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Chapitre 4 La dot

Chapitre 4 : sous tension

-Deux mois plus tard-

*Dans la tête de Doliane Orema*

Je suis à mon bureau lorsque je reçois un appel de mon supérieur.

Je fais cinq pas et je suis devant sa porte.

Je cogne une fois et il me donne l'autorisation d'entrer.

Lui : je n'ai pas eu le temps de te parler de ton mariage mais j'espère que les préparatifs se passent bien?

Je suis agréablement surprise qu'il me parle de mon mariage. Je lui ai transmis le faire-part uniquement pour qu'il sache.

Moi : je gère ce que je peux.

Lui : je suis content de savoir que le stress ne te déroute pas.

Moi : je sais distinguer les choses.

Lui : ça, je le vois.

On plonge dans un silence gênant pendant 5 secondes, avant qu'il m'explique la raison de ma présence dans son bureau.

Lui : tu te plais à ton poste?

Moi : totalement.

Lui : et pourtant tu as plus de compétences.

Moi : ce n'est plus un problème pour moi Monsieur.

Lui : pour moi ça l'est. Ça l'a toujours été d'ailleurs. Mais j'en ai marre d'être « égoïste »

De quoi est-ce qu'il parle? Mon cœur bat soudain différemment.

Lui : je ne peux plus vous garder à ce poste.

Seigneur Jésus !

Mais il sort ça d'où?

J'ai envie de mettre mes mains sur ma tête.

Mais que se passe-t-il ?

Est-ce que je lui ai dit que je ne voulais plus de ce poste?

Ça fait trois ans que je suis secrétaire. Je sais que je mérite peut-être mieux mais je ne me suis jamais plaint car j'ai un salaire qui me va.

Je pense soudain à tous les problèmes que j'ai déjà sur mes épaules.

Il se lève et me regarde droit dans les yeux.

Lui : je pense que nous deux, ça va s'arrêter là.

S'il ajoute un seul mot je vais tomber dans les vapes. Un seul mot.

Il marche vers la porte et me fait signe de sortir de son bureau.

Oh

Mais qu'est-ce que j'ai fait à cet homme? Seigneur !

Je le suis sans dire mot tellement je suis dépassée par ce qui se passe.

Une fois hors de son bureau (devant la porte), il fait deux pas (au niveau du couloir) et me montre une porte.

Lui : désormais, tu seras là-bas.

Mes yeux s'ouvrent et mes oreilles sifflent.

Il dit quoi celui-là ?

Lui : je pense que tu as assez fait tes preuves. Cette promotion est le fruit de ton abnégation.

Je n'en crois pas mes oreilles.

Je suis choquée !

Enfin, non, surprise, agréablement surprise.

Je regarde le nom marqué sur la porte et je me tourne vers lui :

Moi : chargée de communication? Mais...

Lui : fais tes preuves. Les diplômes permettent de se vendre. Mais les compétences aident à séduire son employeur. Je sais que tu as les compétences pour.

J'entre dans ce beau bureau. Je regarde autour de moi et je suis impressionnée par tant de luxe.

Lui : bon, j'ai une réunion dans 15 minutes.

Il s'éclipse et je reste là à remercier le Seigneur.

Ici, une chargée de communication touche en moyenne 800.000 fcfa

Ce qui représente une augmentation considérable pour moi. Je vais donc gagner 400.000 fcfa en plus.

Je suis tellement contente que j'appelle petit sucre.

Il me félicite mais notre conversation est courte car il a une réunion.

Je prends place et je réalise les portes que le ciel m'ouvre.

Ahhhh

C'est bien la seule nouvelle positive de ces deux derniers mois.

Je ne m'entends plus avec ma famille maternelle. Du moins dès l'instant où j'ai trouvé un endroit où organiser ce mariage ils m'ont parlé de malédiction etc.

Mais ils pensait que j'allais faire quoi?

Je vivais de menace en menace. Qui est fou?

Sans perdre du temps, je prends connaissance de tout ce qu'il faut afin de saisir les enjeux de mon nouveau poste.

Le soir, aux environs de 18h je quitte les locaux en direction de la maison.

Je trouve ma mère et sa sœur qui m'agace au salon.

Quand ma mère me voit, elle se lève et pousse des cris de joie (elle connaît la bonne nouvelle).

Ma tante quant à elle, nous regarde le visage sans émotion.

Maman : je suis tellement contente pour toi Doli.

Moi (souriante) : tu vois que la patience a ses vertus.

Elle me fait un gros câlin.

Elle : félicitations Doli.

Moi : merci maman.

Je dis bonsoir à ma tante avant qu'elle ne me dise ceci:

Elle : je voulais te parler.

Moi : ah oui? De quoi?

Je prends place et je l'écoute.

