LE POIDS DE L'AMOUR
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Chapitre 4 LE POIDS DE L'AMOUR

-La vie que nous marchons sur cette terre est entre le mal et le bien.

Tout le monde ne traversera pas la vie de la même façon, les peines et les joies nous devrons le vivre savoir gérer ces moments de douleurs, l'amour qui vous blessera, ses choix de vies que vous auriez mi entre parenthèse pour suivre les autres, et il faut les méchants pour construire ce monde.

-Ceux qui ont décidé que vous ne devriez pas vivre sur cette terre, sont déjà née méchant sur les chemins ils savent qui ils devront détruire !

J'écoutais en cachette les filles qui travaillent là-bas à l'église, après la sortir de l'école j'aimais demande à mon père de m'accompagne pour les regarde chanter, très gentilles, m'offraient parfois un verre de lait, gâteau etc...et on chantait ensemble à la chorale. J'avais besoin de m'exprimer et ça ne plaisait pas aux certaines adultes, les filles doivent restées droite pour leurs futurs maris, se maquiller laissant les cheveux comme accessoire pour que les hommes âgés leurs toucher et c'était parfois après la fin de la messe.

Moi je ne pensais jamais que mon tour allait être programme par ma propre mère et certain membre de ma famille, à l'autorité débile, abusive. Ils me détestaient tout, je suis la plus jolie et je m'exprime bien, je peux parler plusieurs langues et j'ai une bonne mémoire, mais quand le pasteur de cette église nous rendait visite, il venait me chercher pour chanter et réciter des poèmes, et me préparait comme il nous disait à être des bonnes épouses, il prenait certaines filles qui n'avait même pas mon âge à leur demande à lui sucé son pénis, et il mettait ses doigts dans leur vagin pour voir si leurs pénis pouvait déjà entre dans celle de ces petites qui n'avait même pas encore commence l'adolescence, certain parents assistaient c'était normal pour eux, ils accusaient Dieu pour leurs comportement odieux et cruel.

Quelque part, je tenais là une forme de revanche parce que je faisais ce que les autres ne savent pas faire.

J'étais entre la vie et la mort dans leur bras, cassé de partout, mais j'ai eu la chance de tomber dans les bras de mon père qui me réparait tout le temps sans qu'ils ne voient.

« Enfant, je rêvais beaucoup quand on devrait se taire, quand on ne compte pas. J'avais beaucoup attendu ce moment-là mes yeux de larmes étaient toujours tourner vers Dieu, je lui disais tu m'as créé ce n'est pas eux, ne me laisser pas là, et à partir de là, je n'ai plus jamais été malheureuse après cette victoire que j'ai reçue et que j'avais enfin affronter ma mère face à face pour prendre le large définitif : vous allez comprendre mon parcours de ma traverse de l'enfer au Paradis.

Il y a certaine personne aimer dire tourner le dos à ses parents après tout le mal qu'ils vous ont fait et qu'ils continuent est une malédiction, ces parents aimeraient rendre leurs fautes qu'ils ont commis contre leur enfant comme un acte bien pour les aider à bien grandir, qu'ils le méritaient d'être venu dans leur monde.

-Elle portait sur elle des cicatrises de ses blessures qu'avaient engendrée cette rupture au fond de son cœur, et avait déjà oublié son ex dans les bras d'un autre qui va l'aime à se reconstruire pour ce qu'elle est et non pour ressouder son passer sur son corps qui a été blesser.

Elle s'était dit qu'il pourrait encore y ajouter quelque chose à propos d'une relation qu'il avait essayé de mettre sur papier glacier depuis longtemps.

"Donc le deuil, ou des gens qui rompent, ou juste le fait de prendre contact avec des amis pendant longtemps leur rassurant qu'elle est toujours envie".

Le corps de bébé lui aurait été enlève pour être remplacé par celui d'un adulte, pour être remplacer par le corps d'esclavage, on la dépouiller de toute ses repaires de son enfance.

Ensemble sur ce canapé que je me voyais encore, que je n'étais aperçu qu'ont été amoureux pour que je puisse le garde en ma mémoire, tu avais tout fait pour rallye dans ma mémoire ma vie d'enfant, je ne pouvais plus jouer, ni lire dans mes livres et cahier ses enfants qui jouent dehors que je ne pourrais plus le faire, combien j'aime l'histoire : ta mémoire est entrain de bouillir de le garder encore longtemps pour ne pas l'oublier, il faudra savoir à quel niveau tu voudrais le garde dans ton cœur ; tes bras voudraient le reprendre et l'attacher sur ton corps après l'avoir connu où pas. Sur la "perte" dans un sens plus large."

Cette envie de vouloir le récupéré au départ parce que votre cœur est encore en souffrance de l'avoir perdu et que c'est un échec d'une séparation.

Ce parfum de son corps qu'elle voudrait malgré tout retirer qu'elle n'y arrivait pas pour l'instant pour recommence à ressentir un autre parfum comme celui de son père son protecteur qu'elle va chercher son visage parmi la foule, les cicatrices qui avait laissé sur ton corps.

Tout perdre à un instant, pour celui qu'on disait être le nôtre.

-Le danger était si prêt, avec ce regard ténébreux.

Ses chagrins d'amours seront les plus grandes douleurs que ses larmes de son âme amères et plus ne voudraient plus couler devant cette horrible être qu'elle avait vécue avec.

La page de sa vie ne voulait pas se tourner à cause d'Alain, mais elle finira par le faire pour une nouvelle vie amoureuse avec celui qui écoutera mieux son cœur et son corps et qu'il prendra ses enfants comme les siens.

