Le Prince
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Chapitre 2 2

( Le retour du mal).

Du côté de la Saranké.

Je souffre à cause du fruit de mes entrailles. Ne serai je tu pas préférable pour une femme d'être stérile que de mettre un enfant qu'elle voit comme un menace pour son peuple? Cet enfant est orgueilleux, hautain et n'a aucune considération pour les autres. Je me demandes où j'ai faussé à son éducation. Son père et moi ainsi que la population de Timbo l'ont trop gratter je sais mais est-ce une raison qu'il devient aussi mauvais foi en grandissant ? J'ai peur pour mon peuple, bref mon fils m'effraie sans me mentir. Il marche sur le sol on dirait que c'est lui qui a créer la terre. Il malmene les esclaves comme des ânes. Aucun d'eux n'ose levé les yeux pour le fixé par peur d'être battu ou d'être bani du royaume.

J'était d'abord une princesse avant d'être une reine , j'ai vu mes frères princes et mes cousins grandir avec des comportement remarquable. L'homme qui le sert d'abord de père, il doit prendre l'exemple sur lui. Il est soumi , croyant et pratiquant. Selon lui , pas de distinction entre les êtres humains malgré que le nouveau bas des autres viennent du tout puissant. Tout le monde ne peut pas être riche ou pauvre à la fois mais malgré ça il faut chacun pour vivre normalement. Le riche à autant besoin du pauvre et le pauvre aussi à besoin du riche.

Mon Dieu , le tout puissant, je t'en supplie de changé le coeur et l'intention de mon fils en bien. Son père se fait vieux, bientôt s'est lui qui le remplacera au trône du Timbo...une mère connait son fils mieux que quiconque, Salimou m'effraie, je vois en lui quelqu'un de mauvais prêt à tout pour arrivé à ses fins. Comme du l'adage malinké ( que quand une femme donne naissance à un serpent, elle n'aura pas d'autre soit que de l'attaché à ses reins).

Après avoir encore implorer mon créateur , j'ai plié ma natte et la mette à sa place. Avec la peur bleu au ventre , je me dirige vers la chambre de Salim pour le réveiller pour prière du Fadjr. Sur mon passage, j'ai autorisé aux pauvres esclaves qui surveillent le palais pendant la nuit d'aller se reposer. Ils sont aussi des êtres humains faitent de chaire et du sang. Devant la porte de l'appartement de Salim, j'ai cogné deux à trois fois avant qu'il ne daigne se montré le visage tiré sûrement de colère. Encore une fille d'un pauvre esclave m'a saluer chaleureusement et est sorti la tête baissée de son appartement. Mon fils se serve de ses pauvres filles pour assouvir son désire sexuel.

Salim ( ton sec) : tu as regardé l'heure avant de venir me dérangé dans mon sommeil mère ? Pourquoi je ne peux pas avoir un moment de répit même pendant la nuit à cause de toi ? Qu'est ce que tu me veux encore ?

Moi ( refoulant mes larmes) : il est l'heure de la prière du fadjr Salimou..tu ne te lève jamais par ton propre chef pour la prière sans qu'on ne vienne le faire. Apprête toi et va prié.

Salim ( rire) : que je prie ou pas mère, en quoi cela te dérange ? J...

La voix du roi qui quittait à la mosquée accompagné de ses hommes de mains nous a tous les deux fait tourner la tête.

Moi ( faisant la génuflexion) : bonjour mon roi ( aux autres) : bonjour.

Les hommes : bonjour notre douce reine.

Le roi ( sourire) : tu as passé une excellente nuit ma douce Saranké ?

Moi : par la grâce de Dieu oui.

Salim : bonjour papa.

Le roi ( sourire) : mon chéri , comment tu vas ? Qu'est ce que vous faîtes là tous les deux?

Salim ( me coupant la parole) : je venais de la mosquée d'en bas papa. L'heure m'a attrapé aujourd'hui du coup je n'ai pas pu y aller à la grande mosquée. J'espère que père ne m'en veut pas pour ça ?

