Chapitre 4 La deuxième compagne

La deuxième compagne

Desmond était ravi de ses trois princesses. Malgré cela, il était très déçu par sa fiancée qui prenait le plaisir de lui couper l'appétit durant les moments de leur intimité en empêchant qu'il se régale sur sa jolie poitrine que trois gestations n'avaient point dégradé ni la texture, ni la fermeté.

Il était tout malheureux à chaque fois qu'ils avaient un moment de plaisir intime.

Il rentrait de plus en plus tard à la maison, il préférait rester travailler tard au bureau ou aller prendre un pot entre collègues. Il choisit parmi les femmes célibataires de son bureau, une qui répondait aux critères qui le retinrent chez une femme. Malheureusement pour lui s'était le style de fille aux jambes légères, qui entrait dans les bureaux de tous ceux qui l'a sollicitaient pour tout genre de services. Des services physiques aux services subtils.

Desmond ne put supporter cette dernière. Il voulait nécessairement une poitrine pour lui. Il ne souhait point partager son produit avec ses autres collègues de services. Il sut très rapidement qu'elle fut l'objet sexuel de presque tous les dix directeurs que comptait leur entreprise. Apres avoir bénéficié profusément de sa jolie poitrine durant quelques semaines, il se débarrassa d'elle tel l'on se débarrasse du papier hygiénique après usage. Cette dernière compris le message, elle n'était point à son premier essai. Régulièrement, elle venait offrir ses seins au directeur des ressources humaines pour obtenir un carnet de carburants gratuits, ou deux à trois billets de dix mille pour ses courses de la semaine. Ce dernier, avant d'accepter ce dessert de la pause, posait toujours la question ? «Tu étais chez quel directeur avant de venir chez moi ?» Elle répondait telle une vraie dévergondé : «chez tout le monde».

Desmond, le directeur des ressources humaines devrait recruter une stagiaire pour remplacer momentanément la secrétaire du directeur des projets qui avait pris un congé de maternité.

Alors il lança une petite annonce pour le recrutement d'une stagiaire pour un CDD (contrat à durée déterminée). Une annonce de seulement 12 heures qui suscita la venue de 20 filles à la recherche d'une opportunité de travail. Apres consultation des dossiers en lignes des vingt postulantes, il a retenu cinq filles pour l'entretien d'embauche. Le passage des quatre premières filles, il avait déjà fait son choix et était sur le point de dire à sa secrétaire de renvoyer la cinquième, mais celle-ci insista et entra de force dans son bureau en disant :

« Même si je ne suis pas retenue j'aimerai passer l'interview».

À peine celle-ci entra dans le bureau du directeur des ressources humaines (DRH), il resta béat ! Elle était exactement le genre de femme identique à sa mère et à la mère de ses enfants. Il n'arriva pas à parler, ses yeux étaient braqués sur la poitrine de cette dernière qu'elle devînt mal à l'aise. Il posa justes deux questions et dit : «Mlle vous êtes retenue». Il recruta deux stagiaires au lieu d'une. La première recrutée était la stagiaire du directeur des projets, Bella la deuxième stagiaire devint sa stagiaire à lui. Bella avait la morphologie prisée, sollicitée par Desmond.

Bella était le genre d'employé dévoué dont tous les employeurs rêvent avoir dans leur service. Elle était travailleuse, disciplinée, ponctuelle et d'un dévouement qui mettait mal à l'aise la secrétaire principale du DRH. Car le DRH sollicitait régulièrement les services de la stagiaire. Bella, née dans une famille misérable, elle était orpheline de père et de mère depuis l'âge de 15 ans. Elle avait trois frères et sœurs à sa charge. Du haut de ses 25 ans, Bella était déterminée à réussir par son travail bien fait afin de voler au secours des siens.

Un mois plus tard, le directeur des ressources humaines s'envole avec sa stagiaire pour une mission de travail de trois semaines. Arrivé dans le pays d'accueil, le directeur va prendre deux chambres communicantes avec pour mobile le travail. Tout se passa parfaitement bien les deux premiers jours.

