Chapitre 4 Liaison Dangereuse

Moi : Sais-tu que t'es le suspect numéro 1 sur la liste ? Cela ne suffit pas mais tu donnes plus de raisons de t'accuser vu ton comportement de tout à l'heure.

Sonia : (en pleure) Mr j'ai rien mis dedans. Je... Je suis innocente.

Moi : C'est très facile. Tout le monde. Même le coupable peut le dire. Tu seras mis en garde à vue pour l'instant, les policiers prendront ton témoignage. Tu as intérêt à leur dire la vérité, si c'est quelqu'un qui te l'a commandé mieux tu le dénonce sinon c'est toi qui va ramassé les pots cassé.

Elle cours pour venir se mettre à genoux devant moi.

Sonia : Mr. Je vous en prie. Pitié... Ne me faites pas ça.

Moi : Je suis sans pitié à l'heure actuelle. Inspecteur, vous pouvez venir.

L'inspecteur entre accompagné de deux policiers.

Moi : Faites bien votre travail surtout qu'elle dit qui l'a remis le poison.

Inspecteur : Comptez sur nous Mr.

Je les laisse et je monte.

Inspecteur : Officiers.

Officiers : OUI CHEF !!!

Inspecteur : Embarquez là.

J'entendais ses cris de supplications mais je m'en foutais royalement. À l'heure là plus rien n'avait plus d'importance à mes yeux à part la m*rt de ma sœur.

........

Je reviens en bas avec un verre contenant du whisky. Tout le personnel était déjà dispersés, chacun à sa tâche. Je sors puis j'arrive sur la véranda et je m'arrête net au niveau où Carole m'avait aperçu avec la dame hier. Elle était avec son verre de jus hier quand elle était venu nous voir.

J'appelle le gardien de la maison qui avait sa chambre près du portail.

Moi : Ehhhh Patrick.

Patrick : Oui Mr.

Moi : Rejoint moi très rapidement.

Patrick : D'accord Mr.

Il court et arrive.

Patrick : Oui Mr.

Moi : La dame avec qui j'étais hier. Tu l'as vu ?

Patrick : Oui Mr.

Moi : Nous étions entrain de disputé et quand ma sœur est arrivée je suis sorti pour les laisser. Ils ont beaucoup discuté ?

Patrick : Oui Mr. Ils ont discuté avant qu'elle ne parte.

Moi : Et as tu remarqué quelque chose ?

Patrick : Non rien Mr. Ils se sont assis. Elle est partie servir du jus à la dame également.

Moi : Du jus ?? La dame avait demandé ?

Patrick : J'en sais rien Mr. Elle avait déposé pour elle ensuite elle est revenue avec une autre qu'elle avait remis à la dame et les deux avaient bu avant de parler.

Moi : Merdeeee.... (Dis-je en serrant le verre fortement)

Ce dernier se brise et coupe mes veines...

Patrick : Mais... Mr... Vous vous êtes bl**sé.

Moi : Oublie ça. Cette dame avait mis du po**on dans le jus de ma sœur.

Patrick : Non Mr, elle n'a rien mis. Je les observait.

Moi : Tu n'as rien vu venir. Elle n'est pas idiote comme toi pour se faire attraper. C'est elle... Elle m'avait menacé hier. Donc elle s'était apprêté pour me nuir. ELLE A T*É MA SŒUR. JE VAIS LA T*É.

Patrick : Mr... Vous allez bien.

Moi : DÉGAGE !!! DÉGAGE !!!

Il court et s'en va tout apeuré.

Je remonte dans ma chambre. Je prends mon téléphone et j'appelle le commissaire à nouveau.

Moi : Allô commissaire. Je connais le me*rt*ier de ma sœur déjà.

Inspecteur : Bien nous nous rendons de ce pas. C'est qui ?

Moi : La femme de Mr Johnson. C'est elle. Allez y et arrêter là.

Inspecteur : Euhh Mr. Vous êtes vraiment sûr de vos dire ?

Moi : Oui pourquoi ?...

Inspecteur : Peut-être c'est la m*rt de votre sœur qui vous fait autant délirer. Le juge vient d'ordonner sa libération après les preuves apporté par son avocat.

Moi : Quoi ??

Inspecteur : Oui Mr. Il n'avait rien avoir avec le détournement de fonds de votre entreprise. Par contre Mr Martin en avait pour quelque chose.

Moi : Vous l'avez libéré sans m'avertir ?

Inspecteur : Une libération immédiate à été lancé, on vous a appelé sans succès. Vous voulez qu'on fasse quoi ?

Moi : (Dépassé) Fait chier....

Inspecteur : Obtenez des preuves concrète prochainement avant de nous envoyer chez lui. Pour l'instant nous ne pouvons plus retourner dans leur concession.

Il raccroche aussitôt. Je jette le téléphone sur lit et me mets à tout casser dans la chambre. Voilà pourquoi j'aime pas écouter les lois et autres.... Ils aiment jamais écouter la vérité. Je suis sûr à 💯 que c'est elle. Ma sœur s'en va et et par la suite cet homme se libère. Je n'accepterai pas ceci. Je vais m'y rendre et tous les t*er.

