On a fait quelques jours à Madina au chevet du frère de ma chère mère avant de retourner à Timbo. Durant tous ces quelques jours, je ne faisais que explorer le royaume de Madina avec une idée brien précise en tête pour ma prochaine attaque. J'ai découvert les coins secret et recoins du palais grâce à mon idiot de cousin. Il me faut sa promise sinon j'en mourai. Cette jeune fille m'attire comme un amant. J'ai même envoyé mes hommes de mains en secret pour qu'ils faitent des recherches sur la fille. Selon mes sources , elle n'a que 14 ans mais moi je m'en fiche de son âge, tout ce qui m'importe ce qu'elle soit mienne pour la vie de gré ou de force.
Au retour dans notre royaume , je suis directement aller voir Moussa...mon lèche botte. C'est le fils du griot de mon père , il est pire que son père dans ce domaine mais je ne sais pourquoi mais J'aimes m'ouvrir à lui et il aime aussi écouter ses conseils. C'était la toute première fois de ma vie que j'ai eu peur de perdre quelqu'un quand sa sœur s'est suicidé après que je l'avais forcé à coucher avec moi. Son frère était entré dans une colère passagère de quelques temps mais a fini par reprendre son boulot de lèche botte du prince. Il me suit partout comme mon toutou. Comme j'aimes être supérieur aux autres. J'aimes mon statut de prince , le pouvoir que j'ai sur les autres.
Arrivé chez Moussa , j'ai salué sa mère qui me m'eprise mais n'ose pas me le montrer par peur de suivre sa fille adoré. Est-ce de ma faute si elle s'est suicidé? Je n'ai fait que coucher avec elle moi.
Moi ( avec arrogance) : ton fils est là ?
Elle ( la tête baissée) : da..ns sa case mon prince.
Moi ( me dirigeant vers la case de Moussa) : bien.
J'ai trouvé cet idiot en train de rédiger une lettre à une vieille dame. Cette dernière ma saluée poliment avant de déserté la case. Moussa s'est levé , essuyé proprement le seul tabouret qui lui serve de meuble dans sa chambre.
Moi ( m'installant) : on ne t'avait pas informer de mon retour Moussa ?
Lui : si si mon prince , je m'appretais juste pour me rendre au palais quand mah Binta m'a demandé de la rédigé une lettre pour son fils Abou. J'espère que mon prince me pardonne ?
Moi : c'est pas grave mais ne refait plus la même erreur compris ?
Lui : oui. Dites-moi mon prince , qu'est ce qui ne va pas encore vu votre mine ? Encore la reine Saranké ?
Moi ( passant ma main sur mon visage) : non. Moussa , je suis confuse et je ne sais pas quoi faire.
Lui : je vous écoutes mon prince.
Moi : durant mon voyage à Madina, j'ai vu une chose là-bas qui m'a vachement toucher le coeur d'un seul coup. Une belle étoile qui est la promise du fils du frère de ma mère. Cette fille , je l'aimes de tout mon cœur et veut coûte que coûte l'épouser. Mais ce qui m'engoisse un peu , c'est le fait d'attaquer le royaume de ma mère de son vivant. Je peux beau être arrogant et hautain mais ma mère reste ma mère. J'ai beaucoup d'estime pour elle. Et mon père aussi ne va jamais accepté que je combattes Madina alors que la seule solution pour moi d'avoir cette fille, c'est d'attaquer Madina , détruit la famille royale tu vois ?
Lui : tout ce que vous venez de dire là est certe difficile mais pas impossible mon prince. Moi la seule solution que je vois qui pourra vous permettres de combattre Madina sans que vous ne faites le compte rendu à qui que se soit... C'est d'être votre propre Chef.
Moi ( confus) : ne suis je pas assez mon propre Chef comme ça ? Sois précis Moussa , je n'aimes pas qu'on me fait des sous entendu. Tu sais que je déteste ça de tout mon être.
Lui : désolez votre altesse. Ce que j'essayes de vous faites comprendre...c'est d'être au trône pour que tout cela soit possible à réaliser.
Moi : mais tu es fou ? Comment pourrai-je être au trône alors que le roi est vivant et en parfaite santé. Attends, tu insinus que j...j'élimines le pour être vite au trône?
Lui ( baissant la tête) : je suis désolé si cette pensée horrible m'a traversé l'esprit mon prince.
Moi ( sourire narquois aux lèvres) : ne le soit pas Moussa , tu viens de me donner une idée fantastique. ( me levant) : je vais rentré au palais , je sais maintenant ce qui me reste à faire même si cela me brise un peu le coeur mais mon bonheur passe avant toute chose.
