J'ouvris ma porte avec violence. J'étais en colère contre ma mère. La scène qui venait de se passer me mettait hors de moi. Ma mère m'avait embrassé. Je peux admettre que mon physique lui fasse revenir des souvenirs de mon père. Je ne trouvais pas juste qu'elle me prenne pour lui. J'étais Jonathan son fils et non son défunt époux Sébastien. Je me mis au lit. Je pris la ferme décision de ne plus lui tenir compagnie au lit. J'étais décidé à prendre des distances vis-à-vis de ma mère. Je me rendais compte que ma ressemblance avec mon père lui menait la tâche difficile. Maman n'arrivait pas à faire totalement son deuil. J'eus du mal à trouver mon sommeil. La scène défila dans ma mémoire. Je pris un somnifère. Quelques minutes plus tard, je tombai dans les bras de morphée. Je me réveillai le lendemain difficilement. Je me dirigeai vers ma douche. J'avais un examen à la fac. Je portai mon uniforme. Je fermai la porte. Je pris la direction du salon. Maman m'attendait assise dans l'une des chaises de la table à manger. Elle avait dressé ma table comme elle le faisait lorsque papa devait prendre son petit déjeuner.
(Scène du côté de Jacqueline)
J'avais eu du mal à trouver le sommeil. Je me levai très tôt. Je fis le petit déjeuner de mon fils. Je voulais sauvegarder nos rapports. Mon fils descendait les escaliers en portant son regard sur ma personne. Je me sentais un peu gênée. J'avais peur de sa réaction.
- Bonjour, chef Jonathan. Je t'ai fait ton petit déjeuner. Des omellettes à la tarte espagnole.
- Je suis un peu pressé, maman.
- Juste un peu, voyons.
Mon fils s'approcha de la table. Il prit place. J'approchai la tasse de café plus près de lui. Mon fils évitait mon regard. Jonathan prenait son petit déjeuner dans un silence absolu. Je cherchais un moyen d'aborder le sujet de la veille. Je voulais savoir ce qui se passait dans sa tête.
- Je ne sais pas comment te parler, mon fils.
- Me parler de quoi ?
- De mon acte d'hier.
- Maman, laissons ce sujet. D'ailleurs je pars à la fac. Je serai en retard. Bonne journée, maman.
- Bonne journée.
Mon fils sortit de vitesse. Il entra dans le garage. Jonathan prit la direction de son université. J'avais l'impression de voir son père au volant. Mon fils était vraiment une copie de son père. J'adorais les manies de son père au réveil lorsqu'une discussion avait éclaté entre nous la veille. La réconciliation était violente dans notre lit. Sébastien me faisait l'amour farouchement. J'adorais nos réconciliations. Je devais trouver une astuce afin de l'envoyer dans mon lit. Je ne trouvais pas l'idée mal que je dorme dans son lit. J'avais déjà une idée derrière la tête. Jonathan devait me faire l'amour. J'avais envie de lui. Je secouai la tête. J'étais excitée par mon plan pour mettre mon fils dans mon lit. Je pris la clé de ma voiture. J'entrai à mon tour dans le garage. Je sortis de la maison. La soirée s'annoncait mortelle.
Scène du côté de Jonathan
J'avais finis mes cours plus tôt que prévu. L'un de mes professeurs était absent. Et Je profitai de l'occassion pour me rendre au cimetière. Je désirais me recueillir sur la tombe de mon père. Je ressentais ce besoin de calme. Les agissements de maman me préoccupaient. Même si j'avais fini par m'inventer des excuses à son acte. Au fond de moi, je ressentais un malaise. Le seul endroit où je pouvais être en paix était au cimetière. Je pris ma voiture en direction du cimetière aux environs de dix- sept heures. Le silence qui y régnait me glaça. J'avancai malgré tout jusqu'à la tombe de papa. Je posai une gerbe de fleur et m'assis en essayant d'enlever de mes mains quelques feuilles mortes qui s'y étaient accrochées. J'avais pour compagnie le bruit des oiseaux. De temps en temps ma quiétude était perturbée par l'irruption de quelques visiteurs. Je passai plus de deux heures assis près de la tombe de mon géniteur, puis me décidais à quitter les lieux. Il était vingt heures à ma montre. En plus je ne voulais pas que ma mère se préoccupât de mon absence. J'avais pour habitude de rentrer directement chez moi après les cours. Mes parents connaissaient mon emploi du temps. Je me sentais leger : ce moment de recueillement m'avait donné la force de véritablememt mettre une croix sur l'acte de maman. En outre pouvais- je lui en vouloir ? Elle était à present l'unique personne qui me restait.
