Belle-mère : tu parles à qui comme ça je pense que tu oublies qui t'a porté neuf mois
Seri : ce n'est pas ce que je voulais dire
Belle-mère : mais tu as dit. C'est comme ça que cette sorcière te monte la tête ?
Louise : je n'ai plus faim
Belle-mère : et on fait comment lève-toi et laisse-moi manger avec mon fils
Seri : j'en ai assez entendu. Mais maman que veux-tu ? Tu me mets au pieds du mur. Oui tu m'as porté neuf fois je suis au monde et en bonne santé grâce à toi. Mais Louise est ma femme elle porte le nom de Seri et c'est mon choix
Belle-mère : tu ouvres ta bouche pour parler à ta mère de la sorte. Tu cherches la malédiction ?
Seri : cette malédiction sera nulle et sans effet car Dieu m'est témoin de l'amour que je porte à ma femme. Je l'ai choisi pour le meilleur et le pire. Si elle n'enfante pas il y a des raisons médicales ce n'est pas une sorcière
Belle-mère : ferme ça ! comme ton père tu es. Un vrai lâche et idiot
Seri : laisse papa en dehors de tout cela. S'il était là ma femme serai la bienvenue dans la famille
Belle-mère : donc tu ouvres encore ça ?
Louise : chéri ne t'emporte pas pour ça. Au bout d'un moment on s'habitue
Belle-mère : tu es une sorcière point final. Tu veux gâcher la vie de mon fils
Louise : belle-maman votre fils est la personne que j'aime le plus dans ce monde. Je me suis toujours battue toute seule depuis la mort de mes parents. Tu ne peux pas comprendre la douleur que j'ai en tant qu'une orpheline délaissée de tous. Mon rêve était de construire une grande famille pour leur montrer mon amour un amour qui m'a été arraché très tôt
Louise était au bord des larmes. Il était très difficile pour elle de penser à tout cela. Son mari lui a tenu la main
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Seri : chérie ne te met pas dans cet état
Louise : si chéri. Je suis une femme tout comme ta mère. Elle réclame un petit fils que je ne suis en mesure de lui donner pour le moment mais Dieu me fera grâce je suis ferme là-dessus
Elle se leva et monta dans leur chambre en larmes. Son mari avait couru derrière elle
Belle-mère : tu vas où ?
Seri : maman tu peux être fière de toi
Belle-mère : donc tu te lèves pour suivre cette femme et tu laisses ta mère seule à table
Seri ne lui avait pas répondu. Cette dernière continua à manger comme si de rien n'était
DANS LA CHAMBRE
Seri : bébé
Elle se tourna de l'autre côté pour qu'il ne la voit pas pleurer
Seri : je suis désolé
Elle ne parlait pas
Seri : je n'ai pas les mots pour le comportement de ma mère. Mais je t'aime et pour rien au monde je t'abandonnerai
Louise : elle me déteste tellement. Ma vie a toujours été difficile et aujourd'hui Dieu me met encore au défi il m'a pris mes parents tôt et maintenant il me refuse de concevoir
Seri : ne parle pas comme ça
Louise : mais qu'ai-je fais. Je n'ai pas droit au bonheur ? En pleurant de plus en plus
Seri : je suis là moi
Louise : je sais mais je sais aussi que tu rêves d'avoir des gosses
Seri : avec toi
Louise : mais j'en suis incapable
Seri : on va recommencer tous les tests et traitements
Louise : jusqu'à quand ? Je n'en peux plus, en se refermant sur elle-même et en pleurant.
Vu l'état de sa femme qu'il n'arrivait pas à réconforter il était descendu après lui avoir fait un bisou sur le front.
DANS LA SALLE A MANGER
Seri : maman il faut qu'on parle
Belle-mère : je t'écoute mon fils
Seri : pourquoi tu détestes autant ma femme ?
Belle-mère : si c'est ce sujet laisse tomber
Seri : je n'aime pas la voir souffrir
Belle-mère : c'est moi qui dois souffrir ?
Seri : la vie lui a fait voir de toutes les couleurs. Elle est le plus beau cadeau que Dieu m'a donné si la seule solution pour qu'elle ne soit pas troublée est ton absence, je vais te demander de quitter ma maison
Sa mère lâcha le verre qu'elle tenait. Il se cassa et Awa se précipita jusqu'à la salle
Awa : je vais nettoyer ça, vous n'avez rien ?
Elle n'avait pas eu de réponse à sa question.
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Belle-mère : répète ce que tu as dit
Seri : maman tu m'as bien entendu
Belle-mère : je suis qui pour toi
Seri : ma mère. Et moi, je suis qui pour toi ?
Belle-mère : mon fils, l'unique
Seri : et pourquoi tu ne veux pas mon bonheur. Quand je vais en mission je dure. Quand je rentre j'ai besoin de paix et surtout de profiter de ma famille. Mais chaque fois que tu es là les choses tournent au vinaigre
Belle-mère : je veux vois mes petits enfants
Seri : mais bon sang maman, en criant. C'est si incompréhensible que ça ?
Belle-mère : c'est toi qui ne me comprends pas. Et tu n'augmentes pas de ton quand tu me parles
Seri : maman fais des efforts c'est tout ce que je te demande
Belle-mère : je ne partirai pas d'ici je suis là pour trois jours et je compte bien rester
Seri : ok
Belle-mère : parle bien
Seri : on va faire comme tu veux. Reste
Belle-mère : mon fils j'aime quand tu parles comme ça
Seri : ce soir je ne reste pas ici ma femme a besoin de repos
Il tourna le dos et monta de nouveau dans sa chambre
Seri : chérie prends quelques vêtements
Louise : pourquoi ?
Seri : j'ai demandé à ma mère de partir elle ne veut pas. Je ne veux plus te voir dans cet état
Louise : pourquoi tu lui as demandé ça ?
Seri : pour ton bien
Louise : elle reste ta mère
Seri : oui mais elle nous pourrie la vie
Louise : j'ai déjà l'habitude
Seri : bon je vais faire une petite valise pour toi
Il se leva du lit et commença à prendre quelques affaires.
Louise : tu es sérieux là ?
Seri : j'ai l'air de plaisanter, dit-il en rigolant.
Louise : on va où ?
Seri : tu verras
Une fois la valise faite, ils descendirent.
AU SALON
A
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