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point de vus de William Colombo
Ce que je détestais par déçu tout c'est qu'on s'en prenne à ma famille Alma venait de le faire tout bonnement sans pour autant mesuré ses mots toutefois elle avait ses raisons ma mère ne devrait pas lui parler ainsi je decide de quitter la table je me dirigeais vers mon bureau où je pénètre sans perdre un instant de plus
je me prie un verre de vodka avec un tout petit peu de glaçon que je buvais d'un trait je m'en servis une autre avant de me diriger vers la fenêtre où je pouvais apercevoir jason qui discutait avec Alma je les observais un moment et fus surpris de le voir lui prêté sa veste jason était de ses mec qui ne se satisfait pas d'une seule et voulais toujours plus l'art de berné les filles était dans ses gènes
ils discutaient toujours lorsqu'elle souris son sourire lui ressemble tellement je cru voir en quelques instants celui qui me l'avait enlever
-carl dîtes à mon cousin qu'il me retrouve dans mon bureau toute suite
-oui monsieur toute suite
je ne pouvais pas le laisser gâcher tout mes plans s'il en était amoureux il ne me laisserai pas lui faire du mal Jason peut être aussi innocent qu'il ne paraît mais il s'agit d'un homme extrêmement cruelle je l'étais encore plus que lui voir même mille fois pire que lui j'étais redouté de tous et j'aspire la crainte il ne m'avait pas fallut tout ces efforts pour ne pas être craintif quelques minutes plus tard il arriva dans mon bureau un silence lourd planait des duels de regard s'enchainent j'avançais pas à pas vers lui tout en le regardant droit dans les yeux je vis de la peur dans ces yeux et celà gonflait mon ego j'aimais quand on a peur de moi j'étais désormais à son hauteur lorsqu'il essayant tant bien que mal de soutenir mon regard il pouvait être impitoyable avec qui conque mais pas avec moi
-tu m'as fait interpeller je t'écoute que veux tu me dire lâchait -il en osant enfin soutenir mon regard
-je ne voudrais plus jamais te voir avec ma victime l'ordonnais-je droit dans les yeux
-j'ai vois pas pourquoi je devrais pas m'approcher d'elle elle est belle et tout à fait mon genre dit-il
-c'est exactement pour ca que je ne veux plus te voir prêt d'elle est ce que tu as compris rétorquais-je
il soutient enfin mon regard on se lançait des regards qui en disait long il n'était pas suffisamment courageux pour soutenir une minute de plus mon regard
-ne me dis pas qu'elle te plait William tu n'es pas du genre à flancher pour ces genres de fille alors que moi c'est tout mon genre me dit-il sèchement
-je te dis juste de pas t'approché d'elle je ne me répéterai pas la prochaine fois que je te vois aussi proche d'elle tu perdras tes yeux m'as tu compris Lui dis-je impassible
-pas besoin de me le répété cousin relax je voulais seulement discuter avec elle, elle est intriguante et c'est la première qui a tenu tête à Angèle colombo me dit-il sur le point d'éclater de rire
-oui elle est assez courageuse voyons où elle peut aller pour le montrer je compte pas lui faire des faveurs je veux qu'elle souffre comme moi j'ai souffert pour ce qu'il a fait lui avoue-t-il
-je te soutiendrai compte sur moi William mon aide sera le bienvenu on va le retrouver soit en sur
je lui répondis par un mouvement de tête il se dirigea lui aussi et saisit un verre de vodka qu'il but avec considération et modération
-toujour aussi méfiant William vas tu un jour me faire confiance me dit-il comme un aveu
-elle se mérite la confiance et moi je ne la donne pas deux fois contentes toi de faire ce pour quoi tu fais partie de ma mafia et reste loin de ma victime lui dis-je
Sur ces mots je quittais sans un regard mon bureau pour enfin me diriger vers le parking je monte dans ma Rolls-Royce phantom avant de disparaitre dans la nature il m'était difficile de trouver sommeil la nuit car je me remémore chaque seconde ses derniers instants j'avais été incapable de la sauvé de ce monde si dangereux dans la quelle je vivais c'était mon quotidien et cette réalité me rattrapais à chaque instant de ma vie il me rappelais à quel point j'étais faible et impuissant j'arrivais devant cette immeuble et y grimpais pour ensuite me mettre à courir d'immeuble en immeuble c'était ce qui m'apaisais
Après une bonne heure sur les toits je decide enfin de rentrer dans cette demeure qui fut aussi la sienne et qui n'était plus ce qu'il était depuis qu'elle n'est plus j'arrivais et après avoir garé ma voiture dans le parking je me dirigeais vers ma chambre toutefois je fus surpris de voir la lumière allumée provenant de sa chambre j'avançais et la trouve entrain de lire elle était tellement plongé dans son livre qu'elle ne m'attendis pas arrivé lorsque je fus à son hauteur je lui réplique
-mademoiselle Alvez pourquoi ne dormiez vous pas
-je crois pas avoir des explications à vous fournir et maintenant sortez de ma chambre la prochaine fois soyez poli de bien vouloir taper avant de rentrer
cette fille avait vraiment le cran de me parler ainsi ne tenait t'elle pas à sa vie même après avoir su qui j'étais vraiment
-je vous attend de bonheur demain matin à 6h et croyez moi que si vous y êtes pas vous le regretterez amèrement
-très bien monsieur je serais sans faute
-en plus c'est la dernière fois que vous parliez ainsi à ma mère la prochaine fois je vous tue sans regret
je croyais lire de la peur dans ses yeux mais ce fut autre chose ce que j'arrivais à voir dans ses yeux bleus était étrange c'était comme si elle le voulait et qu'elle n'attendait que la mort qu'est ce qui a bien pu la brisée autant
- votre mère n'avait pas le droit de me parler ainsi et croyez moi je vais pas me laisser faire, personne ne m'insulte alors que je ne lui ai rien fait