Scène du coté de Jacqueline Ouaka
Je quittai mon bureau pour mon domicile. J'avais hâte de retrouver mon fils. Je savais qu'il était déjà sorti des cours. J'avais joint le directeur de son université. Jonathan restait injoignable. Sur le moment, j'ai cru que sa batterie était à plat. Je constatai l'absence de mon fils à la maison. Je demandais à mes domestiques s'il était déjà rentré des cours. La gouvernante principale m'informa qu'il n'avait pas encore mis les pieds à la maison depuis sa sortie le matin. Je tentai une fois de plus de le joindre. Mes tentatives tombaient sur sa messagerie. Je restai inquiète. J'avais peur de perdre mon fils, mais parvins tout de même à garder mon calme et montai changer de vêtements dans ma chambre. Je décidai de faire servir un second plat en plus du repas qu'avait concocté la gouvernante : le "Koko na nyama"
Le Koko ou « Coco » est une feuille de liane de couleur vert foncé, brillante, cueillie jeune. Elle ressemble à des aiguilles de sapin. C'est l'un des plats nationaux Centrafricains. Mon Jonathan en raffolait comme son père. J'étais en action dans la confection de ce plat et refusai l'aide de notre gouvernante. L'accès de la cuisine fut interdit à tous les employés. Je ne devais en aucun cas être derangée dans ma tâche.Je souhaitais faire le plat de mon fils moi- même, de mes propres mains. En réalité, j'avais peur d'être surprise. Je ne voulais pas être freinée dans mon élan. J'avais, grâce à la complicité d'une amie infirmière pu me procurer l'un des plus puissants sommnifères vendus sur ordonnance. Le somnifère et quelques comprimés de viagra furent déversés dans son repas. J'avais décidé, je voulais, je devais avoir des rapports sexuels avec mon fils ce soir. Je désirais ses bras musclés et ses caresses sur mon corps. Rien que d'y penser cela augmentait mon désir. Je n'attendais que sa présence.
Je savais que tôt ou tard il rentrerait à la maison. Le malheur ne pouvait pas s'abattre sur moi à plusieurs reprises. Je m'étais décidée à rester sereine et positive. J'étais sous l'effet de mes pulsions sexuelles. Je montai les escaliers pour une douche et enfilai l'une des robes que m'avait achetée Sebastian. Elle mettait mes courbes en valeurs. Je me fis une beauté. Je dégageais une odeur de propreté. Mon parfum avait envahit notre salon. Je pris place dans le divan. Je guettais la porte principale. Jonathan allait la franchir d'un moment à l'autre. La porte du salon s'ouvrit enfin. Je reconnus la voix de mon fils et me levai aussitôt. Il saluait la gouvernante. Mon Jonathan entra dans le salon. Il avait l'air si fatigué. Sa mine était comme celle de Sebastian lorsqu'il revenait d'une mission. Son beau corps se dessinait dans sa tenue estudiantine. J'étais fière de l'être qui était en face de moi. J'avais juste envie de me jeter à son cou. Je réagissais ainsi lorsque Sebastian revenait du boulot. Je me dirigeai vers mon fils. Il me salua en premier :
- Bonsoir maman. Tu vas bien ?
La douceur de la voix de mon fils me donna plus de zèle. J'avais eu peur de sa réaction, mais compris assez vite qu'il m'avait pardonné mon acte. Son regard était lumineux et Jonathan m'avait offert un large sourire. Son baiser sur ma joue n'était- il pas un signal qu'il avait trouvé une raison pour me désirer ? J'étais une belle femme. En plus personne ne saurait notre histoire. Il pouvait profiter de moi plutôt que de se mastuber seul sous la douche. C'était courant chez les jeunes de son âge.
- Salut mon fils. Tu as eu une excellente journée ?
- Oui maman et toi ?
- Bof, la routine mais c'était bien. Mais pourquoi rentres- tu à cette heure ?