-Il faudra savoir à qui donner son cœur quand celui-ci saurait si bien le garder le sien, savoir s'aimer soi et ne pas accepter que les coups sur son corps voudraient dire que celui qui serait en face de soi, tu ne lui voudrais pas de mal !

Avant de savoir de ce que tu voudrais me faire, regarde-toi avant de vouloir porter une arme destructive sur mon être comme le tien si tu es sûr de supporte ces coups alors sache que moi aussi je pourrais le supporte.

Lorsque tu me regarderas, tu verras celle avec qui tu étais, tu regretteras celle que tu as perdue et tu réaliseras la valeur de ce que tu n'auras plus jamais.

C'est l'histoire d'un mec et d'une fille qui se provoquent mutuellement, qui s'allument en quelque sorte. Ils se répètent sans cesse qu'ils sont prêts à passer à l'acte, mais ne sautent jamais le pas !

On apprend avec nos erreurs et choix dirons-t 'on, à celui qui vous claquera la porte sans vous dire au revoir merci de l'avoir fait je revive et j'ai arrêté de me lamenter et pleure pour lui.

La jeune fille n'avait que 13 ans et demi avec la rencontre Alain qui a 31ans, ils vivaient leur amour en cachette en dehors des regards des gens de la rue mais celui de leurs familles tout le monde était au courant, sauf le père de Sylvie qui ne voulait pas voir les siens souffrir.

Parfois nous pleurons celui qui nous quitter que celui qui serait mort et enterre.

"Ne pas se réjouir du malheur d'autrui quant on ne sait pas si son tour n'est pas le prochain..." Beaucoup de maturité, d'authenticité dans ça donne juste envie de réapprendre à aimer la vie !

Donc cherchons sans cesse et si ce n'est pas le bon ou la bonne personne, notre cœur est déjà compliqué au choix que nous voulions construire avec nous même, ne regrettez pas de vous rétracter sur un choix.

Parfois il est important de ne pas trop aimer en sorte que quand l'histoire finira qu'on puisse se remettre en cas de déception.

Quand, il l'avait rencontré c'était le bonheur parfait d'un adulte et un enfant, que cet enfant pensait qu'elle allait continue ses études être protégé et non aller vivre de ce qu'elle n'y avait pas pensé, mais ce calvaire qu'elle n'allait pas se préparer à vivre, pour elle dans sa tête c'était son oncle et non une personne de l'église, il était là depuis le depuis de sa naissance, même les oiseaux étaient heureux qu'elle dans ces quatre murs, les nuages sombraient sur son visage qui montrait les ténèbres du cœur d'Alain envers elle qui ne comprenait pas l'amour amère et de haine qu'il l'offrait comme cadeau.

-Sylvie était sûre d'avoir rencontré son protecteur parfait.

La plupart des femmes dans le monde entier comme nous ; aimerait recherche un homme tout parfait comment le font aussi certains hommes envers les femmes.

Mais la cruauté de l'homme fait qu'il y a plus de danger envers les femmes de toutes les catégories de former de femmes et filles qui subiraient une maltraite émotionnelle et surtout physique qui sera installer par la peur de toute leurs vies, on leur dictera quoi faire comme des marionnettes aux milieu de la foule, elles ont été éduquer à tout accepter ne rien dire voiler leur visage dans un tissu, de voir le monde que dans la souffrance. Elles sont attachées comme des vaches sur un tronc d'arbre avec les chaines au cou, aux mains, comme des esclaves qui ne devrait rien demande ceux-là je ne saurais comment les qualifier ; etc...

Sur une idylle, entamée l'année de ses dix-huit ans avec un autre homme, Sylvie voulait tout effacer de ses blessures d'enfant qui a été vole avec la complicité de sa mère, et de la plupart de sa famille et de l'église.

Ma mère était destructrice de ma propre vie toujours avoir raison sur tout j'étais la plaie de son cœur celle qu'elle ne voulait pas voir naitre, de ma naissance et jusqu'au jour de mon départ pour aller vivre avec Alain.

"Je me sentais surveillée..."

Ma mémoire partait quand ils me posaient les questions même mon prénom je ne me rappelais pas souvent

Voici mon histoire "Sur un quai de la gare à Paris ce jour bien en soleille c'était comme un livre ouvert à moitié fermer qui était sombre, je n'avais que 13 ans et demi, je fuyais ma maison pour aller reste chez une copine Nira qui me connaissait bien et savait les problèmes que je vivais chez moi, ma maison était beau mais froide aucune vie, on était comme des poupées qui ne se parler jamais seulement les cris de ma mère me faisait comprendre qu'on n'était pas des poupées, elle contrôlait tout même moi père n'avait pas son mot à dire.

Ce n'était pas une vie de famille ordinaire. On était que à trois autour d'une table et en famille avec tout le monde de l'église plus d'un million. On ne racontait pas notre journée à l'école ou au boulot même nos petits bobos qu'on pouvait. Tout tournait autour de l'église, pas de nous. Si on n'était pas là, c'était pareil. Elle est devenue autoritaire, toujours en train de crier. Il fallait faire ce que l'église demandait.

Je ne l'appelle plus maman parce que ça se méritait plus, cette petite fille ne la voyait plus comme une mère, mais comme un monstre.

Être une maman, ce n'est pas juste un nom qu'un enfant devrait appelle quand celle qui nous a mis au monde nous rejeter, cette guerre avec nous-même, dans la tête des troubles.

