Toxique et Addictif
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Chapitre 5 1.5

J'ai dû calmer mes esprits pour lui répondre, je ne voulais pas trop montrer mon excitation pour ne pas paraitre trop désespéré. « Coucou joli cœur, je vais bien, j'espère que toi aussi, je vais en discuter avec mes copines, elles sont deux pour connaitre leurs disponibilités. Pour ma part, je suis partante, ta proposition tombe juste à pique et c'est exactement ce dont j'avais besoin.

Réserve-moi une place bien chaude dans ton lit, je saurais te remercier pour cette invitation » après avoir envoyé le message, je mis de la bonne musique, deux semaines, c'était juste parfait le temps nécessaire pour nous préparer pour ce voyage à LA, l'objectif, c'était de me dégoter un nouveau régulier et surtout me faire un max de fric. Tout d'un cou ça ne me dérangeait pas d'envoyer dix mil balles à mon père, j'aurais une grosse entrée. Toujours en me trémoussant seul dans mon salon, j'envoyai un message aux filles dans notre groupe. « J'ai du lourd pour vous les filles, préparées vos comptes en banques, on en parle lundi chez moi » bien évidement Santa ne tarda pas à répondre « ne joue pas avec mes sentiments, j'espère que c'est du lourd » elle ne blaguait pas quand elle le disait, blaguer avec l'argent était comme lui infliger une déception amoureuse. Quelques minutes plus tard Blue envoya un message « pourquoi pas demain dans la journée ? » « Elle voit monsieur deux étoiles, elle est consignée tout ce weekend » répondit Santa aussitôt, qu'est-ce que je disais, elle est toujours sur son téléphone, effectivement mon deuxième meilleur régulier m'a consigné pour demain, Santa est au courant, car une fois de plus, elle était avec moi quand je recevais le message. « Ça va baiser fort demain » répondit Blue suivit d'un sticker de gros pénis. « Pas si gros en plus c'est un monsieur fatigué, ce n'est pas mon général, donc ça va plus sucer fort » répondis-je et santa envoya une petite vidéo d'une fille en train de s'étouffer avec une gorge profonde. « Je suis sûr que je prendrai ton bras tout entier dans ma bouche sans m'étouffer ainsi » répondis-je suivi d'un émoji de langue « lundi, j'apporte le champagne, tu as intérêt à avoir une bonne nouvelle » dit Blue en me taguant. « Compte sur moi bébé, tu ne seras pas déçu » « un indice ? » répliqua aussitôt Santa, je pris une minute de réflexion hésitant un peu à l'indice que j'allais leur donnée, je voulais voir leurs têtes quand elles découvriront la nouvelle « dans exactement deux semaines, libérez-vous pour trois jours » « et » « préparez vos valises » dis-je en trois messages « nooon » répondit aussitôt Santa « j'apporte trois bouteilles de champagnes les filles » dit à son tour Blue « si on quitte la ville, je prends en charge la journée Spa » ajouta Santa, ne pensez surtout pas qu'elle va beaucoup dépenser, elle a un régulier qui est propriétaire d'un complexe de beauté en plein cœur de Pacific Heights, le quartier des milliardaires. Je décidai de ne rien répondre, j'avais fourni suffisamment de détails comme ça, elles se contenteront de ça pour l'instant.

J'entendis le verrou sur la porte et je m'arrangeai sur la table, maintenant mes jambes bien écartées, de façon à ce que la première chose qu'il voit en ouvrant la porte soit mon mont venus, Philippe n'était pas très jeune cependant il avait beaucoup de fantaisie sexuelle, et je savais exactement ce qui lui plaisait. J'ai enfilé un tablier d'infirmière, mais le modèle était fantaisiste, l'espace de mes seins était complètement libre au niveau de mon ventre, il y avait une grosse croix rouge sur le tissu, j'avais la totale, la coiffe d'infirmière et même un stéthoscope. J'étais dans sa maison de vacances, on s'y retrouvait toujours pour nos weekends, donc j'étais arrivé un peu tôt pour lui faire la surprise La porte s'ouvrit et il s'arrêta devant la porte le regard brillant.

- Bonjour docteur. Lui dis-je la voix joueuse. Il sourit grandement avant de répondre

- Infirmière Rhéa, un problème ?

- Non docteur, je me disais juste que vous pourriez prendre un peu soin de moi aujourd'hui, je n'ai pas arrêté de penser à la dernière fois de toute la nuit.

- Es-tu sûr que je sois en mesure de prendre soin de toi ?

- Oui docteur, je sais que vous le pouvez, dis-je en faisant glisser mes doigts parfaitement, manucurés vers mon bouton de chaire rose et gonflé par l'excitation dut à la façon dont il me regardait, j'aimais ça, ça m'excitait toujours follement quand je savais que j'étais désiré et que mon corps plaisait. Le premier frisson parcouru mon échine quand de mon index et de mon pouce, je pinçai légèrement mon clitoris. Docteur s'il vous plait, j'ai besoin de vous là maintenant, vous êtes tellement désirable dans cet ensemble bleu marine qui vous va à ravir.

