue en rue violer toute leurs vie moralement et physiquement sans repérer on leurs prend tout.
Après tous les combats menés pour criminaliser le viol et les abus sur ces innocents certains hommes prennent la chair d'un être humain comme si c'était eux qu'ils avaient créé, quand une femme de surcroît se permet de tenir des discours pareils, c'est choquant." "Un viol, c'est entre deux personnes, n'est-ce pas ? Ça ne concerne pas seulement une personne. Elle doit porter plainte si elle s'est fait violer", "Si elle s'est fait violer, c'est qu'elle l'a voulu." Pire encore, elle rit et conclut : "Après tout, elle est majeure."
Qu'importe le corps ou l'âge d'un être humain qu'il porte, on n'a pas le droit de prendre sa destinée et la briser.
A tous les hommes de la terre : ne blessez jamais une femme, elle vous met au monde chaque jour de votre vie...
Les papillons dans le ventre, le souffle coupé, mes yeux qui brillaient, le cœur qui battait plus vite. Cela représentait des rêves mais rien de concret pour moi. Je croyais que c'était faux, que c'était vain d'y croire jusqu'à ce que je te rencontre et que je tombe éperdument amoureuse de toi, mon chéri après les coups tu me donner le bonheur.
Une situation qu'elle ne serait pas la seule à avoir vécu d'autres filles dans le monde entier serait en prison dans le pantalon d'un gourou sexuelle, mais qui reste douloureuse pour elle. "C'est horrible, ce qui la rassurer un peu de le dire : je ne suis pas la seule dans ce monde que les filles sont jetées au pâturage sexuel pour avoir de l'argent ou pour être la femme d'un homme qui dira suivre des lois écrit par des hommes, comme beaucoup de gens qui ont galère et qui gelèrent encore et qui sont très connus aujourd'hui." C'est paradoxalement au moment où elle avait sombré que la vie de Sylvie avait enfin changé et que tout serait arrivé.
« Il ne faudrait jamais lâcher, être très bien entouré aussi."
Parce que j'avais fait 8000km pour te fuir et sauver ma famille.
N'insiste pas, je n'oublie pas mais je n'ai plus peur, oh non !
Les blessures que tu avais faites je les avais renforcés comme jamais, j'ai transformé la peur en force !
Ma force je me la dois aujourd'hui et à mes fils qui ne seront jamais à toi-même les voir tu ne les auras jamais !
N'insiste pas, j'ai appris à sourire et tu n'y toucheras plus !
N'insiste pas car ta plus grande peur est là, à chacun son tour : Je te considérais comme mon tonton et je n'aimais que toi et te faisais confiance l'amour d'un enfant tu l'avais brisé !
Tu m'as fait vivre la psychiatrique
"Depuis que tu es parti et sortir de ma vie aujourd'hui tout va beaucoup mieux dans ma vie, tu as refermé la porte en un clin d'œil c'était fini tu m'as rendu service. Je te remercie mon ex."
"Oui, en fait elle n'ait pas aimé du tout être enfant et ado pour se pervers. Elle n'éprouvait pas du tout de plaisir à se retourner sur son enfance. C'était douloureux pour elle. "
Pour toutes ces personnes victimes de violence, je vous envoi tout mon soutien vous n'êtes pas seuls... ainsi qu'à mes mères et leurs enfants qui avons été victimes toutes leurs vies de violences physiques et psychologiques (c'est pire !!) de la part de leurs « géniteur ». Un jour on s'en sortira, plus fort que jamais.
Derrière le pantalon et la boxe d'un homme sur le corps d'une femme se trouverait « Le malheur d'une femme est celui de toutes les femmes. »
Les hommes qui font ça ne sont pas de vrais hommes.
Ils font rentrés les péchés dans leurs vies à travers le sexe ce que Dieu a défendu ils l'utilisent ils veulent montre à Dieu qu'eux aussi ont du pouvoir, ils voient le pouvoir de l'argent comme acquit pour obtenir l'enfer ; ils n'aiment pas payer de leur fautes la rédemption pour eux n'existerait pas.
Tout ce qui était entre dans la maison de David dans les saintes écritures, les hommes surtout eux sont devenu les chasseurs de leurs proies dans leur propre maison.
Bien de personnes ignorent et ne veulent pas se mêler...beaucoup jugent et ne peuvent pas savoir cette souffrance, cette douleur du cœur.
Réparer ceux qui sont encore vivantes. Qu'elle était fière de proposer ces nouveaux formats à ceux qui ne peuvent pas parler, c'est une douleur qu'on infliger à ces petites filles.