-Elle n'est plus ma mère."

"Je faisais partie intégrante de tous les membres de la communauté de l'église. Je n'étais plus sa fille et je n'étais jamais mais celui de mon père. Je faisais partie du groupe au milieu des verres brisent. Elle me disait qu'elle avait donné sa vie à Dieu et que nous tous on devrait faire pareil, j'étais contente être attacher à ce grand créateur c'est une source de joie pour moi, qu'elle nous avait offert à Dieu et qu'elle ne s'inquiétait pas pour nous.

-Quand le corps du pasteur parlait, c'était le Seigneur. Je ne me doutais pas que ce que ma mère disait, faisait et ordonnait, n'était pas bon."

Je marchais toute triste dans cette tempête que je ne pouvais pas arrêter, tout était déjà écrit que je devrais traverser, on ne peut pas échapper à ce qui doit nous arriver, si on devait mourir telle jour ça va arriver vivre jusqu'car 99 ans ça va arriver je rêverais de mon avenir, je ne comprenais pas pourquoi ma mère n'en voulait de tout, elle était toujours derrière mon dos, mais mon père quand il était là, j'avais un peu de repris.

"Mon copain actuel s'était rendu compte des failles dès le début. Il est athée. Ma mère n'avait jamais pu lui mettre le grappin dessus. Il ne participait pas jamais aux réunions familiales, on n'avait pas arrêté ma mère tout de suite l'enquêter était en cours mais Alain était en prison, mais il était sur le site de l'église avec Nira les deux je pense qu'ils ont raté leur carrière dans les enquêtes impossible. Ils voyaient la façon que ma mère avait de parler de regarde les enfants et de parler aux adultes après avoir finir son serment, son autoritarisme, l'emprise qu'elle avait sur les gens et la façon qu'elle avait de les faire pleurer en un claquement de doigts.

Il s'en est rendu compte qui était ma mère malgré tout le mal qu'elle avait engendre dans mon cœur je l'aimais toujours je voulais avoir un lien comme tout enfant avec leur mère, alors que moi, je refusais de le voir sur son vrai visage.

Il avait raison. Il y avait beaucoup de choses qui n'étaient pas normales quand je la regardais, le fait qu'elle voulait que j'aie une fille pour donner au pasteur, là j'étais reste sans voix, et c'est là que mon amour pour elle c'était briser et fermer définitivement ; elle reste celle qui n'a mise au monde mais pas celle qui va continu à m'accompagne sur ma vie de toujours les jours. C'est comme ça que j'ai commencé à ouvrir les yeux."

Ce décès a alors mis au jour les mensonges de ma mère devant la justice : "Les papiers et les vidéos que j'avais retrouvés quand mon papa était décédé parlaient d'eux-mêmes.

-Ça a été doublement douloureux.

C'est grâce à la mort de mon père que j'ai été libère de leur emprise, et les vidéos et lettres qu'il avait envoyé au juge et à l'avocat des défenses des droits de l'enfance, j'en avais trois que lui-même avait payé.

Eux tous ils n'avaient rencontré à l'hôpital une femme forte de caractère et deux hommes, ils étaient tous là, et moi qui était perdu la mort de mon père, et celui qui allait devenir mon compagnon était là à mon chevet il avait refusé de rentre chez lui après son service.

Je lui réclamais à voir mes enfants et lui, il me répondait ne pas savoir là ils étaient et qu'il allait se renseigner, la femme avocat c'est votre père qui nous envoie vous représente et on n'a déjà saisie la justice et Alain est en prison et vos enfants que vous réclamez son admis ici ils sont en consultation.

Mon cœur se calmait, ils étaient là pour parler des documents qu'ils avaient reçu à travers mon père pour qu'ils puissent me représenter.

je n'étais à moitié en dormir sans rien comprendre à ce qu'ils racontaient et je voulais rentre cette peur qui envahissait mon cœur je regardais partout et cherchais à même temps mon père: je ne faisais que répété Alain et ma mère vont se fâche si je ne rentre pas en me levant du lit en arrachant les perfusions qui étaient sur mon bras, je dois laver le sol et je dois me mettre à cuisine qui m'a enlevé les chaines au pieds et au cou mes enfants, je m'agrippais sur l'avocate qui me prenait dans ses bras et elle avait oublié son statue d'avocate et l'un d'eux allait appelle les soignants qui accouru pour me secourir en me donnant une bonne dose de calmants qui me laissant dormir c'est mon amoureux aujourd'hui qui était venu me prendre et me mettre sur le lit ça été une bagarre au début je ne voulais pas qu'il me touche sinon Alain allait me frappe : je commençais à me déshabille, ce qu'ils avaient vu sur mon corps eux-mêmes sortir de la chambre c'était insupportable pour eux mais mon chéri resta ne voulant plus me quitter, il avait des blessures des bobos des malades mais le mien jamais, il me portait et me mis sur le lit, il restait là auprès de moi et depuis ce jour-là il ne m'a plus jamais quitter, deux policiers étaient place devant ma porte de la chambre de l'hôpital.

Il allait chercher mes enfants restant avec eux auprès de moi, quand les assistances sociales étaient venues pour me chercher mes enfants et moi pour me mettre à l'abriter, il avait refusé prenant tout en changer en allant chez lui avec mes enfants se médecin prenait soin de mes blessures de mon corps jusqu'car mon âme pour qu'ils soient guéris, pour une première fois je connu ce que c'est un foyer de chaleur, mon être entière n'était plus dans un cercueil.

