PARTIE III : L'a
[[[•IAAN MATADO•]]]
Je reste sonner face à une telle démonstration. Si depuis ce matin, je suis des personnes qui sont prêt à tout pour la voir s'en aller, maintenant, je pense bien en tiré profit...
Faisant exprès d'être soumis, je m'avance cette fois et sans me faire prier vers le siège passager, mais...
- Vous conduisez, j'ai besoin de réfléchir ! Me lance-t-elle.
Sans discuter, je me saisis de la clé puis je change de place. Elle est certes un pion à déplacer, mais je la connais habile et coriace . Si je suis vif et très doué main nue comme mains armée, il me manquait en quelque sorte ce pouvoir de perception qu'elle a et pour décrocher le gros lot.
- Où va-t-on ? Je lui demande docilement.
- Ne joue pas à ce jeu avec moi. Je vois bien la contrepartie que réclame ce changement brusque de comportement, ne t'attends pas à ce que je me laisse faire aussi facilement, je ne suis pas née de la dernière pluie. Me sert-elle comme réponse.
Je me sens contrarié...
- Nous allons annoncer le décès à sa famille ! Dis-je agacé.
- Mais n'est-ce pas le travail d'une autre branche que la nôtre ?
- Il semblerait que madame oublie qu'elle est désormais inspectrice de police et que le dossier nous avait été donné ?
- Je n'ai jamais fait ça, je ne sais pas comment annoncer ce genre de nouvelle.
- Restes en retrait et laisse le professionnel fait son travail.
Je m'avance tel un connaisseur vers la maison pendant qu'elle me suit. Je ne sais même pas pourquoi je fais tout cela, était-ce pour lui prouver quelque chose ? Je pense me convaincre du contraire même si d'habitude, je n'étais pas du genre à prendre en compte ce que faisaient les autres.
Une fois devant la maison, je sonne à plusieurs reprises avant que la porte ne s'ouvre sur un homme ayant un corpulence à la Goliath atteignant les 2 mètres. Devant lui, j'étais un petit David essayant de me cacher.
Physiquement bien garni à faire peur à n'importe qui, et surtout que la sueur qui s'y ajoutait n'arrangeait rien les choses. À vue d'œil et vu sa façon de s'habiller, on aurait vite compris qu'il est le jardinier...
- Bonjour monsieur. Que puis-je faire pour vous ? Lance-t-il d'une voix extrêmement grave.
- Ici l'inspecteur MATADO et voici l'inspecteur DOMINGUEZ et vous êtes ?
Il me fixe bizarrement pendant des secondes avant de me laisser un vent comme réponse. Miranda rapplique aussitôt...
- Pouvons-nous voir madame SENDEZ ? (Miranda)
- Pour? Répond-il.
- Êtes-vous le propriétaire ? Lui lançais-je sur le coup.
Ces mots ont fait leur brin d'effet, il libère sans broncher le passage pour nous laisser enfin entrer.
Tout était calme, seulement le bruit que faisait la tondeuse se faisait entendre. Cette maison devrait être un havre de bonheur et sûrement que cette nouvelle changera leur vie à jamais.
En plein milieu du jardin, siège une femme couverte de la tête au pied on aurait dire une nonne, absorbé par un objet se trouvant dans ses mains. Je pouvais bien deviner après quelques secondes d'attention que c'était elle la femme du défunt vu qu'à vue d'œil, elle avait l'air inquiète.
Je m'approche d'elle sans qu'elle ne me remarque...
- Madame SENDEZ ? (Je l'interpelle.)
Elle sort enfin ses yeux de sa bible...
- Oui?
- Ici l'inspecteur MATADO et elle l'inspectrice DOMINGUEZ de la police locale.
- J'imagine que vous avez retrouvé mon mari ? J'ai signalé sa disparition aujourd'hui au poste de police, ils m'ont demandé d'attendre 24 h avant que les recherches ne soient lancées. M'explique-t-elle d'emblée.
- Vous n'en aurez plus besoin.
