Yannick lui, avait finalement obtenu le poste de chauffeur pour le directeur de Sandra. Il s'en sortait pas mal et était à l'aise dans son travail. Il n'avait pas cessé un seul jour de rende grâce à Dieu pour ses bien faits depuis l'accident. Avec son ami tout se passait bien. Il a pensé à déménager de son studio pour rentrer dans une chambre vu que son salaire ne lui permettra pas de le payer convenablement en plus des petites dépenses de sa famille.
Adèle menait à bien sa grossesse déjà à 3 mois et demi elle se sentait bien. Toujours devant le miroir en train de regarder si son ventre se voyait déjà tellement elle avait hâte de le voir évoluer.
Adèle : bb mon ventre pousse même ?
Idriss : pas encore
Adèle : regarde nor tu ne vois même pas
Idriss : je dis pas encore werrrr pourquoi tu es pressé
Adèle : je dois être pressée j'ai hâte de le sentir bouger. La semaine prochaine j'ai ma première échographie on ira ensemble nor
Idriss : je ne sais pas je verrais
Adèle : tu verras encore coucou c'est la deuxième fois que je te parle de ca pour que tu inclus ça dans ton programme
Idriss : je te dis que je vais voir Adèle si j'ai pas un imprévu on ira ensemble
Adèle : tu devrais être anthousiaste de voir ton enfant. En plus le premier
Idriss : je le suis
Adèle : non ça ne se ressent pas
Idriss : tu veux seulement que je saute comme tu le fais ?
Adèle : hummm ça va. Je vais faire les courses il me faut des vêtements de grossesse
Idriss : OK je suis la je ne sors pas
Adèle : je voulais que tu m'accompagne
Idriss : chéri s'il te plaît le dimanche comme ça quand je suis de repos vraiment j'ai besoin de me sentir de repos
Adèle : d'accord. J'y vais alors.
Idriss : fais attention à toi
Adèle : promis
Elle est sortie et a démarré sa voiture pour y aller. En cours de route elle a reçu un appel de Hervé
Adèle : oui Hervé bonjour
Hervé : bonjour Adèle ça va ton dimanche ?
Adèle : ah oui ça va je suis comme ça en train d'aller au marché
Hervé : ah d'accord. Tu es avec ton mari ?
Adèle : non toute seule
Hervé : je peux te tenir compagnie si tu veux je m'ennuie à la maison
Adèle : OK sans problème trouve moi alors au marché central. Ou bien même je fini et je te fais signe
Hervé : comme Tu veux
Adèle : OK ça marche
Elle a raccroché
1h heure après elle avait fini. Elle est allée s'asseoir dans un restaurant où elle a fait appel à Hervé. Il est arrivé
Hervé : ça été les courses ?
Adèle : oui oui. Prend quelque chose à boire.
Hervé a commandé une bière et Adèle un jus
Hervé : tu ne bois pas d'alcool ?
Adèle : si mais là je ne suis pas en mesure de boire
Hervé : ah OK tu es sous traitement hein
Adèle : non je suis enceinte
A l'écoute de ça Hervé qui prenait une gorgée de sa bière a failli s'étouffer avec
Adèle : ça va ?
Hervé : oui ça va. Tu as dis quoi ? Tu es enceinte ?
Adèle : oui. Il ya de quoi s'étonner c'est vrai que avec mon mari ça n'a pas été facile de concevoir mais grâce à Dieu on a pu
Jusqu'ici Hervé se demandait toujours pourquoi il avait couché avec elle, pourquoi son mari lui a fait ça. Maintenant il a fini par comprendre c'était pour qu'elle tombe enceinte. Elle était enceinte pas de son mari mais de lui
Hervé : (en pensée) elle est enceinte de moi oui c'est mon enfant qu'elle porte
Adèle : eh oh Hervé je te parle nor
Hervé : hein ? Tu disais quoi
Adèle : tu ne m'écoute pas tu penses a quoi
Hervé : a rien ça va. Tu disais ?
Adèle : je disais que après 4 ans de mariage Dieu m'a enfin béni
Hervé : ah c'est bien mes félicitations tu feras une bonne maman
Adèle : merci. Subitement tu es pâle
Hervé : ça m'a fait pensé à mon fils
Adèle : tu m'as dis que tu n'avais pas d'enfant nor ?
Hervé : j'en avais il est décédé quand il avait deux ans.
Adèle : oulala je m'excuse
Hervé : c'est rien. Quand je te vois parler de ton enfant avec autant d'amour je pense au mien.