"Je regrette seulement de ne pas t'avoir connu plus tôt pour pouvoir t'aimer plus longtemps mais je vais tout faire pour que tu puisses sentir l'amour que j'ai gardé au fond de moi !"

"Rien n'est jamais figé dans la vie. Je vais poser les éléments mais je peux en rajouter. Tout est transformable, pour moi, le corps est une toile formidable parce que c'est une toile vivante que j'ai appris en regardant mes cicatrices au lieu de pleure sur ces cicatrices je les admire.

Quelque part, c'est difficile parce qu'on est quand même souvent sur une corde raide. On se doit de réussir ce qu'on fait, c'est un devoir même de pouvoir réussir le projet dans lequel on s'est engagé."

C'est chouette de pouvoir enfin se regarder dans le miroir, pas avec une cicatrice en travers son corps à son âme.

-La foi soulève les montagnes, et réduire le mal dans l'enfer de la poussière.

Je tombais en miettes sans pouvoir ramasser ma chair et mes os, cette perte d'enfant que j'avais eu « Qui peut imaginer que je suis en train de perdre un enfant ? »

« Vous êtes enceinte mais vous n'aurez pas d'enfant', c'est dévastateur ! » Avec force et courage, « des crampes au niveau du ventre » et de préciser « Très vite, je commençais à ressentir aussi dans les jours qui suivent, d'autres sensations que je connaissais moins... ».

Inquiète, quand mon père venait me voir je lui en parlais déjà la première grossesse Alain ne le savait pas jusqu'car l'accouchement, c'est mon papa à deux dans ce trou qu'il venait me rendre visite qui prenait soin de moi tout le temps quand il pouvait « c'est un peu normal me disait mon père qui lui-même était aussi bien perdu que moi ».

Malgré tout, tout ce qui touchait à la sexualité et grossesse je n'étais pas bien cale, je le vivais sans rien connaitre à ce corps qui changeait, se t'être qui vous change à l'intérieur comme à l'extérieur, j'avais un tout petit vendre dans tous les relations sexuelles que je subissais je le protégeais contre lui, même après les rapports et les coups que mon corps recevait.

Une mère est capable de sauver son enfant comme le laisser mourir pour se sauver, moi j'avais décidé de tous les sauver.

« Les douleurs s'intensifiaient chaque jour, je ne devrais montre devant Alain que j'avais mal, c'était mon père qui venait après le départ de celui-ci à faire le ménage et cuisine ».

« Je ne disais rien, je traversais des journées à être esclave d'un homme violent : "J'espère qu'il n'y aurait rien de grave" ».

« En fin de compte c'était la désillusion totale de vouloir du bien de cet homme qui n'avait rien de bien à l'intérieur de lui, il était comme Alain ce regard de tueur de ne pas vouloir qui devrait vivre sur la terre surtout les femmes, puisque quand j'arrivais chez le médecin et qu'on m'avait fait l'échographie en cachette dans une chambre d'hôtel minable ou les cafards et rats y vivaient accompagne des sdf tout était mélanger des prostitués, je voyais mon père les larmes coulent sur ses joues en me serrant fort la mains on aurait dit qu'il voulait qu'on s'enfui mais l'autre enfant était rester avec Alain, c'était une garantir pour qu'il me ramène dans la maison de l'enfer.

Les barreaux d'une prison était mieux vous êtes mieux traite, et suivi.

Il avait demandé à Alain que je devrais aller la choisir une robe pour l'église la fête des jeunes mariée qui devrait se tenir à l'église et j'ai compris la leçon je vais la ramener, mon père n'avait conduit c'était la première fois que je venais de voir le médecin, il me dit effectivement que je suis en train de perdre le bébé que j'attendais. »

« Qui peut imaginer qu'à ce moment-là j'étais en train de perdre un enfant ?

Outre la douleur physique, Sylvie doit faire face à la douleur psychologique : « C'est un choc parce que, mine de rien, à partir du moment où on a fait un test de grossesse et qu'il s'avère être positif, on est enceinte dans notre tête et corps qu'on voudrait voir rond et que l'enfant bouge.

On le vit profondément dans notre corps et accepté de porte un être on ne pourrait jamais pense qui va quitter ce corps qui l'avait accepté, c'était pour moi une sensation étrangère, dans mon cœur qui avait commencé à l'accepter sans savoir s'il va rester juste là on avait gardé son cœur à nous, on penser déjà à lui donner le sein de notre chair.

On le partage avec la personne avec qui on vit il pareil mais moi c'était avec mon père que partageait tout. On est déjà en train de s'imaginer un futur, ça va très vite ! »

« C'est une situation très particulière, très douloureuse, tant physiquement que psychologiquement. »

La perte de ce bébé : « signifiait porter un chagrin presque insupportable qui ne nous quittera jamais dans notre âme »

« Personne ne devrait jamais avoir à endurer ce type de douleur et de peur.

C'est impossible. On ne peut pas l'imaginer même si cet enfant vient d'un géniteur qui est un monstre ; l'enfant n'est pour rien dans cette venue au monde, je l'aimais déjà, il va quitter de mes entrailles sans me dire pourquoi, je me sens coupable de l'avoir pas su le protéger. »

Mon père ce jour-là a été encore un héro pour moi, il était allé voir un médecin d'écrire que j'avais des infections terribles que j'avais besoin d'un mois pour une bonne guérison.

Alain étain dégoute de lire ce papier, je n'arrivais pas à marcher mon père m'avait porté pour me laisser dormir.