J'ai quitté chez Moussa avec l'idée d'en finir vite avec mon cher père. J'ai besoin de son trône pour obtenir ce que mon cœur désire. '' la belle Djamila''. Dis-je en souriant.
La vie a commencé à suivre son cour, mais mon cher père a commencé à s'affaiblir de jour en jour à cause du venin de serpent que je mets à chaque fois dans son thé. Il a commencé à se faire rare dans le palais et moi à m'occuper de lui comme le digne fils que je suis. J'ai bloqué accès à tous les bons guérisseurs connu du royaume. Même ma mère, c'est rarement que je la laisses voir mon père tout en accusant son frère d'avoir contaminer mon père.
Ma mère ( pleurs) : laisse-moi entré voir mon mari et m'occuper de lui comme il se doit Salimou...pourquoi tu es si cruel avec moi qui t'a donné la vie ?
Moi : je dis non et c'est non...si mon père n'était pas parti voir ton cher frère sous ton air affoler, j'avais il ne choppera cette maladie maudite de ton frère. Tu es la seule responsable donc assume et fou moi la paix mère.
Elle : si c'est vrai ce que tu dis la Salim, pourquoi ni toi et ni moi n'ont attraper cette maladie sauf ton père ?
Moi : tous les corps ne réagissent pas de la même manière mère...discussion close qu'on en parle plus.
J'ai quitté la table et la laisse se vidé de ses larmes...d'ailleurs, elle n'a pas d'autre chose à faire depuis que père est malade auf pleurer seulement. Ses larmes ne me font plus aucun effet.
n samedi soir , je venais de rentrer après trois jours hors du palais pour une mission avec mes troupes de guerre. On a une fois encore remporter la guerre contre d'autre adversaire. À peine dans mon appartement que j'ai entendu le son du tambour qui annonce à chaque fois une mauvaise nouvelle. Un sourire de satisfaction s'est dressé sur mes lèvres. J'ai vite pris un bain puis me dirige à la hâte dans l'appartement de mon père sûrement mort vu que les vieux sages remplissent déjà la salle de réunion. Je l'ai trouvé couché dans son lit sans vie...couvert de la tête au pieds d'un dras blanc. Mère en pleurs dans les bras de ses servantes. Elle s'est levé en furie dés qu'elle ma vie entré dans la chambre.
Moi ( aux servantes) : qu'est ce que vous foutez dans la chambre de mon père ?
Sans attendre leurs restes, elles ont tous déserté la chambre et se mettent à la porte.
Ma mère : quel genre d'enfant es-tu Salimou ? Comment tu as pu? Dit-elle en lm'administrant une gifle monumentale.
Moi ( innocemment) : tu m'attaques ainsi pour qu'elle raison mère ? Et en plus devant tes espèces de bonnes. Je peux savoir pourquoi tu me frappe ?
Elle ( les yeux larmoyants) : je comprends maintenant la raison pour laquelle tu ne me laissais pas m'occuper de ton père... Tu l'as tué espèce d'enfant maudit! Salimou Keita , je te maudis à tout jamais...à partir de cet instant que cette idée d'éliminer ton propre père qui t'a tout donné, qui t'a aimer sans condition t'es venu à l'esprit...Tu ne vas plus jamais connaitre ce que s'est le bonheur au cour de ta courte existante sur terre. Que tu sois maudit à tout jamais que tout ce que tu touches ou entreprend soit de même. Je regrette de t'avoir donné la vie. Je regrettes de t'avoir faire entré dans notre vie comme étant notre propre fils. Ça aurait été préférable pour nous de perdre le titre de la royauté que d'accepter d'adopter un petit orphelin qui venait de perdre ses parents. Je te maudis enfant de malheur.
Je comprends maintenant pourquoi je n'ai eu aucune compassion en tuant le roi. Il n'est pas mon vrai père mais celui m'a élever. Ces mots m'ont tellement toucher. J'aurai tellement préférer être le digne fils du roi mais la voilà qui vient de signer son arrêt de mort en me révélant ce lourd secret.
Moi ( rouge de colère) : ahahah , fallait faire l'aveugler femme. Tu verras, ta malédiction contre moi ne me fera ni chaude et ni froide. À partir de l'instant que toi aussi à chercher de découvrir mon plan, de fouiller ton nez dans mes affaires...tu ne vas plus jamais voir la lumière du jour. Garde.
