- Oui, mec, je n'ai pas bougé.
- Tu n'aurais pas vu une gamine, avec les cheveux longs et noirs.
Il me regarde et dit :
- Tu n'es pas au courant, une gamine comme tu dis a été poignardée hier après-midi et les flics ont arrêté le mec qui a fait cela. Je crois que la fille est à l'hôpital.
- OK, je te remercie mec et je lui file un billet
Je retourne à la voiture et je dis à Brigitte :
- Tu peux me conduire à l'hosto.
- Oui, Hugo je vais même aller avec toi.
- OK, ma belle.
Nous arrivons à l'hôpital.
Je demande :
- Est-ce qu'une jeune fille qui a pour prénom Corinne a été admise ?
La femme qui est là me demande de patienter. Au bout d'un moment, je vois un toubib et un flic arriver. Ils me disent : « Vous connaissez la gamine ? »
Je réponds :
- Oui, pourquoi ?
- Elle a pris un coup de couteau et malheureusement elle vient de décéder.
Le flic enchaîne en disant qu'ils avaient arrêté le gars qui a fait cela.
Je demande :
- Est-ce que je peux la voir ?
- Oui, comme cela vous pourrez nous dire si c'est bien la fille que vous connaissez.
Le flic et le toubib m'emmènent dans la morgue de l'hosto et Brigitte nous suit.
En arrivant, le médecin découvre le corps.
Je dis :
- Oui, c'est bien elle.
Je la regarde et dis :
- Adieu, ma p'tite chouette, je n'ai même pas eu le temps de te connaître et de te faire découvrir des choses.
- Tu resteras à tout jamais dans mon cœur.
Que va-t-il se passer maintenant ?
Le flic me répond :
- Nous avons téléphoné aux parents, une fois que l'autopsie sera faite, le corps sera envoyé chez eux, à Lyon.
- Ah d'accord, merci.
Le flic me demande :
- Vous pourrez venir demain au commissariat pour nous raconter tout ce que savez sur cette fille
- Oui, et elle s'appelle Corinne Sangle.
- D'accord, merci.
Avec Brigitte, nous partons et rentrons à la maison.
Je dis :
- Tu t'en rends compte, ma belle ? Je ne pourrais même pas aller à son enterrement, d'ailleurs ce n'est pas plus mal car si je voyais son père je pourrais faire le con.
- Oui, je sais mon Hugo, tu vas rester avec moi et on pensera beaucoup à elle.
- Oui ma belle.
Je me mets à gamberger et Brigitte le voit.
Elle dit :
- Ah non Hugo, tu ne vas pas commencer, ce soir on doit s'éclater et faire la fête pour rendre hommage à ta p'tite chouette.
- Tu as raison, ma belle.
- Alors, viens, on va se mettre nus tous les deux car il fait très chaud et on va boire, fumer et sniffer toute la journée
- D'accord ma belle, mais pense qu'Éric rentre ce soir.
- Je m'en fous, je veux m'amuser avec toi, Hugo
- OK, ma Brigitte.
On va dans nos chambres et on revient nu.
Brigitte va servir des Picon bière et quand elle revient elle fait deux pétards.
Je crois que la journée va être d'enfer.
Elle dit :
- Mon chéri je vais te faire oublier Corinne et on va bien profiter tous les deux.
- Oui, ma Brigitte.
- Va mettre de la musique et un truc qui pète.
Je mets du ACDC, on adore tous les deux.
Je viens m'asseoir près d'elle dans le canapé, elle me tend mon verre. Nous buvons et elle prépare des rails de coke.
Je sniffe tout d'un coup et je bois mon Picon bière cul sec.
Brigitte me dit :
- Attention, Hugo, ne te saoule pas, je veux que tout à l'heure tu me baises.
- Oui, ma belle, je vais te faire l'amour comme jamais.
- Oh oui et tu vas mettre toute ta semence dans ma chatte, je veux un bébé.
- Oui, mon amour.
Je me sens tout vaseux, mais super bien, je pense à ma p'tite chouette mais c'est vrai qu'elle aurait aimé nous voir comme cela.
Brigitte dit :
- Tu ne gamberges pas mon Hugo ?
- Si, un peu, mais ne t'en fais pas, tout va bien.
Elle allume les deux pétards et m'en donne un.
Je fume et je ressers deux Picon bière. Brigitte vient contre moi, prend mon sexe dans sa main et me masturbe.
Je lui dis :
- Oh oui, vas-y, ma Brigitte et après tu le prends en toi.
- Oui et tu vas me faire l'amour longtemps.
Elle met de la coke sur ma bite et me suce très vite, je bande comme un cheval, quand elle voit mon sexe comme cela, elle vient sur moi et l'entre dans sa chatte.
Je lui dis :
- Oui, ma belle, fais-moi jouir.
- Oh oui, tu vas jouir dans mon vagin, mon Hugo.
Elle fait des va-et-vient très rapides et je viens très vite en elle, je la vois sourire.
Elle dit :
- Comme c'est bon, mon chéri, je sais que je vais avoir un bébé avec toi.
- Oui, mon amour.
Je me sens tout vaseux et Brigitte le voit.
Elle dit :
- Viens, mon Hugo, on va se coucher un peu, on recommencera la fête après.
- Oui, cela va nous faire du bien.
On va s'allonger sur mon lit.
Je dis :
- Mais si, Éric, rentre.
- Je m'en fous, de toute façon ce soir il s'en va, je lui laisse le bateau, il ira dormir là-bas.
- Ah d'accord, tu as tout prévu.
- Oui, je veux rester avec toi Hugo.
- N'oublie pas Myriam.
- Non, ne t'en fais pas, nous vivrons tous les trois avec nos bébés et ne t'en fais pas je ferais attention avec ta Myriam.
- C'est super ma belle et moi quand tu me voudras je serais là.
- Sauf que je voudrais tous les jours.
- Je m'en doute, gourmande.
- Oh, oui gourmande, d'ailleurs on se repose un peu et tu me refais l'amour.
- Oui, ma belle.
Je regarde l'heure, il est 14 h 45.
Je m'endors très vite.
Brigitte me réveille, il est 18 h 30, elle me dit :
- J'ai entendu du bruit dans la cuisine, Éric doit être rentré, je vais lui parler, toi tu restes là.
- Oui, ma Brigitte.
Elle met son peignoir et va voir Éric.
Moi je me rendors.
Brigitte revient, se couche contre moi, elle attrape mon sexe et me branle, puis elle l'embrasse et me suce.
Quel bon réveil !
Elle se retourne et met son vagin sur ma bouche.
Elle dit :
- Mange-moi mon chéri, fais-moi jouir avec ta bouche.
Je la déguste très longtemps et elle jouit. Nous faisons de nouveau l'amour et vraiment c'est un bonheur.
Elle dit :
- Éric est parti, il reviendra plus tard chercher ses affaires, demain quand nous sortirons de chez les flics, on ira chercher les papiers pour le divorce. Mais Hugo, tu restes avec moi
- Oui, ma Brigitte.
De toute la journée et jusqu'au lendemain, je ne vais plus rien comprendre, je suis comme ailleurs, je baigne dans le sexe, la drogue et l'alcool et pour Brigitte c'est la même chose, nous vivons pleinement notre amour et nous nous donnons l'un à l'autre dès que nous émergeons de nos états vaseux.