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Pdv de Essan
Moi : Franchement vous formez un très beau couple.
Ils se sont détachés.
Moi : Oh non pourquoi arrêter maintenant, continuez, ne faite pas attention à moi, je suis juste venu chercher mon neveu, alors il est où ? VINUSS
Zelika : Il n'est pas là, il est chez mes parents.
Moi : Ok bah continuez alors je vais le chercher là-bas.
Zelika : Essan...
Moi : Dit pas mon nom.
Hamit : Petit enfoiré tu crois nous faire peur.
Moi : Bien évidemment que tu as peur de moi, regarde toi, tu n'as même pas les couilles de sortir avec une fille que tu te retourne dans les jupons de ta sur.
Hamit : Fait attention à comment tu me parles.
Moi : Sinon quoi ? Ça se voit que tu as envie que je te casse la gueule une nouvelle fois.
Hamit : Vas-y essaye bâtard.
Je me suis retourné en lui mettant une claque avant de le coller au mur et de lui donner plusieurs coups.
Moi : Ces coups ne sont pas parce que tu as baiser cette femme, mais pour avoir mis la vie de mon fils en danger.
Hamit : C'est tout ce que tu as dans le ventre, je croyais que tu aimais ton rejeté de fils plus que tout.
Moi : *Rire* Ne croit pas que ça soit fini, au contraire ça vient juste de commencer, c'est à petit feu que je vais te niquer.
Zelika : S'il te plaît Essan...
Moi : Je t'avais donné deux jours, là il te reste plus que un jour.
Zelika : Donne nous un peu plus de temps on a pas encore trouvé comment faire...
Moi : Ça tombe bien alors que j'aille chercher Vinus chez tes parents.
Zelika : Non ne fait rien s'il te plaît on va trouver une solution, mais ne dit rien à mes parents, ni à personne.
Moi : Vous avez 24 h pas un jour de plus et ne croit pas que vous allez me faire l'aumône, je compte bien acheter les parts.
Zelika :...
Moi : Un jour les amoureux donc si j'étais vous, je laisserais la baise et je me mettrait au boulot, mais bon qui sait peut-être que vous allez trouver une solution au lit.
Hamit m'a mal regardé, j'ai souris avant de sortir.
PDV de Aykan
Je me préparais pour aller au bureau, j'étais comme ça
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J'allais sortir quand Ludo saute sur moi
Moi : Qu'est-ce que tu fais là ?
Ludo : Waouh quel accueil chaleureux.
Moi : Où sont mes enfants ?
Ludo : En Russie.
Moi : Quoi tu as laissé mes gosses en Russie.
Ludo : Calme toi ils vont, ma tante rentre Dimanche avec eux. Je ne voulais pas les ramener tant que je n'étais pas sûr de ce qui se passe réellement.
Moi : Il se passe que Essan se fou de ma gueule, il prépare sûrement un truc.
Ludo : Tu n'avait pas dit que tout était sur contrôle, que tu avais une longueur d'avance sur lui.
Moi : Oui mais là je suis pas plus sûr depuis qu'il a piraté les caméras, je sais même pas où il est ni ce qu'il fait.
Ludo : Depuis quand Aykan est devenue une peureuse.
Moi : Je suis sérieuse, tu connais pas Essan comme je le connaît.
Ludo : Utilise ça à ton avantage.
Moi : Et s'il réussie me prendre mes bébés.
Ludo : Alors au lieu de baisser les bras, bas toi et empêche le d'arriver à ses fins, moi même je ne laisserai pas t'arracher, la seule lueur d'humanité que tu as.
Moi :...
Quelques minutes plus tard
??? : Bienvenue.
J'ai sursauté
Essan : C'est une première, Aykan qui sursaute, dit moi il y aurait-il quelque chose qui te tracasse, tu peux tout me dire tu sais.
Moi : Arrête de faire genre tu t'inquiète pour moi, nous savons que tu en a rien à foutre.
Essan : Mais si c'est important pour moi de te faire souffrir.
Moi : Pour faire souffrir quelqu'un il faut que la personne ai un cœur
Essan : Tu es sûre que tu en as pas ?
Moi : Quoi, depuis que tu es au courant que je suis Aykan, tu ne peux plus te passer de moi c'est ça ?