- Vous l'aviez retrouvé ?
- Oui. Réponds Miranda.
- Et où est-il ?
- Nous sommes désolés madame, on l'a retrouvé, mais dans un état pitoyable. Il s'est pris une balle en pleine tête puis a puis à succomber de suite de ses blessures.
L'expression sur son visage ne change pas, elle reste elle-même à la différence qu'elle ne parle pas et fixe juste un point indéterminée. Il m'aurait fallu plus de temps pour savoir qu'elle était en état de choc. Nous restons nous aussi impuissant devant elle en attendant qu'elle dise quelque chose, mais rien ne se fit au bout d'une dizaine de minutes. Nous n'avions eu d'autres choix que de faire appel aux pompiers.
Au bout de quinze minutes, exactement, un cri de stupeur retentit, il aurait fallu du temps pour qu'elle le fasse enfin...
Elle commence par s'agiter dans tous les sens possible pendant qu'on essayait de la calmer. Cet épisode m'a fait justement comprendre que chacun à sa façon d'encaisser les mauvaises nouvelles...
- Mon mari n'est pas mort ! Ne dites pas ça ! Il était ici hier et m'avait promis de rentrer à l'heure. Mon mari doit être au boulot. S'agite-t-elle tout en essayant de passer un appel
Je veux lui retirer le téléphone, mais Miranda me retient...
- Laisse-la réalisée par elle-même, ce qui se passe, ne repousse pas l'échéance. Me dit-elle
Je m'abstiens de l'approcher. Au bout de quelques minutes, elle se rend à l'évidence. Les cris deviennent ensuite multiple et très fort, l'ambulance viens puis lui administre un tranquillisant.
C'était une séquence extrêmement touchant que j'ai tendance à vivre au quotidien.
[[[•MIRANDA DOMINGUEZ•]]]
Après cette séquence touchante vint le moment de quitter les lieux. Je m'apprêtais à sortir quand mes yeux tombent sur quelque chose de bizarre.
- Comment vous vous êtes blessé ? (Je demande au jardinier.)
En effet, sur sa main gauche, se trouvait une bande tachetée de sang par ci et par là. Je veux m'efforcer d'ignorer ce détail, mais c'est plus fort que moi... Je m'approche de lui.
- Que vous est-il arrivé au doigt ? Lui demandai-je directement.
Il se lève, me fixe droit dans les yeux avant de me répondre.
- Pourquoi vous me posez cette question ?
- Dites-moi juste pourquoi avez-vous une bande tachetée de sang autour du doigt ?
Il s'approche dangereusement de moi pendant que je pose une main sur mon arme de service, mon collègue fait pareil... Il passe tout juste à côté de moi avant de se saisir de la tondeuse qui était juste à côté. Je pousse un ouf de soulagement...
- Dites-moi pourquoi vous avez cette marque de brûlure à l'arrière bras ? Me demande-t-il simplement.
- Ce n'est pas la question ! Criais-je
- Sûrement, que c'est une brûlure de cuisine. On appelle ça le risque du métier.
Je baisse immédiatement d'un ton. Cet homme a l'air très bizarre...
- La semaine dernière, la tondeuse à lâcher, j'ai été touchée au doigt et maintenant, je risque de les perdres. Je peux te montrer ce à quoi ressemble ma main si tu veux ! Et si tu crois que j'ai quelque chose à voir, c'est que tu as tout faux. Je ne tuerai jamais celui qui me permet de nourrir ma famille.
- Oh... Dis-je sans voix
Je range mon arme, je présente des excuses avant de m'en aller en trombe. Comment ai-je pu m'en prendre à lui sachant qu'il est sur une tondeuse à longueur de journée ? Était-ce un excès de confiance en soi ?
- Mais c'est quoi ce jeu auquel tu viens de jouer ?! Me demande-t-il quand je m'assois à peine.
- Je ne suis pas désolée par contre. Il y a une enquête en cours et tout ceux qui entoure la victime sont des suspects !