Tu ferais mieux de regarder comment tu parles et où tu marches, ce monde qui serait devenu le monde de l'enfer au milieu des pervers
"Quand on puise dans cette jeunesse qu'on vous a voler et briser, c'est une partie de vous qu'on a pris, ado au lycée qu'importe l'école que vous fréquentez on vous voler ce qui vous appartiendrait comme héritage, on ne vous laissez pas décider de vos choix comment vous devriez y l'utiliser, Rachel pleure ses enfants qu'on tuer leurs âme et qu'on enterre dans l'abîme de la désolation, elle est inconsolable qu'on détruit les œuvres de Dieu place à l'enfer du diable, la soif de prendre la virginité d'une fille pour ce dire qu'on est homme et que Dieu nous acceptera : avez-vous connu quand même des violences, puisqu'on parlait même de harcèlement. Vous avez été mise en quarantaine, ce qui vous a valu une hospitalisation parce que le paradis est dure de le trouver sur terre "
Elles ne peuvent pas vivre une vie normale ils dépensent leurs vies pour gâcher leurs vies.
Personne ne voudrait trébucher et être enterre vivant qu'on lui lancerait des pierres à la tête pour une accusation, la vie devient comme un cancer qui serait difficile à soigner.
On entend les sabots des chevaux sonnent dans notre tête comme un clous qu'on serait entrain de percer dans le cerveau.
Dis-moi pourquoi sommes-nous si aveugles à voir !
"Je ne reviendrai plus en arrière. Il y a plus d'années que ça, j'ai eu envie de mettre en lumière des sujets que je trouvais important à défendre que les gens ne se douterait jamais la dureté du corps d'une petite fille quand on voler son corps sans lui demande sa permission, qu'importerait l'adulte qui la verra comme une femme, d'éclairer ils veulent déjà qu'on apprenne le sexe pour leurs bons plaisirs. J'ai voulu ouvrir ces fenêtres et portes qui sont souvent fermer pour laisser entrer la liberté et la réparation du passer. Je ne m'en lasserais jamais de dire que chacun est venu sur terre pour un but que certains adultes privent la liberté de ses enfants.
Adieu à ce que tu as voulu briser en moi qui est réparer en moi !
Bienvenu j'ai gagné la vie !
"Il m'a fallu du temps pour m'en convaincre que j'étais mariée, battu, violer physiquement et moralement il fallait que je remette tout en place, mais j'avais rencontré suffisamment d'épisodes dépressifs et d'épuisement pour savoir que si vous travaillez suffisamment dur sur vous-même après ces souffrances et douleurs qui était fermé au fond du cœur et ne voulait pas sortir, en prenant du temps pour vous, pour comprendre vos traumatismes, leurs déclencheurs, vos joies et la routine qui vous convient, vous serez toujours capable de comprendre et d'en apprendre plus sur votre souffrance et la matière de l'appréhender. C'est tout ce que vous pouvez vous demander à vous-même". Le tout avant de conclure : "Je ne sais pas pourquoi, mais il me semble de plus en plus difficile de ne pas partager ma vérité ici.
Tu as été génial papa sur tous les point du terme. Et cette rencontre humaine, vraiment... Je vais te garder pour la vie. Merci", les larmes aux yeux.
Tu m'as souvent demandé pourquoi ?
Je vais te répondre papa : ce mariage forcé qui m'a tant faire souffrir, la raison d'un tel mariage m'avait brisé, pas d'alliance de robe de mariée, tu vie avec quelqu'un sans avoir un sentiment d'époux amoureuse envers cette personne, tu deviens la statue. "Ils m'avaient poussée à le faire et je n'avais pas envie de le faire j'étais prise entre deux routes laisser la mienne et suivre la leurs. Il y avait une pression sociale, religion qu'il fallait faire plaisir à ces prêtres pasteurs qui avaient soif de montre que leur Dieu leur avait montre notre avenir dans leurs livres, pas forcément celle de ma mère et de ma famille, mais une pression sociale. C'était l'expression populaire se 'marier dans sa rue mais pour moi c'était dans une cave'", "Ça avait rassuré sa mère et la famille le père était mise à pas, ce qu'il avait comme rêve pour sa fille allait être enterre, il ne voulait pas que sa fille épouse quelqu'un forcément de son pays, on cherchait de quel pays il était, il répondait toujours aucun homme ne saura jamais d'où il viendrait exactement.
"Donc j'avais accepté pour ne plus être insulté et frapper pour qu'on puisse me laisser tranquille, je m'étais dit, je vais le faire. Ça va leur faire plaisir, je vais leur donner cette satisfaction pour se dire qu'ils avaient gagnés de leurs choix." Néanmoins, elle s'était promis de "s'en sortir" et je vais réussir réussi, non sans difficulté.
J'étais dans une maison mal faite qui était entrain de s'écrouler autour de moi une belle mise en scène avec un coup de maître.
Sylvie "Je ne laisserais plus personne entrer dans mon intimité qui serait Cette période douloureuse de son passé aura forgé son caractère. Son père était d'ailleurs très "malheureux" pour lui.
"C'était la maison du malheur" "Avec toutes les obligations que cela impliquait, mais ce n'était pas de gaieté de cœur" son père "tenait trop à sa liberté pour y être heureuse, mais ne se plaignait jamais".
"Un jour dans le sous-sol, il m'avait dit : 'Quand même, ils t'ont gâché ta vie et moi je ne peux y rien'. J'avais dit non et ils m'avaient répondu : 'Si, parce que tu n'avais pas fait ta vie et que tu commençais à voir le commencement de ma vie' « propre à moi et celle de mes enfants."
