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ETHAN a accepté de faire affaire avec le PDG JOACHIM même si on pouvait voir qu'il nous cachait quelque chose, rien qu'en voyant l'avocate ANGEL BIACHI ROMANO.
Dans la même journée, sa femme ADMIRABLE a été convoquée au bureau pour une mission, et la mission était de faire tomber le maire de la ville CABRAL ROMANO. Apparemment, ce dernier détourne l'argent de l'État et du peuple.
Un peu plus tard, DIVINE informe sa mère et son copain qu'elle était invitée à cette soirée Gala, mais ils n'étaient pas du tout contents. Mais vu qu'elle était catégorique, ils ont fini par lâcher prise et accepter.
Puis MAXIME avait enlevé tous ses vêtements et il était resté en tenue d'Adam. Faut dire qu'il était bien structuré, vu les yeux de DIVINE qui brillaient à mille feux.
Quelques minutes après, on pouvait entendre que des cris... Pas n'importe quels cris, les cris du genre :
DIVINE : Haa... oui... Oui... Vas-y...
Tout laisse à croire qu'ils étaient en train de faire une très bonne discussion corporelle.
Plusieurs minutes après, ils avaient fini et ils étaient allongés sur le lit, l'un dans les bras de l'autre.
MAXIME : Wahou... Jamais je ne m'habituerai à cette sensation. C'est trop pour moi.
DIVINE : Arrête, sale flatteur.
MAXIME : Sale flatteur ? Moi ? Laisse-moi rire. Tu sais combien d'hommes te veulent là dehors ? Ils sont hyper nombreux mais c'est moi qui ai ce privilège d'être ton gars...
DIVINE : MDR, je t'aime et je m'en fous d'eux.
MAXIME : Je sais, mon cœur.
Ils s'embrassent pendant un moment tout en souriant. Oui, ils étaient heureux.
DIVINE : DIVINE Fashion.
MAXIME : C'est quoi ça ?
DIVINE : J'y ai réfléchi, voilà le nom de mon atelier et de mon entreprise future. Sans oublier la marque.
MAXIME : Wahou, ça sonne plutôt bien.
DIVINE : Merci.
MAXIME : Mais dis, t'as trouvé un bâtiment pour commencer ton atelier ?
DIVINE : Toujours pas...
MAXIME : Je vois. Mais tu ne trouves pas que c'est un peu rapide de penser à tout ça ? Enfin je veux dire... Commence d'abord par trouver un atelier avant de penser à l'entreprise et à la marque.
DIVINE : Pourquoi j'ai l'impression que vous doutez toujours de moi ? Toi, maman... Bref, tout le monde ?
MAXIME : Mais non, c'est pas ce que je voulais dire et j'ai jamais douté de...
DIVINE : Arrête de mentir. Tout en se levant du lit, elle ramasse ses vêtements et les enfile à la seconde qui suit.
MAXIME : Mais mon cœur...
DIVINE : Je dois aller prendre l'air... J'ai mal à l'estomac à force de respirer le même air qu'un homme qui ne croit jamais en moi.
MAXIME : Mais mon cœur...
Trop tard, elle était déjà partie.
MAXIME se précipite pour s'habiller aussi, histoire de la rattraper, mais une fois au salon, il tombe sur sa belle-mère, bon la mère de DIVINE quoi.
MAXIME (gêné) : Ho madame, c'est vous ? En fait, nous n'avons rien fait...
______ : Arrête-moi ça. Je t'aime bien MAXIME, mais je commence à douter un peu de toi là... Ce que tu fais dans la vie de ma fille, c'est seulement la baiser...
MAXIME : Mais non, qu'est-ce que vous racontez madame ? Vous ne pouvez pas savoir comment j'aime votre fille... C'est normal, c'est juste des envies qui arrivent aux personnes qui s'aiment vraiment, mais je l'aime et je serais prêt à tout pour elle.
______ : Peu importe... Je m'en fous. Ça serait bien que tu l'épouses et là tu pourras faire tout ce que tu veux avec elle... En plus de ça, tu ne me respectes même pas... S'il y avait un peu de respect, tu n'allais pas venir coucher avec ma fille jusque dans une pièce à côté de la mienne tout en sachant qu'il y a sa mère... Quelle génération maudite, quelle génération sans fondement.
La mère était furax, elle était vénère et MAXIME était resté là, silencieux et gêné, ce genre de gêne qui te paralyse. Vous voyez le genre ? Voilà.
Puis on voit MAXIME qui s'approche et prend place sur le canapé, il était abattu.
Le pauvre ! Mais que peut-il faire si une femme, pas n'importe quelle femme mais sa copine, l'invite dans sa chambre ?
La mère avait remarqué qu'elle y était allée un peu fort.