- Ce n'est pas la meilleure façon de procéder. Ne me refais plus jamais ça ! Quand tu vois quelque chose de suspect alors tu me préviens puis je décide de ce qu'on fera ensuite. Dit-il avec colère.
Vu l'expression de son visage qui ne présageait rien de bon, je ne lui réponds pas. C'est dans un silence de plomb que nous rejoignons le bureau de police.
[[[• CIEL MERMOZ•]]]
Hier avait été la journée la plus pire de ma vie. J'y avais cru au point de m'oublier, que c'était si beau quand je baignais dans l'ignorance, mais il aurait fallu que la vérité éclate et de cette façon.
C'était trop beau pour être vrai à vrai dire, les signes étaient pourtant claire, mais l'amour que j'avais pour cet imbécile me faisait à peine me rendre compte du délit que je commettais.
Après cette découverte d'ailleurs, j'ai décidé de faire du salle. Je me suis gavé de liqueur encore et encore jusqu'à ce que je ne me rappelle plus de rien, la seule chose dont je me souviens actuellement était que j'avais pleuré. Ni comment j'ai atterri à la maison ou encore comment je me suis déshabillé m'étais familier.
Un bruit d'eau qui coule se fait aussitôt entendre dans la douche, je me précipite pour aller voir ce qui se passe.
Avec peur, je marchais jusqu'à ce que d'un coup...
- OH MON DIEU. Crie-je à la vue de cet inconnu dans ma douche.
Il sursaute aussi et sur son visage pouvait se lire de l'étonnement...
- Qui êtes-vous monsieur ? Que faites-vous chez moi ?! Crie-je de nouveau.
- J'imagine que vous ne vous rappelez plus de la nuit d'hier. Répond-il sans gêne et sans même prendre la peine de couvrir son corps.
Bien que bien bâtie avec une taille qui en vaut la peine, un corps majestueux laissant assez d'espace à des abdos en forme de plaquette de chocolat, des détails bien pris en compte et surtout des biceps identique à celui d'un bodybuilder, loin de l'autre celui de l'autre connards, un fessier bien dure, je ne pus m'empêcher de le dévisager bien que je ne me laisserai pas être pris au piège une fois de plus.
Il s'approche de moi puis me saisit par les lèvres dans un élan presque brusque. Sans pour autant me contrôler, je le laisse faire. Ce n'est qu'au bout d'une voir deux minutes sous son étreinte que je ne reprends mes esprits...
- Rentrez chez vous ! Dis-je en le fuyant presque.
Je m'en vais attendre dans la pièce qui me servait de salon en étant stressée. Ce n'était pas dans mes habitudes de coucher avec le premier venu.
Au bout d'une demi-heure, il apparaît finalement en étant bien habillé et super bien soignée, je fonds presque à sa vue...
- Alors madame veut que je m'en aille ? Dit-il tout souriant.
- Euh... Oui... Mmmm... Pour le moment. Répondis-je en balbutiant.
- Super. Je suis à vos ordres madame, surtout après ce que vous m'aviez fait hier.
Je n'arrive à rien dire... Il s'approche de moi, puis approche ses lèvres, je ferme les yeux.
- Bipe moi quand tu te sentiras seul. Me chuchote-t-il dans les oreilles avant de s'en aller.
Il m'aurait fallu encore plus de temps pour me reprendre.
L'alarme retentit pour m'indiquer que j'étais en retard. Je fonce dans la douche...
Illico presto, je prends une douche, me prépare un petit-déjeuner puis me refais mon maquillage avant de décider de m'habiller et pour cela et comme d'habitude, je passe au peigne fin ma tenue française avant de la mettre. Au moment de prendre ma sacoche, je la trouve un peu lourde plus que d'habitude. Je jette un œil à l'intérieur pour tomber nez à nez sur une arme à feu visiblement utilisé et avec des gouttelettes de sang autour, je hurle de peur
➿
De crise en traumatisme, je décide quand même de me rendre au travail malgré mon moral bas. C'est nouveau pour moi cette affaire avec l'arme et le sang.