Je prends mon téléphone et me dirige vers une armoire, où je garde des armes à feu et d'autres outils très dangereux. Je prends juste deux armes bien chargées que je mets minutieusement là, je me change et je les enfiles dans les poches de mon pantalon puis je sors.

Arrivé au portail, je vois Bruno qui s'apprêtait à entrer.

Bruno : Woh woh tu vas où comme ça mec ?

Moi : Un règlement de compte c'est personnel.

Bruno : Tu as appris que Mr Johnson a été libéré ?

Moi : Oui et je m'en vais de ce part lui faire une petite visite.

Bruno : Ne gaspille pas ton temps à y aller alors.

Moi : Pourquoi ? (Dis-je en m'arrêtant au bord de la voiture).

Bruno : Il vient de quitter la ville avec sa famille pour une destination inconnue.

Moi : Quoi ? (Je referme la porte de ma voiture aussitôt).

Bruno : Oui. Tiens, il a même laissé un mot sur ce papier pour toi.

Je prends la petite feuille que je deplie et je lis "J'espère bien que c'est la dernière fois que vous et moi collaborons ensemble, parce que si cela arrive une autre fois, c'est vous ainsi que votre famille qui risquez de vous retrouver derrière les barreaux"

Je déchire la feuille puis je lance ça loin de nous.

Bruno : Alors ???

Moi : Ce crétin ce fou de ma gueule. Je dois les retrouver coût que coût.

Bruno : C'est pas le moment. Mes condoléances. J'ai appris pour ta sœur il y a quelques minutes.

Moi : Merci. J'ai besoin d'être un peu seul.

J'entre dans ma voiture puis je prends une direction inconnue......

........

.......

Ernestine

Je suis entrain de faire des cents pas dans ma chambre, toute énervé par ce qui vient de se passer. J'arrive toujours pas à croire que mes parents prennent une décision subite sans informé ma sœur et moi. Comment un bon matin on peut te réveiller pour t'informer qu'on déménage et le pire dans le6 prochaines heures.

Je vois mon père entrer dans ma chambre avec un sourire jovial. Dans d'autres circonstances cela m'aurait fait plaisir de me jeter sur lui et lui dire combien de fois il m'avait manqué surtout que depuis mon arrivée nous nous sommes pas vus. Mais ils m'ont vraiment déçu avec leurs prises de décision que toute cette envie a disparu.

Mon père avance vers moi et son sourire commence par s'effacer à cause de cette mine qui se lisait sur mon visage.

Père : Qu'est-ce qui ne va pas ma fille ? Tu n'es pas heureuse de me voir ?

Moi : Dis moi père, pourquoi avons nous quitté la ville ?

Père : (soupire) Je veux bien t'en parler... Mais je peux rien te dire pour le moment.

Moi : Parce que j'en ai pas le droit c'est ça ?.... Je suis une petite à qui l'on peut tout cacher n'est-ce pas ?

Père : Ce n'est pas ça. C'est une décision personnelle. Et j'aimerais vraiment pas vous impliqué dedans ni toi, ni ta sœur et votre mère.

Moi : Donc maman aussi n'est pas au courant ?

Père : Non. Et je suis vraiment pas prête pour ça. Je vous promet de tout vous raconter d'ici là mais il faut que je mets certaines choses au clair.

Moi : D'accord. J'espère juste que tout cela ne nous mettra pas en péril.

Père : Tu n'as pas à t'en faire pour ça. Je le fais pour le bien de la famille. Dorénavant c'est nous allons habiter. Ne me demande pas pourquoi. Vous le saurez au moment venu.

Moi : Compris père. Tu m'as tellement manqué.

Père : Toi aussi ma puce. Allez viens dans mes bras.

On s'enlace chaleureusement avant de s'assoit sur mon lit.

Père : Alors dis moi comment a-été ton séjour là bas. Comment va Béatrice et sa famille. J'ai eu de leur nouvelles il y a longtemps.

........

Patricia

Mon action en scène s'attendait impatiemment. C'est pas grave. Je suis à présent là.

Avec ma cigarette à la main, j'attendais impatiemment mon amant qui est à la fois le meilleur ami de mon futur mari : Bruno Miller.

Et comme par magie, le voilà qui entre dans ma chambre tout stressé. Sûrement quelques choses a dû se passer.

Je me lève et le rejoint à son niveau.

Moi : C'est quoi chéri ?. Qu'est-ce qui ne va pas ? (Dis-je en le donnant un baiser sur les lèvres).

Bruno : L'heure est grave bb. Dimitrio a disparu.

Moi : Quoiiiiiiii ??? Mais quel idiot ce type ? Il veut se faire soupçonner ou quoi ?

Bruno : Je te fais pas dis. C'est un fils de p*te cet imb**ile.

Moi : Et avec ce comportement qu'il a eu maintenant. Marcel risque de le soupçonner.

