Naughty Harry, Débuts De La Passion
img img Naughty Harry, Débuts De La Passion img Chapitre 2 Ricochet
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Chapitre 6 Ajustement img
Chapitre 7 Embrasure img
Chapitre 8 Combustion img
Chapitre 9 Effusion img
Chapitre 10 Accalmie img
Chapitre 11 Impulsion img
Chapitre 12 Effervescence img
Chapitre 13 Ardent img
Chapitre 14 La Discussion img
Chapitre 15 Carpe Diem img
Chapitre 16 Anarchie img
Chapitre 17 L'ex-femme img
Chapitre 18 Inusité img
Chapitre 19 Inimitié img
Chapitre 20 Appréhension img
Chapitre 21 Croisée img
Chapitre 22 Patent img
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Chapitre 2 Ricochet

*Pdv Harry*

Putain, cette fille m'a laissé sur le cul, des couilles bleues et le sang jusqu'à la tête. Je suis putain d'excité, elle me chauffe comme la plus désirée des filles de joie du quartier qui vous laisserait en plan après des préliminaires...

Je n'en ai pas terminé avec toi ma Nina, tu reviendras. Crois-moi, lorsque Harrison Deveraux désire une chose, il l'obtient. Aussi simple que ça car entre désirer et avoir, moi je prends.

Ça tombe bien si c'est elle qui garde mon fils. Je l'aurais encore plus facilement mais surtout quand et où l'envie me prendra. Je sais qu'elle me voulait elle aussi, je l'ai senti trembler de désir sous moi. J'ai senti moiteur et la chaleur de son intimité contre moi. Ses réponses à mes frottements, à ma bouche et ma langue sur elle. De toutes façons, elle ne le gardera que très rarement puisqu'il reste avec sa mère 3 jours par semaines. Mon ex-femme est l'une des pires salopes que le monde ait pu engendrer. Je devais surement être complètement shooté lorsque je l'ai baisé. Je voulais juste passer une soirée tranquille avec des potes pour mes 21 ans et j'ai fait l'erreur de lui dire que je possédais déjà ma propre entreprise à un âge où les autres gamins ne pensaient qu'à s'acheter une nouvelle paire de Timberland. Comme toute bonne pilleuse d'or attirée par le miel, elle m'a aidé à me bourrer la gueule puis on a baisé à la hussarde dans les toilettes sales du bar. Quatre mois plus tard, elle se pointe devant chez moi avec une échographie et un petit point blanc sur une image en négatif blanc et noir. Elle avait dit prendre la pilule cette folle ensuite elle a aussi osé me mentir sur sa prétendue virginité que je lui aurais prise ce soir-là. Mais ça, je l'ai découvert seulement une fois enchainer avec elle légalement grâce à une conversation téléphonique entre elle et une autre putain parmis son cercle de copines. Ouais, résultat, un divorce deux ans plus tard avec des indemnités énormes. C'est définitivement une salope. Me remarier ? Pas tant que je serais encore saint d'esprit. Quelle arnaque, franchement.

Malgré cette mauvaise expérience, Théo est sans doute la meilleure chose qui me soit arrivé. En étant père, j'ai appris à être plus responsable et ça a rejailli aussi sur la gestion de mon entreprise. Je peux aujourd'hui dire que je suis un homme accompli, milliardaire et libre de toutes contraintes à seulement 28 ans. Ni moi, ni mon fils n'auront à se soucier de l'avenir par la grâce de Dieu.

Il ne me reste plus qu'à partir à la conquête de ce nouveau territoire si fluctueux et prometteur qu'est Nina Mills...

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*Pdv Nina*

-Je suis rentrée. Dis-je en balançant mon sac et ces fichus engins de la mort derrière le seul sofa que nous possédons dans notre salon.

-Raconte, comment c'était ? Combien vont-ils te payer ? Il est bien ton patron ? Et le gamin tu l'as rencontré ?

Oh Maureen, si tu savais. J'ai rencontré le diable, Lucifer en personne ou son envoyé et j'ai failli me faire trousser par mon salaud de futur employeur à la première rencontre ! Et puis c'est quoi ce minishort gris vomi qu'elle porte ?

-Tu sors d'où comme ça ? demandé-je en me jetant sur le sofa, la tête en arrière et les yeux fermés d'épuisement.

-Je faisais une lessive dans la salle de bain. D'ailleurs il te faut un soin des pieds. Tes chaussettes puent le pet d'écureuil.

-Ouais...

-Eh ? Tu vas bien ?

-Maureen, j'ai failli me faire rouler dessus par un camion. Dis-je les yeux toujours fermés. Bah quoi ? c'est pratiquement vrai, un camion qui se nomme Deveraux.

-QUOI ? Oh mon Dieu, tu n'as rien ? fit-elle inquiète en baladant ses mains sur mon corps à la recherche d'une blessure imaginaire. Dans mes chairs Moe, les blessures sont dans mes chairs.