Je gare à peine ma voiture quand je vois un engouement aux portes de l'entreprise et visiblement de la plupart étaient des journalistes, mon cœur manque de s'arrêter. Malgré moi, je m'approche du lieu en essayant de comprendre.
- Que se passe-t-il ?!(je demande à la première personne que je croise)
Il me regarde bizarrement avant de me répondre...
- Tu n'es pas au courant ?
- Non, mais ce brouhaha est alertant.
- Le patron a été tué hier. Il semblerait qu'à part nous, il y ait encore des gens qui veulent sa peau. Dit-il simplement.
Ses mots résonnaient dans mes oreilles tel un poignard qui me tranchait la gorge, le choc était tel que je ne sus quand ni à quel moment je perds l'équilibre. Je venais de m'évanouir de suite d'une forte migraine...
[[[•NELLY TAHO•]]]
Depuis hier, je n'arrive toujours pas à penser à quelque chose d'autre que cette humiliation. J'y avais cru au point de vouloir demander le divorce pour me concentrer sur lui et lui seul.
Oui, je suis marié et ceux depuis plusieurs années avec un homme très responsable et simple, un homme honnête, un bon mari mais par dessus tout un bon père. Son seul défaut est qu'il était mystérieux au début, mais après que j'eus percé ce mystère, nous voilà vivant dans une relation platonique ou rien ne me surprend. L'attirance a cependant disparus laissant place au dégoût.
Ma relation avec Mendel au début, c'était juste pour casser la routine dans mon foyer, mais au fur et à mesure que le temps passait, je n'arrivais plus à me passer de lui bien qu'il m'ait dit dès le départ qu'il était en instance de divorce. Avec lui, je filais la passion, le désir, je me sentais femme. Cette spontanéité et sa façon de tout faire au bon moment rendait encore plus fou le moment. Me, voici regrettant presque mon choix.
Une main me serre par-derrière, j'émerge...
- Pendant combien de temps allons-nous vivre ainsi ? Me demande-t-il directement.
Une goutte de larme s'échappe de mes paupières. Je réalise enfin l'étendue de ma bourde...
- Je suis désolée chéri. Dis-je pour ne plus culpabiliser.
- Tu n'as pas à t'excuser, j'ai aussi ma part de responsabilité dans tout ça.
- Et moi, je n'ai pas pensé à nous, je t'ai presque délaissé, mais c'était pour donner un peu de temps aux enfants.
- Je n'ai jamais douté de ton statut de père exemplaire, tu es aussi un bon mari.
- Si tu le dis. Je veux me rattraper donc on sort ce week-end. Dis-moi pourquoi tu es rentrée hier dans cet état ?
- Quoi ? Que veux-tu dire par là ? Dis-je éberlué.
- Tu es rentrée avec une odeur d'alcool qui a eu son effet, je me suis rendu compte du mal que je te faisais. En plus, ta robe blanche était tachetée de sang.
- Je ne me souviens pas avoir eu mes règles hier. Il doit avoir une erreur. Où se trouve la robe ? Demandais-je stressée.
- Je l'ai mis dans la machine à laver, tu peux aller voir par toi-même. Me dit-il en s'en allant.
Je file jusqu'à la machine à laver, j'ouvre la machine puis je constate tout sauf l'habit que j'avais porté hier pourtant il était là, je ne le reconnais pas. L'habit en question était tacheté non seulement de sang, mais à l'arrière couleur d'un whisky séché était au rendez-vous.
Je prends peur...
Mon téléphone sonne, je le décroche aussitôt, avant même de savoir qui s'est.
•••
Moi : allô ?
- Il se passe quelque chose de grave ici.
Moi: J'ai failli croire que tu m'avais lâché la grappe. Allez, dis-moi ce qui ne va pas...
- Il se passe que Mr SENDEZ, ton ami est morts!
Je tombe aussitôt dans les vapes...