Le roi : comment t'en vouloir mon trésor.

Salim ( sourire) : je retournes alors m'apprêter , mon troupe et moi devons nous rendre à Diaména tôt le matin. On va encore essayé de les en dissuadé pour qu'ils renoncent à la guerre contre notre royaume , s'ils persiste sur leur décision, on fera ce qu'ils veulent.

Le roi : je suis fier de toi filston.

Tout au long de leur conversation, je ne fixais que mon fils. Il a l'air parfait devant son père que parfois je me demandes si il n'est pas bipolaire. Il est retourné à son appartement et j'ai fait de même le coeur serré. Quel genre d'enfant j'ai mis au monde? Comment le qualifié? Aucune idée.

Cette journée s'est encore passé comme à l'accoutumée et j'ai terminée la soirée en réunion avec les autres femmes nobles du royaume. À la tombé de la nuit , j'ai reçu une lettre venant de mon royaume , celui que mon grand frère dirige maintenant depuis la mort de notre père. J'ai demandé à une de ma servante d'aller fait appele à Moussa le seul meilleur ami de mon fils. C'est lui qui rédige et recrit toutes les lettres du royaume. Il est venu quelques minutes après accompagné de ma servante et deux gardes qui les a suivit à la porte. J'ai autorisé aux gardes de disposé.

Moussa ( faisant la génuflexion) : bonsoir ma reine ?

Moi ( toute souriante) : comment tu vas Moussa mon fils ? Je viens de recevoir une lettre venant de Madina... Tu peux la lire pour moi?

Moussa : vos désires sont des ordres dans ce royaume sa majesté. Vous permettez que je m'installe?

Moi : oui bien-sûr.

Il a prit place sur une tabouret faite d'or tout près de moi. Il a ouvert la lettre puis commence à la lire.

La lettre annonce que mon grand frère qui dirige le royaume de Madina est gravement malade depuis quelques jours. J'ai remercié Moussa avant de me dirigé dans la salle où le roi et son gouvernement passent toute leur journée. J'étais tellement inquiète que je ne pouvait attendre qu'il rejoigne notre appartement en pleine nuit. Il faut que je me rendes le plutôt possible à Madina. Mon frère et ses enfants sont les seuls membres de ma famille.

Dans la grande salle , je n'ai trouvés que quelques hommes et le griot du roi , tous les hommes étaient rentrés chez eux. Dés qu'il m'a vu entré avec mes quatres servantes qui sont mes compagnons partout où j'y vais...il a autorisé aux autres hommes de disposé puis me fait signe d'avancer. Il sait que je n'entre jamais dans cette salle sans une bonne raison et aussi il me connaît trop même. Mes servantes m'ont attendu au pas de la porte et moi j'ai avancé timidement.

Moi : bonjour mon roi , j'espère que je ne vous ai pas déranger ?

Le roi ( sourire) : ma reine mère ne me dérange jamais. Viens prendre place ma douce Saranké.

Le griot : ahhhh , la reine mère , l'incarnation du douceur. Qu'est ce qui rend votre visage si joyeux triste cette nuit ? Comme elle est belle la chef des femmes. La bonté divine , la mère du prince irréprochable. Notre grand Chef , le roi des rois vous demandes de prendre place.

Moi ( sourire malgré ma tristesse) : merci Kédjan.

Le griot : voilà ce qui vous va ma reine... Votre sourire a éliminer tout d'un coup une salle aussi gigantesque que celui-là.

J'ai pris place près de mon mari et lui murmuré calmement la triste nouvelle

Le roi : Koumta. Appelai je son chef de guerre et homme de main.

Koumta ( faisant éruption dans la salle puis vient se courbé aux pieds du roi) : à vos ordres sa majesté. Dites-moi et exécute sur le champs sa majesté.

Le roi : prépare nos chevaux pour le voyage de demain à l'aube à Madina. Mon gendre le roi Karim est souffrant... Et n'oublie pas aussi d'apprêter quelques guerriers et des servantes pour le voyage.