Le gardant ( faisant son entré) : enfermer cette femme jusqu'à son jugement...elle est la responsable de la mort du roi.
Ma mère ne voulait pas les suivres mais ils l'ont emmener de force sous mes yeux de satisfaction. Je ferai maintenant ce que je veux de ma vie et de mon royaume.
Des mois que je suis monté au trône du timbo et leur chère ex reine aussi est enfermer avec ses servantes depuis le fameux jour qu'elle avait décidé de me démasqué. Je l'a rende visite de force même si elle ne veut pas me voir mais elle reste la mère que j'ai connu , celle qui m'a élevé et c'est pour cet estime je porte quelque chose dans mon coeur pour elle. Moussa , est devenu mon bras droit vu que c'est grâce à lui que j'ai eu aussi rapidement accès au trône du Timbo.
L'attaque surprise contre le royaume de Madina s'approche de jour en jour. Mon chef de guerre a formé toute une équipe pour cela. Il a même envoyé quelques uns pour mieux surveiller les faits et gestes de la fille. Mon cousin , lui ne se doute de rien concernant le coup terrible que je lui réserve. Depuis la mort de son père, il est aussi le nouveau roi de Madina.
Le jour j enfin arrivé, comme j'ai bien suggéré à mes hommes de guerres. Ils ont attaqué le royaume en pleine nuit , tué en premier les gardes qui surveillaient le royaume avant d'atteindre le roi. Comme j'ai tout mis en place pour être présente pendant l'attaque, c'est moi-même qui a trancher la gorge de mon cousin en faisant en sorte qu'il voit bien mon visage. L'attaque a été succès donc je suis rentré à Timbo avec ma future femme. Elle pleurait , me suppliait mais sans me connaître. Je suis une personne qui n'a aucune compassion pour les autres.
Arrivé à Timbo, la première chose que j'ai fait d'abord c'est d'annoncer la bonne nouvelle à ma mère. Elle est aussi morte deux jours après mon annonce. Je lui ai enterré tout près de son cher mari.
La vie a suivi son cour et la belle Djamila a fini par se soumettre à mes ordres.
Cela fait quelques années maintenant que je diriges le royaume de Timbo à ma manière... Tout se passait à merveille durant des deux dernières années mais depuis quelqu'un temps, mon royaume est frappé par une terrible sécheresse qui entraîne de jour en jour la famine et la perte des animaux dans mon royaume. Et ce qui commence à me fait réellement froid au dos , c'est le fait que l'économie du royaume. Je suis inquiet , très inquiet même si je ne le montres pas clairement. Si je ne trouves pas rapidement une solution , les adversaires finiront par avoir le dessus sur nous. Nous avons plus beaucoup de chevaux dans les camps à cause de cette maudite sécheresse. J'ai fait par de mon angoisse à Moussa. Il m'a conseillé d'aller voir les vieux sages du royaume. Depuis la mort du roi , je les ai tous chassé du palais. Je dû les menacés avec des armes avant qu'ils n'acceptent de remettre à nouveau les pieds au palais.
En venant, ils étaient accompagnés du plus grand sorcier du royaume. Je voulai directement chassé le sorcier mais son regard rouge de colère m'a fait taire sur place. J'ai peur qu'ils ne découvrent tous le mal que j'ai fait pour avoir accès au trône. Mais je m'en fous , je suis le souverain s'ils se manifestent seulement je l'ai tué tous sans bruit.
Le sorcier , faisant des pas bizarre dans tout le palais en murmurant des paroles incompréhensible dans sa barde.
Le sorcier ( cri) : sacrilège, abomination, malédiction.
Moi ( inquiet) ( aux vieux) : qu'est ce qu'il renconte là ?
Un vieux : la vérité.
Le sorcier : silence jeune roi , silence.
Je me suis tu et me met à l'observé faire ses grimace.
Le sorcier : bientôt le retour du passé jeune roi , bientôt riposte des coups terrible que tu as donnés aux mains qui t'ont nourries. Ta perte viendra de ton propre géniteur, ce dernier, ce dernier te tuera et et et...épousera sa propre mère. Seule cela enlèvera la malédiction que l'ex reine avait lancé sur vous avant de mourir. Timbo ne va plus jamais être comme avant, les adversaires....
Moi ( me levant le coeur battant la chamade) : fermez là vieux fou , tu l'as ferme. Dis-je en m'approchant de lui. Diriger par la colère, j'ai fait sorti mon épée et le tranche la gorge devant tout le monde.