[[[• GENEVIÈVE CASTRO•]]]
Du haut de mes cinquante ans, je n'aurai jamais imaginé retombé amoureuse. Pour moi il n'était question que du sexe au début mais grâce à son toucher magique, son feeling parfait, et surtout ce pouvoir qu'il a de savoir toucher où il faut et là où il le faut et quand il le fallait, je me suis habitué à lui puis de suite de ses bienfaits, j'en suis tombé amoureuse bien qu'il m'ait insinuer qu'il était marié et père de deux enfants.
Pour une femme comme moi, divorcé depuis vingt ans et inactif côté sexe, le fait de me retrouver dans cette posture ne m'a pas du tout aidé, au lieu de ça, il m'a enfoncé. Apprendre que je n'étais pas la deuxième, c'était comme la goutte d'eau de trop. Je n'ai pas pu résister...
Je me lève du lit avec d'atroces maux de tête avant de me rendre sous la douche pour y passer comme à mon habitude une demi-heure. Je ne badine pas avec l'hygiène de mon corps.
Au moment de ressortir, je constate une lettre sur le chevet de la table. Je me saisis de ce dernier sur qui il était écrit :
" Hier, tu as été magique, je ne pourrai pas imaginer qu'une femme mature pourrait se laisser aller au premier rendez-vous et surtout être une déesse au lit. Je veux bien remettre ça pour bientôt."
Sous la lettre, était posés une photo, celui d'un bel homme. Je pense déjà à comment me servir de lui comme souffre-douleur.
Dringgg...
Mon téléphone sonne de suite d'une notification, je m'en saisis...
« Bonsoir madame. J'espère que vous allez bien ? C'est juste pour vous annoncer la mort de Mr SENDEZ et en même temps le fait que l'entreprise est fermée aujourd'hui. » C'était ma secrétaire...
Je laisse tomber mon téléphone en étant sous le choc. Au bout d'une demi-heure, je décide de me rendre à l'évidence. Je me saisis de mon sac et je constate qu'une arme y est. Je suis perdue...
Je touche l'arme pour constater des résidus de poussière sur ce dernier. À croire la science, elle a dû récemment être utilisée. Je commence par fouiller en catastrophe dans mon sac et cette fois, je tombe sur un torchon rempli de sang. Je perds l'équilibre...
[[[•GRACIA KIMONO•]]]
J'ouvre les yeux et je ne reconnais pas où je suis, chose bizarre, je ne découche jamais...
Mendel m'a détruit, mais cela ne justifie pas ma présence ici...
Un homme vient à moi les mains remplir. Je prends peur.
- Après la nuit que nous avions passée ensemble, j'ai trouvé utile de me montrer galant, j'ai vraiment aimé. Dit-il d'emblée.
Mes souvenirs reviennent peu à peu, mais sont très flous. Déjà, je me trouvais dans un bar puis après rien du tout.
- Ne t'inquiète pas, je ne t'ai rien fait. Je t'ai juste vu au milieu de la route, la robe tachetée de sang et saoule, je t'ai ramené ici pour que tu puisses bien dormir.
- Merci. Dis-je timidement...
Dans le silence, je déguste ce plat succulent. Je le savoure à la limite. Dans un laps de temps, je venais de finir avec le repas...
- Super. J'aime bien quand on mange ma cuisine avec cet air. Dit-il fièrement.
J'esquisse juste un sourire...
Sans le vouloir, mes yeux se posent sur la télévision, l'information circulait... Il est mort. Je prends panique...
- Qu'est-ce qu'il a ?
- Tu viens de dire que j'avais les habits tachetés de sang ?
- Oui.
- Il semblerait que j'aie tué quelqu'un.
- Qu'est-ce que tu racontes ?
- C'est mon ex et je ne me rappelle plus de la nuit précédente après que j'eut découvert qu'il a trois maîtresses en plus de sa femme et moi. Je me suis promis de lui rendre la pareille.
Je commence à stresser...
Pendant ce temps, il s'en va sans que je ne fasse connaissance avec lui. C'est à peine si j'ai son visage en tête.