- Excuse- moi maman. J'avais oublié de t'informer. Je suis allé rendre visite à un ami malade.
- D'accord, mais je suis resté morte d'inquiétude tout ce temps
- Je suis desolé, cela ne se reproduira plus. Mon chargeur était à la maison
- Ce n'est pas grave le plus important que tu sois là sain et sauf. Tu sais quoi ?
- Dis moi maman je t'écoute
- Je t'ai fait moi- même ton plat préféré
- Maman ! Ne me dis pas que tu as cuisiné le Nyama
- Bien sûr que si.
- Merci maman, je vais me régaler
- C'est mon souhait. Passons à table.
- D'accord. J'ai tellement faim. Je vais prendre ma douche avant.
- Tu vois l'heure qu'il fait ? Passons à table avant. Je t'attendais pour dîner et vaquer à mes occupations. Le Nyama s'il tarde perds son goût, tu le sais. Il est encore chaud et savoureux, d'autant plus qu'il n'est écrit nulle part qu' il faut se doucher avant le dîner. Tu as faim, viens manger. La douche ne fuira pas. Tu peux prendre ta douche à n'importe quelle heure.
- Tu as raison. Passons à table. Je me laverai après.
Je servis le Nyama en grande quantité à mon fils, tandis que je me servais une portion de la nourriture de notre servante.
- Maman c'est suffisant pour moi. Tu n'en prends pas, toi ?
- Non je prendrai celui de Gertrude. Le Nyama est juste pour toi. Je mangerai le reste plus tard.
- S'il y en a de reste !
- Ce n'est pas grave, mange
- Maman c'est vraiment DE- LI- CIEUX. Chapeau !
- Merci mon fils
Je comtemplais mon fils avec désir pendant qu'il mangeait. J'étais contente de chaque bouchée supplémentaire qu'il engloutissait. Je me plaisais à imaginer les scènes à venir dans notre lit.
- Maman...
- Oui mon Jonathan ?
- Tu es sûre que tu ne veux pas en prendre juste un peu ?
- Non mon fils, ne te préoccupes pas pour moi
- Mais je dois me préoccuper. Tu ne manges pas. C'est à peine si tu as touché à la nourriture de Gertrude.
- En ce moment, ma priorité c'est toi. Cesse de parler. Mange copieusement. Tu iras prendre ta douche et dormir. Je suppose que tu as encore cours demain.
- C'est vrai, j'ai un devoir à rendre demain.
Scène du côté de Jonathan
Je mangeais le plat de maman avec appétit. Mais au bout d'un moment, je tenais à peine sur mes jambes. Ma vision perdait en qualité. Je le mis sous l'effet de la fatigue. J'avançai vers maman.
- Maman, ton plat était succulent. Je file prendre ma douche. J'ai sommeil. Bonne nuit.
- Passe une excellente soirée mon fils
Maman affichait un large sourire. Décidément, ma mère était de bonne humeur. Je m'en réjouissais pour elle. Je préférais la voir radieuse plutôt que triste.
- Fais attention aux marches de l'escalier. Tu tiens à peine sur tes jambes
- J'ai le vertige, je ne sais pas trop pourquoi ? Je te laisse maman.
- Je monterai dans ta chambre pour vérifier que tout va bien
- N'exagère pas maman. Je ne suis pas malade, juste fatigué. Rien de plus
- Je viendrai quand même
- D'accord maman
Scène du côté de Jacqueline
Je jubilais d'allégresse. Le sommnifère faisait son effet sur mon fils. Mon plan s'exécutait à merveille. Je restai un moment dans le salon, puis jetai le reste de la nourriture dans la poubelle. Je montai dans ma chambre et enfilai ma nuisette. J'étais sans dessous. Mes seins étaient en liberté dans ma nuisette blanche. J'imaginais ses violents coup de reins en moi. Je frémissais ! Je n'attendais que cela. J'étais prête à faire une seule chair avec mon fils ; un regard lancé une énième fois dans le miroir : j'étais désirable. J'étais même sûre que Sebastian m'aurait dit des merveilles à l'oreille en me regardant. Je pris la direction de la chambre de mon fils, dont j'ouvris délicatement la porte. Je ne voulais pas le brusquer. J'aperçus mon fils étendu dans son lit. Son torse était dénudé. Il me regarda, l'air perdu, se débattant dans le lit. Il tournait sur lui- même. J'avais rondement mené mon affaire, il était complètement sous l'emprise du somnifère et du viagra. J'avais mis deux doses au lieu d'une dans son plat. Je me décidai à franchir le seuil de la chambre avec sa permission.
