Capítulo 4 The Black Sheep

Depuis toujours il y a les âmes libres et combattante qui écoutent et révèlent leur vérité intérieure, ces résistants qui se battent corps et âme au nom de leur liberté et celle du peuple et il y a les autres... Ce qui ont vendu leur âme pour quelque billets, ou pour une place au soleil, fusillant leur frères sans conscience, ou les trahissant ouvertement, leur retournant le cerveau pour les emprisonner dans une réalité sans échappatoire. Et puis un jour ils se retrouvent poignarder dans le dos à leur tour, parce que la vie est ainsi. Elle ne félicite ni les traitres, ni les imposteurs.

Tout à commencer quand j'étais enfant, j'ai développé une espèce de syndrome du sommeil, je pouvais rentrer profondément en transe et me déplaçait ainsi que des objets, mais les premiers tests de vaccination m'ont plongé dans le néant. Je ne parvenais plus à me souvenir ni de mes rêves, ni de ce que je parvenais à faire. En vérité, toute les nuits je rentrais en communication avec les miens, qui m'envoyaient génétiquement des codes de lumière à déchiffrer mais j'en étais bien incapable.

Ces codes étaient la clé pour me faire accéder à la vérité et m'en protéger. Mais l'on m'avais injecté la cause du mensonge. Très vite je suis devenu irritable et désagréable, apeuré, déstabilisé, séparé. J'ai commencé à voir des choses, à en entendre d'autre, ma réalité étaient devenu un château de cartes bancales où je ne me sentais plus à ma place. Mais pour dire la vérité, ce n'était pas la première fois que j'avais cette impression. Je l'avais ressentis avant de sortir du ventre de ma mère. Je crois qu'on m'avais déjà prévenu, mais que je n'ai pas voulu écouter. J'étais trop impatiente de connaitre ma nouvelle famille et de goûter à ma nouvelle vie, ici sur Terre.

Mon père est devenu de plus en plus violent, ma mère de plus en plus instable et malheureuse, et moi de plus en plus perdu et seule. Seule avec ces questions que j'oubliais au fur et à mesure, seule avec cette part de moi que je ne connaissais pas. Ma mère a refais sa vie avec un nouveau bourreau et j'ai été balloté d'un endroit à un autre. Vide. Je ne ressentais plus rien à cette époque mis à part une énorme colère que je n'expliquais pas mais qui se manifestait dans chaque fibre de mon être, à m'en faire mal. Puis j'ai commencé à imaginer ma vie. Non plus ce que l'on m'obliger à être mais qui j'étais réellement. Moi même j'avais fini par l'ignorer. Mais ce mal être ne me quittais pas, j'ai pensé plusieurs fois à en finir, jusqu'au jour où le coup du sort m'a fais prendre conscience l'importance qu'avait ma vie.