Bruno : Si on le retrouve très vite je crois qu'on aura plus de chance. Pour l'instant il a ses yeux sur une certaines Sonia. Elle aurait servi du jus à Carole hier et c'est à travers ce jus que tout s'est passé.

Moi : Il a été très intelligent mais b*te et peureux à la fin. S'il avait attendu un tout petit peu, personne n'allait le soupçonné.

Bruno : Exactement là maintenant, il nous met tous dans de sacré problème. Je connais bien Marcel. Il ne laisse tomber une chose aussi facilement. Si l'innocence de Sonia est prouvé, il fera tout pour le retrouver et vu la peur qui anime Dimitrio il risque de tout dévoiler une fois à terre.

Moi : Oui tu as raison. Il faut qu'on fasse quelque chose.

Bruno : T'a peut-être une idée ?

Moi : Non pas vraiment mais il faut qu'on trouve un moyen de faire garder cette Sonia là bas, qu'on lui fasse porter le chapeau un truc du genre je sais pas trop.

Bruno : Sérieux ?? C'est pas trop bizarre ? Marcel saura qu'elle a été commandité par quelqu'un. Qu'est-ce qu'une simple boniche gagnera à t*er la fille de sa patronne.

Moi : Oui c'est vrai tu as raison. Alors trouvons une solution au plus vite sinon tout nos plans risquent de couler à l'eau.

Bruno : J'ai peut être une idée.... Victoria est plus proche de la famille si je me trompe pas.

Moi : Ne me dit pas que......

Bruno : Oooh oui c'est la seule option.

Moi : Marcel aura du mal à croire à ça. Elle est déjà trop proche d'eux pour faire une chose pareil avec son visage d'ange.

Bruno : Ceux sont ceux qui sont très proches qui font le plus de mal et croire moi nous n'avons plus d'autres solutions. Sinon il aura ses yeux sur Dimitro et voudra à tout prix le trouver.

Moi : Tu as raison. Bon il faut que j'aille faire la fausse madame. À l'heure actuelle si on ne me remarque pas je risque aussi d'être pointé du doigt.

Bruno : Tu n'étais tout simplement pas au courant. (Dit-il en me caressant le visage).

Moi : Oui c'est vrai.

On s'embrasse pendant des minutes, ensuite il me pousse sur le lit avant de se jeter sur moi.

Bruno : Accélère vite le travail, j'en peux plus de te voir avec ce idiot qui me sert d'amis.

Moi : Relaxe bb, si ce n'est qu'il attend toujours que sa mère parle avant qu'on ne fasse ce mariage, on serait plus à ce niveau.

Bruno : Mdr... Il croit vraiment que sa mère pourrait encore reparler c'est ça ?... Il faut qu'on trouve un autre moyen.

Moi : Je vais trouver. Tu sais que pour toi je suis prête à tout.

Bruno : C'est pour ça je t'adore.

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Pensée de l'auteur

Dans une ruelle un peu isolé de la ville où se trouvait une maison abandonnée , on voit un homme habillé tout en noir avec un masque au visage qui cachait son visage. Il était devant un monsieur, un peu vieux qui tremblait debout en le regardant. Ce monsieur était le père d'Ernestine appelé Raymond. L'homme en noir sera nommé Mr X.

Raymond

Mr X : Je vous ai demandé de quitter la ville mais apparemment votre femme a semé de la terreur avant son départ.

Moi : J'ignore de quoi vous parlez,.... Je crois qu'on a été assez clair vous et moi. Ne mêler pas ma famille dans cette affaire.

Mr X : Rire.... Celui ou ceux qui le feront sont derrière. Mr. Marcel ainsi que son grand frère ont une dent contre vous, actuellement ils vous veulent à m*rt et donc même si j'avais envie de vous t*er, je ferai un immense plaisir de les laisser s'occuper. Ce n'est qu'une question d'heure afin qu'ils vous retrouvent... Bref vous êtes sortis de la prison ça c'est vrai, mais en majorité grâce à moi même si cela n'a pas été directe.

Moi : Je suis sorti car mon innocence a été prouvé.. Et rien de plus.

Mr. X : Votre innocence n'a pas encore été prouvé avant que je ne vous fasse sortir. C'est moi qui ai demandé au juge de vous libérer car j'avais besoin de votre présence pour certaines choses.

Moi : Vous avez déjà pris notre maison. Qu'est ce que vous voulez de plus.

Mr X : Ne mélangez pas les choses Mr Raymond. Cette maison était en contre partie de votre secret que vous gardez depuis des années contre contre votre famille. À présent je suis là pour autre chose. J'ai juste besoin d'un document très très urgent.

: De quel secret parlez vous ?.... (Dit-une voix qui venait d'entrer à l'intérieur de la pièce).

Je me retourne et je vis ma fille Ernestine. Mon cœur saute, je tremble debout. Comment a-t-elle fait pour arriver ici ?

Moi : Ernestine ??

Ernestine : Père que fait-tu ici avec cet homme mystérieux ? Et de quoi parlez-vous ?