Essan : *Rire nerveux* Bientôt nous serons inséparable.
Moi : Me dit pas que tu comptes m'épousé, je te dis tout de suite c'est non je veux pas t'épouser.
Essan : Vas-y rigole rigole.
Moi : Écoute si tu es obsédé par moi, je veux bien te laisser me regarder mais de loin, donc sort d'ici.
Essan : Le docteur Reeza te passe le bonjour.
Moi : Je ne vois passe qui tu parles.
Essan : Toi qui prétend ne rien oublier, et voilà que maintenant tu oublies le nom du docteur que tu as payé pour faire croire qu'une vieille femme avait une tumeur, et qu'elle était sur le point de mourir.
Moi : Tu racontes quoi toi.
Essan : Arrête de faire semblant, tu nous a fait croire que ma mère était mourante alors qu'elle va parfaitement bien.
Moi : Elle est singlé ta mère.
Essan : Attention à comment tu parles de ma mère...
Moi : Ta mère la pute, tu va faire quoi ?
Il c'est approché puis c'est stoppé.
Essan : Tu sais quoi, je veux même pas te touchée tellement tu me dégoûte.
Moi : C'est ça oui espèce de lâche
Essan : Tu sais plus rien ne va me surprendre venant de toi, tu me hais à un tel point que pour me faire du mal tu es allé jusqu'à nous filmé entrain de baiser.
Moi :...
Essan : Tu te demandes comment j'ai su pour tes magouilles hein ?
Flashback
3 semaines auparavant.
Pdv de Essan
Après que Aykan m'ai laisser en Égypte, j'y suis resté 2 jours entrain de réfléchir
Je n'arrivais toujours pas à croire que c'était elle, enfaite je sais pas si je dois être vénère ou content, la mère de mon fils est revenue après 3 ans, on a sauvé ensemble notre fils, bref une fois au Brésil je suis allé à l'hôpital car on doit l'amener à au en Turquie pour le traitement.
Moi : Salam Aleykoum
Yemma : Aleykhoum Salam
Moi : Comment tu te sens.
Yemma : à ton avis, comme quelqu'un qui a une cancer et qui se sent rejeté par son propre fils.
Moi : Qu'est-ce que tu racontes maman jamais je ne pourrais te rejeter.
Yemma : Alors où tu étais tout ces jours ?
Moi : J'avais des affaires à régler.
Yemma : Des affaires plus importante que ta pauvre mère souffrante c'est ça ?
Moi : Mais non maman
Je ne pouvais pas lui dire que c'était pour sauver mon fils, encore moi que Aykan était revenue.
Yemma : Je ne serai bientôt plus là tu pourras faire tous les affaires que tu voudras, mais en attendant j'aimerais avoir mon fils à côté de moi.
Moi : Dit pas ça maman, tu as encore plusieurs années devant toi et t'inquiète pas je serai toujours avec toi*en lui faisant un bisou sur le front.
Yemma : C'est à cause de cette Delila que tu étais absente, elle te fait travailler pour payer l'hôpital c'est ça ?
Moi : Mais non yemma elle...
Yemma : Je sais que c'est elle qui règle les factures ici
Moi : De quoi tu parles ?
Yemma : Fait pas semblant, j'ai entendue dire au téléphone que tout était sous contrôle.
Moi : C'était quand ça.
Yemma : Bah je sais pas trop il y a 3 jours ou plus
Moi : Je reviens.
Yemma : Quoi mais tu viens d'arriver, ou tu vas ?
Moi : T'inquiète ça sera pas long.
Je suis allé dans le bureau du docteur, il n'était pas là je me suis assise, quelques minutes après il rentre.
Docteur : M. Essan
Moi : Bonjour docteur.
Docteur : Bonjour, que faites-vous là ?
Moi : Comment ça ce que je fais là, vous oubliez que ma mère est hospitalisé ici.
Docteur : Non j'ai pas oublié, c'est juste que cela fait un bon moment qu'on ne vous voit plus.
Moi : J'avais des trucs à régler, mais c'est important parlons de l'état de santé de ma mère, j'aimerais l'amener en Turquie.
Docteur : Je sais que vous êtes inquiet pour elle, mais en tant que son médecin traitant je vous déconseille de la déplacer, encore moins dans un pays lointain.