-Rien. Aide-moi juste à retirer ce fichu corset avant que je n'aie plus d'air dans les poumons.

-Retourne-toi, je vais desserrer les lacets.

Quelle après-midi...

*Ellipse*

Deux jours sont passés depuis cet entretient et toujours aucune nouvelle. Je commence à désespérer d'avoir un boulot, peu importe quoi mais il m'en faut un. Lucas, le concierge commence à me taper sur les nerfs avec ses venues sans cesse dans notre appartement. Bordel c'est bon, on a qu'un seul mois de retard, lâche-nous un peu. En plus, nous sommes les locataires les plus à jour niveau loyer comparé aux autres et malgré notre retard. Il ferait bien de mieux gérer ses comptes plutôt que de nous saouler. Et ce monsieur Deveraux qui tarde à rappeler... d'ailleurs pourquoi il le ferait ? Je l'ai quand même abandonné sur le parquet de son bureau la queue enflée. J'imagine sa réaction lorsque je suis partie. Est-ce qu'il s'est branlé en pensant à moi ? Ou alors il m'a surement traité de toute sorte de nom d'oiseau en ayant des couilles bleues toute la journée... Rien que de l'imaginer me fait sourire.

En dépit de toutes ces conneries, j'ai vraiment besoin de ce job. S'il ne rappelle pas d'ici demain, j'irais chercher dans les restaurants pour faire la plonge ou servir des tables.

Dans ma chambre comme à mon habitude, j'écoute de la musique avec le son à fond et en pliant les maigres vêtements en ma possession. Je laisse un instant de côté toutes mes pensées et me fait bercer par la voix sensuel et rythmée de THE WEEKND et WIZ KHALIFA "Or Nah". Ce qui n'arrange en rien mon état ni la tournure de mes pensées depuis deux jours. Chacune de ces paroles crues me ramène sans cesse à lui.

Lui au-dessus de moi, dans son bureau, contre son sol. Lui et sa langue sur la peau tendre et sensible de mon cou. Ses mains sur mes seins, son sexe contre mon intimité chaude et volontaire. Oh comme je le veux. Ses yeux verts sont gravés dans mon esprit. Même s'il ne rappelle jamais, je ne pense plus pouvoir oublier cet instant.

-Ehhh, NINAA, TELEPHONE !

Je me fais sortir de mes sordides fantasmes avec un sursaut par ma folle de colocataire qui gueule comme une truie. Bonjour, le principe de « on ne hurle pas » qu'elle a elle-même établit.

-LA FERME MOE. PAS LA PEINE DE GUEULER, J'ARRIVE BON SANG !

-Oups, désolé ma poule. Tiens, quelqu'un pour toi. Dit-elle en me tendant le combiné et en allant sur sa planète. La salle de bain.

-Allô ?

-Mademoiselle Mills ? Dit une voix platonique et cordiale.

-Ouais... c'est moi.

-Eh bien, je suis le major d'homme de M. Deveraux, Il me fait vous dire de vous présenter Lundi matin à la villa pour que Jill, l'ancienne nanny, vous fasse connaitre vos taches. N'oubliez pas mademoiselle, 07heures pile. Soyez à l'heure ! Puis il raccroche sans même me laisser le temps d'en placer une. Ok...

-Woua... Dis-je abasourdie.

-Qu'est ce qui ne va pas Nini ? Demande-t-elle prestement.

-Euh... je crois que je suis embauchée pour le job de Nanny. Je crois, enfin je veux dire que oui, oui je suis embauchée. Mh... il a dit que je devais commencer Lundi à 7heures. Dis-je pensivement.

-Euh... c'est super pour le job mais toi ? 7Heures du matin ? Te lever aussi tôt ? Haha la bonne blague. Tu vas tirer une de ces têtes ! J'ai hâte de voir ça.

-Je n'ai pas vraiment le choix tu sais ! Dis-je vexée avec une voix qui se voulait autoritaire. En plus, je faisais exprès de ne pas me lever tôt parce que je n'avais rien à faire ! Tu vas voir que je serais debout avant toi et c'est moi qui te réveillerais. Tu verras !

-Je te taquine babe. Je suis sûre que tu vas gérer, j'en suis persuadée !

-Tu le penses vraiment ?

-Oui babe.

-Merci Moe. Dis-je en la prenant dans mes bras.

Alors comme ça je vais travailler pour ce salaud. Je crois que ce travail risque d'être riche en émotions, dur pour mes hormones et surtout dur pour... autre chose, Harrison Deveraux.

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Il est plus de 22 heures et nous sommes un dimanche. J'essaie vraiment de dormir pour être en forme demain mais je n'y arrive pas. À chaque fois que je ferme les yeux, c'est lui que je vois. Lui et ses yeux verts. Je peux même sentir ses mains parcourir chaque parcelle de mon corps. Bon sang, comment un homme peut autant chambouler la vie et le corps d'une femme ? Est-ce que lui ressent pareil ? J'ai tellement chaud en ce moment rien que de m'imaginer pouvoir sentir chaque centimètre de sa queue en moi, me resserrer autour de lui lorsque j'atteindrais l'orgasme. Je donnerais presque tout ce que j'ai en ce moment pour le sentir en moi, juste une fois. Seigneur, j'en deviens folle. Je n'ai jamais ressenti un désir aussi fort.