______ : Je suis désolée MAXIME...
MAXIME : Mais non, vous inquiétez pas pour ça madame, et vous avez complètement raison... Notre relation actuellement se résume qu'au sexe. C'est difficile à croire mais je ne suis pas du tout content de ça. J'ai envie de construire quelque chose avec votre fille mais elle ne m'écoute pas... Elle ne me laisse pas le temps d'exposer mon projet, et un jour je lui ai parlé de fiançailles mais elle a complètement zappé le sujet. Tout ce qui l'intéresse, c'est bâtir son entreprise et ça me fait un peu peur.
______ : Comment ça peur ?
MAXIME : Elle rêve un peu trop pour son niveau... Pour réaliser ce genre de rêve, il faut avoir des contacts et avoir quelque chose sur son compte, mais elle n'a rien de tout ça. Et moi je suis juste un gars qui travaille dans un établissement où on me paie un salaire merdique. Bref, nous sommes toujours pauvres et je me demande jusqu'où elle peut aller pour réaliser son rêve.
La mère était restée là, silencieuse.
DIVINE, une femme courageuse et ambitieuse. Je dirais même accro à l'ambition, qui vit dans un monde pourri, un monde de riches, et elle veut aussi arriver au même niveau que tous ces bourgeois. Va-t-elle y arriver ? Jusqu'où ira-t-elle pour bâtir son entreprise et sa marque DIVINE Fashion ?
Pendant ce temps, dans une belle p'tite maison, on voit une voiture qui se gare et une femme descend avec des cartons, c'est ADMIRABLE, et une fois à l'intérieur, une très bonne odeur l'avait accueillie.
Elle s'approche de la cuisine et c'est là qu'elle tombe sur son mari portant un tablier en train de cuisiner. En voyant ça, elle sourit et reste là, silencieuse, en train de le regarder faire.
À juger par l'odeur, c'était du riz, des macaronis, des spaghettis, des œufs et du salami. Tout laisse à croire qu'ETHAN préparait quelque chose de ouf.
ADMI : Tu sais, t'étais pas obligé de le faire. Je suis revenue aussi vite pour le faire.
ETHAN : Ho mon cœur, t'es là depuis quand ?
ADMI : Depuis longtemps, assez pour voir que tu es motivé.
ETHAN : MDR.
Elle s'approche pour se tenir juste devant lui.
ADMI : Et je peux savoir c'est en quel honneur tout ça ?
ETHAN : Il doit y avoir un honneur ou une raison pour préparer pour ma tendre femme ?
ADMI (sourit) : Tu ne peux pas savoir comment je suis contente. Merci beaucoup, mon cœur.
ETHAN : T'inquiète. Et où étais-tu ?
ADMI : Ho, tout ce que tu prépares m'avait fait oublier MDR.
ETHAN : MDR, n'importe quoi.
ADMI : En fait, j'étais convoquée au bureau.
ETHAN : Une invitation du genre qu'il y a une nouvelle proie pour toi ?
ADMI : Ouais.
ETHAN : Et c'est qui ?
ADMI : T'as oublié ou quoi ? On ne parle pas boulot pendant la cuisine ou pendant le repas... On parlera de tout ça après.
ETHAN : D'accord chef.
ADMI : Bon, je monte prendre une douche, je suis exténuée...
ETHAN : D'accord, mais avant mon bisou.
ADMI sourit de nouveau, elle s'approche et prend de l'élan sur la grosse table qui les séparait jusqu'à ce qu'elle atteigne la bouche de son mari, et c'était parti pour un baiser doux et passionné.
Puis elle partit.
Pendant ce temps, à la résidence du maire de la ville, la résidence ROMANO.
On pouvait voir la famille à table : le maire, sa femme et une fille de 17 ans pour être plus précis. Et cette dernière mangeait tout en manipulant son téléphone.
ANGEL : JAYCE, veux-tu bien déposer ce téléphone ?
JAYCE : Ça t'a fait quoi ?
ANGEL : Me pose pas une question aussi idiote... Et je ne me répéterai pas.
La jeune fille regarde sa mère pendant un moment, ce genre de regard qui dit : TU ME FAIS CHIER.
ANGEL : Dépose, jeune fille.
JAYCE : C'est bon, ça va. Merde.
ANGEL : Merde ? À qui ?
CABRAL : Ça va, ça va, ça suffit les filles... On ne peut pas manger tranquillement ?
ANGEL : Ta fille dit à ta femme "merde". C'est tout ce que tu trouves à dire ?
CABRAL : Et où est le problème si on dit "merde" ?
ANGEL (colère) : Merde, tu commences à m'énerver.
CABRAL : Voilà, tu l'as aussi dit. Tu vois ? C'est un mot comme les autres.
Et c'est là qu'on voit CABRAL et sa fille qui commencent à rigoler.
ANGEL se lève de son siège.
ANGEL : Tu m'énerves, et toi aussi JAYCE... Crois-moi petite fille, je vais te façonner à mon image... Nous sommes une grande famille, et dans cette famille, les femmes sont battantes et respectueuses, pas une simple fille gâtée à papa. Tu comprends ?
JAYCE regarde sa mère sans rien dire. Cette dernière repose la question mais cette fois-ci avec autorité et rage.
JAYCE : D'accord, mère.