Koumta : à vos ordres mon roi. Il s'est levé précipitation et sorti de la salle.

On dinait le roi et moi quand notre fils a fait son entré dans le salle très lessivé vu son allure. Malgré son comportement de chien , mais il travail beaucoup pour le maintient de la paix dans le royaume.

Salim : bonsoir papa.

Le roi ( sourire) : comment ça été la journée et le voyage mon lion?

Salim ( prenant place) : ils n'ont pas eu d'autre choix que d'accepter de collaborer avec nous. Ce côté est classé père. ( criant sur la servante qui nous sert la nourriture) : toi , tu sers à quoi hein? Tu attends quoi pour me servir à manger je meurs de faim idiote!

Moi : pas la peine de lui crier dessus pour ça Salimou, elles ne sont là que pour ça. Dis-lui juste de te servir ce que tu veux et...

Salimou ( se levant furieux) : je n'ai plus faim , tu m'as complément couper l'appétit. Quand est-ce que tu vas arrêté de me rabaissé devant les esclaves mère ? Je la tue ou l'étrangle, j'ai le droit et le pouvoir.

Le roi : réinstalle toi Filston. Saranké, laisse le faire ce qu'il veut toi aussi.

Moi ( me levant avec une boule dans la gorge) : je suis désolé...

J'ai quitté la salle à mangé puis me dirige dans mon appartement.

Après la prière du fadjr , on a quitté le Timbo pour Madina avec une cortège royale. Il a fallait l'intervention du roi pour que Salimou accepte d'effectuer le voyage avec nous. Nous sommes arrivés après 5h de route à Madina. L'accueille fit chaleureuse malgré la maladie de leur roi. Ia femme de mon frère la reine Salimatou nous a accueilli avec ses servantes et nous a servir un grand repas digne d'un festin. La nuit , comme l'a suggère la coutume chez nous , une grande fête a été organiser à notre honneur. C'est épuisé qu'on a regagné nos différents appartements.

Le lendemain , après le déjeuner, la reine Salimatou nous accompagné voir mon frère dans son appartement. Il était vraiment souffrant , j'ai éclaté en sanglot dés que j'ai posé les yeux sur lui.

Moi ( le prenant dans mes bras) : mon frère, qu'est ce qui t'arrive ?

Lui ( toussant) : le detestin ma soeur. ( se redressant difficilement) : mon gendre , comment allez-vous ?

Mon mari : bien mon gendre. Avez-vous essayés cette plante....?

Mon frère ( toussant) : j'ai tout essayé mon gendre mais cette maladie m'affaiblisse de jour en jour. ( toussant) : Salimou mon fils , vient voir tonton.

Salimou : non , je suis bien là tonton , avec votre maladie qui vous à autant affaibli là, ne laissez pas les gens vous approchez de plus près. Papa , vous devez vous éloignez un peu de tonton.

Moi ( criant) : Salimou !!

Mon mari : c'est méchant ce que tu viens de dire mon lion.

Salimou : je suis désolé si je me suis mal exprimé mais....

Sidiki ( le fils de mon frère, faisant son entrée avec une très, si je dis très ce que elle est l'incarnation de la beauté elle-même. Une fille au beauté foudroyante, avec ses gros yeux de biches , ses chevelures longs et noirs qui l'arrive jusqu'au dos , sa taille fine et n'en parlons même pas de la clarté de sa peau et lissure.) : ( à Salimou) : qui l'a même laissé entré dans la chambre de papa ? Salimou , tu sors d'ici tout de suite ou je te fais sortir par moi-même.

Salimou ( dévorant la fille des yeux) : tu sais que si ça ne tenait qu'à moi , je remettrai jamais les pieds dans ce royaume maudit.

Sidiki ( le prenant par le col) : ne traite jamais mon royaume de maudit.

Moi ( intervenant) : sidiki mon fils , ne le suit pas dans son jeu, laisse le dire ce qu'il veut...toi pense à la santé de ton père. Dis-je en pleure.