Desmond ne parlait jamais de lui encore moins de sa vie privée à ses employés. N'étant pas encore officiellement marié, il n'avait pas d'alliance au doigt et se comportait tel un célibataire.

Bella savait que son boss était un célibataire. C'était donc l'occasion rêvée pour elle de jouer absolument et discrètement ses meilleures cartes auprès de son patron pour être l'élue de son cœur.

Le troisième jour, le DRH avait un travail urgent à confier à sa stagiaire, alors il entra sans frapper à la porte et de façon précipitée dans la chambre de cette dernière, il trouva Bella dénudée, elle était sur le point de prendre son bain. Le dossier qu'il avait en main se retrouva au sol, il était stupéfait à la vue de ses seins, ses yeux étaient braqués dessus comme celui d'un enfant insatiable, et, sans qu'elle eût le temps de prendre sa serviette pour se couvrir, que le DRH la prise brutalement dans ses bras et se mit à cajoler sa poitrine comme un nourrisson famélique. Elle essaya de se débattre sans succès. Le patron était déjà penché sur ses seins et il avait emprisonné les tétons de ses seins dans sa bouche. Elle ne pouvait les retirer de sa bouche sans se faire violemment mal. Alors, elle céda malgré elle.

Ils eurent un moment d'intimité jusqu'à l'épuisement. Il se réveilla le lendemain dans le lit de sa stagiaire. Il ne lui permit pas de sortir de son lit. Il se lança une fois de plus sur les seins de cette dernière. Un autre moment d'intimité les retint au lit. Ils arrivèrent en retard à la réunion de travail qui avait lieu non loin de leur hôtel à 11 heures. Ils accusèrent un retard de trente minutes. Et à peine le travail terminé, ils recommencèrent la partie.

La stagiaire se donnait à fond, à la différence de la fiancée du DRH, Bella offrait sa poitrine au patron à temps et a contre temps. Ce dernier était satisfait. Il les cajolait à tout moment sans ménagement. Il passait le clair de son temps sur la poitrine de Bella tel un enfant qui vient de recevoir un nouveau jouet.

Les deux tourtereaux ne se quittèrent plus. Durant les heures libres, ils restaient accrocher l'un l'autre. La liberté qu'il avait à manipuler la poitrine de Bella, l'amena à rester cloitré prêt de celle-ci comme il le fit jadis avec sa maman.

Il se comportait exactement tel un enfant de deux ans qui est encore aux seins. Il va jouer et lorsqu'il a faim il retourne en courant sur les seins de sa maman. Ainsi Desmond faisait son malin plaisir avec les seins de sa stagiaire. Actuellement, qu'il avait deux rondelets, forts et fermes seins à sa disposition, il était aux anges. Bella comprit que son amant adorait ses seins. Elle le lui servait à tout moment sa rechigner. Au contraire c'est avec beaucoup de satisfaction qu'elle disait :

« Chéri vient prendre ton lait ».

À l'écoute de ces mots, ce dernier se sentait flatté. Alors, il se précipitait dessus et il les dévorait à sa façon. Il enjouait sa tête fréquemment dans sa poitrine et s'adonnait à cette dernière au point où il passa les trois semaines de mission sans appeler la mère de ses enfants. Lorsque celle-ci l'appelait, il était régulièrement soit en train de travailler, soit en train de jouer avec les seins de sa stagiaire ; il renvoyait l'appel en disant intérieurement «continue de garder tes seins, une autre me les donne à souhait».

Il dormait toujours avec les tétons des seins de sa stagiaire dans sa bouche. Lorsque ça lui glissait un tout petit peu, il se réveillait, il les attrapait et il les suçait de plus belle avant de s'endormir de nouveau; c'était ainsi la routine jusqu'au matin. Et, ceci chaque nuit.