Elle : j'ai l'impression que ta démarche depuis ces deux derniers mois consiste à nous prouver que tu peux organiser ton mariage sans nous, tel un affront. D'abord, tu décides de changer le lieu sans nous consulter, ensuite tu décides de payer un pourparler et enfin tu dis que tu ne vois plus l'intérêt des réunions. Mais Doliane est-ce que tu sais que nous sommes ta famille? C'est parce qu'un homme a décidé de changer ton statut que tu nous manques de respect de la sorte?

Moi : alors je ne vois pas pourquoi lorsque je trouve des solutions aux problèmes que vous créez, je passe pour la mauvaise. Ton frère a décidé que mon mariage ne se passera pas chez lui si Damien n'ajoute pas 500.000 fcfa. Ton autre frère a dit qu'il ne parlera pas à mon mariage pour la même raison. Chaque fois que nous avons une réunion il n'y a aucune évolution étant donné qu'il n'y a pas de cotisations entrantes. Quel est le but de se rencontrer pour se fâcher? Vous m'avez clairement dit les choses et moi j'ai essayé de trouver des solutions.

J'ai dit à mes oncles de ne plus se donner la peine de cotiser. J'ai décidé de me battre seule.

Dans tous les cas ils n'allaient pas me donner plus de 50.000 fcfa chacun donc à quoi bon ?

50.000 ou 100.000 fcfa pour tout ce qu'ils vont recevoir après? C'est tellement ridicule.

Je ne veux pas qu'ils racontent qu'ils m'ont organisé ce mariage. Ils n'ont rien fait de plus que me casser les pieds.

Elle : ils sont très remontés contre toi. Une enfant doit respecter ses parents. Mais je constate que depuis que cette famille riche veut t'épouser, tu oublies d'où tu viens.

Pardon ?

Moi : le fait que tu fasses continuellement le lien avec leur argent montre votre ou plutôt ta limite de pensée à toi. Elle ne prouve en rien ce que je suis. Je n'ai jamais mis en avant l'argent de ces gens. Car je n'en profite pas. Et je tiens à dire qu'il ne s'agit pas de cela. Votre problème c'est que vous ne reconnaissez pas vos torts. Tant que vous allez penser que c'est moi la mauvaise vous n'allez jamais vous remettre en question. Quel oncle peut dire une telle chose à sa nièce pour de l'argent?

Je sais qu'ils pensent que je veux me débarrasser d'eux. Ils ont peur de ne pas voir percevoir tout ce qu'ils ont demandé. Je le sais.

Elle n'est pas ici pour rien. Ils ont juste honte de venir eux même me parler. Je les connais déjà bien. Ces hommes cupides prêts à tout.

La conversation s'éternise et sincèrement je suis fatiguée de me répéter alors je coupe court.

Moi : je suis désolée, mais je suis fatiguée. Je rentre du boulot.

Je me lève et je regarde ma mère qui une fois de plus m'a laissé parler seule face à sa grande sœur.

Je vais prendre une douche, j'en ai besoin.

*Dans la tête de Damien Obame*

Je suis à la maison lorsque j'entends quelqu'un cogner à la porte.

N'importe qui n'a pas accès à ma maison donc je suppose que si le gardien a laissé passer, c'est que c'est qu'il s'agit d'une connaissance.

Je me rapproche de la porte et je l'ouvre.

Je tombe nez à nez sur la bestie de Doliane.

Moi : bonsoir.

Elle me fait deux bises avant de complimenter mon parfum.

Moi : merci.

Elle : tu ne me fais pas entrer ?

Moi : vas-y.

Elle me suit jusqu'au salon où je lui propose quelque chose à boire.

Elle : ce que tu veux.

Moi : de l'eau? Du jus de fruit? De l'alcool?

Elle : j'allais dire un verre de jus mais nous sommes vendredi. Je vais prendre du martini.

Moi : d'accord, j'arrive.

Je vais préparer un petit plateau et je reviens 10 minutes plus tard avec.

Je savais qu'elle devait passer cette fin de semaine car Doliane m'a prévenu. Elle est là pour récupérer mon pagne car elle travaille avec de très bon couturiers ouest africains.

La bestie de Doliane est assez réputée. Elle est spécialisée dans les tenues des hommes. Tout le contraire de ce qu'on voit sur le marché ici à Libreville.

Je la laisse 2 minutes pour récupérer le pagne dans la chambre et quand je reviens vers elle, elle a son mètre dans les mains.

Moi : c'est quand tu veux !

Elle : maintenant alors.

Elle se lève et se rapproche de moi.

Elle : détend toi, je vais commencer par les épaules.

Elle dépose délicatement ses mains sur mes épaules et commence son travail.

Elle retient chaque mesure et la note dans son agenda qui est sur la table à côté de nous.

Elle : tu veux quelle longueur ?