Moi : Je veux à tout prix sauver ma mère.
Docteur : C'est ce que nous voulons tous, mais la déplacer dans son état actuel serait très dangereux.
Moi : Vous me conseillez quoi alors ?
Docteur : Attendre que son état se stabilise.
Moi : Et cela serait-il possible ?
Docteur : On l'ignore encore, mais on fait de notre mieux.
Moi : Vous êtes sûr ?
Docteur : Je comprends la position dans laquelle vous vous trouvez...
Moi : Delila Givens vous la connaissez ?
Docteur : Qui ça ? Je ne vois pas de qui vous parlez.
Moi : Vous êtes sûr ?
Docteur : Oui, écoutez M. Essan j'ai plein de travail, donc je vous prie laissez seul s'il vous plaît.
C'est là que j'ai compris que quelque chose clochait.
Moi : Oui bien sûr
Docteur : Merci.
Il pensait que j'allais sortir, mais. j'ai fermé la porte à clé et j'ai descendu les volets.
Docteur : Qu'est-ce que vous faites M. Essan*en se levant*
Moi : Chute restez assise, je fais ce que j'aurais du faire il y à longtemps.
Docteur : De quoi vous parlez ?
Moi : Je vous ai dit de restez assise.
Docteur : C'est quoi ce délire ? Je vais appeler la sécurité.
Moi : N'osez même pas appuyer sur l'alarme silencieuse sinon je ne répondrai plus de moi.
Docteur : Mais voyons M. Essan qu'est-ce qui vous prend ?
Moi : C'est quoi votre relation avec Delila Givens et n'osez même pas me mentir, ma mère vous a entendu parler au téléphone.
Docteur : Oui on a parlé une ou deux fois.
Moi : Alors pourquoi avoir prétendue ne pas la connaître.
Docteur : Parce que c'est l'une de nos bienfaitrices, elle a demandé à rester anonyme.
Moi : Je suis désolé je croyais que...
Docteur : Ce n'est rien je comprends ce que vous ressentez.
Moi : Merci et en encore mes excuses pour le gêne occasionné.
J'allais sortir quand je suis rappeler que Delila et Aykan était la même personne et que Aykan n'est pas du genre social.
Moi : Ôtez moi d'un doute, Delila aide cet hôpital pourquoi exactement ?
Docteur : Bah en faisant des dons, comme les autres donateurs
Moi : Ah oui, cet hôpital est privé alors comment ça se fait qu'il reçoit des dons ?
Docteur : Oui mais on a pas les moyens pour faire des recherches pousser sur des maladies rares, donc elle nous fournit un financement.
Moi : Finalement je vais rester.
Docteur : Mais...
Moi : Je connais très bien Delila je sais qu'elle n'est pas du genre social, alors dites moi tout de suite de quoi vous parliez, et ne vous avisez même pas à me mentir.
Docteur : Je vais appeler la police,
Moi : Vas y appelle les, qu'ils comme ça tout le monde sauras à quel point vous êtes un docteur ripou.
Docteur : Je ne vous permet pas de me parler ainsi, je suis quelqu'un d'honnête et de respectable.
Moi : Une personne qui fréquente Delila n'est ni honnête ni encore moins respectable.
Docteur :...
Moi : Ne jouez pas avec mes nerfs sinon Wallah que vous allez le regretter.
Docteur : C'est pas de ma faute...
Moi : PARLEZ BORDEL.
Docteur : J..je ne peux rien vous dire.
Moi : Elle vous a menacé c'est ça ?
Docteur :...
Moi : Écoutez je suis déjà impliqué dans cette histoire, donc mieux vaut que vous me dites réellement ce qui se passe, rien va me choquer, car je sais de quoi elle est vraiment capable.
Docteur : Non vous ne savez pas, cette femme c'est le diable en personne.
Moi : Vous étiez censé faire quoi pour elle ?
Docteur : Prétendre qu'un patient était gravement malade .
Moi : Ce patient là c'est ma mère.
Docteur :...
Moi : Répondez est-ce que ce patient est ma mère ?
Docteur : Oui, je voulais pas, je vous jure qu'au début j'ai refusé, mais elle m'a menacé.
Moi : La police vous connaissez, vous prétendez être un médecin respectable mais vous n'avez pas hésité à prétendre qu'une femme est sur le point de mourir.