Cet enfant me déçoit de jour en jour , il ne contrôle jamais ce qu'il dit. Son père qui devrait le stopper l'admire et le supporte même dans ses comportements de merdes. Il n'a aucune compassion pour personne.

Salimatou : Saranké, ton fils devient de pire en pire terrible. Le connaissant , tu ne devrais pas venir avec lui vu que lui et Sidiki ne se sont jamais entendu. ( à la fille) : Djamila ma fille, allez, entre.

La fille est entrée et est venu prendre place aux côtés de mon frère. Elle a tenu la main et s'est mis a lui parler doucement.

Mon mari , son fils et sidiki sont sortis de la chambre et me laisse avec mon frère, sa femme et la fille.

Moi : qui est elle Salimatou ?

Elle ( sourire) : c'est la fille du bras droit de ton frère. Elle est la promise de ton neveu.

Moi ( sourire) : comme elle magnifique Salimatou... Je n'ai jamais vu de si belle.

Salimatou ( sourire) : très belle même c'est pourquoi tout le monde l'appelle d'ailleurs l'étoile de Madina. Djimilatou ma princesse, vient saluer la tante de Sidiki.

Elle s'est levé timidement puis vient me tendir la main.

Moi ( sourire) : tu as quel âge ma fille ?

Elle ( timidement) : j'ai 14ans.

Moi ( Salimatou) : mais elle est encore jeune pour le mariage non Salima.

Salimatou : oui , c'est juste sa promise vu combien de prétendant on essayé d'envoyé les Collas chez père pour la fiancée. Sidiki aussi est encore jeune tout comme elle. Dans quatres ans ils seront tous les deux majeurs pour le mariage.

Moi : oui , tu as raison. Grand frère souffre de quelle maladie ?

Salimatou ( tristement) : les guérisseurs ne disent pas une seule belle soeur. ( pleurs) : j'ai vraiment peur qu'il arrive quelque chose de mal Saranké.

Moi ( la prenant dans mes bras) : il ne l'arrivera rien calme toi.

Mon frère endormi , nous sommes sortis de sa chambre pour rejoindre celle de Salimatou.

Du côté de prince Salimou.

De toute ma vie , je n'ai jamais vu de si belle fille comme cette fille qui était entrée tout à l'heure dans la chambre de mon oncle. Il me le faut coûte que coûte. Le grand Salimou obtient tout ce qu'il veut et cette fille je la veux même si le sang doit coulé mais je l'épouserai.

La voix de mon père m'a tiré de mes pensées. J'ai levé les yeux et le voit avec mon idiot de cousin derrière lui.

Moi ( me levant du sofa) : oui père.

Lui : je n'ai pas du tout apprécié ce que tu as fait dans la chambre de ton oncle souffrant Salimou. Ceci n'est pas du tout le comportement d'un futur souverain. J'ai emmené ton cousin pour que tu fais la paix avec lui avant notre retour.

Moi ( faussement) : je sincèrement désolé pour mon idiotie père, je vous promets que cela ne se reproduira plus jamais. ( tendant la main à L'Idiot) : enterrons la hache de guerre cousin.

Sidiki : j'espère bien que tu es sincère cette fois? Dit-il me saisant la main.

On a fait la paix et a passé toute la nuit à parler de sa belle Djamila qui sera très bientôt mienne. Je détestes tellement cet idiot ça c'est depuis qu'on était enfant. Il est tellement parfait et différent de moi. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est dans ma nature d'être en colère. Je déteste qu'on me dépasse, je veux que tout le monde me respect comme je le mérite. Mais avec une femme collante qui me serve de mère ne me laisse pas jouir de mon pouvoir. Je suis le fils d'un roi très puissant et riche...j'ai toutes les qualités pour être obéir du doigt à l'œil.

La belle Djamila, je te veux pour épouse et je t'aurai même si je dois combattre Madina, l'anéantir , tuer leur prince , leur roi , reine en passant par ta famille. Mais je t'aurai de force.

Je t'épouserai quoi qu'il arrive.... Même aller jusqu'à éliminer ma chère mère mais je t'aurai dans mon palais.

            
            

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