Ces deux mois, au lieu d'un Alain ne voulait plus me toucher j'étais heureuse, mes deux enfants je pouvais m'occupe d'eux pleinement mais derrière ce changement, il amenait les petites filles de mon âge avec qui il couchait j'avais compris que même si ce n'était pas moi ; il allait avoir une fille comme moi dans ce lit.

Il les traitait de la même façon qu'il me traitait, mais la famille ne voulait pas qu'il continu à avoir leur enfant dans ses bras.

Quand il c'était retrouve sans fille ; il avait repris sa place sur mon corps, mes enfants à côte quoi dire heureusement ce sont des bébés ils ne peuvent pas voir ou comprendre ce que leur père me fait cruellement, parfois il prenait l'un d'eux pour avoir tout de moi, l'anus, vagin et tout mettait le bébé sur mon ventre et l'autre par terre que je tenais et il me baissait sauvagement comme il voulait.

Heureusement grâce aux conseils de mon père je le laissais faire, et calme mes bébés en leurs donnant le sein, et ils avaient fini par dormir, je lui demandais de me laisse les faire couche et il pourra me faire ce donc il voudrait et il accepta ma proposition.

J'allais les couches sur une bonne couette et les mis à l'abriter.

Et j'allais donne à mon gourou ce dont il avait besoin.

Je pleurais sans crier, et je priais de trouver une solution à sortir de là !

Ce n'est pas une toile qui va rester accrochée à un mur et qui va être vue par une petite quantité de gens.

-C'est une toile qui va être vue par plein de gens.

Cet homme mon père qui a eu soif de me sauver toute sa vie jusqu'car son dernier souffle, de me voir grandir avec mes enfants et on lui a enlevé ce bonheur à mon papa. "Tu ne le saurais jamais mais tu m'as sauvé la vie avec tes petits enfants en me donnant une seconde vie"...

Dans cette lettre qui était que pour moi, quand je l'avais lu après ma délivrance je ne suis dit qu'est-ce que je pourrais faire toute la réponse était dans cette écrit : "Je ne savais pas quoi faire et tu m'as dit de partir en courant.

Les larmes aux yeux, tu avais commencé comme si c'était une blague et puis tu m'avais dit : 'Il y avait tellement de chapitres dans une vie et celui-ci n'en est qu'un seul, juste un'. Ton regard sur moi ont toujours été très importants pour moi et mes enfants, et la manière dont tu as fait de ta famille une priorité par rapport au travail de venir toujours me voir pour me sauver, c'est ce que je voulais.

Je voulais ce que tu avais. Tu n'avais pas besoin de le dire, parce que tu l'avais vécu et ça se ressentait. J'ai voulu te remercier je ne saurais pas ce qui me serait arrivé si j'étais restée. J'ai pu rencontrer mon mari parce que mon mari m'avait dit de courir en courant.

J'avais l'impression de t'avoir laissé tomber ce jour-là quand je t'avais trouvé par terre, mon corps au tien cette dernière chaleur de ta part, je suis reste jusqu'car ce que ton corps devienne froid, a-t-elle regretté.

Si j'avais été plus présente, j'aurais eu plus conscience de ce qui se passait et j'aurais dit quelque chose. J'aurais fait quelque chose. Si je pouvais revenir en arrière, je ferais en sorte d'être plus présente dans la série et plus présente pour vous toutes."

Et c'est ce que j'ai fait. Je n'arrêterais pas de penser à quel point ma vie serait totalement différente si elle n'avait pas été celle à me donner la permission de m'en aller."

« La sécurité de ma fille et de mes petits enfants se joue maintenant se disait mon papa dans la lettre qu'il avait laissé à mes avocats.

Je pensais fuir mon quotidien ce jour-là, mais je ne savais pas que j'allais rencontre mon gourou destructeur, ce que j'avais toujours entendu à la télévision dans les journaux la vie de ses enfants qui ont été viole et ses femmes battues par leurs maris à mort que je ne pouvais pas savoir que moi-même j'allais le vivre.

Quand un parent ne vous aimez pas ne force pas leur amour envers vous, qu'ils vous acceptent que dans leur ventre, vous aviez habité manger ce qu'elles mangeaient : elles vont vous rejetez à vie, si vous avez le malheur d'avoir dans cette famille des traditions malheur que vous ne sortiez de là avec des séquelles et cicatrices.

Il est difficile de rattraper ce qui a été briser au départ d'un amour de deux être qui ont été liée par le sang.

Cette manipulation est venue de façon tellement insidieuse, qu'on ne s'en rend même plus compte.

L'enfermement est physique, moral et psychologique. On vous répète tous les jours la même chose et on vous fait vivre tous les jours de la même manière.

Moi je descendais je ne savais pas qu'on me cherchais dans tout Paris, je descendis du métro, il arrivait devant moi bien habille dans son ensemble bon chique dans mes tourmentes, je n'étais perdu sur le quai du grand Paris ; je n'étais rendu sur un autre quai sans le savoir, cet homme aussi grand, avec son sac à main qu'on donnerait confiance au premier regard entant qu'enfant, ne se méfierait pas du tout, ma seule erreur était de lui demande cette phrase : Monsieur savez-vous où je pourrais aller sur le centre de Paris pour voir la Tour Eiffel ?

Il n'avait mis en confiance, je n'étais pas méfiée je voulais rencontre ma copine pour bavarde un peu malgré ma jeune âgée, je n'ai jamais été traite comme un enfant bien que je ne comprisse jamais les problèmes des adultes, c'est comme une prison entre adulte qui refuse de vivre sans faire du mal et l'enfant qui cherche à être protéger par ses mêmes adultes.