Docteur : Je suis désolé...
Moi : Désolé, avez vous ne serait ce qu'un instant pensez à ce que pourrait ressentir votre patiente ainsi que sa famille, mais non vous vous pensiez qu'à votre propre confort et vous vous foutez complètement de ce que vos patients peuvent ressentir.
Docteur : Non le bien être de mes patients compte pour moi...
Moi : Ah oui et où était cette compassion quand nommai nous a menti sur l'état de ma mère ? Vous nous avez laissé passer des nuit blanche à cause de ça.
Docteur :...
Moi : Je comprends pourquoi vous vouliez m'empêcher d'amener ma mère à l'étranger, car on aurait su pour vos magouilles.
Docteur : Non j'ai refusé de vous donnez l'autorisation, parce que je ne voulais pas qu'un autre médecin ai a vivre ce que moi je vis. Vous croyez vraiment qu'elle allait laissez l'affaire une fois changer de pays, et bien non, vous ne savez pas de quoi elle est capable.
Moi : Vous croyez que ce que vous avez fait est héroïque, à ce que je sache elle ne t'a pas mis de couteau sous la gorge, et je suis sûr que vous avez au contraire reçu une somme colossale.
Docteur : Elle m'a obligé.
Moi : Ah oui prendre de la tune c'est obligé.
Docteur :...
Moi : Vous ne vous en sortirez pas comme ça, je ferai en sorte que vous ne pussiez plus jamais de votre vie exercer.
Docteur : Non je vous en supplie ne faite pas ça.
Moi : Estimé vous heureux que je ne vous envoie pas derrière les barreaux, car c'est tout ce que vous mériteriez.
Docteur :...
Moi : Vous allez continuer à jouer son jeu, si jamais elle est mise au courant que je sais la vérité alors même votre putain de famille payera, parce que je vais pas vous épargnez*en le collant au mur*.
Docteur : Elle va me tuer si elles n'est pas mi...
Moi : Si vous l'ouvrez c'est moi qui vais vous buter.
Docteur : Promis e..elle saura rien
Je l'ai poussé avant de sortir de l'hôpital, je savais même pas où j'allais tellement que j'étais énervé, pourquoi la femme qui a été autre fois ma femme, et qui est la mère de mon fils a osé me faire une chose pareille. C'est à cet instant que le peu d'amour ou de nostalgie que je ressentais a disparu, je voyais tout noir.
J'ai continuer à marcher jusqu'à la plage, et là je me suis rappeler de la dernière fois que j'étais avec elle ici, j'ai aussi compris que c'était elle qui nous avait filmé entrain de couché ensemble. Putain elle serait capable de tout pour me faire du mal, j'admet que là elle a réussie, je suis complètement brisé.
Fin du flashback
Moi : *Rire* donc c'est de ma faute si tu es comme ça
Essan : Oui et attend toi à subir les conséquences.
Moi : Au lieu de faire genre, tu devrais plutôt me remercier d'avoir fait de toi un homme.
Essan : Oui bien sûr je te remercie de m'avoir ouvert les yeux sur ta vraie nature.
Moi : Mais de rien voyons, c'était avec plaisir que fait croire que ta pute de mère allait mourrir, j'avoue si elle avait vraiment crevé ça aurait été top.
Essan : Tu vas mourir avant ma mère ça je te le dit clairement.
Moi : Et qui va me tuer ? Toi *rire*
Essan : Tes propre choix, et là même ton enculé de frère ne pourra pas te sauver.
Moi : Oh mais quel méchant père tu fais, tu souhaites la mort à la mère de tes gosses.
Essan : Ils seront sans nul doute mieux sans toi.
Moi : Tu penses pas ce que tu dis.
Essan : Ton opinion, je m'en cogne.
Moi : D'accord, d'accord tu m'as raconté comment tu es devenu un homme, mais tune m'a toujours pas dit ce que tu as fais pendant ce temps, pourquoi n'être pas venue m'affronter à ce moment là.
Essan : Tu le sauras bien assez tôt t'inquiète.
Il allait sortir, mais c'est retourné.
Essan : Ah oui, et fait venir mes gosses de la Russie au plus vite, sinon j'irai les chercher*en sortant*
Ce satané docteur va me le payer.