Crimes à Avignon: Corinne ma p’tite chouette Broché
img img Crimes à Avignon: Corinne ma p'tite chouette Broché img Chapitre 4 No.4
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Chapitre 4 No.4

Samedi 16 juillet

C'est un bruit dans la cuisine qui me réveille, je regarde l'heure, il est 9 h 30, Brigitte dort encore, elle est allongée sur le ventre et complètement découverte. Je me dis, comme elle est belle !

Je me lève sans faire de bruit et je vais voir dans la cuisine, en arrivant, je vois que c'est ma p'tite chouette, elle prépare le petit-déjeuner.

Je ne dis rien et je retourne dans la chambre, je me mets à genoux au-dessus des jambes de Brigitte, mon sexe est sur ses fesses, elle ne dit rien.

Je me penche et je l'embrasse sur la nuque, dans le dos, elle frissonne.

Je continue avec des caresses.

Elle dit en se redressant un peu.

- Prends mon petit cul, Hugo, j'ai envie que tu me sodomises.

- Oh oui, ma belle.

- Je la pénètre très lentement, elle se met à quatre pattes.

Elle dit :

- Vas-y, Hugo, baise-moi.

Je la prends fort et vite et je sens qu'elle adore, je jouis très vite tellement elle m'excite.

Elle dit :

- Tu sais, nous avons beaucoup fait l'amour hier et tu es venu en moi plusieurs fois, je dois te dire que je ne prends aucune précaution et toi tu n'as pas mis de capotes.

- Oh, c'est vrai, ma belle ?

- Oui, et si je me retrouve enceinte, je m'en fous, je garde le bébé.

- Mais tu penses à Éric.

- Oui, de toute façon je vais le quitter et je voudrais que tu restes avec moi, Hugo.

- Mais il y a Myriam, tu le sais.

- Je sais, mais tu peux vivre ici avec elle et sans rien lui dire tu nous auras toutes les deux.

- Tu veux vraiment cela ?

- Oh oui, Hugo.

- Tu sais aussi que Myriam est enceinte, que si tu quittes Éric, je n'aurai pas de boulot et personnellement je n'ai pas beaucoup de fric.

- Je me fous vraiment de tout ça, moi j'ai du pognon et si tu veux vraiment bosser nous trouverons quelque chose, je connais beaucoup de monde ici.

- Tu veux vraiment ma belle, alors je te dis oui car en plus tu me plais énormément et j'ai toujours envie de toi.

- Oh oui, je veux, viens on va à la douche car tout à l'heure on va à Montpellier.

Nous sortons de la chambre, nous sommes nus tous les deux. En arrivant dans le couloir, ma p'tite chouette est là, elle me regarde et je vois de la surprise dans ses yeux mais elle ne dit rien.

Je vois qu'elle est nue.

Je lui dis :

- Qu'est-ce que tu fais comme cela ?

- Oh non, Hugo, ne me dispute pas, mais j'ai chaud.

- D'accord mais cela me gêne un peu.

- Je sais mais je suis bien comme ça.

Je la regarde et c'est vrai qu'elle est très belle, mais bon elle est trop jeune et en plus j'ai Brigitte.

Brigitte dit :

- Laisses là Hugo, elle est bien là en plus moi j'aime bien la voir nue.

- D'accord, je ne dis plus rien.

Nous allons dans la salle de bain, une fois sous la douche, nous nous embrassons, nous caressons, comme c'est bon tous ses instants.

Une fois fini, nous nous habillons et nous allons dans la cuisine.

Brigitte sert deux cafés.

Elle dit :

- Après on y va Hugo car il est 10 h 45 et il faut environ 1 h 30 pour aller à Montpellier et Nathalie, la copine chez qui nous allons, part de chez elle vers 13 h 30.

- D'accord, ma belle.

Corinne dit :

- J'ai été surprise en te voyant nu tout à l'heure Hugo car tu as un sacré engin.

Brigitte répond :

- Oui, et c'est à moi.

- Oui, je sais Brigitte mais je voulais dire pourquoi ma surprise.

Je dis :

- Chut, ma p'tite chouette, car moi je trouve dommage que tu sois si jeune.

Elle dit :

- Tu sais, l'âge ne compte pas.

- Pour moi si et pourtant tu me donnes très envie de toi.