Il avait deux visages, il était quelqu'un d'autre, comme un caméléon ; "Il me disait qu'il ne m'aimait plus « près l'avoir fait du mal, il prenait le téléphone pour qu'elle puisse appelle sa mère en lui interdisant de pleure de ne pas montrer ses émotions, une petite fille ne doit jamais pleure, effacer tout ça. Je ne faisais aucun effort donc pour me faire réagir.

La voix du mal qui vivait auprès d'elle était plus que satan sans âme d'amour ; il s'amusait avec son arme sur elle, ses nuits de terreur qu'elle vivait quotidiennement, il chargeait son révolver et venait derrière elle en lui pointa sur sa tête, avec un bâton lui faisant frotter sur son corps comme sa mère lui faisait quand il était petit, avec une femme et l'embrassait devant elle.

A cause des décisions qu'il avait prise contre sa volonté, tout ce donc elle avait construit était à l'eau, elle venait de voir aller tout en fumé, il ne ressemblait plus à un homme vivant mais un homme tueur qui n'avait aucun regret, il prenait le malin plaisir apprendre le temps dans les discuter, elle était terrifiée dans cette maison en cage qu'il avait que cette voix d'Alain son tueur qui lui disait je t'aime en la brutalisant.

Elle avait fait entrer le monstre dans sa vie, sans savoir qu'il en était un, qu'il était envoyé par sa mère pour la prendre comme épouse,

"Des jours de mensonges et de douleur."

Il va briser leurs deux cœurs celui du père et de la fille, pour son pouvoir de vouloir dominer. Elle s'est sentie seule dans cette guerre d'adultes, il marquait devant elle, ses coquettes de chien qu'elle devrait manger, et lui il mangeait les choses biens.

Les violences domestiques derrière les faux sourires et les baisers manipulateurs. Traumatisant, laid et destructeur. Ça se passe partout et à l'abri des regards. À chaque fois il me posait des questions sur mes pratiques sexuelles."

-Cette expérience a été traumatisante."

Je l'ai vécu le traumatisme mentale et physique que d'autres femmes m'ont raconté leurs histoires, de ces mains qui les étranglaient et de leurs moindres faits et gestes surveillés.

Les crachats sur son corps qui étaient rempli, des bleus de mon sang qui avait été essuyer dans la chambre secouer et jeter par les tables jusqu'car perdre mon sang, il goûtait son œuvre comme un peintre qui admirait son œuvre.

La femme serait soumise à des violences physiques ou sexuelles de la part d'un partenaire intime ou à des violences sexuelles de la part d'un non-partenaire", il attrapa ses cheveux la trainait par terre, il tire sa victime comme une proie, ses mains sur son cou limiter à lui ôter la vie.

Quand t'elle veut s'échapper de lui, "Il pouvait me faire craindre le pire."

Elle était sous son emprise, elle a payé le prix fort, pour être avec lui, courir dans la rue pour sauver sa vie et celle de ses enfants à cours de bras.

"Ils sont ma priorité, je vais régler ma journée en fonction de ça. Il faut être organisés, comme tous les parents aujourd'hui"

"Mes enfants sont ma priorité" se disait Sylvie !

Elle s'est souvient encore comme si c'était hier

Les relations sexuelles avec Alain étaient "humiliantes", en décrivant de façon crue de ses demandes, et expliquant qu'il filmait régulièrement leurs ébats quel ne savait pas.

Elle dit au juge, il m'avait notamment forcée à lui faire une fellation dans une voiture, alors que d'autres personnes étaient présentes et l'aurait parfois laissée seule et nue dans une pièce pendant des heures.

Elle a été victime de violences sexuelles par le passé, chez elle et de la part d'un ancien patron de son ex Alain, avait eu ses relations sexuelles avec les deux à même temps attacher sur le lit.

Car elle n'avait "pas l'impression d'avoir le choix". Autour de son 18ème anniversaire, elle aurait décidé d'arrêter de le voir, se sentant "utilisée, humiliée et dégradée". "Je ne voulais tout simplement plus qu'on abuse de moi."

Je n'étais pas forcément bien conseillée, malheureusement".

"Peur de disparaître du jour au lendemain".

"Tu te dis : 'Si je dis non à ça, peut-être que demain on ne me verra plus.

Ces bébés que je portais en moi que je devrais protéger à tout prix, un enfant qui protéger un enfant c'est dure à l'entendre. "Le pire, c'est cette peur accrochée au ventre : celle de perdre son enfant" quand votre conjoint vous frapper. L'incompréhension, la détresse, l'impuissance, la douleur, l'angoisse permanente, le sentiment de culpabilité, et le combat, encore et toujours : j'ai protégé mes deux bébés contre tes coups.

Tu n'avais attache dans la cage et me mettre devant deux chiens allemandes la chaine au cou, les membre attachent au fer de la cage pour me faire l'amour, tu me disais prendre du plaisir, mon sexe je ne ressentais que de la douleur.

"Ça m'avait vraiment atteint".

J'arrivais plus à dire non, je ne disais la plupart des femmes ont perdu devant ces monstres qui pourrait n'écouter et me donner la voix ?

' Donc je prenais tout ce qu'on me proposait dans l'instant T et je n'avais pas de vision à long terme. J'étais un petit peu instrumentalisé à cette époque, je l'avoue."