Ils avaient moins de pression sur le 'qu'en dira-t-on', épouse un étrange il aura un sort à faire disparaît les étrangers ce ne serait pas bon, suivre le pacte des ancêtres qui sont là, il faudra de l'abondance reste entre nous. 'Elle s'est mariée et elle s'est mariée avec l'un des nôtres'". Un souvenir douloureux.
"Notre amitié est la plus belle des victoires. Tu as été un soutien sans faille et c'est toi qui m'as portée pendant toute cette aventure humaine.
Depuis, je sens la brûlure de ce manque, l'impatience des retrouvailles, mon cœur qui palpite quand je sais que je vais te voir. Grâce à toi, je vis de nouvelles sensations, de belles émotions et des sentiments incroyables.
Sylvie "Aujourd'hui je m'en vais, je pense à ma gueule, à ma vie et celle de mes enfants, ils ont droit de vivre et non d'être enterre avant leurs vieillesses. Il n'y pas de sexe pour se permettre de faire souffrir les gens mais malheureusement bon nombre s'en donnent le droit de voler la vie de l'autre.
Même si l'on a nos côtés forts et sombre, nous avons tous nos coté faibles et c'est sur cela que s'accrochent des personnes indignes de l'appellation humain.
D'innombrables gens sont mauvaises et en empoissonnent d'autres après leurs méfaits, en laissant les personnes amoureuses traumatisées. Sans aucun état d'âme.
La perversité, la méchanceté, la vision surdimensionnée que certains et certaines peuvent avoir d'eux est unisexe, vis à vis des comportements inacceptables des cons qui pensent que le pourvoir sur un être humain serait d'avoir la mort.
Sylvie tout tournait dans ma tête je croyais devenir folle ; et je croyais être maudite et tout ce que je faisais était mal à tes yeux, tu étais le chasseur et moi le gibier.
Ton regard avait parlé sur mon corps d'enfant, tes regrets jamais tu l'avais fait pourquoi les enterrer j'ai plus besoin de ton amour amer, je suis allé à la bonne école j'avais pris la bonne chaise dans ta classe et j'avais appris à travers tes coups chaque leçon pour obtenir le diplôme qui te convaincrait.
Pour ma part j'avais vécu un véritable calvaire pendant ces années avec un pervers narcissique que tu étais... Il m'avait littéralement brisé psychologiquement et physiquement j'étais l'ombre de moi-même, j'avais réussi à m'enfuir avec mes enfants grâce à mon père.
"Tu m'as dit que tu m'aimais, tu m'as casé la gueule"
Derrière tes coups je me dégoutais, je n'arrivais plus à vivre et je n'arrivais plus à me trouver elle devant personne, j'avais l'impression que ce miroir me mentait et que toi, tu avais la vérité à la profondeur de mon cœur.
J'en avais pleuré toutes les larmes de mon corps quand j'avais vu mon corps pour la première fois ce qu'elle était devenue, comme si je ressentais à nouveau tous les mauvais souvenirs, la peur, la déception, l'impuissance...et que je me connectais à toutes les femmes qui souffraient à chaque seconde sur cette terre.
D'années d'enfer, les coups de poings, les coups de pied, la peur de mourir en permanence avec mes bébés, les humiliations, les insultes, les menaces ... Heureusement j'avais pu en sortir Les cicatrices du corps disparaissent avec le temps mais pas les blessures à l'intérieur
J'étais humilié du matin au soir... Frappé si je n'étais de son avis... Je suis partie mais la douleur est toujours là... Même si aujourd'hui j'ai refait ma vie... J'ai toujours une peur de revivre cette horreur...
J'ai su me reconstruire parce que je n'ai pas voulu que tu me voles tout même à ma liberté.
C'était le début de ma renaissance quand tu n'étais près de moi et les enfants. Je serais sûrement morte et pour les enfants je ne saurais quoi dire de leurs avenirs et pourtant ils n'ont rien demande et si j'étais restée plus longtemps.
Qui ont su faire éclore en moi ce sentiment qui me désole et qui quand la douleur reflue laisse la place à la colère, de te voir dans une glace de ce miroir, je vois combien je suis plus forte dans ma guérison, si j'étais comme toi-même âge tu prenais le coteau et moi la machette je ne voudrais pas devenir la côtelette du morceau de viande.
Celle qui redresse et qui arme contre ce qu'on ne peut taire !
J'aurais voulu voir dans tes yeux comme ce moment me désarmait de te voir à ma place toute ta puissance devant ces juges tu ne fais plus le grand puissant ?
Tu vois que tu n'es qu'un être humain, et non un éternel, que vous sentiez contre mon cœur soudain serré
Que c'est dur d'être tombée amoureuse du mauvais. La reconstruction est longue mais le bonheur finit toujours par gagner.
Courage à celles qui doivent partir. Vous n'êtes pas seules ! Ce n'est pas votre faute !
-" Pour sortir d'une emprise aussi forte, il faut autant de temps qu'on y a passé."