Puis elle est partie dans la chambre, laissant son père et sa fille.
CABRAL : Tu sais très bien que je t'aime beaucoup mais tu dois écouter ta mère.
JAYCE : Elle m'énerve. Elle pense tout connaître et tout diriger.
CABRAL : JAYCE, c'est ta mère voyons...
JAYCE : Oui et je le regrette. Elle se lève aussitôt et monte dans sa chambre.
CABRAL : Merde. Ouf, heureusement elle n'est pas là.
Il prend plus de trois cuillères dans son assiette et monte dans la chambre.
Une fois arrivé, il tombe sur sa femme qui était debout devant le miroir en train d'enlever ses bijoux.
Il s'approche lentement et se colle derrière elle.
CABRAL : Mate-moi cette beauté.
ANGEL : ...
Il fait passer les cheveux de sa femme de côté, histoire de voir son cou.
CABRAL : Laisse-moi t'aider. Et commence à enlever son collier.
ANGEL : J'aime pas du tout la façon dont tu parles à ta fille... Tu la rends mal élevée, impolie et surtout incapable...
CABRAL : Non mais arrête... Elle n'a que 17 ans.
ANGEL : Et c'est le moment d'abattre le fer... On abat le fer quand il est encore chaud.
CABRAL : ...
ANGEL : Nous sommes la grande famille de cette ville, t'es le maire et moi l'avocate. Tous les yeux sont sur nous et nous devons être parfaits... Et toute notre richesse sera au nom de JAYCE vu que c'est le seul enfant qui nous reste, et elle doit se lancer aussi dans la politique et le droit. Alors imagine si elle passe tout son temps sur son téléphone au lieu de lire des livres.
CABRAL : Hey, hey... T'inquiète pas pour ça. Elle est bien consciente de tout ça et ça ira. Elle est encore immature...
ANGEL : Toi tu m'énerves.
CABRAL : Et moi tu m'excites. Et commence directement à embrasser sa femme dans le cou tout en lui soufflant des mots doux à l'oreille.
ANGEL : Arrête ça...
CABRAL : Bah quoi ? Tout en ouvrant la fermeture éclair de sa robe et à la seconde qui suit, sa robe tombe au sol et là, le maire commence à embrasser le dos de sa femme un peu partout.
Puis un moment il détache le soutien-gorge et fait tourner sa femme pour qu'ils soient face à face.
ANGEL : Je suis pas d'humeur là.
CABRAL : Mais tes yeux et ton corps ne disent pas la même chose. Tout en regardant sa femme – bon, la poitrine de sa femme pour être précis – avec appétit, et la seconde qui suit, il prend en otage ses deux seins et c'était parti.
Pendant ce temps à la résidence KASALI.
ETHAN et sa femme avaient terminé de manger.
ADMI (émue) : Wahou... C'était trop bon.
ETHAN : Bah ouais, je suis un chef 5 étoiles. Tout en prenant de gros airs.
ADMI : MDR, je n'en doute pas. Attends, tu as des restes sur la bouche.
ETHAN : Où ça ? Tout en essayant de toucher l'endroit où il y avait les restes.
ADMI : Non, attends. Tout en touchant la main de son mari. Je vais le faire.
Puis elle s'approche de son mari, pose sa bouche là où il y avait les restes et commence à l'essuyer avec sa bouche, tout en passant sa langue.
ETHAN : MDR, si c'est comme ça ta façon de nettoyer, je vais commencer à garder les restes tout le temps sur mon visage.
ADMI : Oui, je suis là pour ça.
Puis ils ont débarrassé la table.
ADMI : Bon, tu me parles maintenant de ton contrat ?
ETHAN : Ha... D'accord...
ADMI : Il y a quoi ?
ETHAN : Rien, t'inquiète. En fait, j'ai signé le contrat avec l'entreprise Jo-energy et ça prendra fin quand cette affaire sera finie.
ADMI : Quoi ? Tu as déjà signé ?
ETHAN : Bah oui... Il y a un problème ?
ADMI : Mais non, d'habitude tu signes après m'en avoir parlé.
Et là, la tension était devenue tendue.
ADMI : Mais c'est pas grave, continue...
ETHAN : Ha... Bon, une avocate poursuit en justice l'entreprise Jo-energy comme quoi leurs boissons contiennent de la drogue.
ADMI : Quoi ? De la drogue ? Mais c'est illégal.
ETHAN : Mais en vrai, c'est pas ça...
ADMI : Comment ça ? Qu'est-ce que t'en sais même ?
ETHAN : Parce que je connais bien cette avocate... C'est une menteuse et une manipulatrice. Voilà pourquoi je crois en mon client.
ADMI : Attends, tu connais bien cette avocate ? Mais c'est qui ?
ETHAN prend le dossier et le donne à sa femme. Sans plus tarder, elle l'ouvre et elle est surprise par ce qu'elle voit.
ADMI (choquée) : Et merde... ANGEL BIACHI. Ton ex.
ETHAN : Et ton ex meilleure amie.