Une relation "fusionnel malsain qu'Alain comptait sur Sylvie"

Il vont prendre le contrôle de leur vie, ces hommes : ils sont déjà nés mauvais que les parents n'ont pas vue à cette naissance, cette joie de tenir un monstre dans ses bras lui donnant tout, elle dira un bébé dans les bras de ses parents est une joie comme un malheur plupart, que leurs enfants qu'ils ont chéries était un monstre sans émotions dans ce cœur qui deviendra méchant pour réduire tout ce que Dieu a créé se mettre au niveau de celui qui l'a créer, il y a des bébés qui sont née sans émotion, c'est nous les humains qui refusons de voir la profondeur de cet humain.

On vie plus dans la surface des belles choses, le mal a toujours été là, le diable gouverner, et on accuser Dieu.

Au départ tout va bien le regard, la bouche se dit je t'aime mais l'âme ne suis pas, a-t-on bien réfléchir que c'est le bon pour la route ?

"Dégoûtée" et "honteuse" à cause de sa sexualité fait part un adulte qui savait ce qu'il voulait : Elle reconnaît avoir voulu se suicider !

"J'ai grandi dans une famille vieux-jeu. Je n'avais jamais rencontré de personne homosexuelle. Je ne savais même pas que ça existait. L'idée même me révulsait et je me disais que jamais je ne pourrais le faire", a estimé celle qui s'identifie comme pan sexuelle et non-binaire.

Je me souviens de l'immense dépression (qui avait débuté également à l'âge de mes 13 ans lorsque j'avais découvert la toxicomanie de ma mère pour boire les paroles de ces prêtres et pasteurs et le fait qu'elle soit dans une assemble d'église, ndlr) et des pensées suicidaires que j'avais connues parce que j'avais tellement honte de mon corps et celle qui n'avait porter à l'idée d'être attirée par une autre fille comme c'était raconter me faisait bizarre d'avoir rien connue pour savoir exactement qui j'étais pour me décider avec qui sortir (...)

Nous devrons être pleines de petites filles vendu aux enchères qu'on a privé la vraie sexualité de qui avons-nous besoin pour sortir avec. Une fille où un garçon, on ne nous laisser pas le choix on nous met dans une prison sexuelle qu'on ne voulait pas.

Je me disais : mon Dieu, c'est dégoûtant de parler de moi de pute que je ne couchais avec les femmes et pourtant ce n'était pas vraie, ça ne m'aurait pas fait de mal si j'avais le penchais".

Que sa sexualité fût "en constante évolution" et a révélé qu'elle doutait encore d'elle-même de temps en temps. "Il y a encore une partie de moi où je me disais : ' J'aimerais pouvoir être hétéro où complément un homme pour que mon destin ne soit pas changé de cette façon.

Il y avait encore ce côté-là, que je cherchais que je ne trouvais pas de réponse où c'était l'amour vache que je recevais sans joui avec des douleurs au fond de mon vagin qui me donnait cette envie d'être quelqu'un d'autre que d'être une femme ?

C'était vraiment compliqué", avait-t-elle admis.

J'étais tellement malheureux et je ne suivais pas ma vérité, surtout en ce qui concerne le fait d'être enfant. Tout ce truc de devoir rentrer dans la boîte que je n'étais construit en me protégeais de tout même de moi-même, je suis une personne androgyne".

"J'aimais être une femme forte à l'intérieur comme à l'extérieur, comment prendre tout ça pour quelqu'un qui ne sait même pas s'aime lui-même, m'habiller et faire tout cela, mais j'aimerais aussi être un 'homme dans le corps pour ne pas être prise en otage pour des actes cruelle'...

Je me sens tellement plus à l'aise dans la fluidité de ce que c'est d'être juste un humain et d'être un animal, presque, parce que c'est ce que nous sommes. Faire confiance à ses propres instincts".

Quand t'elle tombait enceinte, et avait son bébé il continuait à lui faire l'amour même dans ses règles de femmes, il prenait l'enfant le posait à côte à même le sol, pour se soulage.

Pour la deuxième grossesse c'était l'horreur aller se retrouver un accoucheur qui ne faisait plus ce métier depuis longtemps il faisait des accouchement clandestins celles qui voulaient avorte c'était un médecin de l'église il pouvait gagner beaucoup sur ses pauvres innocentes qui ne savaient pas ce qui pouvait les arriver; ses hommes autoritaires avec leur violence surtout ses femmes étaient leurs esclaves, elles ne pensaient plus d'elles même plus de vie ni destinée, on dirait que tout a été scelle après leur venu au monde tu épouseras l'homme de ton pays, religion et tradition le jour du mariage beau sourire et l'âme pleure en regrettant d'être venu au monde "On était presque morts tous les deux mon enfant et moi."

"J'avais eu une césarienne. Pour mon fils, c'était complètement fou, on est presque mortes. Cela ne s'est pas bien passé"

Cette tristesse qu'elle gardait en elle combien même ses deux enfants étaient aussi maltraités.

"Donc, j'ai maintenant une grosse cicatrice sur le corps et quand je la regarde, je me dis, oh waouh, ça n'était pas là avant. Et ce n'est pas qu'elle est moche ou que vous voulez la juger, mais vous vous dites quand même 'mon Dieu'".

"Les enfants mangent le soir, mais moi je ne mange prés que plus, c'est eux que je pense quand Alain rentrait parfois soule là j'avais du repris le repas de mon père nous faisait du bien"

Se sacrifier pour ses enfants ma vie s'arrête là. Je ne vais pas au cinéma, le dernier film que j'ai vu, On mange un repas sur deux. Les petits ne manquent de rien, ils mangent le midi et le soir, mais nous, on ne mange que le midi"

"Il avait fait des trucs avec son corps qui a été destructive pour elle"

Nos deux trains se sont croisés. Je sors ma tête de la fenêtre en respirant une nouvelle vie. Nos mains se touchaient avant en me donnant un petit papier avec une adresse sans aucune histoire à construire, tu as mis du sang à mes mains que je ne pourrais plus jamais les rendre propre".