Ne craignez pas de partir les filles. Ne vous laissez jamais tuer par ces monstres. Courage et longue vie à vous qui souffrez
Là aux dégoûts se mêlaient à la beauté et à la diversité de son corps, minces, bien à la chair du corps existant, exulte, pensant qu'un enfant serait devenu adulte très tôt pour se donner à la vie de couple, sa liberté de vivre son adolescence va lui être arracher aux mains des adultes avec leur propres croyances barbares à les lois de dire que une petite fille peut donner son sexe sans avoir mal, que ce serait normal et d'autres déformeraient cette lois d'homme et de ce dire que c'est Dieu le coupable.
Cette vie est comme traverse une rivière, sans savoir ce qui serait à la profondeur de l'eau, nous sauvera-t'il où serons-nous noyer où écraser à la force de l'eau et dévorer ?
Certain homme prendrait la création de Dieu pour la femme comme un péché que ce serait une grosse erreur qu'elle soit là. Elle devrait payer pour tous leurs crimes de dictateur qu'ils ont formes dans leurs cœurs.
On ne peut pas changer un loup à un chat pour nous donner de l'amour que nous aimerons avoir, le noir nous aider à comprendre nos erreurs, nous pouvons devenir des monstres pour quelqu'un.
Les humains aiment infligés à la planète des horribles douleurs qu'il ne devrait pas y avoir.
Elle revoir le corps de son père froid allonger par terre dans cette guerre en elle, elle serait devant son histoire et derrière ne saurait par où commence, elle ne saurait pas quoi écrire le cœur est serre, le début de cette souffrance est tout mélange dans sa tête, je souhaiterais donner une belle histoire qui devrais commence tu es ou c'était comme ça, qu'il ne pouvait plus la protéger était un immense chagrin pour l'âme de son cœur d'enfant. On peut devenir n'importe qui pour devenir un dictateur pour la vie d'autrui.
Face à cette mère jeune qui va être très protectrice envers ses enfants sur les coups d'Alain son mari sur la bouche et non sur les papiers.
Se laissant mourir par des coups d'un homme non mais le laisser croire qu'il a de la puissance sur mon poids, où se laisser vivre pour avoir le parfum du souffle de vie.
"Elle se sentait différente"
"Je me suis sentie différente à l'adolescence. J'étais dans une grande solitude.
Si on peut savoir combien les pensées malsaines des adultes peuvent détruire une vie.
Les animaux ne se détesteraient pas comme les humaines le font !
Il suffit d'un homme pour détruire un monde.
Elle raconte une vie difficile, violente qu'elle a vécue avec sa famille qu'elle a aimé donne sa confiance, elle c'était battu qu'ils l'acceptent dans leurs camp, rejet par eux, voulant force, accuser à tort, les vacances de noël et autre elle n'était pas inviter, elle croyait être contaminer par une peste inguérissable, mais quand t'elle avait ouvert les yeux elle avait décidé de jouer comme eux, fermer la porte de son cœur ne plus jamais laisser personne y entre, même leurs donner le poids ou le prix de s'expliquer.
Derrière le loup avec son beau costume ce sont des malades, même les juges ne verront que du feu sous ces vêtements. Ils sont prêts à tout pour les récupère ils ont aucunes émotions envers leurs proies, pour eux ; ce qu'ils font n'est pas mal mais juste.
Si on te rejet ne force pas leur amour tu les as aimés tout donner ils t'ont poignardé ces clans : tu n'as jamais fait partie d'eux et tu n'avais jamais compris leur choix à ton égard : regarde ta vie, eux ils réussirent Dieu leur donner ce que leurs cœurs désirer ils sont tous et toi tu tournes à rond. Tu ne fais pas partir de ce qui sont Dieu est où pour toi tu te demandes, qui viendra te chercher avec ton fardeau du passer et guérir ton âme qui a été blesser dans la profondeur de l'être que tu es ?
Qui s'est brutalement achevée. Soit on se dit sa vie est foutue, on saute par la fenêtre, soit... Elle a toujours voulu se battre, ils ne mériteraient pas sa haine, ça serait du temps perdu pour donne de l'importance à ces individus qui ne savaient pas l'amour de Dieu", balaye-t-elle.
Elle n'avait que 13 ans et demi quand t'elle l'avait rencontré ses vraie déboires souffrances, sans connaître une vie amoureuse avant ni dans son école, c'est là-bas qu'elle aurait dû trouver son prince mais on va lui choisir son destin qu'elle devrait y vivre, ni souffrance, il y a un seul homme qui allait lui apprendre la rude dure d'une vie amoureuse dans ses bras prés que meurtrier.
Quand on est enfant on ne peut pas tout connaître du sexe au lit sans qu'un adulte en montre à l'enfant comment y faire.
Le corps d'un enfant est devenu le désir des péchés que les adultes aiment savoures pour avoir la liberté de détruire pour avoir une seconde jeunesse et avoir dû pourvoir dans le monde.