Je lui dis exactement ce que je veux et elle me demande de déposer ma main sur mon épaule pour bloquer le mètre tandis qu'elle descend jusqu'à mes pieds.

Étant en bas, elle lève ses yeux vers moi et la scène me perturbe un peu je dois l'avouer.

Elle est très près de mon entrejambe.

Moi : c'est bon? On a terminé à ce niveau?

Elle : deux secondes.

Je ne sais pas trop ce qu'elle fait mais ça prend 15 secondes.

Puis je bouge alors elle se redresse.

Lorsqu'elle est au niveau de mon tour de taille, je constate qu'elle dépose ses mains sur moi. Ça me dérange. Alors je lui demande si elle peut un peu reculer.

J'ai envie d'en finir, vite.

Après 5 minutes tout est bon !

Elle : je vais faire les tenues d'ici 1 à 2 mois.

Moi : parfait !

Je lui donne une acompte sur la somme et je la laisse siroter avant de s'en aller.

Alors que je reviens au salon, j'appelle Doliane.

Moi : allô?

Doli : bonsoir petit sucre.

Moi : ta bestie vient de partir. Elle a pris mes mesures.

Doli : ah super ! T'inquiète elle ne va pas me montrer tes modèles. Je sais que ça porte malheur. En plus je préfère tout découvrir le jour-j.

Moi : j'étais mal à l'aise.

Doli : pourquoi?

Moi : je ne sais pas. Mais quand tu n'es pas là, j'ai du mal à être avec elle.

Doli : si tu le dis c'est parce que tu as remarqué quelque chose? Tu sais que tu peux tout me dire n'est-ce pas?

Moi : je n'ai rien remarqué d'alarmant. Mais ça me gêne vraiment.

Je ne suis pas saint, j'ai déjà couché avec deux amies.

Je sortais avec une femme (avant Doliane) et j'ai couché avec une de ses copines avec qui j'ai d'ailleurs passé plusieurs mois.

Je gérais les deux sans que la première ne soit au courant. Elle n'a d'ailleurs jamais été au courant.

La deuxième n'avait aucun mal avec la situation. Mais avec le temps elle devenait jalouse et le voulait exclusivement pour elle sauf que je ne voulais pas forcément m'engager avec les deux.

Je ne crois pas sincèrement aux amitiés des femmes.

Mais je ne veux pas en arriver là et c'est la raison pour laquelle je ne veux pas passer plus de temps que prévu avec sa meilleure amie.

Je sais me contrôler, mais je sais également que les mauvaises pensées et l'amour du risque m'ont déjà fait fauter dans le passé.

Doli : ok, je vais éviter de l'envoyer chez toi sans ma présence. Merci de m'en parler.

Moi : de rien.

Doli : petit sucre?

Moi : oui ma douce?

Doli : tu sais je m'étais excusée pour toute la négativité que je te partageais, mais en réalité, je ne m'étais pas excusée de ne pas m'être mise à ta place. Je suis sincèrement désolée. Je t'avoue qu'ici c'est pas facile. Il y a tellement de choses que je te cache parce que je veux que tu continues de respecter ma famille.

Moi : Doli je suis là, si tu as besoin argent dis-moi. Je ne veux pas que tu t'embêtes avec des choses que je peux facilement gérer.

Doli : et mon honneur alors?

Moi : je comprends.

Doli : j'ai hâte qu'on vive ensemble.

Moi : la coquine.

Elle rigole et me souhaite une bonne fin de soirée.

Moi : ok on se texte !

Ting

Alors que je suis assis au salon devant un film sur Netflix, je reçois un message.

« Bonsoir Dam's, c'est Leila. Je suis à Libreville pour quelques jours. Est-ce qu'on peut se voir pour discuter? Je ne te cache pas que tu me manques »

En parlant du loup !

J'ignore ce message, volontairement car je sais ce qui peut se passer.

Leila et moi sommes très compatibles sexuellement. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'ai mis du temps avant d'arrêter ce qu'on faisait à sa copine.

20 minutes plus tard mon téléphone sonne.

Moi : allô?

La personne : allô ? Dam's c'est Leila.

Moi : qu'est-ce qu'il y a?

Leila : est-ce qu'on peut se voir?

Moi : pour?

Leila : j'ai besoin qu'on se parle. J'ai l'impression qu'on a tout arrêté brusquement. Je sais que ça fait un moment mais je n'arrive toujours pas à passer à autre chose.

Moi : je suis passé à autre chose Leila. Je vais me marier dans moins de 6 mois.

Leila : je veux juste qu'on discute.

Moi : par respect pour ma future femme je pense que ce n'est pas la chose à faire.

Je ne veux pas tenter le diable.

Cette fille est sexy à souhait !