"On a fait des trucs avec notre corps, qui n'étaient pas trop cools, je pensais que c'était normal de faire l'amour comme ça".

"Notre corps était cool, parce qu'on j'étais jeune. Et puis, c'était cool, tout court.

C'était ça que mon cœur voulait y croire pour ne pas sentir la douleur, chaque jour à chaque rapport avec toi ; je sentais cette douleur à mon vagin, je prierais Dieu de me donne la force à mon corps de pense que nos corps étaient parfaits à cet instant comme tu disais.

Quand on enfant, on a aucune émotion de jouissance sexuelle ; c'est plus la douleur qui nous fait vivre.

Je pensais combien je pouvais avoir une autre vie à chaque fois tu me faisais l'amour cette douleur était affreux, quand les adultes décident de ta vie sexuelle sans ton accord, c'est très dangereux, c'était super devant toi l'horreur que mon cœur saignait ; Alain avait trois choses qu'il me disait "trois choses que tu cries pendant le sexe" : "C'est trop bon, tape dans le fond ». Et je pleurais de douleur lui il était bien dans cette vie sexuelle et moi j'en souffrais."

"Après deux ans à me dire que je ne suis pas excitante..." Tu continuais à utilise ce corps que tu maltraitais.

- Une histoire poétique, pour ne pas dire romanesque.

L'amour ne dure pas entre deux personnes à cause des nombres, parce qu'il n'y a pas d'entente au départ, ils se font des jours heureux sans se connaitre à leur habitude, des jours que vous, vous étés vus, non c'est le cœur qui décide de ce qu'on construira avec l'autre, ce qu'il va vous apporte à l'avenir.

Je dois te dire que dès le premier jour c'est ton sourire qui n'avait, il n'y avait pas d'amour dans cette rivière que je chercherais à ne pas couler dans la boue.

Quand j'avais été lavé mes mains pour toujours pour effacer les fouets que tu me donnais, mon sang a commencé à glace, cette sueur qui coulait sur mon corps entier, mes yeux même mes larmes n'arrivaient plus à couler dans ce beau visage, comment peut-on décide de l'avenir d'un être humain et le briser pour avoir le pouvoir d'une propriétaire non-acquit sur cette terre que tout va mourir et disparaître.

-Est-ce que l'être humain est-t' il conscience que le monde ne l'appartiendrait jamais ?

Je croyais qu'il y avait de l'espoir dans ces eaux que je traversais avec ce courage, mon père me disait qu'un jour cet eau que je traverse ne sera plus amère mais douce à boire, je suis dans ce restaurant que je ne pouvais pas imagine qu'un jour, je pouvais manger des choses biens, boire de l'eau dans un verre, toucher les belles choses, réapprendre à respirer avec mon corps.

Mais je ne veux plus me ramener à nager pour revenir vers toi, mes chaines ont été brisées la rivière sont eau je peux la boire sans avoir peur de me noyer.

Quand je me noyais dans ce silence sans parole au départ ; j'avais failli prendre ma voix, ma gorge était déjà habituée aux cris et au pleure.

Laissez-moi entrer dans le monde des vivants, tout en moi va réapprendre à aimer ce monde qui n'avait été ôter brutalement par votre cruauté, ce vent je peux l'apprécie comme à ma naissance sans danger.

Je n'avais pas non plus ressenti de ressentiment qu'une romance destructive qui pouvait se propager comme ça dans cette demeure que tu n'as fait vivre.

L'amour intense pourrait me submerger si je trouvais le bon sens cage d'amertume.

J'ai trouvé l'amour dont j'avais besoin depuis si longtemps auprès de mon père et là avec mes enfants je me reconstruis, j'apprends à apprécie le monde sans danger.

Qui m'a parlé d'amour à part mon amour qui m'a porté dans mes douleurs tous les deux on est allé en prison d'une vie que vous aviez décidé de changer notre destinée.

Il soignait mes blessures et pour lui-même, non il s'occupait de mon bien-être mo père.

Mon amour pour toi est fou le tour du monde pour toi pour combler tous tes désirs, une nuit sans sommeil je veux te voir ce soir mon papa, je peux me battre grâce à toi et avoir de l'espoir que derrière ces barreaux.

Pour boire un peu d'amour mon cœur est en toi, je suivie grâce à toi, tes petits enfants sont avec nous, ses barreaux sont dure à atteindre je sais que tu feras de ton mieux pour nous.

Laisse-moi te dire ces moments de partage merci !

Quand ses lèvres se reposaient de chaque côté de son corps, elle voulait apprécier le gout sexuel, mais à cause de ce qu'il lui infligeait qui était horrible se gout devenait amère, l'avenir n'est rien, qui je suis une trahison horrible.

Il est rentré dans ma vie comme un venin de crabe, j'étais seule dans ce ménage, j'étais comme une statue devant lui, la douleur du cœur est immense.

Le grand sourire peut devenir trahi ce que vous pensez c'est quand le désir peut être ravivé

Faisons l'amour Les mots me manquent je rêvais de ça, je n'étais pas libre, même un aigle peut voler moi non, même le papillon je voulais l'être.

            
            

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