Pour malmène l'esprit d'un être humain on va utiliser son mentale et son physique le plonge dans les ténèbres ; qui va toucher son âme, tout ce qu'on nous enseigner reste grave dans notre mémoire, on vie avec, on craint traverse la rivière pour vivre avec les autres, parce qu'ils ne sont pas comme nous, ils sont différents, on ne comprend pas pourquoi ils sont là, on devrait les chasser sur leur terre, le prendre avec force et s'installer.
Voilà on a une religion mettons là en place, Dieu ne descendra jamais, nous sommes les maitres.
Nous sommes comme des puis vide quand t'elle desséché sans eau à la fin, le mentale est une puissance pour réduire la vie de quelqu'un.
On aimer avoir un pouvoir sur l'autre pour montre sa grandeur de puissance, marche sur cette terre qu'avec l'intelligence qu'on utiliser à l'école est comme une maison qu'on construit avec le sable et que le vent et l'eau viennent balayer et ne restera pas debout et sans sagesse et discernement on ne va pas loin dans les choix de vie, on s'arrêterait dans notre propre pays sans vouloir aller loin.
Cette maison va devenir comme un château de sable, on se marier entre nous du même pays pour garde soi-disant la culture même si l'amour n'y est pas comme des inconnus qui devrait laisser un héritage qui n'a pas lieu d'être, nous sommes des inconnus parmi les inconnues malgré qu'on se voie et parler, même notre bouche n'a aucun pouvoir après la mort.
On ne gardera rien de tout ce qu'on fait, mais on sera jugé sévèrement des choix de notre âme comment avions nous utiliser l'amour envers les autres.
L'enfant accepte l'amour d'un adulte parce qu'il se dit sincère qu'il ne lui fera jamais de mal, son cœur serait innocent à la blessure de l'adulte.
L'adulte devrait être le protecteur de l'enfant, et non celui qui tuerait tout ses rêves en l'enterrant vivant dans ce caveau froid qu'on ne pourrait plus jamais mettre la chaleur, les ailes de papillons ce sont couchées et ne preuves plus voler.
L'adulte doit être l'exemple de la génération qui viendra après eux, ils font tout pour laisser un monde dans le chaos et sont heureux de leur choix.
L'enfant mineur croit à toutes les belles paroles d'un amour appris dans ces êtres humains, ils ont les yeux ferment dans l'innocence, ils ne savent pas se protéger des dangers du monde qu'on leur offre, ils peuvent jouent leur diront-t 'on, va dans la cour ; voilà le ballon joue et gagne regarde l'autre personne et apprend à aimer et même à haïr.
Les adultes les apprennent seulement à sauve le monde sans leur montre et éduquer le commencement du chao de la haine où viendrait à vouloir obtenir ce pouvoir qu'il ne leur reviendrait jamais éternellement.
Nous sommes des voyageurs sur cette terre, où mettrais-tu ton âme avant et après ta mort dans les mains du créateur ?
Où sera le résultat de ce que ton cœur construit pour ce que tu dis vouloir laisser comme message de toi !
Sylvie est née en Bretagne dans une petite rue où la vie était si paisible, ses parents était heureux on peut dire.
Quand elle eut deux années, sa mère qui était entre dans une église, ce serait décide à aller vivre à Paris.
C'est une famille qui avait besoin de rien, dans le quartier de Villejuif sur Paris, il avait trouvé une belle maison, quatre chambres avec un grand salon, dans toute les chambres il y avait des rangements deux salles de bains, une grande cuisine.
Les volets donnaient cette sensation que le soleil tôt le matin venant transpercer la maison pour donner une vie heureuse.
Les joies de vie que ces gens vivaient n'étaient pas sain, devant Sylvie les parents montraient qu'ils étaient une famille heureuse, l'église ne voulaient pas de divorce, ils avaient déforcé toute parole de Dieu sur l'éducation, les tradition, interdiction d'épouse une personne qui viendrait de l'autre pays ce serait un pèche, pour garder les êtres humains de la même race de peur que Dieu leur frapper de malheur.
Ces religions donnent aux êtres vulnérables dans leurs esprits.
Ils ne leur disent pas qu'il y a beaucoup des tueurs, qu'ils ne devraient pas aller avec tout le monde temps qu'il ne sera pas celui qu'ils connaissent.
Parfois l'ennemi numéros est un membre de la famille, qui trainerait la vie de ces enfants, la famille complice va se taire et accepter ses abus.
La religion et la croyance font que les gens vivent dans le monde de la justice fermé : qui s'appelle se taire, si tu parles Dieu te bannira tu n'auras pas ta place au Paradis.
Ces enfants sont souvent valus à l'échec dans leur vie, parce qu'on a torturer leur arbre de vie, et coupe le pond qu'ils devraient traverse pour une vie stable.
Leurs âme et corps seront touchées à la racine de la mort que ces adultes vont plante et cultiver en leur faisant croire qu'ils sont concertants et que ces leur faute de leur séduire, ils ne voulaient pas les toucher mais c'est l'enfant qui serait venu leur donner ce plaisir de toucher leur corps défendu et qu'ils ont péchés.