- Je peux entrer ?
- C'est toi Lyna ?
- Oui c'est moi Lyna.
- Oui vas- y
- Je te croyais endormi
- Non pas encore. J'ai très mal à la tête ; je ne me sens pas bien...
- Qu'est- ce que tu as, bébé ?
- Je ne saurais te répondre. Je ne suis pas malade mais j'ai la tête qui tourne.
- D'accord chéri
- Lyna, tu es là ? Tu m'écoutes ?
- Je suis là mon Jonathan, tranquilises- toi
- Lyna, j'ai trop envie de toi. Je tiens plus sur moi.
- Ah bon ?
- Je te veux
- Chuuuuuuuttttt
Mon fils me confondait avec une certaine Lyna. Qui cela pouvait- il bien être ? Sa copine, j'en étais sûre. Quel cachotier ce mec. Le portrait tout craché de Sebastian. Les dieux étaient vraiment en ma faveur. Il me confondait avec une amie. Il me fallait profiter des chances du destin. Ses paupières s'ouvraient à peine et son pénis était en érection dans son patalon. Mon Dieu, que mon fils était bien membré ! Je n'avais jamais remarqué cela. J'avais une seule envie lui retirer son pantalon. Je désirais plus que tout de violents coups de sa part en moi.
Scène du côté de Jonathan
J'étais tout excité. J'avais une folle envie de faire l'amour. Mes sens étaient hors de contrôle. J'avais l'impression de voir ma mère et flottais dans un monde imaginaire. J'étais sans forces, entre l'envie de dormir et celle de faire l'amour. Je voyais mes rapports avec Lyna, comme si j'étais hors de mon corps, très heureux qu'elle soit présente à ce moment précis. J'avais besoin de me libérer. Lyna se mit au- dessus de moi. Elle commença à m'embrasser avec délicatesse, puis me retira mon pantalon. Je me jetai sur elle. Je l'entendais gémir, et ses gémissements m'excitaient encore plus. J'étais devenu une bête. Je lui fis l'amour farouchement avant de tomber dans les bras de Morphée.
Scène du côté de Jacqueline
Mon fils me fit découvrir des merveilles durant ce court moment. Il m'avait prise dans tous les sens. Je jouissais en pleurant. Je me sentis femme de nouveau. J'avais toujours pris Jonathan pour un gamin. Mais que non, il savait s'y prendre dans un lit, et digne de la lignée des Ouaka. Encore dans la fleur de l'âge, mon fils était très viril. Il finit par s'endormir sur moi après m'avoir donné de sa semence. Je restai près de lui en le serrant tout contre moi. Je le caressai toute la nuit. J'étais maîtresse de son corps, son phallus était mien ce soir. Je n'arrêtais pas de lui faire des fellations. Il restait inerte. Mais je m'en fichais royalement. Cependant, je restais bien curieuse de savoir qui était cette Lyna.
Jonathan n'avait pas arrêté de prononcer son prénom pendant nos rapports sexuels. Je compris qu'il l'aimait. Je devais donc l'éliminer, autrement elle pourrait être une rivale. Je devais trouver un moyen de lui ôter la vie. J'en étais bien capable pour garder mon petit Jonathan. Je n'étais pas prête à le partager. Maintenant que j'étais sienne, je n'aurais pas pu supporter qu'une autre profitât de son corps et sa beauté. J'étais désormais déterminée à le surveiller. Je restai longuement pensive, puis m'approchai de mon fils. Jonathan transpirait. Les bruits de ses ronflements étaient puissants. Je mis ses mains sur mon corps, puis m'endormis toute heureuse à ses cotés.
Scène du côté de Jonathan
Je me réveillai tout fatigué. Mon corps tout entier me faisait mal. Je sursautai lorsque je vis ma mère dans mon lit. Elle était toute nue. Je me rendis compte en ce moment que je l'étais également. Je la couvris rapidement, cherchai au sol et enfilai mon boxer avec précipitation.