Tzs Tzs *double appel*

Dès que je vois le numéro de Doliane je la prends.

Elle : petit suuuuuucre.

Moi : qu'est-ce qu'il y a?

Elle : non rien, je voulais juste vérifier si tu étais encore debout.

Elle rigole et :

Elle : tu faisais quoi?

Moi : trop rien.

Elle : tu ne pensais pas à moi?

Moi : si, comme toujours.

Elle : menteur va !

Moi : si tu savais...

On échange encore 2 minutes avant de se souhaiter bonne nuit.

Aux alentours de 2h du matin je reçois un appel en urgence.

La personne insiste alors que je me réveille.

Moi (encore dans le sommeil) : Damien?

J'entends quelqu'un pleurer derrière alors je me réveille.

Diane : Doliane convulse ! Nous sommes aux urgences de l'hôpital général.

Moi (hurlant) : l'hôpital général? Mais pourquoi? Il faut qu'elle aille en clinique le plus rapidement possible.

Je bondis du lit, je prends mon portefeuille sur le chevet de lit, je prends mes clés au couloir et je fonce en pyjama et je crie pour que le gardien ouvre vite le portail.

Je conduis comme un fou, un vrai malade !

Alors que ce trajet fait normalement 28 minutes, je le fais en 15 minutes.

Je suis aux urgences et je vais vers ma belle-mère.

Elle pleure et moi je n'ai pas le temps de gérer les émotions des gens.

Moi : il faut qu'elle aille ailleurs.

Diane : c'est trop risqué.

Moi : je prends cet engagement.

Maman : jamais de la vie ! Je ne peux pas risquer de perdre Doliane en l'évacuant.

Moi : maman il faut qu'on l'évacue ailleurs. Je n'ai pas confiance.

Diane : euuuh.

Moi : il faut qu'on le fasse !

Je vais vers les personnes de droits et je demande une évacuation immédiate.

Le responsable : oui mais il faut nous payer parce qu'on a commencé à la prendre en charge.

Moi (énervé) : je vais le faire. Procédez d'abord à l'évacuation.

Lui : je suis désolé mais je ne peux donner l'ordre sans argent.

Moi (droit dans les yeux) : je vous emmerde !

J'ouvre mon portefeuille et je vais signer la décharge.

*Dans la tête de Doliane*

J'ouvre les yeux aux environs de 14h et je suis sur mon lit à la maison.

Quand je tourne ma tête, je vois Damien.

Moi : qu'est-ce que tu fais ici?

Lui : c'est une longue histoire.

Maman entre dans ma chambre et :

Elle : Doliane qu'est-ce que tu nous as fait comme ça?

De quoi est-ce qu'elle parle?

Damien : je vais aller prendre une douche et me brosser les dents.

Il se rapproche de moi et :

Lui : je t'aime.

Il dépose un baiser sur mon front et s'en va.

Maman : tu convulsais.

Moi : oh

Maman : mais le médecin a dit que tu faisais une hausse de fièvre. Il n'y a rien d'alarmant apparemment.

Je regarde ma mère dans les yeux et :

Moi : maman?

Elle : oui chérie?

Moi : j'espère que c'est naturelle. J'espère que tes frères n'y sont pour rien. Je n'ai jamais convulsâtes de ma vie. J'ai déjà eu la fièvre mais je n'ai jamais été dans cet état.

Elle : ne pense pas à eux. Repose toi et dis merci pour Damien ma fille. Heureusement qu'il était là pour prendre les bonnes décisions. Je ne savais pas quoi faire. Je n'avais pas plus de 50.000 fcfa sur moi et en une nuit il a dépensé 234.000 fcfa.

Je ferme mes yeux et je ne dis rien de plus.

*Dans la tête de Damien*

-Une semaine plus tard-

J'ai décidé d'offrir un shooting photo à Doli.

Elle me parle constamment de faire des photos pour notre future demeure alors c'est le moment.

Je suis en peignoir, prêt à m'habiller quand je pense à aller voir si tout se passe bien de son côté.

Je la trouve avec sa maquilleuse et :

Moi : je peux emprunter sa bouche avant votre truc que vous mettez là ?

La maquilleuse rigole et me donne l'autorisation.

Moi (content) : viens là ma douce.

Je rapproche mes lèvres des siennes et je ferme mes yeux afin de profiter de ce doux moment.

*Dans la tête de Doliane*

Je suis en peignoir, assise sur la chaise de make up, la tête baissée vers l'arrière, les yeux fermés et la bouche collé à celle de mon petit sucre.

Je l'aime d'un amour si sincère Seigneur.

Lorsqu'il retire ses lèvres, une larme coule sur ma joue (mais il est déjà entrain de partir s'habiller).

J'ai passé une semaine stressante.

Comment savait il que j'avais besoin de ce moment de détente?

            
            

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