On demande aux femmes de restent à leurs places !
Malgré ces violences on laisser même ces hommes à s'expriment et avoir des mots à se justifier devant le juge, leurs excuses que mentalement ils ont souffert depuis leurs enfances, leur vie a été briser c'est pour cela qu'ils sont comme ça, on leur donner une liberté de se soigner mais ces femmes mortes ne seront jamais soignées dans leurs tombes ; quand la femme criée elle est écoutée à moitié, mais quand un homme crie il est plus écouté sa voix est plus forte sur tous les termes.
Sylvie n'avait que 13 et demi, le temps de l'innocence.
Un enfant ne peut pas décider à la place d'un adulte et de ces choix dans une relation sexuelle et maritale, l'enfant devient adulte à partir de 18 ans, son corps et tous ses rêves doivent être protéger par l'adulte et non le contraire.
Parfois ce sont les croyants qui prié trop qui tuer le monde que Dieu a créé et qui font plus de mal, que les non croyants.
Et quand un non croyant s'y met ; il va dépasser le diable dans le mal qu'il commet sur cette terre, comme un grain de sel, parfois le diable ne ferait pas partir des choix des hommes.
Derrière ses vestes bien habiller sur nos corps qui sont bien porter ce cacherait un suceur de sang humain.
Je me mêlerais d'une croyance, je le respect, mais je ne dis personne ne respecterais Dieu a cent pour cent dans les prières, nous sortons avec des genoux par terre dans cette chambre cache, et après nous connectons des crimes qui ne sont pas accepter par la loi de Dieu.
Parfois ce sont dans des grandes maison riche qu'il aurait plus de crime que dans les petites maisons pauvres qu'il aurait de la famine.
Ces blessures qu'on infligés aux petites filles, que ces gros porcs font pour les propres lois, on verser du sel dans une mauvaise vie.
Faire un choix ce serait plus difficile, certaines mères sont au bout les voix ne sont pas entendues, certaines mères sont si mauvaises envers les enfants, elles seront si prêtes à leurs vendre à tout prix pour posséder une belle maison etc...
Ces pères qui veulent continue à perturber les traditions horribles, les filles doivent restées à leurs places, donner leur vagin à un vieux de 60 ans et même plus.
Ces hommes qui coucheraient avec ces filles, le père et le fils coucheraient avec la même fille dans la maison en lui faisait du chantage.
Ça me fait très mal ; de voir que les hommes accusent Dieu pour tout, ils oublient les responsabilités.
Certaines filles n'ont pas de mot à dire sur la liberté de vouloir continuer leurs études, être des femmes d'affaires, ce sont ses traditions équerrâtes qui vont tout décide de leur vie, le poids de l'amour, on ne vit qu'une fois, mais ces hommes ôtent leurs destinés sans pitié, quand le diable s'installe dans l'âme d'un homme il serait difficile de lui faire entendre raison.
Les garçons sont prioritaires, et la fille doit être femme de ménage dans la maison d'un homme on l'apprendre déjà comme elle devrait entretenir une maison, le lit d'un homme, cuisine, puisse de l'eau, au déprimant même de sa propre sante, qu'il pleuve ou pas. Ces regards perdus dans le vide ; elles sont misées à l'enchère, on leur drogue et plus viole c'est devenu comme une marchandise sexuelle.
Parfois on donnerait sa vie à quelqu'un qu'on croit connaitre et pourtant l'ennemie le plus proche serait celui avec qui on mangerait, le venin du serpent serait plus proche de nous que le serpent à lui-même, au lieu qu'il vous sauver ; il déciderait à vous faire mourir sous le poids de la haine qu'il se dit juste et que Dieu va lui pardonner en allant au Paradis après sa mort.
Quand le serpent voit la cruauté de la langue de l'être humain, lui-même il se dit j'ai vu plus grand que lui et après il fuit.
Sylvie souffrait vraiment au moment d'écrire ces mémoires de vie d'une femme qu'elle pensait être amoureuse d'elle, qu'elle avait vécue qu'Alain, qu'elle pensait être son mentor et amoureux de protecteur qu'un enfant cherche auprès d'un adulte, et l'aider à comble se vide qu'elle avait laissé entre dans son cœur qui déchire les cœurs. Elle y raconte tristement sa rupture toxique d'une relation dans laquelle elle se sentait en sécurité au départ et après qui est avéré être une prison d'un enfer.
"Ils la fermaient tout le temps à clé sans possibilité de s'en sortir dans cette cave » : séquestrée pendant 4 ans par sa mère et son ex Alain, racontant son calvaire pour ne plus être enfermer dans le passer des coups, c'était échappée d'une maison dans laquelle elle dit avoir été retenue de force pendant trois ans grâce à la mort de son père elle avait pu voir ses prières.
"Il avait détruit des âmes" "Je vivais avec la peur au ventre de sentir même son odeur me faisait peur" Elle parlait d'un homme "calme, gentil, souriant, poli", avant qu'il ne change de comportement ce tonton qui serait devenu son chasseur.