Dois-je vraiment accepter ce travail ? Je ne sais pas si je pourrais m'empêcher de lui sauter dessus. Je veux tellement sentir la chaleur de son corps contre le mien que j'en oublie totalement le pourquoi de ce travail. Ce que vous me faites ressentir M. Deveraux.

'I am thinking of you in my sleepless solitude tonight'

Je pense à toi ce soir dans ma solitude sans sommeil

´If it's wrong to love you then my heart just won't let me be right'

Si c'est mal de t'aimer alors mon cœur ne me laissera pas avoir raison

'Cause I've drowned in you and I won't pull through

Without you by my side'

Parce que je me suis noyée en toi et que je ne m'en sortirai pas sans toi à mes côtés .

D'habitude, dans mes nuits blanches comme aujourd'hui, la voix de Mariah Carey réussit toujours à m'apaiser et m'endormir. Mais pas ce soir... ce soir en écoutant sa chanson ''My all'' je ne fais que me créer une histoire qui n'existe pas avec pour principal protagoniste un salaud imbu de sa personne mais oh que baisable.

´I'd give my all to have just one more night with you'

Je donnerais tout pour passer une nuit de plus avec toi

´I'd risk my life to feel your body next to mine'

Je risquerais ma vie pour sentir ton corps à côté du mien

'Cause I can't go on living in the memory of our song

I'd give my all for your love tonight'

Parce que je ne peux pas continuer à vivre dans le souvenir de notre chanson

Je donnerais tout pour ton amour ce soir

´Baby can you feel me, imagining I'm looking in your eyes'

Bébé peux-tu me sentir, en imaginant que je regarde dans tes yeux

´I can see you clearly vividly emblazoned in my mind'

Je peux te voir clairement, vivement dans mon esprit

´ And yet you're so far like a distant star

I'm wishing on tonight'

Et pourtant tu es si loin comme une étoile lointaine

A laquelle je fais un vœu ce soir

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*PDV Harry*

Elle sera chez moi demain. Je n'ai pu m'empêcher de penser à elle tout le week-end. Je voulais la revoir, vraiment mais il fallait que j'attende. Il fallait que je la punisse pour m'avoir laissé les couilles en feu. La punir elle ? Ou alors moi ? Je ne sais pas. Quand je repense à son regard plongé dans le mien, à son corps et ses seins parfaits. J'aimerais tant les serrer dans ma paume, les sucer et tirer leurs pointes entre mes dents. Lorsque je la baiserais enfin ce sera dur et doux en même temps.

Je veux qu'elle ne pense qu'à moi, autant que je pense à elle. J'aime son corps mais ce qui me fait le plus bander ce sont ses yeux. Cette vulnérabilité que j'y vois et qui m'appelle si étrangement que je ne sais comment le décrire. Mais il y a aussi cette flamme, cette passion, cette rage contre qui, je ne sais pas mais ce feu, c'est celui que je veux en plus de sa vulnérabilité. Je veux tout, absolument tout d'elle.

La tête sous le jet d'eau de ma salle de bain italienne, ma main droite descend sur les muscles tendus de mon ventre jusqu'à mon membre encore plus tendu. Je ferme les yeux en imaginant la bouche sucrée et humide de Nina qui m'enveloppe parfaitement. Ouais...elle faite pour cet endroit.

Je commence à faire coulisser ma main bien serrée autour de mon pénis, de haut en bas, de bas en haut. Accélérant la cadence au fur et à mesure de chaque va et vient. Ce que j'aimerais être en elle, la baiser fort, goûter à sa féminité, taquiner ses plis et la boire jusqu'à ce qu'elle en soit sèche. Putain... je veux qu'elle soit là. Ouais, je la veux.

-Nina... Gémis je.

Encore un peu... J'y suis presque...

-Nina... Nina... Nina... Je répète son nom comme une litanie avec pour seule réponse les échos de ma voix dans ma douche. Putain rien que de penser à elle à genoux devant moi, je sens l'orgasme s'approcher de plus en plus.

Après quelques mouvements de plus j'éjacule enfin sur les murs et un peu entre mes doigts. C'était tellement intense que je me demande ce que ça donnerait d'avoir sa chate à la place de ma main.

En ouvrant les yeux, la première image que j'aie c'est une image de Nina léchant mon gland, chaque goutte ressortie et les restes sur mes doigts que j'étalerais sur ses joues, sur ses seins... bordel, je bande encore.

Je la veux tellement putain que j'en ai mal à l'aine. Ouais, je la veux et je l'aurais.

            
            

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