La reine mère du royaume assise dans sa suite royale entourer de ses nombreuses servantes. Cette femme au douceur incarné était si triste et malheurese à cause du comportement que son seul fils adopte à son égard. Il suffit juste qu'elle remue la bouche pour touché un mot à son fils et ce dernier montera de sitôt sur son grand chevaux.
Elle était inquiet pour son fils , pour son beau royaume si uni et paisible. Elle s'ouvrait à personne mais voyait son fils comme un menace pour son royaume.
L'entré de son mari dans leur chambre l'a tiré de ses pensées. Elle a autorisé à ses servantes de disposés pour pouvoir mieux s'occuper de son mari.
Elle ( s'inclinant) : à vous passez une excellente journée mon roi ?
Le roi ( tout souriant) : une très belle journée ma très chère reine. Salim , à été de plus en plus remarquable dans nos différents réunions concernant le développement de notre royaume. Mon fils est si beau et si brave. Je ne cesserai jamais de te remercier de m'avoir donné un fils comme Salimou. Iui seul vaut dix filles à mes yeux.
Elle : humm. Je descends voir si tout est prêt pour le diné.
Le roi : parfait.
Elle descendit le coeur un peu soulagé à l'Entente du compliment qui son mari venait de faire à l'égard de son fils. Au fure et à mesure qu'elle descendait les marches pour rejoindre la grande salle à mangé, les cris de son fils lui parvenait à l'oreille...elle a pressé les pas curieuse de savoir ce qui fait autant crier son fils. Elle trouvé son fils en train de battre un esclave attaché à un arbre comme un âne.
Elle : Salim mon enfant...
Salim : mêle toi de ce qui te regarde mère. Dit-il simplement et recommence à tapé fort sur l'homme qui criait et gémissait de douleur.
Elle ( en colère) : je te dis d'arrêté tout de suite de battre ce pauvre homme Salimou. Si tu continue de le battre ainsi tu va le tué.
Salim : c'est ça qu'il mérite tu entends. Qu'il s'estime heureux que je n'autorise pas qu'on le tranche la gorge. Maintenant va te mêler de tes affaires de reine et laisse moi régler les miennes avec mes serviteurs. Tu es très collante mère, tu mets ton nez partout contrairement au père qui le souverain.
Une gifle bien chaude a atterri sur la joue du prince Salim. Une toute première fois que quelqu'un ose posé la main sur lui. Il était furieux, tellement furieux mais à tout fait pour n'est pas riposter la gifle.
Sa mère : comment oses-tu me parler ainsi devant les employés Salimou ? Qui suis-je pour toi hein ?
Salim ( furieux) : celle qui m'a donné la vie femme , d'ailleurs c'est pour cet estime que je ne te coupe pas la main.
Il a dépassé sa mère en larme puis monte rapidement dans son appartement. Le coeur saignant par les mots de son fils , le fils qu'elle ant désireux, pour le fils qu'elle tant jeûner pour que Dieu lui fait grâce et la donne un enfant. Elle a souri aux employés prisent tous de compassion pour elle puis demande autorise gentiment qu'on détache l'homme. Ce dernier est venu se jeté à ses pieds en larmes.
L'homme ( embrasant ses pieds) : je vous remercies ma reine.
Elle ( sourire) : qu'est-ce que tu fais. ( l'aidant) : allez , lève-toi et rentre chez toi. Je m'excuse sincèrement pour le comportement de mon fils.
Salim rejoigna sa suite en colère contre sa mère. Il pense que tout ce que cette dernière fait pour le mettre sur le droit chemin n'était qui pour le rabaissé.