C'est un ami de ses parents qui l'avait porté dans ses bras étant bébé et vu marche à quatre jambes etc....
"D'un coup de poing je te casse les dents, lui disait-t 'il" "J'avais eu droit à des insultes, à des menaces, si je ne faisais pas ce donc il voulait, cette suivie qui serait en nous pour voir un jour notre liberté.
"Maintenant que je suis sortie de cette maison, je n'y retournerai pas." Après quatre années passées enfermée de force.
J'avais encore toutes tes insultes, tes mots blessants, ces fausses promesses gravées en moi...
Tous ont été mises en examen pour "séquestration de nature criminelle" et écrouées. Elle avait alors rompu toute relation avec lui et fermer la porte à toute sa famille, Alain faisait souvent référence à sa carrière de boxeur professionnel, ce qui l'inquiétait quand ils étaient seul. Elle affirme en outre avoir reçu des propos violents de la part de celui-ci par des gestes encore plus cruels : "il me disait 'moi, d'un coup de poing je te casse les dents', ou 'si j'ai un marteau, je le lancerais, et tu le prendrais sur la tête".
Sylvie était sous l'emprise d'Alain avec les toiles d'araignées avec une écaille qui se tissait sur son visage et corps.
"Le bien, c'est d'avoir quitté cette maison", sourit Sylvie, soulagée par la fin de cette parenthèse tragique. Rien ne laissait pourtant présager d'un tel repli de sa famille.
"Mon enfance s'était bien passée au départ jusqu'car ce là ou mon destin à basculer dans les bras d'Alain. Sylvie comptait poursuivre ses études, son destin allait être liée par certaines choses comme une boue.
"Ils avaient commencé à ne plus l'autoriser à sortir pour faire des courses où les accompagner quelque part.
Elle se souvient de toute cette vie écrite dans un livre sans bonheur ni amour comme une cendre à charbon qu'on ne puisse plus l'enlever sur le corps qui était en train de brûler de l'intérieur comme l'extérieur.
J'avais pas le droit de regarde les gens ni leur parler, mon visage avait toujours été par terre comme c'elle qui allait priée tout le temps pour demander pardon à Dieu pour être pardonner pour ses fautes, je voulais criée dans les grands magasins pour qu'on puisse me venir en aider mais impossible, mon père était menace: j'avalais mes larmes de douleurs jusqu'car ce que les courses finissaient et que nous rentrons à cette maison de prison, il fermait tout le temps à clé quand il allait travailler et fermait les volets des fenêtres que je restais dans le noir toute la journée, jusqu'car ce qu'il n'avait trouvé un endroit plus sombre dans le salon où je passais mes journées, et après je me suis retrouver dans la cave sans fenêtres mais mon père avait trouvé dans le jardin un passage qui lui permettait de venir me voir dans cette cave.
« L'Épreuve de la vie à les bras de fer »
J'avais de la chance d'avoir cette compagnie très chère.
Un jour, en allait faire les courses ; une dame c'était rapproché de moi me voyant très triste, à son oreille je regardais à gauche et à droite une perte de leur vigilance de mes gourous, je lui murmurais que j'avais besoin d'aide avec mes larmes mais elle n'avait pas compris ma détresse me bousculait je tombais par terre, et là ; mes gourous s'en pressaient de venir vite me chercher pour que les gens du magasin ne puissent pas voir dans quel état j'étais.
Quand Alain mon ex quittait la maison, il essayait de le faire sans qu'on s'en rende compte qu'il verrouillait tout", dépeint la jeune femme aux cheveux ébouriffés, bien habiller dans un calme après être suivi par les psychologues.
Peu à peu, le piège s'était refermé sur Sylvie. Il lui était même interdit de sortir dans le jardin de la maison. Son quotidien se résume donc à vivoter dans une bâtisse "délabrée", où "les conditions ne sont pas propices pour vivre"
"Il y avait des fuites d'eau qui coulait sur mon matelas où je dormais quand t'il pleuvait, quand c'était comme ça je dormais sur mes genoux, mon père avait essayé de m'aider jusqu'car ce qu'il avait trouvé une solution il m'avait montré comme je devrais faire pour qu'Alain ne remarque rien du changement, le matelas et tout ce qu'il avait changé, quand il pleuvait, de l'eau tombait du toit. Il n'y avait pas d'électricité, pas d'eau courante, pas de téléphone.
Alain avait installé des planches de bois sur les fenêtres pour ne barricader à cause des disputes entre les autres membres de la famille qui n'était pas d'accord était mise à part et ne serons plus inviter dans ce darraque.
Ma mère s'était rendu "complice" de cette séquestration sexuelle.
Elle y passe la majeure partie de ses journées, à l'exception des repas à nettoyer la grande maison et de faire à manger.
"Pour manger je descendais dans la pseudo-cuisine mais je n'y allais pas avec Alain, je devrais lui servir comme un roi à manger, je pouvais être dans une belle pièce, là ce n'était pas une cellule que je pouvais respirer quand il voulait la sexualité parce que je n'avais pas de choix dans ces pièces qu'il choisissait pour exécuter ses fantasmes".