Brigitte dit :

- Stop maintenant, tu es à moi, Hugo.

- Oui, ma belle.

Je dis à ma p'tite chouette.

- Tu vas faire quoi ?

- Je te l'ai dit hier, je vais aller à la gare et je me baladerais un peu. Ensuite, je rentre ici, j'écouterais de la musique et je vous attendrais.

- D'accord, mais je ne sais pas à quelle heure nous rentrerons.

- Pas grave, si vous rentrez tard, j'irai me coucher.

- OK.

Brigitte dit :

- Je te laisse une clé, tu fermes bien tout quand tu sors de la maison et tu ne la perds pas.

- Oui, Brigitte.

Nous buvons nos cafés, disons au revoir à Corinne et allons à la voiture.

Le trajet jusqu'à Montpellier se passe bien et nous arrivons à 13 h.

Brigitte sonne chez Nathalie.

Elle vient ouvrir, Brigitte me présente et là, c'est le choc pour elle et pour moi, il y a entre nous, une forme d'attirance.

Elle dit :

- Comme il est bien, Hugo.

Brigitte dit :

- Oui, et il est à moi.

Nathalie ne me lâche pas des yeux et moi non plus.

Elle s'absente un peu, revient avec son sac et dans sa main, elle a un petit papier qu'elle me donne.

Je le glisse dans ma poche, je le lirai tout à l'heure.

Nathalie dit :

- Je rentre tard ce soir, si vous partez, vous fermez et mettez la clé dans la boîte aux lettres

Brigitte dit :

- D'accord ma belle.

Puis elle s'en va et je la regarde partir.

Je ne sais pas pourquoi mais elle m'attire vraiment Nathalie.

Brigitte nous a préparé un après-midi d'enfer.

Elle dit :

- Viens mon Hugo on va se mettre nus, il fait tellement chaud, en plus pas besoin de vêtement car nous allons faire beaucoup l'amour, boire, fumer et sniffer. J'ai tout prévu.

- D'accord, ma Brigitte.

Nous nous mettons nus.

Je dis :

- Tu veux boire quoi, ma belle ?

- Comme toi Hugo.

Je nous sers deux bières et Brigitte prépare des rails de coke.

Je vais à côté d'elle, nous sniffons la coke et buvons nos bières. J'allume deux clopes et j'en donne une à Brigitte.

Elle dit :

- Après je nous fais deux gros pétards.

- Oh oui.

- Elle me met de la coke sur le sexe.

Cela fait effet tout de suite, je bande très fort.

Brigitte me regarde.

Elle dit :

- Viens, Hugo, assis toi sur la chaise là.

Je l'écoute.

Elle vient sur moi et s'empale sur ma bite qu'elle rentre entièrement en elle.

Elle reste sans bouger et allume un pétard qu'elle me tend.

Elle dit.

- Vas-y, mon Hugo, fume, moi je vais te baiser et elle commence des va-et-vient doucement puis très vite.

La coke me donne des érections très fortes et elle le sait, alors elle fait durer le plaisir très longtemps. Elle va tout me faire et je vais jouir plusieurs fois en elle.

Une fois fini, elle reprépare des rails de coke que nous sniffons très vite.

Elle dit :

- Viens, on va à la douche et après tu t'occuperas de moi avec ta bouche et tous les objets que j'ai apportés.

- Oh oui, ma Brigitte, mais avant je voudrais téléphoner à Myriam.

- Oui.

Brigitte dit :

- Avec tout ce que l'on fait, je vais sûrement tomber enceinte.

- Mais tu le veux vraiment, ma belle.

- Oh oui, j'ai décidé que je veux un bébé avec toi.

- N'oublie pas ce que je t'ai dit, il y a Myriam et je ne la laisserais pas.

- Oui, je sais, mais tu vas vivre à la maison et comme cela je t'aurais pour moi aussi

- D'accord, Brigitte, mais Myriam ne devra rien savoir.

- Oui, mon Hugo, ne t'en fais pas, je ne dirai jamais rien.

- OK.

Je vais au téléphone qui est dans le bureau près de l'entrée, au passage je prends dans la poche de mon manteau, le mot que m'a donné Nathalie, je suis curieux de savoir ce qu'elle me dit.

Je compose le numéro des parents de Myriam, c'est elle qui répond.

