Chapitre 7 Qui sortira vainqueur

Alors que les rayons de soleil se posaient sur ma peau j'ouvris tout doucement les yeux pour ne pas être aveuglé je me dirigeais par la suite dans la salle de bain où je profite bien de ce moment pour mieux me détendre j'étais à mon aise Lorsque Cheryl arriva toute apeuré chose qui m'étonne car elle prenait toujours le temps de me demander d'abord mais qu'est ce qui la bien poussé à y prendre accès sans mon autorisation

-cheryl tu pouvais au moins tapé avant de rentrer

-excusez moi mademoiselle mais celà fait un bon bout de temps que monsieur vous attend il est très remonté et demande à ce que vous descendez toute suite sans perdre une seconde de plus dit-elle paniqué

shut la restriction de William m'étais sortie de la tête j'avais très bien dormi cette nuit que j'eus ne pas faire de rêve comme toutes les autres soir où je me couchais dans mon lit j'étais la dernière à me coucher et la première à me réveiller je me réveillais bien avant l'aube mais cette nuit ne fut pas le cas j'avais pas vu le visage colérique et haineux de ma mère. malgré lui avoir trop fait attendre mon excitation d'aggraver sa colère me traversa l'esprit

-tu peux informé William que je descendrais dans pas longtemps lui avais-je dit

elle acquiesça et sortit de ma salle de bain quelques minutes plus tard je sorti aussi de celle ci après avoir sécher tout mon corps je me dirigeais ainsi vers la penderie dans la quelle je choisis une tenue sexy et provocante je voulais tant bien que mal voir l'expression faciale de cet homme extrêmement froid et impassible je l'enfile et me fait une beauté époustouflante je m'étais mes yeux en valeur sans oublier mes lèvres pulpeuses et rosés sur lesquelles je parsemais une bombe à lèvres rouges sang j'enfile des escarpins noirs qui y font très bien avec ma robe moulante dos plongeant de couleur rouge

-tu vas faire des ravages Alma Alvez voyons voir Cher William si je vous fais de l'effet

un coup d'œil de plus dans le miroir avant de me diriger vers l'extérieur de la cour où il y soufflait un vent frais et glacial je frissonne et c'est à ce moment que je sus que j'aurai dû prendre un manteau toutefois mon regard se pose sur celui de William qui à mon plus grand regret ne reflétait aucune réaction il me regardait comme si j'étais une femme banale à ses yeux.certe j'étais malmené par ma famille mais ce que j'aimais par dessus tout est l'effet que je fessais aux hommes d'autres dans cette situation auront bien voulu me faire les leurs à cet instant même,mais lui se contentait de mon regard

je soutenais son regard sans perdre la face lui aussi soutenais mon regard, un duel s'en suivait j'avançais telle une reine vers le démon il fit de même de son côté avec sa démarche terriblement effrayante lorsque nous fûmes à la même hauteur je soutient une fois de plus son regarde je ne me déstabilise pas pour autant il me surplombait de sa taille et j'étais comme une petite fille qui venait tout juste de faire une bêtise attendant sa punition

-je croyais avoir été suffisamment clair avec toi hier soir comment pouviez vous me faire attendre dit-il très en colère

sa voix était grave et ne laissait aucune place à la contestation je voulus fuir à ces instants oui j'étais terrifiée cependant je ne laissais rien paraître sur mon visage lui il me regardait toujours intensément et moi j'avais pas du tout baisser le regard

- je dois vous avouer que je ne vous ai pas tellement écouter hier soir que je pris celà comme une blague vous ne m'en voudrez pas pour si peu

il lâcha un rire nerveux ce qui venait à me glacé le sang il avançait un pas encore quitte à violer l'espace qui nous séparait

-comme une blague ?croyez vous que vous êtes là pour blaguer où vous croyez que je ressemble à un clone dîtes moi dit -il très en colère

ses pupilles se dilatent et son visage se transforme par celui de la colère toutefois je ne ne branchait pas j'étais face à lui les yeux dans les yeux en tenant tête au chef de la cosa Nostra je le faisais car je craignais plus rien je pouvais bien mourir maintenant que personne ne le sauras

-franchement oui tu ressembles plus à un clone qu'un chef mafieux lui dis-je impassible

-d'accord maintenant et jusqu'à ce que la punition fut retirer tu seras la domestique personnelle de ma mère et crois moi que si tu t'y oppose la mort sera un bien meilleur châtiment que ce que je te réserve

je préfère encore mourir qu'être le jouet de cette femme immonde et irrespectueux j'étais même très gentille avec elle en lui disant qu'elle était belle alors que ce n'était pas le cas

-je refuse d'être le jouet à votre mère comprenez le bien

-carl conduit notre invité à l' entrepôt je lui donnerai un avant goût de ce que je lui réserve si elle refuse de suivre mes ordres ordonna-t-il à son employé

il me conduisit jusqu'à l'entrepôt où il se trouvait un homme accroché au mur recouvert par des traces de fouets j'avale difficilement ma salive

-mademoiselle Alvez voyez vous cet homme à commis l'erreur de me désobéir voici le traitement que je lui infligerai pour qu'il comprenne qu'on ne s'en prend pas à William Colombo dit-il en retouchant sa chemise

l'homme ne cessait de demander pardon mais il ne l'écoutait pas William se saisit d'un petit couteau qu'il se fait un plaisir de plongé dans les blessures de cet homme qui ne cessait de crié et demander pardon après un bon moment il se saisit d'une batte en fer qu'il prenait un malin plaisir à lui infliger des coups de partout sa tête son trose et même son entrejambe devant cette actes de violence je decide de pas le désobéir je pouvais être une rebelle je ne faisais pas le poids face à lui

            
            

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