Parfois j'avais faim c'étaient des miettes qui tombaient de la table qu'il mangeait que je pouvais me servir de ses bons repas savoureux au gout que je ne savais pas les cuisine, il parait que ce sont les animaux qui mangeraient par terre et non les humains.
Combien il pouvait être méchant de me faire subir des atroces sexuelles, il pouvait me servir à manger par terre en me faisait l'amour, combien ma faim du ventre pouvait gronde dans mon ventre, grâce à mon père qui venait me servir ses bons repas qu'Alain mangeait à sa table ; depuis qu'il avait trouvé l'entre dans cette cave où je logeais, il venait me nourrir quand il pouvait et quand il ne pouvait pas venir me secourir je me contentais du peu avec des brimades, il calculait le repas qu'il me donnait au moment de chaque de ses envies qu'il touchait à mon être entière.
-Son père l'avait dit : à chaque fois qu'il te torture, chanter, fait comme si c'était à quelqu'un d'autre qu'il était là !
Je vivais avec la bête que je ne pouvais pas contrôler même si je le nourrissais et le faisait boire de l'eau claire.
Après le reculer, il valait mieux que ça soit la prison de la cellule qu'il soit ma cage de torture que celui que j'allais y vivre.
Régulièrement, Sylvie disait à Alain qu'elle ne voulait "plus vivre là" mais "ça déclenchait des disputes avec beaucoup de crises c'était au moment quand ma mère venait nous rendre visite.
Alain la frappait avec une cruauté féroce après le départ de sa mère aussi pendant ces disputes".
Son père se cachait en pleurant de ne pas pouvoir mettre fin à cette torturer que sa fille vivait, comment faire pour me sauver, ma mère avait une grande autorité sur lui.
Une première fois elle tentait encore de s'enfuir. Après une nouvelle effusion de voix au cours de laquelle une fenêtre c'était cassée à l'étage, il finissait par la rattraper.
Son père lui avait demandé de ne plus faire ça de ne plus le provoquer, de reste sage d'être plus maline que lui, pour gagner un homme méchant soit docile, ne le provoquer, fait tout ce qu'ils demandaient pour rester envie.
Le manque de maturité lui fera défaut auprès de cet homme qu'elle donnera sa confiance aveuglement sans se protéger d'elle-même contre lui, mais ne savait pas qu'elle allait choisir le tueur de l'amour de son cœur, tellement, qu'elle avait baissé sa garde contre lui, qu'il pensait pouvoir l'utiliser jusqu'car l'enterre vivante sans onction d'être sauvé, et c'est à ce moment-là qu'Alain qu'elle chérissait lui avait scié les jambes et brisé le cœur.
Sylvie a 17 ans aujourd'hui ce qu'elle redoutait le plus, c'est que cette fois-ci personne ne viendra la chercher pour la remettre en prison, qu'il n'avait avoir personne pour la sauver sur le banc des accuser, plus personne vers qui se tourner ce jour-là, tant qu'elle avait placé tous ses espoirs en celui à qui elle avait confié son cœur.
Elle livre sa vie d'une voix brave les yeux clairs, des jambes immenses.
L'effroi survient la nuit. Dévoilent avec pudeur les intrusions d'Alain dans sa chambre, les viols qu'elle aurait subis. « Ça aurait duré plusieurs années donc pendant cinq années que mon corps a été à sa merci », Quand t'elle trouve la force de le repousser comme il était ivre, il la chasse, mais ira la reprendre dans sa maison familiale.
Renaitre après les coups « viols et agressions sexuelles » dans les bras d'un homme qui se présentait tout puissant !
"J'ai coupé les ponts définitivement avec ma mère, cette mère que j'avais confiance avant et après ma naissance qu'elle n'avait porté pendant neuf mois de grossesse ; se montrait plus qu'un monstre envers ma vie qu'elle m'avait donner et voulait se débarrasser ; c'est elle qui mettra ma vie en pâturage dans les bras d'Alain".
-Ceux qu'on a toujours le plus confiance sont ceux qui nous détruise sans regret et d'émotion.
Si vous leur pardonne et leur faites rentre dans votre vie, ils viendront finir ce qu'ils ont pas finir de faire, ils seront sans pitié à votre égard vu que ce sont des gens qui ont toujours raison, ils font du mal mais il faudra toujours à leur yeux que vos fautes soient vu aux yeux de tous, vous avez tors pour tout, vous êtes responsable de ce qu'ils leur arrivent, ils vont vous présente aux yeux du monde que vous êtes le monstre, ils vont vous maudire tous les jours que Dieu a créé ce monde.
-Votre destin commence dans le ventre de celle qui vous portera, et ceux qui vous entourera, comme famille et ami(es).
-Ceux qui nous détruisent le plus et nous enterre vivants dans un caveau sont ceux qui nous entourer dans notre propre maison.
La plus grande souffrance que tu traverseras dans ta vie comme les plaies qui sortiront de ton cœur avec les épées viendront d'abord de ta propre chair avant que ceux de l'extérieur viennent planter pour eux.