- Allô.

- Oui, ma chérie, comment tu vas ?

- Oh, mon Hugo, comme je suis heureuse de t'entendre, mais comme je m'ennuie sans toi.

- Oui, je sais, ma belle, mais ne t'en fais pas, bientôt tu seras là avec moi car j'ai une bonne nouvelle.

- Ah, dis-moi, mon chéri.

- Voilà, comme Brigitte a une très grande maison, elle est d'accord pour que l'on vive ici chez elle et crois-moi c'est très grand.

- Oh super, mais je vais pouvoir venir quand ?

- Dans 15 jours, je pense, ma chérie.

- Comme je suis heureuse, mon Hugo.

- Tu vois je te l'avais dit ma belle, bon je dois te laisser je vais en ville maintenant, je te retéléphone demain, embrasse tes parents et si tu vas voir les miens tu les embrasses aussi.

- Oui, mon Hugo.

- Et comment va notre bébé ?

- Bien, mon chéri, mon ventre devient bien rond et j'ai hâte que tu reposes tes mains dessus et partout sur moi.

- Ma douce, je t'aime et je t'embrasse tendrement, à demain si je peux te téléphoner.

- Oui, mon Hugo.

Et je raccroche.

Je déplie le mot de Nathalie et je lis.

« Hugo, je vais être directe, tu me plais et je voudrais te revoir, faire connaissance avec toi et plus même. Je sais que tu es jeune et moi une femme d'une quarantaine d'années, mais il serait dommage de passer à côté de quelque chose qui pourrait être formidable.

Alors si tu es d'accord, je te donne mon numéro de téléphone, appelle-moi s'il te plaît, tu ne le regretteras pas et je sais que moi non plus ».

Dans ma tête je me dis.

« C'est incroyable ce qui m'arrive et pourquoi j'attire autant les femmes. Je lui téléphonerai demain. »

Je retourne voir Brigitte, elle est couchée sur le lit.

Elle me dit :

- Je viens de me faire un rail mon chéri tu t'en fais un sur ma chatte et tu le sniffes, après tu me mangeras.

- Oh oui, ma belle.

Je prépare mon rail, je le sniffe et j'embrasse le vagin de Brigitte, nous allons faire l'amour très longtemps et tout de l'amour, pendant des heures nous allons vivre l'extase et ne plus rien voir.

Vers 20 h 30, nous émergeons.

Brigitte me dit :

- On va à la douche et on rentre à Avignon, mon Hugo avant que Nathalie ne rentre.

Je lui dis :

- Tu ne veux pas que je la recroise ?

- Non, car je pense qu'elle a des vues sur toi, elle a flashé et je pense même qu'elle voudrait bien connaître des trucs avec toi.

- Tu crois ?

- Oh oui, je l'ai vu dans ses yeux.

Nous allons à la douche, nous nous habillons, nous refaisons un peu le lit et rangeons. Nous fermons tout et nous partons.

Pendant le retour, nous discutons de tout, mais Brigitte me redemande si je suis d'accord pour rester avec elle.

Je lui dis :

- Oui, mais comme je t'ai dit, il y a Myriam.

- Oui, je sais, Hugo et je l'accepte, mais je veux t'avoir aussi pour moi.

- Oui, ma Brigitte.

- Oh, super, alors lundi je dirais à Éric que je le quitte et qu'il doit partir de la maison.

- Déjà !

- Oui, pourquoi perdre du temps, mon Hugo ?

- D'accord, ma belle.

- Je t'aime, Hugo.

Je ne réponds pas, nous arrivons à la maison vers 23 h 30, il n'y a pas de lumière, je pense que ma p'tite chouette est au lit.

Une fois rentrée je vais voir dans la chambre de Corinne et là, surprise elle n'est pas là.

Je le dis à Brigitte et je me pose un tas de questions.

Mais comme il est tard, que faire ?

Brigitte me dit :

- Tu viens au lit, Hugo.

- Non, je vais attendre Corinne, je m'inquiète qu'elle ne soit pas là.

- Non, viens, tu ne peux rien faire ce soir.

- D'accord, j'arrive.

Nous nous déshabillons et nous nous mettons au lit.

Brigitte s'endort très vite. Moi j'attends, mais je m'endors aussi.

            
            

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