Adèle : je comprends.. Il était malade ?
Hervé : oui il a été très malade. J'avais souffert avec lui à l'hôpital. Quand ma mère est tombée aussi malade j'ai pensé à lui et je me suis dit que je ferais tout pour sauver ma mère je ne peux pas revivre cette même douleur une deuxième fois. Perdre un être cher n'est pas chose facile.
Adèle : je suis désolé. Je n'aimerais vraiment pas être à ta place. Ça du être difficile.
Hervé : t'as pas idée. Mais bon c'est la vie
Adèle : et sa mère ?
Hervé : ça nous avait séparé. Elle a refait sa vie.
Adèle : werrrr. Dieu t'en donnera un autre voir plusieurs. Tu es un homme bon tu trouveras une bonne femme
Hervé : j'y crois
Adèle : assiiaaa
Hervé : je voulais aussi te dire que j'ai quitté mon travail
Adèle : ah bon ?
Hervé : oui ça fait 2 semaines que je ne travaille plus pour le Pasteur
Adèle : mais pourquoi tu es parti
Hervé : je te raconterais un autre jour. je voulais commencer quelques choses de moi même. Ma mère a des plantations au village je vais exploiter ça
Adèle : l'agriculture quoi ?
Hervé : oui oui. Je vais planter les pommes, plantains, patates, tomates avec le temps je verrais et aussi par rapport aux saisons
Adèle : c'est bien. L'agriculture paye hein. Tu investi dedans tu rapporte gros je t'encourage ça va donner je serais même ta première cliente
Hervé : merci
Hervé était bouleversé par les révélations de Adèle. Il n'était plus très à l'aise. Au bout de quelques minutes de causeries ils se sont séparés. Hervé est arrivé chez lui abbatu
Sa mère : tu étais où
Hervé : avec Adèle. Elle te salut
Sa mère : OK.
Hervé : maman je vais te parler si tu as le temps
Sa mère : oui dis moi. A voir la tête que tu fais ça ne va pas
Hervé : non ça ne va pas. J'ai fais un truc que je regrette énormément même si ça m'a aidé
Sa mère : ne me dit pas que tu es entré dans la sorcellerie
Hervé : non pas. Ca concerne Adèle
Sa mère : je t'écoute alors
Hervé : le Pasteur m'a dit qu'il pouvait nous aider avec tes frais médicaux et tu sais à quel point je tenais à te voir sur pieds. J'ai donc accepté son aide en échange d'un service que je lui ai rendu
Sa mère : lequel
Hervé : il m'a demandé de coucher avec Adèle
Sa mère : hein ? Je ne comprends pas
Hervé lui a raconté tout ce qui s'était passé dans les détails.
Sa mère : tu ne pouvais pas me laisser mourir ? Tu étais obligé de faire ça ?
Hervé : non je n'étais pas obligé mais ta vie était en jeu je n'étais pas prêt à te perdre. Tu crois que c'est facile de voir sa mère mourir et ne pouvoir rien faire par maque que moyen
Sa mère : ça n'excuse pas ton geste
Hervé : c'est déjà fait maman et ça me ronge franchement. C'est même l'une des raisons pour lesquelles j'ai quitté ce travail le Pasteur et sa femme me degoutaitent. Je ne me suis jamais intéressé à ce qu'ils font mais à voir ça j'ai compris que beaucoup de choses de pas net se passent là-bas.
Sa mère : maintenant tu va faire comment
Hervé : jusqu'ici je ne savais pas pourquoi j'avais fait ça. Je me suis rapproché d'elle pour en savoir plus je me disais même que c'était une mauvaise femme et tout mais j'ai découvert le contraire. Aujourd'hui j'ai finalement compris pourquoi j'ai fait ça
Sa mère : c'est pourquoi
Hervé : elle m'a dit qu'elle est enceinte et c'est depuis 4 ans qu'ils cherchent un enfant.
Sa mère : ah oui c'est ça. Sûrement son mari ne peut pas concevoir et elle ne le sait pas
Hervé : voilà. Elle se dit être enceinte de lui
Sa mère : mince. Il ya les qualités d' hommes ici dehors ça c'est quoi ? Ça te coûte quoi de lui avouer que tu n'est pas fertile. Faire ça à sa femme c'est méchant.
Hervé : je m'en veux tellement j'ai envie de tout lui dire et lui demander pardon. Tu penses qu'elle peut me pardonner ?