- Rhéa, tu veux bien être gentil ? je saurai largement te récompenser.

- Oui, oui docteur, je ferais tout ce que vous voulez. Mes doigts glissèrent à répétions vers mon encre mouillée, se frayant un passage vers ma moiteur chaude, l'étirant légèrement, juste un doigt. Mais putain, c'était déjà bon, j'étais tellement excitée, je n'avais rien fait hier, et de toute la semaine aucun homme n'a réussi à me faire jouir, et aujourd'hui, j'étais décidé à avoir mon plaisir par mes propres soins s'il le faut. Ce n'était pas chaque jour que le travail devait être une corvée, il fallait bien en profité aussi.

- Je suis venu avec un ami, le docteur Maurice, il vient de Monaco. Et ce dont j'ai envie aujourd'hui c'est de le voir te baiser tellement fort que tu n'arrives plus à marcher. Tout ce weekend, je ne te toucherais pas, mais je me toucherais en te voyant prendre ton plaisir, il est tellement insatiable qu'il te ferra pleurer, tout ce que tu as à faire c'est répondre oui chaque fois que je dis que je veux le faire, peu importe l'heure peu importe le moment, que tu aies envie ou pas.

J'écarquillais les yeux quand il ouvrit la porte et que je vis derrière lui un homme d'une trentaine d'année, jeune, grand de taille, environs 1,94 m, il avait une tonne de muscle. Mes yeux dérivèrent vers ses doigts et mon encre qui était déjà mouillé s'assécha aussitôt. Il avait de longs doigts gros. Je n'étais plus sûr de vouloir de ce weekend. Mais je n'eus même pas le temps de protesté que Maurice entra derrière Philippe et referma la porte.

- Infirmière Rhéa, je suis le docteur Maurice, le nouveau cardiologue de l'hôpital. Désolé d'entré comme ça, mais ce que je vois là me plais. Dit Maurice en continuant le jeu de rôle d'une voix qui ne faisait pas du tout honneur à son gabarit. Mais moi, je n'étais plus sûr d'être d'humeur à jouer.

- Elle est toute à toi Maurice. Dit Philippe en prenant place sur une chaise de façon à bien voir ce qui se passait. Je n'étais pas préparé à ça, je n'avais pas prévu ça. D'habitude ça ne se passait pas comme ça, je ne connaissais pas cet homme et je n'avais pas envie de coucher avec lui. Il n'était pas laid, bien au contraire, mais je n'avais pas prévu ça, je me préparais toujours avant chaque soirée, et là les choses étaient tout autres. Je sentis une pression humide au niveau de mon vagin, c'était Maurice qui appliquait du lubrifiant, il avait même déjà enfilé un préservatif. Instinctivement, je refermai mes jambes, mais Maurice les rouvrit de sitôt. Se positionnant à mon entrée par chance, il n'était pas aussi gros que je le craignais, son pénis était aussi décevant que sa...

- Haaaan, gémis-je quand il assénât le premier coup, perdant ainsi le fil de mes pensées. Du coin de l'œil, j'aperçus Philippe qui se masturbait sur le côté tout en nous regardant.

Je ne sais depuis combien de temps, ils sont partis, je suis toujours allongé sur ce lit témoins des derniers ébats auxquels, je n'ai pas donné mon accord. J'étais épuisé, je ne comptais plus le nombre de parties de jambe en l'air, on avait eu, j'étais endormi quand j'ai senti Maurice se frayer son chemin jusqu'en moi. J'ai essayé de le repousser, car je n'en pouvais plus et Philippe a pris son pied, il a demandé « continue de faire semblant de te défendre comme ça, ça m'excite putain » avait-il dit de sa voix rocailleuse sauf que je ne me faisais pas semblant, je n'en pouvais réellement plus. Au bout d'un moment, j'ai arrêté de me défendre ça ne servait à rien. Maurice a joui deux fois avant que Philippe soit satisfait, après quoi ils sont juste partis, après que j'ai reçu l'alerte sur mon téléphone. Je n'ai même pas encore regardé le montant. J'étais épuisé tant physiquement que mentalement, dire que ces deux jours furent les pires jours de ma vie serait un mensonge, j'ai connu beaucoup pire, j'ai juste compris avec le temps que le secret, c'était de se laisser faire et tout subir sans broncher. Se faire une raison et avancer, car se défendre ou se débattre ne sert à rien d'autres que t'infliger plus de peine et le fait de se lamenter dessus n'aide pas à avancer. Donc après un bon sommeil, je serais comme neuve.

                         

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