Il approcha ses lèvres de sa joue, son souffle la touchait. Elle se surprit à presque souhaiter qu'il continue.
Il s'arrêta, rigola, et partit.
Jenny avait le souffle très rapide et ne savait pas quoi faire.
Elle devrait partir, elle ne le connaissait pas, il avait l'air de mener une vie dangereuse, sûrement pas très légale, il était beaucoup plus fort qu'elle même affaibli... mais elle ne savait pas si c'était la curiosité, l'attirance ou un 6ème sens qui l'a fit rester.
JE:...Tu...tu as besoin d'aide ?
Elle l'entendit rire à travers la porte.
JA:Ce n'est pas vrai que t'es pas partie malgré ce que j'ai fait.
-J'étais surprise mais je savais que tu ferais rien.
Il y eût un silence. La porte s'ouvrit brutalement. Jenny sursauta et il rigola encore.
-T'as l'air marrante comme fille toi. Bon qu'est-ce que tu veux encore.
-Toujours la même chose.
Il s'appuya sur le mur et se pencha vers elle.
-T'es une coquine en fait.
-QUOI ?! Non ! Qu'est ce qui te faire dire ça ?!
Il eut un sourire. Tu veux me soigner donc me caresser, et me voir nu par la même occasion vu la localisation de mes blessures...
-NON ! Non ! Je... je... ho débrouille toi soigne toi seul j'attendrai dans le salon.
Il referma la porte et n'arriva pas à effacer son sourire (elle est... on verra bien)
-(J'ai la dalle il aurait pu me proposer un truc au moins).
-C'est bon je suis soigné tu peux partir.
-Et toi tu pourrais me remercier.
-Je t'ai rien demandé.
Elle prit une mine abattue.
-Je voulais aider... je peux te poser des questions au moins ?
-Non.
-Ça a le mérite d'être clair. Mais ce n'est pas pour autant que je lâcherai.
-Tu devrais.
-Je suis comme un chat je suis curieuse et tu m'intrigues même si tu devrais m'effrayer.
-Un chat ? Il rigola.
-Tu es bien comme un loup toi.
-Comment tu... il se figea
-Tu as une attitude d'alpha, tu as un comportement défensif, et surtout ton collier... c'est une dent de loup si je ne me trompe pas.
Il resta immobile ; au bout d'un moment il s'assit et la fixa.
-T'es pas banale toi.
Il se releva, commença à avancer mais gémit de douleur et s'écroula.
Il se réveilla 1h plus tard.
-Heureusement que je suis restée...
Il se pressa le ventre.
-J'espère que t'en as pas profité pour me mater.
-Je ne pouvais pas j'étais trop inquiète.
Il rigola et se pressa le ventre.
-Je maintiens que tu devrais voir un médecin.
-Et moi je maintiens que ce ne sont pas tes affaires.
Il se leva et alla dans la cuisine. Il revint avec une boite de gâteaux, s'étala sur le canapé et mangea.
-Quoi. Faut que je reprenne des forces sinon tu vas encore faire une crise.
-Tu pourrais m'en proposer...
-Jsuis pas ton mec. Pis la bouffe c'est sacré dégage.
Elle le fixa et pris une voix sensuelle. Tu veux te la jouer comme ça ?
Il se figea et semblait perplexe.
Elle l'escalada et ils partirent en chamailleries.
-Putain casse-toi là ! C'est ma bouffe et tu me fais mal t'es lourde bouge !
Elle embarqua la boîte et couru à l'étage.
-C'est une blague là...REVIENS !