Sa mère : demande d'abord le pardon à Dieu s'il le fait elle le fera aussi. Mais c'est difficile. À part ça tu l'aime bien n'est pas
Hervé : j'ai pu découvrir en elle une femme simple, charmante ouvert d'esprit et oui je suis attiré par elle
Sa mère : hummm en plus elle porte ton enfant
Hervé : voilà. Je suis perturbé par le fait de lui dire la vérité ou de laisser. En même temps je n'ai pas envie que son mari s'occupe de cet enfant il ne les mérite pas c'est un con il n'a même pas idée de la valeur de la femme qu'il a ses côtés
Sa mère : pour être en paix avec toi même tu devrais lui dire quitte à ce qu'elle te déteste
Hervé : ouais. J'attends encore un peu.
Sa mère : ne fais plus jamais ce genre de choses même si je suis dans le trou tu ne va pas salir ta dignité pour me sauver. J'ai déjà fait ma vie et je peux partir en paix. je ne mettrais pas le vôtre en péril. Je suis contente que tu ai quitté ce couple de faux Pasteur c'est désolant pour ceux qui les suivent pffff le monde est gâté
Hervé : vraiment je prie seulement qu'elle me pardonne
Sa mère : espérons.
Hervé : je vais me coucher un peu demain j'ai une dure journée au champs
Sa mère : OK.
Entre temps Sandra était dans un restaurant en ville avec Brice. Pendant qu'ils mangeaient une fille à approché leur table.
Elle : hummm comme on se retrouve Brice
Il a levé la tête et a été surpris de voir Sandrine
Brice : bonsoir Sandrine
Sandrine : bonsoir mon cher. Ça va ? ta vie donne bien apparemment parce que depuis quelques temps tu me fui
Brice : arrête ça et respecte ma femme s'il te plaît
Sandrine : ah ta femme bonsoir Sandra je ne t'avais pas vu.
Sandra : hummm
Sandrine : alors Brice on dit quoi
Brice : c'est trop te demander de nous laisser
Sandrine : ah aujourd'hui tu me demande de te laisser hein alors que avant tu n'arrêtais pas de me suivre
Sandra : je crois que tu t'es suffisamment donné en spectacle comme ça. Il t'a longtemps baisé et c'est fini déjà je te remercie de l'avoir aider à se vider les couilles. Je vais te demander tout gentiment d'arrêter de te comporter comme une garce si tu as encore un peu de dignité tu tourne ton maigre corps la et tu dégage d'ici.
Sandrine l'a regardé dans les yeux et la honte s'est dessinée sur son visage. Elle ne savait pas que Sandra était au courant de cette relation du coup ça l'a anéanti. Elle a de nouveau regardé Brice et s'est tournée pour partir
Sandra : voilà
Brice : je suis désolé bb
Sandra : c'est rien. Il ne fallait pas qu'elle parte
Brice : tu changes déjà dois je m'inquièter ?
Sandra : pas du tout. J'en ai marre qu'on me prenne pour une conne c'est fini comme ça.
Brice : j'ai pensé à quitter la ville on se mari on va vivre ailleurs les gens nous persecutent trop
Sandra : on ira nul par la personne qui n'est pas fier de nous voir ensemble n'a qu'à quitter la ville.
Brice : hahahahaha terminé
Sandra : ah oui en plus les entreprises sont ici en allant ailleurs tu vas les diriger comment. Il est hors de question qu'on déménage. On va les affronter
Brice : cool bb. Je disais ça par rapport à toi en croyant que ça te dérangeait mais je vois que tu gère ça plutôt bien on fera comme tu veux
Sandra : OK. Ma robe arrive la semaine prochaine j'ai hâte de la mesurer
Brice : même en jogging je t'épouse
Sandra : hahahahaha comme ça tu te sape avec ta veste nor noyeur
Brice : hihihihi
Sandra : j'allais même oublier pour les alliances on va écrire à l'intérieur nor
Brice : oui
Sandra : on va donc graver quoi
Brice : dit moi
Sandra : j'ai pensé à nos noms et la date du mariage
Brice : ok on fera ça
Sandra : toi tu accepte tout ce que je dis comment
Brice : ce qui convient à ma femme me convient
Sandra : hummm on va te voir tu as une femme
Brice : et j'en suis très fier car Dieu m'a gratifié d'une adorable femme
Sandra : or tu va me faire rougir
Eux : hahahahaha
Ils ont fini de manger et sont rentrés Brice a déposé Sandra chez elle avant de rentrer chez lui