Desmond s'attacha définitivement à sa stagiaire, c'était désormais sa dulcinée.

Lorsqu'il retourna de leur mission, sa stagiaire avec une grossesse d'une semaine. Il loua un joli et grand appartement à cette dernière. Un appartement plus beau et plus grand que celui qu'il occupait avec la mère de ses enfants. Il offrit une voiture décapotable à Bella. Pourtant la mère de ses enfants n'avait pas de voiture. À cause de son second foyer, il informa la mère de ses enfants qu'il a continuellement des missions. Il sera rarement à la maison. Il passait le clair de son temps chez sa dulcinée, car elle lui donnait son repas d'intimité comme il l'a toujours désiré, et pour cela elle méritait toute son attention.

Bella devint sans aucun doute la préférée de Desmond.

Ce dernier disait continuellement, concernant la mère de ses enfants, il prenait toujours l'excuse : « Cette folle de mère de mes enfants que j'ai à la maison conserve ses seins comme si elle allait se remarier à un autre homme ; qu'elle continue de les préserver ; quant à moi j'ai trouvé une excellente épouse qui répond présente à mes instincts, elle mérite une bague au doigt». Et il finissait toujours sa pensée en disant : « à quelque chose malheur est bon. »

Très souvent, lorsqu'ils étaient au bureau, Bella entrait, elle ferma le bureau à doubles clés et elle offrait ses seins à ce dernier sans ménagement, celui-ci adorait le geste de sa dulcinée. Lorsqu'elle oubliait de le faire, il prenait le soin de la lui rappeler. En disant : «chérie tu as oublié de me donner mon lait préfère». Sur ces mots, Bella se précipitait pour fermer la porte à doubles clés et elle offrait gracieusement sa poitrine à ce dernier qui les dévorait de quelque manière que ce soit. Lorsqu'il était sur ses seins, si celle-ci demandait même la lune il allait la lui offrir.

Il raffolait les seins en général et les gros seins en particulier. Bella avait concocté toutes les astuces de grand-mère pour remodeler ses seins à la perfection et les rendre encore plus dodue et bien ferme au point que, Desmond lui demandait comment elle faisait pour que ses seins soient toujours aussi fermes et succulents. Il rajoutait : « c'est même plus convenable qu'au premier jour ; chérie tu es formidable et je t'aime de plus en plus ».

Elle avait également les astuces pour donner ses seins à son partenaire de différentes manières afin qu'il ne se lasse point.

Un soir, elle le fit une surprise de taille afin de rendre Desmond davantage accro aux seins. Alors, elle se fit coudre un spécial soutien-gorge qui maintenait ses gros seins continuellement debout laissant à découvert les tétons et une partie des seins bien ferme. Desmond n'avait pas besoin de retirer le soutien-gorge pour prendre du bon temps, ce sous-vêtement était un atout qui rendait sa poitrine plus ferme et debout tels les seins d'une jeune fille en phase de puberté primaire. Ordinairement, à la maison, elle mettait son soutien-gorge nouvellement confectionné et un léger voile blanc qui étalait sa parfaite nudité. Cette tenue rendait Desmond fou de sexe. Il avait juste à faire glisser le voile pour avoir son dessert, son plat préféré sur la main. Ce coup de maître sur le plan sexuel, amena Desmond à oublier complètement le corps de la mère de ses enfants.

Il filait l'extraordinaire amour avec sa dulcinée.

Quelques mois plus tard, Bella donna naissance à des quadruplets : deux garçons et deux filles.

Desmond fut heureux de ses quatre enfants. Il souhaitait vivement que Bella lui donne un garçon et voilà qu'il en avait deux.

Il était le papa le plus heureux de la planète.

Jusque-là, il réussit à dissimuler sa relation à la mère de ses trois filles. Il allait jusqu'à l'offrir une bague de fiançailles. Il réussissait à tromper les deux femmes sans ambages.

            
            

COPYRIGHT(©) 2022